Fraude scientifique

Équipe Le Point Critique | 19 juillet 2023

Un promoteur de virus oncogène retrouvé dans les vaccins COVID-19 de Pfizer

Le séquençage des vaccins Pfizer et Moderna par un ancien chercheur du MIT a révélé, en février 2023, des quantités alarmantes d’ADN bactérien susceptible de promouvoir l'apparition des cancers. Une seconde découverte vient aujourd’hui renforcer cette inquiétude : la présence d’un promoteur de virus de singe réputé oncogène, dans les vaccins Pfizer adultes et pédiatriques commercialisés en Europe et aux États-Unis. Quelles sont les raisons de la présence de cet ADN ? À quels risques expose-t-elle les personnes vaccinées ?

Singe vert
© iStock

La découverte par le Dr Kevin McKernan, dans les vaccins Pfizer et Moderna, de quantités préoccupantes (20 à 35 %) de plasmides d’ADN bactérien, compétent pour son intégration génomique, avait créé un séisme dans la communauté scientifique en février 2023. Une seconde découverte, par la même équipe de chercheurs, confirme et renforce aujourd’hui ces inquiétudes, relançant cette question récurrente : les injections peuvent-elles induire ou favoriser l’apparition de cancers ?

Un promoteur du virus SV40 retrouvé dans des échantillons de vaccins Pfizer

Le séquençage du vaccin Pfizer dont sont issus ces résultats a été réalisé en avril dernier, mais il vient tout juste d’être déposé dans la banque de gènes de la Bibliothèque nationale de médecine américaine (NIH), afin de permettre à la communauté scientifique de s’emparer de cette découverte : la présence d’une séquence d’un ou plusieurs « promoteurs » du virus polyomavirus simien 40 (SV40) [1] retrouvées dans plusieurs échantillons de vaccins Pfizer. En quoi cette découverte est-elle problématique ?

En biologie, un promoteur correspond à une partie spécifique de l’ADN du virus qui initie et renforce la transcription de cet ADN en ARN. C’est donc un morceau de ce virus et non le virus entier qui a été retrouvé dans les fioles lors du séquençage du vaccin. Or selon une étude de 2004 [2], le SV40 est un virus de singe à ADN oncogène connu pour induire des cancers primitifs du cerveau et des os, des mésothéliomes malins et des lymphomes chez les animaux de laboratoire. Et chez l’homme ?

« Des preuves convaincantes indiquent maintenant que le SV40 est à l’origine d’infections chez l’homme aujourd’hui et représente un agent pathogène émergent. Une méta-analyse des données moléculaires, pathologiques et cliniques de 1 793 patients atteints de cancer indique qu’il existe un excès de risque significatif de SV40 associé aux cancers primitifs du cerveau humain, aux cancers primitifs des os, au mésothéliome malin et au lymphome non hodgkinien. Les données expérimentales suggèrent fortement que le SV40 peut être fonctionnellement important dans le développement de certaines de ces tumeurs malignes humaines. »

Vilchez et al. Emergent human pathogen simian virus 40 and its role in cancer. Clin Microbiol Rev. 2004 Jul;17(3):495-508. DOI: https://doi.org/10.1128/CMR.17.3.495-508.2004.

Les conséquences que pourrait avoir une telle découverte sont en réalité connues de longue date, puisqu’une étude de 1999 pointait déjà le risque de cancer associé au vaccin contre la poliomyélite, contaminé par le SV40 [3]. Selon les CDC, 10 à 30 % des vaccins antipoliomyélitiques administrés aux États-Unis entre 1955 et 1963 se seraient avérés avoir été contaminés par le SV40 issu de cultures de cellules rénales de singe utilisées pour fabriquer les vaccins. Par chance, le CDC précise qu’aucun lien causal n’a pu être prouvé entre la présence de ce virus et l’apparition de cancer. Il ajoute qu’aucun vaccin utilisé aujourd’hui ne contiendrait de virus SV40.

Selon le Dr McKernan, des activateurs du virus SV40 ont également été observés dans l’ensemble des vaccins (monovalents et bivalents) Pfizer en plus des promoteurs SV40, de façon indépendante aux États-Unis et en Europe [4]. Le Dr Mercola, qui a commenté cette découverte dans The Epoch Times, précise que l’un des flacons de Pfizer analysé, pourtant issu du même lot (ce qui soulève de fortes interrogations sur l’intégrité du processus de fabrication des vaccins) contenait un promoteur SV40 avec une séquence de localisation nucléaire (NLS), qui rendrait le promoteur « beaucoup plus agressif » dans la mesure où « cette séquence permet des insertions, des suppressions et des réarrangements dans le génome par transcription inverse » (The Epoch Times).

