Décryptage
L’EMA a-t-elle organisé un essai de thérapie génique au prétexte du COVID (3/3) ?
Le ministre de la Santé de l’État de Floride a appelé publiquement, début janvier, à suspendre l'utilisation des vaccins ARNm anti-COVID. En cause, la présence de quantités massives d’ADN non réglementaire dans les injections, favorisant l'intégration de l’ARNm vaccinal dans le génome, et exposant les personnes vaccinées à un risque majeur d’effets secondaires, notamment de cancer. Une série d’éléments montrent que les agences de régulation avaient pleinement conscience de ce risque. Ont-elles simplement couvert une fraude ou ont-elles organisé avec les laboratoires un essai sauvage de thérapie génique à l'échelle planétaire ?
La découverte par le Dr McKernan de milliards de copies d’ADN plasmidique dans les vaccins Pfizer et Moderna remonte au mois de février 2023, soit deux mois avant la divulgation d’une seconde fraude : l’utilisation de plusieurs séquences d’un virus oncogène (SV40) dans le processus de fabrication du vaccin Pfizer lui conférant un potentiel cancérigène majeur (partie 1 de ce dossier).
Les implications réglementaires de ces révélations ont été débattues lors de la conférence de presse [13’ 24’’] organisée fin novembre 2023 par un groupe de scientifiques et de parlementaires européens qui exigent le retrait du marché de ces injections. La même requête a été formulée publiquement le 18 janvier par le ministre de la Santé de Floride, le Dr Lapado, et quelques jours plus tard par le Dr McKernan, qui alerte notamment sur les quantités massives de plasmides d’ADN contenus dans les injections (des milliards de copies selon les scientifiques) :
La séquence présente dans ces doses, à raison de milliards de copies par dose, interagit avec le gène P53. Il s’agit d’un gène suppresseur de tumeurs, donc tout ce qui interagit en tant que contaminant dans le gène est un signal d’alarme. […] Nous avons des milliards de copies de quelque chose qui interagit avec notre système suppresseur de tumeurs. C’est un risque de cancer. […] Cela doit être un arrêt définitif.
https://twitter.com/i/status/1749889375549178186
Cette contamination, et notamment les quantités exponentielles d’ADN découvertes dans les vaccins Pfizer et Moderna ont été confirmées par plusieurs équipes de scientifiques réparties sur trois continents (États-Unis, Allemagne, Canada, Japon, Australie, France) (partie 1), dont celle du Pr Raoult, qui s’est ému publiquement, le 12 janvier dernier, des risques que posent ces contaminants en termes de santé publique (France Soir). Il exige aujourd’hui à son tour un moratoire sur la vaccination COVID.
La réponse des agences et des laboratoires à cette alerte de santé publique
Le Dr McKernan a présenté ses découvertes le 15 juin dernier [1] à la Food and Drug Administration (FDA) qui n’estime pas nécessaire de réaliser ou d’imposer de nouveaux tests aux laboratoires : les injections n’étant pas définies comme des produits de thérapie génique, elles ne peuvent ni interférer avec l’ADN des personnes vaccinées ni a fortiori les exposer à un risque de cancer.
Le Dr Lapado a également interpellé l’Agence le 6 décembre dernier. Il s’est heurté au même mur de la part du directeur du Centre pour l’évaluation et la recherche biologiques de la FDA, le Dr Peter Marks, selon lequel l’intégration de l’ADN « est tout à fait invraisemblable », les études animales ou précliniques n’ayant montré « aucune preuve de génotoxicité ».
C’est en substance la même ligne de défense qui est aujourd’hui adoptée par l’Agence européenne des médicaments (EMA), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et le laboratoire Pfizer :
- les injections contiennent bien de l’ADN, mais les quantités retrouvées seraient inférieures aux seuils réglementaires. Aucun événement indésirable suggérant qu’il puisse interférer avec le génome des vaccinés et induire l’apparition d’un cancer n’aurait été observé par l’EMA et par le laboratoire Pfizer ;
- l’utilisation de SV40, réfutée dans un premier temps par le laboratoire Pfizer (Politifact) et toujours démentie par les CDC, serait en réalité d’une pratique courante. Selon Pfizer, de nombreux vaccins, notamment contre la grippe et l’hépatite A en contiendraient, sans que ce matériel génétique n’ait jamais posé de problèmes de sécurité (FactCheck.org).
Ce que dit la littérature concernant les risques d’intégration de ces contaminants dans le génome
Ce risque d’intégration a toujours été écarté par les agences (HAS [2], EMA, Agence australienne [3]) et les médecins qui ont assuré que les vaccins étaient sûrs et efficaces.
En raison de l’expression transitoire du modRNA, aucune expression persistante n’est attendue.
Rapport d’évaluation de l’EMA, p. 51
Le risque d’intégration dans le génome n’a jamais été écarté avant la vaccination
La garantie que cet ARN modifié ne puisse pas s’intégrer dans le génome humain et en devenir « un élément permanent [4] » est formulée noir sur blanc par le laboratoire BioNTech dans le rapport australien de préautorisation du vaccin Pfizer/Comirnaty [5] (p. 101), où il est présenté comme similaire à de l’ARN naturel :
L’ARN est présent naturellement dans l’organisme, est métabolisé et éliminé par les mécanismes naturels de l’organisme, ne s’intègre pas dans le génome, est exprimé de manière transitoire et est donc considéré comme sûr.
