Empoisonnement de masse
Une étude confirme la contamination extrême des injections anti-COVID Pfizer et Moderna par de l’ADN non réglementaire
Une nouvelle étude revue par des pairs confirme que les injections anti-COVID de Pfizer et Moderna actuellement en circulation sont massivement contaminées par de l’ADN. Les niveaux de concentration retrouvés atteindraient 627 fois le plafond de sécurité réglementaire. Cette publication confirme les inquiétudes concernant le risque d’intégration de l’ARN vaccinal, dont la première preuve moléculaire a été découverte récemment.

En février 2023, le Dr Kevin McKernan, l’expert en génomique du MIT ayant coordonné le projet de séquençage du génome humain a analysé l’ARN contenu dans les injections anti-COVID de Pfizer et de Moderna. Ses recherches ont révélé la présence de quantités massives d’ADN dérivé des plasmides utilisés lors de la fabrication, rendant l’ARN vaccinal compétent pour son intégration dans le génome des vaccinés.
Au moins 10 rapports indépendants provenant de laboratoires issus du monde entier ont confirmé cette contamination ADN à des niveaux de concentration aberrants, dépassant les limites réglementaires jusqu’à 470 fois dans l’analyse réalisée par des étudiants de la FDA et 516 fois dans celle produite par l’IHU de Marseille. Le séquençage du vaccin Pfizer par le Dr McKernan a également révélé la présence du virus simien SV40 dont le potentiel cancérigène est abondamment documenté, notamment la présence de séquences ORI du promoteur-activateur de SV 40 qui permettent à l’ADN de pénétrer dans les cellules et de s’y reproduire, et dont l’utilisation a été activement dissimulée aux régulateurs.
Une nouvelle étude[1] réalisée par le Dr McKernan, la biostaticienne Jessica Rose et le Dr David J. Speicher corrobore ces résultats et établit un lien entre le niveau de contamination des injections et les effets indésirables recensés dans le système de notification des événements indésirables du vaccin (VAERS) des CDC et de la FDA.
Objectif de l’étude
Pfizer et Moderna ont utilisé deux méthodes de purification différentes de la solution vaccinale qui peuvent induire des différences importantes dans la quantité et le type d’ADN résiduel présent dans le produit final. Ces étapes de purification sont présentées dans le brevet de Moderna US10898574B2, et dans le brevet BioNTech US20230183769A1, mais qui ne correspond pas au processus 2 utilisé dans la formule commerciale. Or le processus 2 utilise un plasmide bactérien susceptible d’entraîner une forte augmentation d’ADN résiduel dans le produit final.
L’objectif de cette recherche était de vérifier la présence et la quantité d’ADN plasmidique résiduel et de SV40 dans les vaccins Pfizer et Moderna, et de comparer ces résultats avec les événements indésirables rapportés dans le VAERS.
Méthode
Les auteurs ont analysé 32 flacons intacts, non périmés et non altérés, issus de 16 lots différents du vaccin à ARNm de Pfizer-BioNTech (BNT162b2) et de Moderna (mRNA-1273). Les flacons ont été obtenus dans diverses pharmacies de l’Ontario, au Canada.
Les échantillons analysés concernaient l’ensemble des formules administrées depuis le début de la campagne d’inoculation, y compris les formules pédiatriques et celles correspondant à la dernière mise à jour (XBB.1.5), utilisée lors de la saison grippale 2024-2025. Deux méthodes indépendantes ont été utilisées pour évaluer la quantité d’ADN totale contenue dans chaque dose (analyse fluométrique et test qPCR).
Les auteurs ont également comparé la composition des lots avec les événements indésirables répertoriés dans le VAERS pour ces lots.
Résultats
Tous les flacons analysés contenaient des milliards à des centaines de milliards de fragments d’ADN, y compris, pour le vaccin Pfizer, des séquences de virus de singe SV40 prohibé en raison de son potentiel oncogène, de la protéine Spike et des séquences ori du promoteur-activateur de SV 40.
L’analyse fluométrique a évalué des quantités extrêmes d’ADN contenues dans chaque dose :
- les flacons Pfizer contenaient 371 à 1 548 ng d’ADN par dose, soit 36 à 153 fois la limite réglementaire fixée par la FDA et l’OMS ;
- les flacons Moderna contenaient 1 130 à 6 280 ng d’ADN par dose, soit 112 à 627 fois la limite réglementaire ;
- trois flacons Pfizer (1/3) dépassaient de deux fois la limite réglementaire pour le promoteur-activateur-ori SV40 ;
- le séquençage d’un flacon a révélé des longueurs moyennes et maximales de fragments d’ADN de 214 bp et 3,5 kb, soit 5 fois la taille suffisante pour présenter des risques d’intégration ;
- le volume total de fragments d’ADN plasmidique par dose encapsulés dans des nanoparticules lipidiques (NPL) variait entre 123 millions et 160 milliards ;
- l’utilisation de NPL multiplie par 10 à 100 fois la capacité d’intégration de l’ARN ou de cellules d’ADN. Par conséquent, les plafonds réglementaires pourraient être dépassés de 15 300 fois pour Pfizer et 62 700 fois pour Moderna.