Fin du sophisme vaccinal « Les vaccins ARNm ne peuvent pas modifier le génome »

Les autorités sanitaires et les « vérificateurs de faits » ont toujours insisté sur le fait qu’une telle intégration génomique est scientifiquement impossible. Qu’elle le soit serait en effet une très mauvaise nouvelle, comme l’avait expliqué le virologue J.-F. Saluzzo, expert auprès de l’OMS, avant le début de la pandémie :

« D’où vient cette idée que le vaccin donne le cancer ? Du risque supposé que l’ARN du virus s’intègre à notre ADN, le modifie en « organisme génétiquement modifié » et fabrique donc des cellules cancéreuses. Et pour cause : « le concept de ‘vaccin génétique’ peut laisser croire qu’il perturbe le génome. Ce qui est faux » tranche d’emblée Jean-François Saluzzo virologue spécialiste des vaccins et expert auprès de l’OMS. »

J.-F. Saluzzo. On vous explique pourquoi le vaccin contre le COVID ne peut pas provoquer de cancer. 03/12/2020

Or ce sophisme a volé en éclats il y a deux ans, avec la publication de deux études ayant démontré en 2021 que cette transcription inverse de l’ARN en ADN est possible in vitro dans le cas des vaccins ARNm [5],[6]. Une troisième étude, publiée en février 2022 [7], a confirmé ces résultats en démontrant que l’ARNm du vaccin Pfizer peut se convertir en ADN dans les cellules du foie, l’organe de prédilection où s’accumulent les nanoparticules chargées d’ARNm [8], où les propres données cliniques de Pfizer démontrent qu’il est retrouvé dans plusieurs tissus 15 minutes après l’injection, avec des concentrations maximales dans le foie 8 à 48 h après l’administration [9].

Cette découverte n’a entraîné pourtant aucune mise à jour des recommandations vaccinales, alors qu’elle devrait, selon les auteurs de la revue de la littérature la plus complète à ce jour [10], « être une préoccupation majeure en matière de sécurité » en raison du « risque accru de dommages à l’ADN, d’auto-inflammation chronique, d’auto-immunité et de cancer » qu’elle implique.

Les chercheurs Michael Palmer et Jonathan Gilthorpe, qui ont commenté les implications de cette contamination des vaccins par de l’ADN étranger, confirment cette analyse :

« La présence d’ADN plasmidique contaminant dans les vaccins ARNm de Pfizer et Moderna comporte de graves risques pour la santé, en plus de ceux qui étaient déjà connus et compris. Parmi ces risques, le plus important est l’expression prolongée de protéine de pointe, ce qui peut conduire à une inflammation de type auto-immune prolongée et plus destructrice, et l’induction d’une maladie maligne après intégration chromosomique de l’ADN plasmidique. De plus, l’ampleur même de la contamination prouve de façon concluante que les fabricants n’ont pas maîtrisé ou correctement mis en œuvre les processus de production conçus. »

Palmer M, Gilthorpe J. COVID-19 mRNA vaccines contain excessive quantities of bacterial DNA: evidence and implications. 05/04/2023. https://drtrozzi.org/wp-content/uploads/2023/04/COVID-19-mRNA-vaccines-contain-excessive-DNA-Evidence-and-Implications.pdf.

Le Dr Henry Ealy a également résumé les conséquences de cette découverte dans un tweet publié le 9 juillet 2023 que nous reproduisons ici pour que chacun comprenne pourquoi les réseaux sociaux sont un énorme problème :

« “Doc, j’entends sans cesse parler de plasmides et de promoteur SV40 ou autre et de turbo cancer… qu’est-ce que tout cela ?”

Imaginez un anneau d’ADN généré en laboratoire capable d’infecter votre microbiome.

Imaginez qu’elle puisse s’auto-répliquer en moins de 90 minutes et faire des centaines de copies d’elle-même dans une seule bactérie.

Imaginez une fréquence émise qui crée des trous dans vos bactéries et vos cellules, ce qui facilite leur infection.

Imaginez qu’il puisse se propager comme une traînée de poudre à travers votre microbiome en infectant les bactéries qui peuvent résister à l’infection ou en tuant celles qui ne le peuvent pas.

Imaginez qu’une seule bactérie militarisée, infectée par elle, soit capable d’engendrer 10 millions de bactéries militarisées en seulement 8 heures.

Imaginez que cet anneau d’ADN ait été développé pendant plus de 50 ans et avec des milliards de dollars de financement des contribuables américains.