Rapport d’évaluation australien, p. 101
Or non seulement ce risque n’a été évalué dans aucune étude, comme l’a expliqué en juillet 2021 le généticien Tomislav Domazet-Lošo [6], mais les « garanties » que l’ARN vaccinal ne puisse pas s’intégrer dans le génome reposent exclusivement sur deux documents [7] : le premier (le Rapport de consensus) [8] est cosigné par Ralph Baric, officiellement suspecté d’être l’un des « pères » du COVID [9],[10],[11] (une plainte est en cours d’instruction à l’encontre de son laboratoire) et le second (Pardi et al.) [12], par Drew Weissman, colauréat du prix Nobel de médecine.
Le rapport de consensus de début 2020 […] qui s’est concentré sur la réduction des préoccupations de sécurité des vaccins COVID-19 en cours de conception n’a présenté aucune preuve d’étude sur la génotoxicité. […]
Acevedo-Whitehouse K, Bruno R. Potential health risks of mRNA-based vaccine therapy: A hypothesis. Med Hypotheses. 2023 Feb;171:111015. DOI: https://doi.org/10.1016/j.mehy.2023.111015.
Un examen approfondi de la littérature évaluée par des pairs sur la sécurité des vaccins à ARNm synthétique montre que tous les articles mentionnent des niveaux élevés de sécurité sans fournir aucune citation, ou qu’ils fournissent une citation pour une étude de synthèse récente (Pardi et al.), qui indique que l’ARNm exogène est une plateforme non intégratrice et qu’il n’y a « aucun risque potentiel de [..] ou de mutagenèse insertionnelle », sans fournir aucune preuve scientifique pour étayer cette affirmation. En fait, aucune des 38 études citées dans cet article d’examen […] n’avait étudié la génotoxicité ou l’oncogenèse potentielle.
A contrario, Tomislav Domazet-Lošo recensait en juillet 2021, sur la base de la documentation officielle concernant les vaccins anti-COVID (qui ne tient pas compte de la présence de contaminants ADN) et de plus de quarante études, 13 facteurs associés aux vaccins à ARNm qui augmentent la possibilité de leur intégration dans le génome (tableau 1 de l’étude, p. 7). Est-ce suffisant pour ouvrir un débat ?
La capacité d’intégration de cet ARN est confirmée depuis 2021
L’EMA reconnaît aujourd’hui que cette intégration est théoriquement possible (elle a été observée en juillet dernier chez des souris où une seule injection d’ARNm a permis d’induire une modification génétique [13]), mais qu’elle nécessiterait deux conditions que les vaccins ARNm ne rempliraient pas :
- cette intégration nécessiterait que l’ARN soit préalablement rétrotranscrit en ADN : le généticien Tomislav Domazet-Lošo a recensé une série d’études [14] (la plus ancienne a été publiée il y a quinze ans) [15], qui démontrent que cette intégration est non seulement possible sans rétrotranscription (notamment si cet ARN est localisé dans le sperme [16],[17],[18]), mais qu’elle se produit fréquemment chez les mammifères, dont l’homme [19]. On sait également depuis mai 2021 que les injections anti-COVID [20],[21],[22],[23],[24] ne font pas exception à la règle et que le vaccin Pfizer est excrété dans les testicules selon des documents déclassifiés, comme le suggèrent des autopsies allemandes dans lequel le sperme était intégralement remplacé par de la protéine Spike ;
- cette retranscription nécessiterait impérativement une enzyme dont l’EMA prétend qu’elle n’existe pas chez l’homme. Or l’étude à laquelle fait référence l’EMA [25] (probablement pour justifier qu’elle n’a pas tenu compte des inquiétudes de la communauté scientifique) précise que cette enzyme (la polymérase thêta) existe également chez l’homme, mais surtout, l’un des problèmes majeurs soulevés par la contamination ADN des vaccins Pfizer et Moderna est que la forme de cet ADN rend fortuite l’opération de transcription inverse de l’ADN.
L’EMA et la FDA ont conscience des problèmes de sécurité que pose cette contamination
Sur quelles données scientifiques repose la garantie que le matériel génétique contenu dans les injections ne peut pas s’intégrer dans le génome et exposer les personnes vaccinées à un risque d’effet secondaire, notamment de cancer ?
La FDA alerte depuis 2009 sur la cancérogénicité de ces contaminants
L’Agence a détaillé les risques associés à l’ADN résiduel provenant de substrats de cellules cancéreuses dans un article publié en 2009. Dans ses recommandations de février 2010 [26], elle alerte les industriels sur le potentiel infectieux et oncogène de l’ADN résiduel en cas de mutagenèse insertionnelle ou d’intégration d’oncogènes présents dans cet ADN (p. 37), et sur les « préoccupations théoriques » soulevées par l’utilisation de virus oncogène (p. 33) suspectée d’induire des tumeurs chez les vaccinés. L’utilisation de SV40 est mentionnée à deux reprises dans ce document (p. 11 et p. 28).
