Décision révolutionnaire

Équipe Le Point Critique | 01 mai 2025

La Slovaquie suspend ses achats de vaccins COVID le temps d’expertiser leur contenu

La Slovaquie annonce l’ouverture d’une enquête sur la composition des injections ainsi que l’arrêt des achats et des livraisons de vaccins anti-COVID en attendant les résultats de l’expertise. Cette décision a été présentée le 22 avril par le Premier ministre slovaque, Robert Fico, dans une vidéo révolutionnaire postée sur son compte X.

Flacons de vaccins COVID posés sur des billets de banque
© JosefePhotography

L’une des premières décisions de Robert Fico a été l’ouverture en janvier 2024 d’une enquête sur la gestion de la pandémie en Slovaquie. Elle a donné lieu à une série de conclusions choquantes présentées publiquement par le député Peter Kotlár, médecin de formation. L’une d’elles est la confirmation, par une analyse scientifique réalisée par un chercheur tchèque, le Dr Soňa Peková, que les injections anti-COVID de Pfizer et Moderna contiennent des quantités hors norme d’ADN non réglementaire.

Le 13 mars dernier, le Dr Peter Kotlár a estimé, sur la base de ce rapport, que l’utilisation des vaccins ARNm devrait être interdite immédiatement, comme l’exigent de nombreux scientifiques aujourd’hui. Les conclusions du rapport ont été transmises au Premier ministre. Fait remarquable, l’analyse du Dr Soňa Peková a révélé que les injections contenaient pour certaines plus d’ADN que d’ARNm, ce qui contredit la justification des laboratoires selon laquelle il ne s’agirait que d’ADN résiduel.

The Slovak Report, conférence de presse du Dr Peter Kotlár, 13/03/2025

Robert Fico s’est donc contenté d’appliquer un principe élémentaire de prudence et d’utiliser les moyens institutionnels à sa disposition pour protéger sa population, en confiant à l’Académie slovaque des sciences – la principale institution scientifique du pays – la charge de répéter l’analyse réalisée par le chercheur tchèque.

Le message de Robert Fico

Robert Fico est le premier chef d’État européen à diligenter une enquête sur la contamination des injections anti-COVID. Il s’agit pourtant d’une fraude avérée, Pfizer ayant falsifié la carte plasmidique de son vaccin (sa carte d’identité génétique) pour dissimuler l’utilisation de SV40, prohibé en raison de son potentiel oncogène. En ce sens, l’intervention de Robert Fico peut être qualifiée de « révolutionnaire ».

Il est également le seul à s’être opposé au Règlement sanitaire international et au Traité de lutte contre les pandémies que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) cherche à imposer depuis trois ans. Ces textes lui permettront demain de déclarer une urgence pandémique non étayée par des données scientifiques et d’imposer aux populations des injections expérimentales, idéalement « inventées, testées, autorisées, fabriquées et distribuées » en 100 jours, autrement dit, de « créer un État policier médical totalitaire pour le monde entier », selon l’auteur de la loi américaine sur le bioterrorisme, Francis Boyle.

Le rapport d’expertise, préparé par un expert étranger agréé, indique que les échantillons de vaccins utilisés en Slovaquie pour la vaccination COVID-19 contenaient des niveaux extrêmement élevés d’ADN et de substances dont la présence n’a pas été divulguée par le fabricant dans la documentation pertinente. […]

Premièrement, outre le rapport d’expert susmentionné, seuls l’Académie slovaque des sciences (SAV) et ses instituts spécialisés peuvent procéder à une analyse quantitative supplémentaire de la présence d’ADN et d’autres substances dans des échantillons sélectionnés de vaccins utilisés dans la population slovaque contre le COVID-19. Demain, le gouvernement pourrait demander à l’institut SAV compétent d’effectuer cette analyse quantitative dès que possible.