Imaginez qu’il soit résistant aux antibiotiques.

Imaginez qu’il possède une région promotrice SV40, ou T7, ou Cytomeglovirus qui le maintient toujours allumé et produit la charge utile armée.

Imaginez que cette infection provoque des réponses immunitaires massives, augmentant l’interféron, le TNF et les cytokines, tandis que la charge utile (SGP) agit comme une boule de démolition incessante pour l’environnement cellulaire.

Imaginez que cela entraîne une formation massive de pseudouridine dans l’ARNt et des erreurs massives de synthèse des protéines.

Imaginez tout cela et vous comprenez maintenant les plasmides et le turbo cancer. »

Ces résultats sont confirmés par plusieurs autres chercheurs

La gravité de cette découverte, si elle est confirmée, justifierait le retrait immédiat des injections du marché et la destruction de l’ensemble des lots en circulation, comme l’a expliqué le Dr McKernan le 2 juin 2023, lors d’un entretien avec l’avocat spécialisé dans le droit de l’environnement, Robert F. Kennedy Jr, et le microbiologiste Sucharit Bhakdi, et comme l’affirment M. Palmer et J. Gilthorpe : « Chacun de ces problèmes serait une raison suffisante pour exiger le retrait immédiat de ces vaccins. »

Que répondent les agences ayant autorisé la mise sur le marché des vaccins dont elles sont supposées avoir contrôlé la qualité et vérifié la conformité de la composition avec celle revendiquée parles laboratoires ?

Aucune trace d’ADN contaminant issu du SV40 n’est mentionnée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) dans la liste des ingrédients des vaccins. Les CDC précisent qu’« aucun tissu tels que des cellules fœtales avortées, de la gélatine ou tout autre matériau provenant d’un animal » ne sont présents dans les vaccins.

De son côté, le porte-parole de l’Agence européenne des médicaments (EMA), Alessandro Faia, aurait indiqué dans un mail, selon le site APNews :

« Il n’y a aucune preuve indiquant la présence de SV40, un virus trouvé dans les reins de singe qui peut potentiellement causer le cancer chez l’homme, dans la formulation des vaccins COVID-19. »

Le laboratoire Pfizer aurait également tenu à rassurer, toujours selon APNews, mais on ne trouve aucune trace de ce démenti sur son site où sont pourtant publiés régulièrement des communiqués de presse relatifs à l’efficacité de son vaccin :

« “Le vaccin est un vaccin entièrement synthétique. Il y avait des études précliniques de provocation animale utilisant des macaques rhésus ; cependant, aucune partie de notre vaccin ou de nos études n’a utilisé de singes verts. L’affirmation selon laquelle le vaccin contient de l’ADN de singe est inexacte”. »

Au moins quatre autres équipes de chercheurs confirment pourtant les découvertes de K. McKernan : le Pr Phillip J. Buckhaults, professeur de génétique et de biologie moléculaire de l’université de Columbia (Carolne du Sud), l’IHU Méditerranée Infection, qui a également retrouvé des contaminants d’ADN et deux scientifiques japonais :

  • le Dr Hiroshi Arakawa, chercheur à la Fondation de l’Institut d’oncologie moléculaire (Milan, Italie), qui expliquait en avril 2023 les 8 risques associés selon lui à une telle découverte, notamment :

« Si le promoteur SV40 du cancer est incorporé à proximité de l’oncogène, l’oncogène sera constamment exprimé. Il provoque la carcinogenèse cellulaire. Ceux-ci sont également considérés comme l’une des causes du turbo cancer après la vaccination. 

Si le vaccin corona a une contamination par l’ADN contenant des gènes de pointe, c’est un gros scandale. L’une des raisons pour lesquelles le vaccin corona est dangereux est que tous ses ingrédients ne sont pas rendus publics et que nous ne savons pas ce qu’il contient réellement. Cela signifie que la toxicité du vaccin corona ne peut pas être expliquée par la seule protéine de pointe. »

  • le Pr Yasufumi Murakami (Université des sciences de Tokyo), qui a commenté cette découverte début mai dans une vidéo, également retranscrite par The Epoch Times, où il s’interroge à voix haute : cette séquence dérivée d’un virus oncogène que les personnes vaccinées sont suceptibles d’expimer est totalement inutile pour produire un vaccin ARNm. Que fait-elle là ? Pourquoi a-t-elle été ajoutée ? Il précise : cette séquence étant présente dans les plasmides d’ADN, elle peut facilement migrer vers le noyau des cellules et potentiellement s’intégrer au génôme humain. Avec quelles conséquences ?