Elle précise que des tests d’oncogénicité sont recommandés « si la présence d’un virus oncogène est suspectée », mais également pour certains vaccins contenant de grandes quantités d’ADN résiduel afin de « garantir leur sécurité dans le cadre d’un usage clinique » (p. 35). Ces tests n’ont jamais été réalisés ni par la FDA ni par l’EMA.
Le démenti de l’EMA prouve qu’elle sait que les injections peuvent perturber le génome
L’EMA a visiblement conscience du problème réglementaire que pose la contamination des vaccins et de ses conséquences sur la confiance de la population dans les vaccins. Sa page d’information destinée au grand public a été mise à jour en juin et en décembre 2023 pour tenter d’éteindre l’incendie provoqué par ces révélations et par la conférence de presse donnée par les parlementaires européens fin novembre, qui dénoncent la présence d’OGM dans les vaccins ARNm [27].
Dans la mise à jour de juin 2023, elle explique pourquoi les vaccins anti-COVID ne peuvent pas interférer avec l’ADN des personnes vaccinées. Dans celle de décembre [28], elle précise qu’ils ne sont ni des thérapies géniques ni des OGM (ce terme n’était pas mentionné jusqu’à cette date), mais des « médicaments biotechnologiques ». Or les deux domaines d’application de la biotechnologie cités par l’Anses sont précisément les OGM et la thérapie génique.
Pour autant, l’EMA soutient qu’aucun effet secondaire lié à des mutations génétiques, comme le cancer, n’aurait été observé après la vaccination. Or sa réponse, au-delà d’être remise en question par la littérature est les données d’incidence (voir infra), est profondément malhonnête puisque le « délai attendu » pour l’apparition d’éventuels cancers n’est pas compatible avec cette réponse et que l’EMA ne reconnaît pas l’existence des turbocancers qui, eux, sont compatibles avec un tel délai.
Enfin, elle ne fait aucune mention des effets indésirables graves associés à la présence d’ADN étranger dans la littérature, et détaillés par une consultante en biotechnologies, Christie Laura Grace, dans une série de publications. Ils incluent notamment, selon elle :
- les thromboses et les AVC [29] ;
- les dissections ou les anévrismes de l’aorte ;
- les douleurs nerveuses ou neuropathiques ;
- des maladies auto-immunes (y compris chez le bébé exposé pendant la grossesse) ;
- des maladies neurodégénératives liées à un mauvais repliement des protéines [30],[31] ou un stress cellulaire ;
- les myocardites [32] et les péricardites, qui sont aujourd’hui reconnues comme un effet secondaire du vaccin, et dont deux études viennent confirmer qu’elles ne sont ni rares [33] ni légères [34] (la seconde est une revue systématique fondée sur les études d’autopsie de personnes vaccinées).
L’EMA a approuvé la vaccination des femmes enceintes malgré un taux anormalement élevé de malformations génétiques
Contrairement à la FDA, l’EMA n’évoque à aucun moment les conséquences potentielles des injections sur la reproduction, malgré un taux disproportionné de malformations fœtales ou d’anomalies chromosomiques recensées chez les bébés de mère vaccinée en pharmacovigilance (10 cas vs 0 en récences vingt-six ans après un vaccin contre la grippe dans une étude parue au printemps 2023), mais également lors des essais cliniques conduits par le laboratoire Pfizer (trisomie 21, par exemple).
Elle ne fait notamment aucune mention d’une anomalie chromosomique rare, le syndrome de délétion 1p36, répertoriée par Pfizer dès mars 2021 comme un possible effet secondaire (AESI) des injections [35] (le document en recense 1 291), et confirmée lors de son essai sur les femmes enceintes (syndrome de Di George) où il n’a été observé que dans le groupe des mères vaccinées.
En revanche, elle a validé le 28 février 2022 la recommandation de vacciner les femmes enceintes et allaitantes contre l’avis du laboratoire Pfizer, qui a rappelé en août dernier qu’aucune donnée clinique ne permet de garantir leur sécurité.
La lanceuse d’alerte Christie Laura Grace a pourtant répertorié plus de 100 études démontrant que les nanoparticules peuvent traverser la barrière placentaire [36],[37] et exposer le fœtus à des risques épigénétiques [38]. Elle précise notamment que l’ADN plasmidique retrouvé dans les vaccins contient un élément qui peut perturber la croissance et le développement du fœtus en cas d’exposition pendant la grossesse, ce qui correspond à des événements indésirables observés lors des essais cliniques et dans une étude publiée en juillet 2023 [39].
Enfin, l’EMA oublie également de mentionner que les risques pour la santé des enfants liés à la présence d’ADN exogène sont en cours d’exploration dans le cadre d’un essai clinique réalisé en France (NNCT05916274). L’étude a débuté le 31 mai 2023 et ne s’achèvera qu’en 2026.
Les agences ont-elles été dupées ou ont-elles couvert une fraude ?
La formule vaccinale utilisée lors des essais ne contenait ni ADN ni SV40. Leur impact sur la santé n’a donc jamais été évalué, mais le recours à une matrice d’ADN pour produire l’ARNm utilisé dans la version commerciale, qui explique officiellement la présence de ces contaminants, était prévu dès le protocole [40]. Le dossier d’AMM du vaccin Pfizer précise [41] que le laboratoire a fourni à l’EMA une description et une justification précises (en substance, produire plus de doses plus rapidement) des modifications apportées au processus de fabrication expérimental.
