Coïncidence

Équipe Le Point Critique | 05 avril 2025

Épidémie de tumeurs cérébrales chez des infirmières d’un même hôpital

Des foyers de cas de cancers sont aujourd’hui rapportés dans deux hôpitaux, aux États-Unis et en Australie. Un lot de vaccin du laboratoire Pfizer dans lequel ont été retrouvées des concentrations anormalement élevées d'ADN oncogène est pointé du doigt par une infirmière australienne.

Scanner diagnostique pour la recherche d'une tumeur cérébrale
Modern Medical Research Center: Anonymous Doctor Pointing At Desktop Computer Monitor With CT Scan Of Patient's Spinal Cord. Specialist Looking For Tumors Or Damage, Looking For Treatment Methods. | © Gorodenkoff

Un hôpital américain de Boston dans le Massachusetts (Newton-Wellesley Hospital) rapporte une série de cas de cancer diagnostiqués dans le même service. Il s’agit du deuxième foyer signalé à quatre mois d’intervalle parmi des soignants.

La vaccination évoquée comme agent possible dans le cluster américain

Selon le média CBS News qui a divulgué l’information le 28 mars, 10 infirmières travaillant à la maternité de l’hôpital auraient récemment développé des tumeurs cérébrales, de type et de gravité différents. Seuls cinq cas ont été confirmés à ce jour par l’hôpital, mais selon la journaliste Maryanne Demaisi, les comptes rendus du personnel hospitalier suggèrent que les chiffres pourraient être plus élevés. La Massachusetts Nurses Association (MNA) relate ainsi 17 cas potentiels de soignants, dont les dossiers médicaux sont en cours d’évaluation.

L’établissement, qui a commencé à enquêter en décembre dernier, affirme qu’il n’y a aucun risque de contamination environnementale. Les injections peuvent-elles être la cause de cette épidémie ? Le Pr Wafik El-Deiry, chercheur en cancérologie et doyen associé à l’Université Brown, n’exclut pas cette possibilité et appelle à une enquête médicale approfondie :

Ils ont besoin de rassembler des histoires médicales complètes, des dossiers de vaccin et des rapports de pathologie détaillés sur les tumeurs. Il est essentiel d’analyser les échantillons de sang et de tissus pour la présence de protéines de pointe et d’autres marqueurs potentiels afin de déterminer si ces cancers partagent des signatures moléculaires.

https://substack.com/@weldeiry/note/c-105497322

Il estime d’après ses propres travaux[1] que le virus lui-même, et pas seulement le vaccin, doit être pris en compte dans la future enquête, la protéine Spike du SARS-CoV-2 ayant la capacité d’inhiber l’activation du gène p53, dont la fonction est d’empêcher la prolifération des cellules dont le génome est altéré. L’infection par le SARS-CoV-2 peut ainsi avoir un impact sur la formation de tumeurs et leur progression. L’enquête devrait pour cela intégrer une nouvelle méthode de séquençage pour la biopsie des tumeurs afins d’identifier « les empreintes ADN potentiellement causales et les modèles d’expression uniques de l’ARN ».

Un lot Pfizer identifié comme hautement toxique impliqué dans le cluster australien

En décembre 2024, un second cluster a été relaté par deux infirmières dans un hôpital australien (Ulladulla, Galles du Sud), où 18 cas de cancer ont été diagnostiqués parmi le personnel soignant depuis la campagne de vaccination. L’une des soignantes issues de ce cluster a reçu sa dernière injection le 23 février 2022 et a été diagnostiquée avec un cancer du sein en mars de la même année. L’opération a eu lieu le 1er avril 2022, soit un mois environ après sa vaccination.

L’information a été publiée sur X par le député australien Russell Broadbent, à l’origine d’une demande de moratoire visant à suspendre les injections COVID à ARN messager en Australie. Cette demande est appuyée par 52 scientifiques qui alertent sur les risques de cancer associés à la présence de contaminants ADN, retrouvés par plusieurs laboratoires dans le monde, dans l’ensemble des vaccins Pfizer et Moderna.