La comparaison entre les niveaux de contamination et le taux d’événements indésirables graves (EIG) recensés dans le VAERS pour les 4 lots les plus toxiques révèle :
- les taux d’EIG graves étaient de 17 %, 39 %, 50 % et 86 % ;
- ces taux ont atteint jusqu’à 95 % pour les doses administrées au Canada ;
- les trois lots les plus toxiques, où 50 à 95 % de tous les événements indésirables étaient classés comme graves étaient des lots de vaccin Pfizer ;
- près d’un EIG sur cinq (17 %) concernait des décès liés au lot Moderna.
Cette nouvelle étude démontre donc trois choses, qui en font une preuve historique pour d’éventuelles poursuites judiciaires :
- la contamination ADN et par SV40 est réelle, probablement généralisée et présente depuis l’origine, dans des proportions inédites ;
- aucun des laboratoires n’a utilisé les profits vertigineux acquis durant la pandémie grâce à des allégations mensongères concernant l’efficacité et la sécurité de leur produit pour corroborer et réfuter ces conclusions ni pour résoudre ce problème ;
- les problèmes de sécurité induits par cette fraude sont réels compte tenu du taux d’événements indésirables graves associés aux lots les plus fortement contaminés (jusqu’à 95 % au Canada sur l’un des lots).
Bien que l’étude ait porté sur un nombre limité de lots, les auteurs soulignent l’urgence d’une surveillance réglementaire accrue, d’une transparence sur les processus de fabrication et d’études sur les risques cumulatifs des injections multiples :
La présence non divulguée de séquences SV40 dans les vaccins Pfizer, combinée à des niveaux élevés d’ADN résiduel encapsulé, soulève des préoccupations de sécurité majeures. Des méthodes de purification améliorées et une quantification complète (multi-loci qPCR) sont essentielles pour minimiser les risques potentiels pour la santé humaine.
Implications
Nous avons expliqué les enjeux de cette contamination dans plusieurs articles, en particulier ici, là, là et là. L’un des principaux risques est celui de cancer par mutagenèse insertionnelle et par l’activation d’oncogènes ou l’inhibition des gènes suppresseurs de tumeurs, cité par Moderna dans le brevet décrivant sa méthode de production et dans l’ensemble de la littérature réglementaire.
Ce risque est décuplé avec l’utilisation de SV40 dont le Pr Angus Dalgleish explique que c’est la substance habituellement administrée aux souris lorsque les chercheurs en oncologie veulent tester une chimiothérapie et donc induire le cancer chez leurs cobayes.
Le fait que Pfizer ait dissimulé la présence de SV40 et qu’il ait commencé par nier l’avoir utilisé dans son process de fabrication suffirait en soi à prouver la gravité de cette fraude, qui prend une tournure particulièrement cynique lorsqu’on réalise que ses conséquences ont été anticipées probablement dès les premières injections, le laboratoire ayant racheté deux biotechs en 2021 (Trillium Therapeutics) et 2023 (Seagen), lui permettant d’occuper aujourd’hui une situation de quasi-monopole dans le domaine de l’oncologie.
Plusieurs études ont démontré depuis le lancement de la campagne de vaccination que le risque d’intégration dans le génome était réel. Le Dr McKernan a relaté début septembre le cas d’un patient ayant reçu 4 doses du vaccin Pfizer chez qui un cancer du côlon à évolution rapide a été détecté un an plus tard, entraînant son décès dans les trente jours suivant le diagnostic. Il explique dans une interview avoir analysé les biopsies de la tumeur et découvert des niveaux importants de la séquence du vaccin Pfizer dans les cellules cancéreuses :
Qu’est-ce que cela implique ? La contamination de l’ADN pourrait s’être intégrée dans les cellules humaines et s’être amplifiée. C’est la seule façon pour qu’elle soit présente en telle quantité. Cela prouve-t-il que c’est ce qui a causé le cancer ? Pas de manière définitive. Mais cela soulève une préoccupation grave et urgente qui doit faire l’objet d’une enquête.
https://twitter.com/tatiann69922625/status/1962407831795052737
Le laboratoire de recherche biomoléculaire Neo7Bioscience a indiqué récemment avoir obtenu la preuve moléculaire que cette intégration est réelle, après avoir découvert un fragment de l’ARN du vaccin Pfizer BNT162b2 intégré dans le chromosome humain 19 d’un patient vacciné.