La documentation transmise par Pfizer aux régulateurs (p. 24) montre pourtant que le laboratoire a dissimulé aux régulateurs l’utilisation de SV40, dont l’EMA a confirmé qu’il entrait bien dans la composition des vaccins (FactCheck.org), en falsifiant la carte plasmidique supposée représenter la composition de l’ARNm vaccinal présent dans les lots commercialisés.
Tout se passe comme si les vaccins ARNm avaient été conçus pour modifier le génome
Quand l’EMA a-t-elle su que cet ingrédient controversé était présent dans les vaccins et pourquoi Pfizer ne l’a-t-il pas déclaré si son utilisation relève uniquement d’un impératif industriel ?
La divulgation de cette fraude a attiré l’attention sur une série d’études qui montrent que l’inclusion de certaines séquences de SV40 (en l’occurrence, celles retrouvées dans les injections) dans des nanoparticules lipidiques contenant des plasmides d’ADN correspond au cocktail optimal utilisé en thérapie génique pour hacker le noyau cellulaire [42],[43],[44], ce que le vaccin n’est supposé faire sous aucun prétexte.
Selon le Dr McKernan, cette dissimulation « prouve que les injections sont des produits de thérapie génique déguisés » et qu’il y a clairement une « intention de tromper » les régulateurs de la part de Pfizer, le laboratoire n’ayant jamais publié les données cliniques de comparaison entre les deux processus [45] visant à démontrer l’innocuité de la formule commerciale, voire qu’il n’a jamais réalisé l’essai clinique prévu dans le protocole (partie 1).
Un nouvel élément accrédite cette hypothèse : la découverte récente d’un brevet déposé en août 2022 par BioNTech (US20230183769A1) concernant une méthode de production d’ARN à grande échelle, mais dont la contrepartie citée par le laboratoire est qu’elle augmente la quantité d’ADN résiduel. Or le PDG de BioNTech, Ugur Sahin, ne peut pas ignorer les risques que soulève cette méthode puisqu’il a cosigné en 2014, avec la seconde colauréate du prix Nobel de médecine 2023, Katalin Karikó, une étude [46] dans laquelle ils expliquent que l’ADN plasmidique, contrairement à l’ARNm, s’intègre dans le génome et expose à un risque de mutagenèse insertionnelle, c’est-à-dire de cancers :
En outre, les traitements à base d’ARNm transcrit in vitro (IVT), contrairement à l’ADN plasmidique et aux vecteurs viraux, ne s’intègrent pas dans le génome et ne présentent donc pas le risque de mutagenèse insertionnelle.
Sahin U, Karikó K, Türeci Ö. mRNA-based therapeutics–developing a new class of drugs. Nat Rev Drug Discov. 2014 Oct;13(10):759-80. DOI: https://doi.org/10.1038/nrd4278.
Les agences ont donné un blanc-seing aux laboratoires au prétexte de l’urgence
Pour autant, les régulateurs ont-ils agi de bonne foi au regard du contexte et sur la base des éléments dont ils disposaient en homologuant les injections ?
L’un des documents du rapport d’évaluation du vaccin Pfizer, déclassifié en août 2023, révèle au contraire que la FDA a dispensé le laboratoire Pfizer de signaler tout écart par rapport aux bonnes pratiques de fabrication susceptible d’« affecter la sécurité, la pureté ou la puissance » du vaccin, comme l’exige sa propre réglementation. Ses Recommandations à l’industrie (p. 37) suggèrent pourtant qu’un taux excessif d’ADN résiduel peut compromettre l’homologation d’un vaccin.
Elle vient de donner une nouvelle fois la preuve qu’elle n’a pas joué son rôle puisqu’elle refuse, au nom de la loi sur les secrets commerciaux, de divulguer les milliers de pages (16 000 environ) concernant l’évaluation de la qualité du vaccin Pfizer. Ce module (le module 3) inclut notamment la fabrication, la composition des lots, la description des procédés de fabrication, les contrôles des processus et des étapes critiques et intermédiaires, etc. (DailyClout).
De son côté, l’EMA n’a jamais répondu à ces deux questions, posées par l’eurodéputée Michèle Rivasi en janvier 2023 :
- pourquoi le taux d’ARNm intact exigé pour le vaccin Pfizer a-t-il été abaissé de 70 % à 50 % juste avant l’octroi de son AMM, le 20 novembre 2020 ? Sans cette modification des exigences de qualité, le vaccin n’aurait jamais pu être homologué ;
- pourquoi le laboratoire Pfizer a-t-il interdit aux États acheteurs de procéder à des analyses indépendantes du contenu des injections.
L’EMA refuse d’appliquer les règles de sécurité qu’elle impose pour les vaccins vétérinaires
L’EMA a publié le 26 janvier 2024 une directive sur les vaccins à ADN plasmidique à usage vétérinaire [47], qui confirme l’irresponsabilité de l’Agence et la contradiction de ses réponses avec sa propre réglementation, notamment sur les OGM (partie 1).