Les quantités les plus alarmantes ont été découvertes par le Dr David Speicher[2], qui a retrouvé des concentrations jusqu’à 509 fois supérieures à la limite réglementaire imposée par la Food and Drug Administration (FDA) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS). C’est notamment sur son rapport que s’appuie Russell Broadbent dans sa plainte.

Or selon les soignantes interviewées par Russel Broadbent, tous les patients issus du cluster australien ont reçu un vaccin issu du même lot Pfizer (FN0565), qui est précisément celui analysé par le Dr David Speicher. Le député relate également le cas de 4 autres patients blessés par le vaccin, ayant été injectés par le même lot (FG0050) associé à 1 216 événements indésirables, dont 2 décès. D’où la question posée par Russell Broabent sur son compte X : « Quelle est la probabilité ? »

L’existence de lots toxiques signalée dans au moins 7 pays

Le fait que le même lot de vaccin Pfizer soit incriminé en Australie est cohérent avec la série d’études publiées depuis avril 2023, démontrant l’existence de lots d’une toxicité extraordinairement élevée et non aléatoire, produits par le laboratoire, suggérant que Pfizer aurait soit testé le seuil de toxicité de sa technologie vaccinale, soit cherché à diluer les effets secondaires en remplaçant la solution vaccinale par un placebo ou du serum physiologique dans une partie des lots.

La première étude a été publiée en avril 2023 par des chercheurs danois (Schmeling et al.)[3] qui ont analysé les données de phramacovigilance relatives à la première année de la campagne. Ils ont identifié trois lots de toxicité différente, dont l’un est impliqué dans dans 71 % des effets indésirables et dans seulement 4,2 % des doses administrées (figure 1). Selon les données de l’étude, ce lot (lot bleu) aurait causé respectivement 37 et 1 416 fois plus d’effets indésirables que les lots vert et jaune, et 14 et 417 fois plus de décès que ces deux lots.

La Commission européenne a été alertée sur ces résultats en mai 2023. Dans sa réponse, elle soutient qu’aucun risque accru d’effets secondaires n’a été observé avec certains lots spécifiques. Elle affirme également que les lots sont rigoureusement testés avant d’être libérés, en rappelant que ces contrôles sont effectués par le laboratoire, mais en omettant de préciser que les contrats excluent une analyse indépendante.

Figure 1 : Nombre d’effets indésirables recencés après la vaccination Pfizer au Danemark (27/12/2020-11/01/2022) en fonction du nombre de doses par lot de vaccins

Nombre d'effets indésirables recencés après la vaccination Pfizer au Danemark (27/12/2020-11/01/2022) en fonction du nombre de doses par lot de vaccins
Légende : Chaque point représente un seul lot de vaccins. Les lignes de tendance sont des lignes de régression linéaire. […] Les lots de vaccins représentant les lignes de tendance bleue, verte et jaune représentaient respectivement 4,22 %, 63,69 % et 32,09 % de toutes les doses de vaccins, avec 70,78 %, 27,49 % et 47,15 % (ligne de tendance bleue), 28,84 %, 71,50 % et 51,99 % (ligne de tendance verte), et 0,38 %, 1,01 % et 0,86 % (ligne de tendance jaune) de tous les EI, EI graves et décès liés à des EI, respectivement.

En 2024, ces résultats ont été confirmés en Suède par la même équipe (Manniche et al.)[4] et aux États-Unis par deux chercheurs (Jablonowski et al.)[5], qui auraient retrouvé des taux de létalité allant jusqu’à 3,02 % (1 personne sur 30) dans certaines séries issues du même lot. Ces résultats sont par ailleurs corroborés par les données du système américain de surveillance des vaccins (VAERS), où 55 % des décès associés au vaccin Pfizer seraient issus d’un lot commençant par la lettre E :

Figure 2 : Nombre d’effets indésirables recencés après la vaccination Pfizer en fonction du nombre de doses par lot de vaccins au Danemark (A) et en Suède (B), en 2020-2022

Nombre d'effets indésirables recencés après la vaccination Pfizer en fonction du nombre de doses par lot de vaccins au Danemark (A) et en Suède (B), en 2020-2022
Pour le Danemark (A), la période s’étend du 27/12/2020 au 11/01/2022. Pour la Suède (B), elle couvre la période allant du 27/12/2020 au 19/01/2024.