Deuxièmement, le gouvernement devrait, par le biais d’une résolution, informer les citoyens slovaques des graves conclusions du rapport d’expert, qui a révélé des niveaux exceptionnellement élevés d’ADN et de substances non divulguées dans les échantillons de vaccins testés provenant d’un fabricant spécifique. Bien que les taux de vaccination contre le COVID-19 soient actuellement extrêmement faibles, les citoyens méritent un tel avertissement.

Troisièmement, le gouvernement doit aborder le fait que, selon un contrat signé en mai 2023 par le gouvernement dirigé par M. Odor du PS, la Slovaquie est obligée d’acheter 297 118 doses de vaccins COVID-19 en 2025 et 2026 et de payer 5 793 801 EUR pour ces vaccins. Il s’agit de vaccins du fabricant soumis au rapport d’expert avec des conclusions sérieuses.

Je pense que, jusqu’à ce que les résultats de l’analyse quantitative supplémentaire soient livrés, le gouvernement ne devrait pas se procurer d’autres vaccins auprès de ce fabricant ni les payer.

Robert Fico, 22 avril 2025. https://x.com/platinium230/status/1916076511238512917.

Les précédentes déclarations du Dr Kotlár

Robert Fico a donc décidé de suivre les conclusions du Dr Peter Kotlár, dont les interventions publiques se sont multipliées depuis l’ouverture de l’enquête sur la pandémie.

En octobre 2024, il annonçait avoir soumis son rapport au gouvernement et appelait à un arrêt immédiat de l’utilisation des injections à ARN messager « jusqu’à ce qu’elles aient démontré leur innocuité ». Il a réaffirmé à cette occasion que la pandémie était « un acte de bioterrorisme », en s’appuyant notamment sur les conclusions du Pr Francis Boyle, qui a déclaré sous serment en juin 2024 que les injections anti-COVID et le SARS-CoV-2 sont des armes biologiques.

Lors de ses interventions successives, le Dr Kotlár a évoqué l’ensemble des points qui inquiètent la communauté scientifique indépendante et qui sont désormais abondamment documentés : la biodistribution des nanoparticules, la persistance du vaccin dans l’organisme, la contamination par l’ARNm vaccinal du sang et des organes des personnes vaccinées ou encore le statut d’organisme génétiquement modifié que leur confère l’injection.

Il a soulevé notamment un point éthique crucial en octobre dernier : « Un patient non vacciné peut-être un receveur de sang d’une personne vaccinée. Cela signifie que dans ce cas, nous l’avons vacciné contre sa volonté. » Il avait alors questionné le rôle de l’Ukraine, comme relais pour la poursuite du financement, par le Pentagone, des laboratoires de recherche biologique, dont la nouvelle directrice du Renseignment américain a confirmé l’existence :

La conséquence la plus grave de toute cette opération fabriquée appelée « pandémie de COVID-19 », c’est une attaque contre la santé humaine et un test d’obéissance d’une population naïve à un niveau planétaire. Le virus a été créé artificiellement. La transmission à partir de Wuhan, très probablement, a été assurée en infectant des participants aux Jeux olympiques militaires de 2019 à Wuhan. Le rôle de l’Ukraine, comme relais pour la poursuite du financement des biolabs après ces Jeux mondiaux militaires 2019, pose légitimement question. Depuis l’invasion russe, la Fédération de Russie dispose à la fois de preuves de leur existence et de preuves de financement de leurs activités par les États-Unis. Le Pentagone a reconnu qu’il était impliqué en Ukraine et que le virus SRAS-CoV-2 et surtout ses composants sont des armes biologiques. Un jour les tribunaux devront le reconnaître. Reconnaître que c’est un acte de bioterrorisme est actuellement un sujet très sensible en ce moment en raison de la campagne en cours pour l’élection présidentielle américaine. La question de savoir s’il y aura ou non une autre pandémie n’est pas de savoir si, mais quand.

https://twitter.com/i/status/1915849470073307607

Le traitement de l’information par la presse

L’information a été relayée du bout des lèvres par la presse dite « mainstream ». À notre connaissance, seuls Euractiv, Boursorama et ZoneBourse ont annoncé la mise en suspens des achats de vaccins.