- L’EMA estime que le risque que cet ADN plasmidique s’intègre dans les chromosomes (par exemple dans les cellules musculaires entourant le point d’injection ou les gonades) et perturbe la réplication cellulaire, « provoquant une division cellulaire incontrôlée et une oncogenèse » ne peut pas être écarté (p. 4). Sur ce principe, l’homologation de ce type de vaccin est conditionnée à une recherche de la présence d’ADN plasmidique aux endroits critiques pour son intégration, et en cas de détection de cet ADN, à la recherche d’« une éventuelle intégration de l’ADN plasmidique dans le génome de l’hôte », par des méthodes suffisamment sensibles.
- La directive considère que l’utilisation d’oncogènes (p. 6) comme la présence de gènes de résistance aux antibiotiques (p. 5), utilisés par Pfizer dans le processus de fabrication 2, « doit être évitée dans la mesure du possible » ; dans le cas contraire, il est nécessaire de s’assurer que ce gène n’est ni « fonctionnel chez les animaux vaccinés » ni « transférable à d’autres organismes ». Or non seulement ces tests ne sont évoqués à aucun endroit dans la documentation Pfizer, mais celle-ci ne mentionne qu’un seul antibiotique (la kanamycine), alors qu’un gène de résistance à un second antibiotique (la néomycine) a été également retrouvé.
Le document mentionne trois risques principaux :
- le risque d’oncogenèse, concrétisé par l’apparition de tumeurs, avec un suivi rigoureux de leur incidence y compris après l’AMM (p. 10). Sur quelles bases l’EMA a-t-elle considéré que « les composants de la formulation du vaccin [des lipides et de l’ARN] ne devraient pas avoir de potentiel génotoxique », et pourquoi l’AMM ne mentionne-t-elle pas l’ADN résiduel dans la liste des composants ? (p. 55) ;
- la toxicité pour la reproduction, notamment pour la « performance reproductive », et le transfert potentiel de l’ADN dans les cellules reproductrices mâles ou femelles (p. 10). La directive précise que la contamination possible de la descendance des animaux vaccinés implique potentiellement une révision de la législation sur les OGM (p. 4) ;
- l’impact sur le système immunitaire (p. 11).
Une série de tests et d’études de sécurité sont répertoriés à ce titre par la directive : test d’oncogénicité, tests quantitatifs et de pureté à réaliser sur chaque lot, test d’endotoxine, études de biodistribution afin notamment de localiser l’ADN et vérifier qu’il ne s’intègre pas…
L’urgence pandémique, au titre de laquelle on suppose que ces études n’ont jamais été réalisées, justifie-t-elle que l’EMA ait pris moins de précautions pour la santé humaine que pour la santé animale ?
Les nouveaux vaccins anti-COVID Pfizer et Moderna ont en effet bénéficié d’un rattachement à l’AMM des premières versions (partie 2), ce qui dispense les laboratoires de réaliser de nouveaux essais cliniques et de conduire les études requises pour les produits OGM (partie 1). L’EMA estime-t-elle que celles qui sont aujourd’hui imposées aux vaccins à ADN plasmidique doivent bénéficier de la même exception ?
L’ensemble du process de fabrication des vaccins pourrait être frauduleux et/ou défectueux
Le Dr Maria Gutschi, pharmacologue, a détaillé les implications sanitaires et réglementaires des nouvelles connaissances acquises sur les vaccins Pfizer et Moderna dans un article de synthèse et dans un live vidéo (CSI no 128). Dans un article publié en octobre 2023, elle explique pourquoi la contamination des vaccins Pfizer ne relève pas d’une simple négligence, liée à des contraintes de production, mais d’une fraude ou d’une « adultération », et donc d’une authentique « intention de tromper » :
- outre la présence de SV40, le vaccin Pfizer contiendrait également un « gène caché ». Il est impossible de dire en l’état, selon le Dr Gutschi, quelle protéine il exprimera ni si celle-ci sera effectivement exprimée, mais les scientifiques de Pfizer ont tacitement admis son existence dans une étude de 2023 [48] ;
- se sont en réalité plusieurs autres gènes qui auraient été identifiés par une équipe de chercheurs en 2022, dont deux sont tout particulièrement suspectés de pouvoir, selon eux, « conduire à la traduction de protéines non désirées pendant la vaccination [49] ».
Le Dr Gutschi précise lors de son intervention au Conseil scientifique indépendant (CSI) (1 h 03′) que Pfizer continue d’utiliser des séquences de SV40, et ce en dépit d’un effondrement de la demande, ce qui invalide l’hypothèse selon laquelle l’utilisation de ce matériel génétique serait motivée par un impératif industriel et/ou des objectifs de rentabilité.
La défaillance de la technologie ARNm a été récemment établie par une équipe de chercheurs anglais
Une étude publiée en décembre 2023 dans la revue Nature par une équipe de 20 chercheurs issus de quatre universités britanniques (Cambridge, Oxford, Liverpool, Kent) [50] et relayée par au moins trois médias grand public (The Telegraph, Frankfurter Allgemeine, Berliner Zeitung) fait à écho à ces découvertes. Elle révèle que dans un tiers des cas, l’ARNm vaccinal produit une protéine « absurde » ou inconnue, autre que la protéine Spike pour laquelle il est programmé, avec pour conséquence, la production d’une « réponse immunitaire “non intentionnelle” dans le corps humain ». La généticienne A. Henrion-Caude explique dans un tweet le mécanisme mis à jour dans cette étude (frameshifting, ou changement de cadre) et résume sa conclusion :
On n’est plus sur le produit qu’on devait produire. Autrement dit, ces ARNm, comme je le demande depuis le début, doivent être arrêtés, que ce soit chez l’homme ou dans le monde animal. Il faut arrêter de dire qu’on maîtrise cette technologie. On a la preuve, par cet article, qu’on ne la maîtrise pas du tout.