Personne n’a aujourd’hui de réponse à cette question, mais « cette conception du vaccin » est qualifiée par le Pr Murakami d’« outrageusement malicieuse ». Autrement dit, diaboliquement frauduleuse.

Quand Pfizer interdit aux États membres de réaliser leurs propres analyses de son vaccin

Le Dr Kevin McKernan estime que des analyses supplémentaires sont indispensables et devraient être conduites par les agences, sur la base de nouveaux échantillons transmis par les laboratoires, afin de confirmer ou d’infirmer cette hypothèse : cette vérification, précise-t-il, peut être faite « dans un laboratoire de biologie de lycée. Tout ce qui est nécessaire est un test d’électrophorèse qui mesure l’ARN et l’ADN et ces résultats peuvent être facilement reproduits ».

Peut-on raisonnablement penser qu’ils le feront sachant qu’ils n’ont jamais remis les données intermédiaires attendues mi-2021, dont l’objectif était précisément de contrôler l’intégrité du processus de fabrication ? Peut-on seulement imaginer que l’EMA ou la FDA l’exigeront sachant que le fait de ne pas avoir transmis ces données aurait dû bloquer la campagne de vaccination ou a minima compromettre l’homologation définitive des vaccins ?

On peut largement en douter puisqu’on apprenait le 11 octobre 2022, au détour d’une question posée par la députée européenne Michèle Rivasi (EÉLV, vice-présidente de la commission COVI) à la représentante du laboratoire Pfizer, Janine Small, lors de son audition au Parlement européen, que le laboratoire a interdit aux États membres de réaliser leurs propres analyses de son vaccin, et donc de contrôler la présence d’ARN intact dans les innoculats. Cette question fait aujourd’hui débat puisque le seuil réglementaire, supposé garantir la sécurité et l’efficacité des injections a été modifié en novembre 2020 après la découverte de niveaux anormalement élevés sans qu’on sache qui a modifié ces seuils. Cette interdiction vise-t-elle également à couvrir la présence d’ADN ou uniquement à abaisser légalement les exigences de sécurité des injections ?

Les laboratoires n’ont en tout cas pas estimé nécessaire de démentir publiquement afin de rassurer la communauté scientifique dont les mots de Kevin McKernan démontrent à quel point elle est aujourd’hui désabusée par un tel niveau de cynisme :

« Filippo Brunelleschi a remporté le contrat de construction du Dôme sans montrer d’ébauches ni de plans. On dit qu’il a brûlé ses plans pour empêcher les concurrents d’imiter son travail. Sa conception a résisté à l’épreuve du temps et seulement 1 charpentier est mort dans la construction du Dôme. Les fabricants de vaccins modernes ont également tenté de cacher leurs plans avec moins de succès que Brunelleschi. En fait, ils les ont emballés accidentellement dans chaque flacon produit. Le nombre de morts pour leurs produits reste l’un des plus élevés jamais enregistrés pour tous les vaccins. »

McKernan K. DNA contamination in Pfizer monovalent vaccines. Nepetalactone Newsletter. 2023 Mar 25. 2023. https://anandamide-substack-com.translate.goog/p/dna-contamination-in-pfizer-monovalent?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.

Plus inquiétant, ni Moderna ni Pfizer n’ont en réalité jugé utile de réaliser une contre-expertise de leurs propres échantillons de vaccins afin de confirmer ou de démentir qu’ils seraient une bombe à retardement.

Message reçu fort et clair.


Références

[1] McKernan K. Sequencing of bivalent Moderna and Pfizer mRNA vaccines reveals nanogram to microgram quantities of expression vector dsDNA per dose. 2023 Apr 11. https://anandamide.substack.com/p/sequencing-of-bivalent-moderna-and. Publiée en preprint à cette adresse : https://osf.io/b9t7m/.

[2] Vilchez RA, Butel JS. Emergent human pathogen simian virus 40 and its role in cancer. Clin Microbiol Rev. 2004 Jul;17(3):495-508. DOI: https://doi.org/10.1128/CMR.17.3.495-508.2004.

[3] Fisher SG, Weber L, Carbone M. Cancer risk associated with simian virus 40 contaminated polio vaccine. Anticancer Res. 1999 May-Jun;19(3B):2173-80. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10472327/.

[4] McKernan K. Sequencing the Pfizer monovalent mRNA vaccines also reveals dual copy 72-bp SV40 Promoter. 2023 Apr 12. https://anandamide-substack-com.translate.goog/p/sequencing-the-pfizer-monovalent?r=jhcie&utm_medium=ios&utm_campaign=post&_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.