L’étude est en cours de publication, mais cette intégration a été démontrée de manière indirecte dans une étude publiée en 2024[2] dans le New England Journal of Medicine portant sur une thérapie génique (Skysona) utilisant du SV40. Un patient sur dix ayant reçu ce traitement a développé un cancer hématologique que les auteurs attribuent de façon certaine au promoteur contenant du SV40.
Ce potentiel d’intégration a également été suggéré en 2023[3] par une équipe de chercheurs italiens qui ont découvert la présence de gènes ne pouvant provenir que du vaccin Pfizer dans des échantillons de sang de personnes injectées deux mois auparavant. Il est aujourd’hui soupçonné être à l’origine d’une épidémie de tumeurs cérébrales dans un hôpital australien où les patients auraient reçu des injections issues du lot de vaccin Pfizer le plus contaminé.
Le plus grand impact carcinogène jamais infligé à la population humaine ?
Le Dr McKernan décrit la vaccination contre le COVID-19 comme une opération qui a totalement déraillé et dont il estime qu’elle « pourrait être le plus grand impact carcinogène jamais infligé à la population humaine ».
Selon le journaliste Jon Fleetwood, la contamination ADN des injections anti-COVID pourrait plus généralement être à l’origine des principaux événements indésirables associés au vaccin Pfizer, dont la majorité était d’ordre cardiaque, immunitaire et neurologique selon deux revues systématiques de 2022 et de 2024. Or ces sphères correspondent à trois régions humaines (UTR) retrouvées dans les plasmides d’ADN du vaccin Pfizer par Kämmerer et al.[4] et dont la présence a été confirmée dans une étude en 2023[5]. Elles sont censées avoir été choisies pour stabiliser l’ARN synthétique et ne pas être traduites, mais le fait qu’elles coïncident avec les systèmes d’organes les plus cités par la pharmacovigilance constitue selon Jon Fleetwood un indice fort d’une possible intégration :
Le plasmide de Pfizer contient des fragments d’ADN humain qui régulent les fonctions sanguines, immunitaires et neurologiques, c’est-à-dire les systèmes les plus souvent affectés après l’injection, ce qui suggère que le plan directeur de ceci pourrait être à l’origine des lésions.
Lorsque le plan directeur et le résultat concordent à ce point, la question n’est pas de savoir s’il existe un chevauchement.
C’est vrai.
La question est de savoir pourquoi aucun organisme de réglementation n’a exigé une expertise médico-légale pour déterminer si l’intégration de ces fragments d’ADN humain se produit chez les patients – et si cette conception est en partie responsable des blessures les plus graves liées au vaccin COVID-19 de Pfizer.
Pour rappel, la FDA refuse toujours de publier les conclusions des contrôles qualité qu’elle est supposée avoir effectués. Les documents publiés par les régulateurs australien et canadien dans le cadre de réquisitions judiciaires étaient tous caviardés, pour certains en totalité. Dans le cas de Pfizer, le cynisme du laboratoire atteint un niveau paroxysmique, le changement de formule ayant été autorisé par le régulateur européen pour permettre des cadences de production adaptées à la demande planétaire durant le pic pandémique.
Références
[1] Speicher DJ, Rose J, McKernan K.Quantification of residual plasmid DNA and SV40 promoter-enhancer sequences in Pfizer/BioNTech and Moderna modRNA COVID-19 vaccines from Ontario, Canada. Autoimmunity. 2025 Dec;58(1):2551517. https://doi.org/10.1080/08916934.2025.2551517. Epub 2025 Sep 6.
[2] Duncan CN, Bledsoe JR, Grzywacz B, Beckman A, Bonner M, Eichler FS, et al. Hematologic cancer after gene therapy for cerebral adrenoleukodystrophy. N Engl J Med. 2024 Oct 10;391(14):1287-301. https://doi.org/10.1056/nejmoa2405541.
[3] Dhuli K, Medori MC, Micheletti C, et al. Presence of viral spike protein and vaccinal spike protein in the blood serum of patients with long-COVID syndrome. Eur Rev Med Farmacol Sci. 2023;27:113-19. https://www.europeanreview.org/wp/wp-content/uploads/013-019-2.pdf
[4] Kämmerer U, Schulz V, Steger K. BioNTech RNA-based COVID-19 injections contain large amounts of residual DNA including an SV40 promoter/enhancer sequence. Sci Pub Health Pol Law. 2024 Dec 03; v5.2019-2024. https://publichealthpolicyjournal.com/biontech-rna-based-covid-19-injections-contain-large-amounts-of-residual-dna-including-an-sv40-promoter-enhancer-sequence/
[5] Zhang L, More KR, Ojha A, Jackson CB, Quinlan BD, Li H, et al. Effect of mRNA-LNP components of two globally-marketed COVID-19 vaccines on efficacy and stability. NPJ Vaccines. 2023 Oct 11;8(1):156. https://doi.org/10.1038/s41541-023-00751-6.