Alexandra Henrion-Caude
Deux des coauteurs de l’étude, James Thaventhiran et Anne Willis (également titulaire d’un brevet pour un produit utilisant la technologie ARNm, selon la journaliste Sonia Elijah), ont expliqué début janvier que leurs découvertes ne remettaient pas en cause la sécurité de la technologie ARNm et que ces erreurs de traduction seraient facilement résolues avec la prochaine génération de vaccins COVID-19. Ils estiment toutefois que si ce problème ne l’est pas, il posera un problème de sécurité majeur :
Pour les futurs vaccins ARNm, cette immunité mal dirigée présente toutefois un risque très important de sécurité, raison pour laquelle ces réponses immunitaires hors cible doivent être évitées. […]
Loury R. Les vaccins ARN sont-ils « lost in translation » ? Medscape. 2024 Jan 8.
Notre étude soulève un motif d’inquiétude quant à ce nouveau type de vaccin, mais apporte aussi sa solution […]. Ces résultats peuvent rapidement être mis en œuvre pour prévenir tout risque de sécurité, et donc s’assurer que les futurs vaccins seront aussi sûrs et efficaces que ceux contre le COVID-19.
Cette défaillance serait potentiellement causée par les contaminants ADN
La présence d’ADN polluant pourrait expliquer ces erreurs de traduction selon une étude publiée en 2012 [51], qui démontre que la pénétration de l’ADN plasmidique dans les cellules conduit à une « transcription parasite », générant des quantités significatives de « fragments d’ARN qui ne sont pas naturellement destinés à être transcrits », susceptibles d’entraîner de multiples conséquences délétères pour la santé humaine :
L’ADN dans nos cellules est un manuel d’instructions. L’ADN plasmidique délivre de fausses instructions (mimant les vraies) qui, si elles étaient lues par notre machinerie cellulaire, pourraient activer les gènes que nous ne voulons pas. Cela pourrait amener la cellule à fabriquer des protéines qui n’étaient pas censées être fabriquées, provoquer un mauvais comportement de la cellule ou ne pas fonctionner correctement. […] Des perturbations persistantes des processus cellulaires normaux et du matériel génétique pourraient, en théorie, contribuer à des maladies telles que le cancer au fil du temps.
CL Grace
On ignore combien de personnes vaccinées sont ou seront impactées par ces erreurs de traduction, mais l’une des craintes du mathématicien Jean-Claude Perez, ancien collaborateur du Pr Luc Montagnié, est qu’elles puissent favoriser la formation de protéines de type « prions », impliquées dans la maladie de Creutzfeldt-Jakob. L’étude de Nature assure au contraire qu’aucun effet secondaire n’a été observé parmi les patients de l’étude, mais celle-ci n’a inclus que 21 participants.
Cet optimisme contraste radicalement avec les conclusions de trois études, publiées à une journée d’intervalle :
- la première [52] évalue « les stratégies visant à réduire les risques liés à la toxicité des médicaments à base d’ARNm », notamment des vaccins. Les auteurs évoquent « une toxicité inacceptable », inhérente à la composition des nanoparticules, aux méthodes de production, à la voie d’administration et aux protéines produites, c’est-à-dire à quatre caractéristiques des vaccins ARNm qui selon les auteurs « présentent toutes des problèmes de toxicité ». Précisons que cette étude est cosignée par un employé de Moderna…
- la seconde [53] réanalyse les résultats de l’essai clinique Pfizer à la lumière des nouvelles données de la littérature et apelle à un arrêt immédiat de l’utilisation des vaccins ARNm. Les auteurs pointent en particulier les problèmes de sécurité soulevés par la présence d’ADN résiduel, mais également la production de ces protéines aberrantes, dont personne ne connaît les propriétés et donc l’impact sur la santé :
Une nouvelle analyse des données de l’étude Pfizer a permis d’identifier des augmentations statistiquement significatives des événements indésirables graves (EIG) dans le groupe vaccin. De nombreux EIG ont été identifiés à la suite de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), y compris la mort, le cancer, les événements cardiaques et divers troubles auto-immuns, hématologiques, reproductifs et neurologiques. […] Compte tenu de la proportion de sinistres, très documentée […], nous exhortons les gouvernements à approuver un moratoire mondial sur les produits d’ARNm modifiés jusqu’à ce que toutes les questions pertinentes relatives à la causalité, à l’ADN résiduel et à la production de protéines aberrantes soient résolues.
Mead MN, Seneff S, Wolfinger R, et al. COVID-19 mRNA Vaccines: Lessons learned from the registrational trials and global vaccination campaign. Cureus. 2024 Jan 24;16(1):e52876. DOI: https://doi.org/10.7759/cureus.52876.