[5] Chandramouly G, Zhao J, McDevit S, et al. Polθ reverse transcribes RNA and promotes RNA-templated DNA repair. Sci Adv. 2021 Jun 11;7(24):eabf1771. DOI: https://doi.org/10.1126/sciadv.abf1771.

[6] Zhang L, Richards A, Barrasa MI, et al. Reverse-transcribed SARS-CoV-2 RNA can integrate into the genome of cultured human cells and can be expressed in patient-derived tissues. PNAS. 2021 May 25;118(21):e2105968118. DOI: https://doi.org/10.1073/pnas.2105968118.

[7] Aldén M, Olofsson Falla F, Yang D, et al. Intracellular reverse transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA vaccine BNT162b2 in vitro in human liver cell line. Curr Issues Mol Biol. 2022 Feb 25;44(3):1115-26. DOI: https://doi.org/10.3390/cimb44030073.

[8] Sato Y, Kinami Y, Hashiba K, Harashima H. Different kinetics for the hepatic uptake of lipid nanoparticles between the apolipoprotein E/low density lipoprotein receptor and the N-acetyl-d-galactosamine/asialoglycoprotein receptor pathway. J Control Release. 2020 Jun;322:217-26. DOI : https://doi.org/10.1016/j.jconrel.2020.03.006.

[9] European Medicines Agency (EMA). Assessment report: Comirnaty. Common name: COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified). Procedure No. EMEA/H/C/005735/0000. 2021 Feb 19. https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf.

[10] Acevedo-Whitehouse K, Bruno R. Potential health risks of mRNA-based vaccine therapy: A hypothesis. Med Hypotheses. 2023 Feb;171:111015. DOI: https://doi.org/10.1016/j.mehy.2023.111015.

Dernièrement sur Le Point Critique

L’EMA a-t-elle organisé un essai de thérapie génique au prétexte du COVID (2/3) ?

Flacon de vaccin anti-COVID
L’Agence européenne des médicaments (EMA) a confirmé en novembre 2023 qu’elle ne suspendrait pas l’autorisation de mise sur le marché des injections…
Mathilde Debord

L’EMA a-t-elle organisé un essai de thérapie génique au prétexte du COVID (1/3) ?

Manipulation d'embryon basée sur la technologie CRISPR
Fin novembre 2023, des députés européens ont rendu publique la réponse de l’EMA à la lettre dans laquelle ils l’exhortent à suspendre l’homologation…
Mathilde Debord

Risques cardiovasculaires associés aux traitements contre le rhume, une opération de camouflage ?

L'ANSM place sous surveillance une dizaine de médicaments contre le rhume
L’ANSM déconseille explicitement depuis le 22 octobre 2023 l’utilisation des traitements vasoconstricteurs contre le rhume, suspectés de provoquer…
Équipe Le Point Critique

Classement de l’ensemble des vaccins non géniques en substances toxiques : doit-on s’inquiéter ?

Flacon contenant une substance toxique.
Le 7 septembre 2023, l’ANSM a inscrit l’ensemble des vaccins sur la liste des « substances vénéneuses » à l’exception des vaccins contre…
Équipe Le Point Critique

La campagne de vaccination contre le HPV démarre en même temps que plusieurs procès

Vaccin HPV Gardasil
La campagne de vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) vient de débuter en France dans les collèges. Comme pour le COVID-19, le président…
Mathilde Debord

Myocardites après une infection ou un vaccin COVID

Anatomie du cœur humain sur un fond médical flou. Illustration 3D.
Quels sont les risques réels de myocardite après une infection et après un vaccin COVID ? Cette question est cruciale car c’est sur la prévention…
Équipe Le Point Critique

Lèpre, tuberculose… les vaccins anti-COVID ont-ils ouvert la boîte de pandore ?

Neutrophile (en jaune) avalant des spécimens de la bactérie Bacillus anthracis (en orange), à l'origine de l'anthrax.
La lèpre a fait sa réapparition au Royaume-Uni en 2021. Une série d’études récentes suggère qu'elle pourrait être un effet secondaire de la vaccination…
Mathilde Debord

Le prix Nobel de physique 2022 dénonce le travestissement de la réalité climatique

John Clauser déclare que le changement climatique ne relève pas d'une crise. C'est une crise de pseudoscience | Quantum Korea 2023
Lors de son discours d’ouverture de la Quantum Korea 2023, le Dr John Clauser, prix Nobel de physique, a profité de son adresse aux jeunes scientifiques…
Équipe Le Point Critique
Recevez gratuitement l’information du Point Critique, en continu sur vos écrans !