Euractiv évoque un détournement des objectifs de l’enquête slovaque par le Dr Kotlár pour « promouvoir des théories farfelues sur les vaccins à ARNm qui “provoquent la production de toxines par le corps humain” ». La chercheuse qui a analysé le contenu des injections est présentée comme une « théoricienne de la conspiration et biologiste moléculaire bien connue ». L’article résume ainsi la décision du Premier ministre slovaque comme une manœuvre politique, dénuée de « rigueur sciatique ».

Pourtant, le laboratoire du Dr Soňa Peková est le dixième au monde à confirmer la présence d’ADN frauduleux[1] dans les injections Pfizer et Moderna, à des niveaux de concentration atteignant pour certains près de 500 fois la limite réglementaire, ce résultat ayant été retrouvé par une équipe d’étudiants d’un campus de la FDA sous supervision de chercheurs de l’Agence[2] (voir notre article de février dernier).

Pfizer a fait interdire toute analyse des lots de vaccins. Après avoir nié la présence de SV40, le laboratoire et le régulateur européen ont été contraints de se rétracter, sans qu’aucun gouvernement ne les attaque pour fraude ou négligence, et sans que Pfizer confirme qu’il modifierait son processus de fabrication. Pourtant, le SV40 est la substance administrée aux souris pour leur inoculer le cancer lorsque des chercheurs souhaitent tester un traitement de chimiothérapie.

Les régulateurs américain, australien, canadien ou néo-zélandais se sont systématiquement soustraits aux injonctions de publier les éléments supposés prouver l’absence de contamination. L’une des dernières tentatives en date s’est traduite par la diffusion d’un document entièrement caviardé par le régulateur australien. Même réaction côté canadien, où l’agence de santé publique Health Canada, qui avait confirmé la fraude du laboratoire Pfizer « n’estime pas qu’une divulgation supplémentaire serait dans l’intérêt public pour des raisons de santé ou de sécurité publiques ». Elle détiendrait en fait 900 pages de documents qui traitent du SV40 dans le vaccin Pfizer.

La FDA a été condamnée en 2021 à publier l’intégralité du dossier d’évaluation des vaccins Pfizer et Moderna, qu’elle voulait garder sous séquestre pendant 75 ans. Elle a été à nouveau condamnée en décembre 2024 à livrer le dernier lot d’1 million de pages qu’elle voulait soustraire de l’obligation de publication. Ce lot concerne notamment l’évaluation de la qualité et la composition des injections.

Dans son message du 22 avril, Robert Fico explique qu’« il serait irresponsable d’ignorer ce que nous voyons noir sur blanc dans le rapport d’expertise ». La France n’a pas eu le même courage que la Slovaquie, bien que les mêmes quantités aberrantes d’ADN aient été retrouvées dans les injections. Qui des deux pays se déshonore aujourd’hui ? L’histoire tranchera.


Références

[1] McKernan K (Medicinal Genomics, US), Nitta T (Tokyo Univ, Japan), Buckhaults PJ (University of South Carolina, US), König B et Kirchner JO (MMD Indep Lab, Magdeburg, Germany), Speicher DJ (University of Guelph, Canada) et McKernan K (Medicinal Genomics, US), Speicher DJ (University of Guelph, Canada), Raoult D (IHU Marseille, France), Kämmerer U (Univ. Hospital of Würzburg, Germany), Wang TJ, Kim A et Kim K, (FDA scientists, Centreville High School, US, executed at FDA White Oak Campus). Résultats dans : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1gJj3GSrM-UJR9c6Lrcn1k8_buQkQznuUVSKuMR8_2lU/edit?gid=0#gid=0.

[2] Wang TJ, Kim A, Kim K. A rapid detection method of replication-competent plasmid DNA from COVID-19 mRNA vaccines for quality control. J High School Sc. 2024;8(4):427-39. https://jhss.scholasticahq.com/article/127890-a-rapid-detection-method-of-replication-competent-plasmid-dna-from-covid-19-mrna-vaccines-for-quality-control.

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