Les auteurs précisent, de manière inquiétante :
Si l’essai Pfizer de six mois s’était poursuivi, la différence de risque atteindrait une signification statistique à 34 mois, avec un risque de mortalité 31 % plus élevé dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo.
Mead MN, Seneff S, Wolfinger R, et al. COVID-19 mRNA Vaccines: Lessons learned from the registrational trials and global vaccination campaign. Cureus. 2024 Jan 24;16(1):e52876. DOI: https://doi.org/10.7759/cureus.52876.
Un prix Nobel pour convaincre les antivax… mais de quoi ?
Comble de l’ironie, c’est précisément la stratégie de modification de l’ARNm couronnée par le prix Nobel de médecine 2023 dont l’objectif a été récemment dévoilé – « Inciter les personnes hésitantes à prendre le vaccin et à être sûres qu’il est très efficace et qu’il est sûr » – qui serait à l’origine de cette défaillance majeure.
Les liens d’intérêts qui unissent le laboratoire Moderna à l’institut qui assure la gestion du Nobel (Karolina Institute) remettent-ils pour autant en cause l’intégrité des lauréats de ce prix ? Le florilège de contre-vérités prononcées lors de la remise de ce trophée concernant l’impossibilité que l’ARNm ne s’intègre au noyau cellulaire ou encore l’absence de séquelles consécutives à une myocardite vaccinale (pourtant en cours d’évaluation dans le cadre d’une série de six essais et d’une enquête des CDC), laisse pour le moins perplexe sur l’honnêteté de leur démarche.
Le cynisme des récentes déclarations de la colauréate, Katalin Karikó, au lendemain de la publication d’une étude confirmant l’impact des injections sur le cycle menstruel, et donc potentiellement sur la fertilité, assombrissent un peu plus ce tableau, puisqu’elle affirme aujourd’hui que cet effet secondaire est connu depuis plus d’un siècle, en oubliant de préciser ce que l’auteur de cette étude concluait à l’époque :
Les perturbations menstruelles m’ont suffisamment impressionné pour me rendre prudent quant à la vaccination des femmes enceintes.
Botton J, Bertrand M, Jabaji MJ, et al. Risque de saignements menstruels abondants ayant nécessité une prise en charge à l’hôpital au décours de la vaccination contre le COVID-19 : étude cas-témoins à partir du système national des données de santé (SNDS). EPI-PHARE. 2024 Jan 24. https://www.epi-phare.fr/actualites/communique-de-presse-24-01-2024/
S’agit-il simplement d’un malencontreux accident industriel d’ampleur biblique ?
La journaliste Sonia Elijah a démontré il y a plusieurs mois que les résultats des tests de conformité (Western Blots) supposés garantir que la protéine exprimée par l’ARNm du vaccin Pfizer est la même d’un lot à l’autre avaient été falsifiés par le laboratoire. L’étude publiée récemment dans la revue Nature relance donc la question soulevée par ce scandale : Pfizer a-t-il transmis aux régulateurs de faux tests de détection et de quantification de la protéine Spike parce qu’il n’a jamais réalisé de tels tests ou parce qu’il savait pertinemment qu’il est incapable de garantir ce que fait réellement son vaccin ? Autrement dit, qu’il a créé un avion sans pilote dans lequel il a invité des milliards de citoyens à monter en leur assurant que tout était sous contrôle.
La divulgation de cette fraude n’ayant entraîné aucune réaction de la part de l’EMA, doit-on en conclure qu’elle a homologué l’injection en connaissance de cause ?
Les données de santé suisses montrent un doublement des cas de cancer en 2022
Les agences et les laboratoires continuent d’affirmer que les injections ne peuvent pas induire l’apparition de tumeurs ou favoriser leur progression. En France, la communauté médicale et les sociétés savantes qui ont soutenu la vaccination s’insurgent contre cette hypothèse qu’ils qualifient de fakenews dénuée de tout fondement (il n’y aurait ni hausse du nombre de cas ni a fortiori de lien avec les vaccins). Celle-ci est pourtant soutenue par les plus éminents scientifiques (le Dr Alexandra Henrion-Caude, considérée comme l’une des plus grandes spécialistes de l’ARN messager, le Pr Mustafa Ali Mohd, ancien expert-conseil à l’OMS, le Pr Angus Dalgleish [54], l’un des oncologues britanniques les plus incontestés, le Pr Schmuel Shapira, ex-responsable du développement du vaccin COVID israélien) et plus récemment par le Dr Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, qui propose une explication à l’explosion de cancers foudroyants (turbocancers) observée depuis le déploiement des injections, notamment chez les jeunes.
Si prétendre le contraire a toujours relevé de l’incantation, le niveau de preuves accumulées par la communauté scientifique permet désormais de supposer, au-delà du doute raisonnable, que ce risque ne peut pas être écarté par principe. On dispose aujourd’hui de plusieurs sources de données d’incidence en provenance notamment de la Société américaine du cancer, qui prédit un record absolu de cas en 2024 [55], du VAERS (medalert.org), du NCHS (l’une des agences des CDC, dont les données sont analysées depuis des mois [56] par un ancien officier du renseignement), de la base médicale du Pentagone, ou des rapports de vente de médicaments contre le cancer, mais les dernières données de santé publiées par la Suisse sont probablement les plus remarquables.