L’institut Paul-Ehrlich (PEI) – le pendant allemand de l’ANSM – a produit en août 2023 un démenti des conclusions danoises en se fondant sur une contre-étude (Salz et al.)[6], qui ne corrobore pas ces résultats. Le PEI a discrètement fait volte-face en novembre 2024, en publiant des données concernant des centaines de « lots de décès », impliquant près d’un million de rapports de cas corrélés temporellement avec la vaccination répartis sur 235 lots de « vaccin » Comirnaty (Pfizer). L’avocat des victimes Tobias Ulbrich a publié le 7 décembre dernier la liste des lots les plus toxiques, dont il estime que le PEI avait connaissance de l’existence.

Selon Tobias Ulrich, la liste des pays europées attestant d’une nocivité liée au lot inclut aujourd’hui le Danemark, les Pays-Bas, l’Espagne et la République tchèque, et très probablement l’Allemagne, la Suède et la Nouvelle-Zélande où un lanceur d’alerte avait signalé le même phénomène en 2023.

La contamination ADN peut-elle expliquer la toxicité accrue de certains lots?

La contamination des vaccins Pfizer et Moderna a été confirmée à ce jour par 11 équipes de chercheurs dans le monde, notamment une équipe d’étudiants chercheurs d’un campus de la FDA, encadrés par des scientifiques de l’Agence, qui ont retrouvé des niveaux de contamination dépassant les limites de sécurité réglementaires de 6 à 470 fois.

Ces résultats ont été qualifiés de « preuve irréfutable » par Nikolai Petrovsky, professeur d’immunologie et directeur de Vaxine Pty Ltd, qui appelle aujourd’hui à une enquête indépendante. Il publie également sur son compte LinkedIn le rapport établi par Soňa Peková, une généticienne moléculaire tchèque, qui confirme la contamination des vaccins Pfizer et Moderna :

Aucun des deux fabricants n’a déclaré que l’ADN était un constituant régulier des formulations vaccinales. Les quantités élevées d’ADN présentes dans les échantillons testés excluent la possibilité d’une simple contamination au cours du processus de fabrication.

Une nouvelle confirmation a été apportée par le commissaire du gouvernement slovaque, lors d’une conférence de presse donnée le 14 mars dernier. Il affirme à son tour que « tous les lots testés de vaccins à ARNm contenaient du matériel génétique capable de modifier l’ADN humain, causant potentiellement des maladies graves ».

Début janvier, le Dr McKernan (MIT), qui a alerté le premier sur la contamination des vaccins, a mis en évidence un autre mécanisme potentiel cancérigène (pour les curieux, il s’agit de « la surstimulation de la voie cGAS-STING, un composant crucial de la réponse immunitaire innée»), en plus de l’intégration génomique, lié à la contamination des vaccins par de l’ADN plasmidique.

Contamination des injections par du matériel génétique oncogène

Pour les personnes ayant reçu le « vaccin » Pfizer, le risque de développer un cancer est accru en raison de l’utilisation frauduleuse, par le laboratoire, de séquences d’un virus de singe notoirement oncogène (SV40)[7],[8], [9],[10],[11],[12],[13]. Le SV40 est en effet utilisé traditionnellement pour :

  1. augmenter le potentiel d’intégration de matériau génétique dans le noyau cellulaire d’un receveur, et
  2. inoculer le cancer à des souris afin de tester un traitement de chimiothérapie.

Le risque d’intégration a été évoqué avant les premières injections par une partie de la communauté scientifique et écarté catégoriquement par les autorités sanitaires pour justifier que les injections ne pouvaient pas induire de cancer. Or on sait aujourd’hui qu’il n’y a jamais eu aucune preuve qu’une telle intégration était impossible (voir notre précédent article)[14],[15], et que ce risque est considérablement majoré en présence de SV40, comme l’a expliqué récemment le Pr Angus Dalgleish, l’un des oncologues les plus éminents au monde :

Les inquiétudes de la communauté scientifique ont été renforcées récemment par la découverte de la présence de SV40 dans une tumeur retrouvée chez un patient vacciné avec le vaccin Pfizer :

Nous n’avons pas encore publié nos travaux, mais nous disposons du séquençage d’une biopsie du côlon d’un patient qui avait été vacciné quatre fois. Un an après la vaccination, il a contracté un cancer du côlon. Il a subi une biopsie le jour même, puis 30 jours plus tard, il est décédé, puis il a subi une nouvelle biopsie, et nous disposons du séquençage des échantillons prémortem et post-mortem. Nous pouvons y trouver des plasmides à raison d’une centaine de copies par cellule. Ils ne sont pas exactement les mêmes que ceux de Pfizer, ce qui est un vrai casse-tête, mais ils sont là.

https://x.com/SenseReceptor/status/1863041263756624246

Début avril, un consultant canadien en séquençage génomique, le Dr Mikolaj Raszek, a commenté les résultats de l’une des équipes[16] qui ont réanalysé les flacons de vaccins et qui confirment la présence de quantités non réglementaires d’ADN dans l’ensemble des flacons analysés ainsi que celle de SV40 dans les vaccins Pfizer. La conclusion des auteurs va plus loin, puisqu’ils dénoncent une insertion non seulement frauduleuse, mais criminelle de la part du laboratoire Pfizer, ce qui est inédit dans une étude scientifique.

Cette découverte est très surprenante et soulève une question légitime : pourquoi BioNTech/Pfizer ont-ils introduit cet élément totalement inutile et hautement dangereux dans leurs plasmides et l’ont-ils utilisé comme modèle pour la production d’ARN-mod ? À notre avis, BioNTech/Pfizer doivent être tenus pour responsables de l’incorporation de cet élément hautement dangereux dans leurs plasmides.

Une épidémie de cancers planifiée ?

La littérature[17],[18],[19],[20],[21],[22],[23],[24],[25],[26],[27],[28],[29],[30],[31],[32] s’enrichit presque quotidiennement d’un nouveau rapport de cas ou d’une nouvelle étude mettant en évidence soit des mécanismes cancérigènes associés aux injections et à leur répétition[33],[34],[35],[36],[37],[38],[39] soit une explosion des cancers depuis leur déploiement[40].

L’une des dernières en date a été publiée le 12 mars[41]. Elle démontre que les injections COVID-19 à ARN messager programment le système immunitaire et déclenchent un mécanisme (changement de classe IgG4) qui augmente le risque d’infections, mais également de cancer, de myocardite et de maladie auto-immune.

Pfizer a-t-il anticipé l’explosion des cas de cancers observée par la communauté scientifique ? Nous avons soulevé cette question dans un précédent article, en mettant en balance la cancérogénicité notoire du SV40, proscrit et inutile dans la conception d’un vaccin, et le rachat pour 41 milliards d’euros d’une biotech américaine (Seagen) spécialisée en oncologie, qui lui a permis de multiplier par deux son offre de traitements anticancéreux.

Si le vaccin devait être en cause dans les hôpitaux américains et australiens, ce serait une nouvelle particulièrement dramatique, compte tenu de la coercition exercée dans le monde entier sur le personnel soignant alors même qu’on savait que le vaccin n’empêchait pas la transmission.


Références

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[4] Manniche V, Schmeling M, Gilthorpe JD, Hansen PR. Reports of batch-dependent suspected adverse events of the BNT162b2 mRNA COVID-19 vaccine: Comparison of results from Denmark and Sweden. Medicina (Kaunas). 2024 Aug 19;60(8):1343. https://doi.org/10.3390/medicina60081343.

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L’IA détruit le récit climatique sur l’impact du CO2 humain

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Royaume-Uni : une législation anti-Blancs entre en vigueur mardi

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L’Argentine va ouvrir ses archives sur l’exil des nazis en Amérique du Sud

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Menace existentielle russe, la grande illusion

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