Le Pr Konstantin Beck, économiste de la santé à l’université de Lucerne, a analysé les données de la Caisse d’assurance maladie d’Helsana et les chiffres de l’Office fédéral suisse de la statistique (BfS), qui révèlent une explosion du nombre de personnes ayant reçu un traitement anticancéreux depuis le déploiement des injections (95 % en 2021, versus 9 % en 2020). Cette tendance s’est encore aggravée en 2022, où ce taux atteint 106 %. La vaccination pourrait-elle en être la cause ? Selon le Pr Beck :
La tendance temporelle plaide en faveur de la vaccination comme déclencheur des cas de cancer, car l’augmentation commence l’année de la vaccination.
Pr Konstantin Beck
Une revue de la littérature soutient aujourd’hui que les injections ARNm répétées favoriseraient les cancers
Une étude [57] publiée le 17 décembre 2023 dans la revue Cureus formalise pour la première fois l’hypothèse. Cette exceptionnelle revue de la littérature basée sur 255 études, va plus loin : elle soutient l’hypothèse que les injections répétées favoriseraient l’apparition de cancers primitifs ou la prolifération de tumeurs chez les patients atteints d’un cancer.
De manière inquiétante, c’est bien l’ARNm synthétique et non l’ARN viral qui est pointé du doigt par les auteurs, notamment la transcription inverse et l’intégration génomique potentielles de l’ARN vaccinal, présenté comme « une source d’instabilité génomique ». Enfin, l’étude revient sur deux sophismes auxquels les autorités sanitaires continuent de s’accrocher alors qu’ils ont été invalidés il y a plus de deux ans :
- la durée de persistance de la protéine Spike dans l’organisme, dont on sait aujourd’hui qu’elle est supérieure à six mois, et ce potentiellement chez une personne vaccinée sur deux [58] (en réalité, on ne sait pas quand ni si le corps arrête de produire cette protéine fondamentalement toxique [59],[60],[61]) ;
- sa diffusion dans l’ensemble des organes et des tissus (cœur, cerveau, foie, rate, poumons, etc.) dès 48 heures après l’inoculation [62],[63],[64],[65],[66], notamment les ovaires où l’on sait depuis 2012 que les nanoparticules injectées s’accumulent [67].
L’arbre qui cache la forêt ?
Avec 436 milliards de copies de protéine Spike circulant librement dans le sang un mois après une injection, comment les choses pourraient-elles mal se passer [68] ? Combien traverseront la barrière hématoplacentaire, hématoencéphalique ou hématoséminale, avec quelles conséquences pour les personnes vaccinées et leur descendance ? Personne ne le sait, mais chaque jour confirme que ces risques sont incalculables. Le dernier en date a été mis à jour par des chercheurs turcs [69], qui ont établi que le vaccin Pfizer induit des comportements de type autistique chez des rats issus de mères injectées pendant la période de gestation. Rien ne dit que l’on observera la même chose chez des bébés, mais il n’est pas exclu de le penser puisque les données de sécurité concernant la vaccination des femmes enceintes provenaient des résultats observés précisément chez des rats :
Nos résultats révèlent que le vaccin BNT162b2 de l’ARNm modifie significativement l’expression génique du WNT et les taux de BDNF chez les rats mâles et femelles, suggérant un impact profond sur les principales voies du développement neurologique. Notamment, les rats mâles ont présenté des comportements de type autisme prononcé, caractérisés par une réduction marquée de l’interaction sociale et des schémas de comportement répétitifs. En outre, il y a eu une diminution substantielle du nombre neuronal dans les régions critiques du cerveau, indiquant une neurodégénérescence potentielle ou un neurodéveloppement altéré. Les rats mâles ont également démontré une altération des performances motrices, mises en évidence par une réduction de la coordination et de l’agilité.
Erdogan MA, Gurbuz O, Bozkurt MF, et al. Prenatal exposure to COVID-19 mRNA vaccine BNT162b2 induces autism-like behaviors in male neonatal rats: Insights into WNT and BDNF signaling perturbations. Neurochem Res. 2024 Jan 10. DOI: https://doi.org/10.1007/s11064-023-04089-2.
Précisons que l’autre inquiétude soulevée par l’étude, est qu’elle révèle que le vaccin interfère avec un mécanisme (une voie de signalisation) impliqué dans la carcinogenèse :
L’importance clinique de cette voie a été démontrée par des mutations qui conduisent à diverses maladies, notamment le cancer du sein et de la prostate, le glioblastome, le diabète de type 2 et d’autres.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Voie_de_signalisation_Wnt
Quoi qu’il en soit, Pfizer a anticipé une explosion des cas de cancers concrétisée par le rachat pour 41 milliards d’euros d’une biotech américaine (Seagen) spécialisée dans les traitements oncologiques. Ce rachat lui a permis de doubler son offre d’oncologie et de la porter à 60 produits, dont neuf blockbusters ou blockbusters potentiels. Fidèle à elle-même, la Commission a approuvé ce rachat sans condition, estimant que « l’opération ne poserait pas de problèmes de concurrence » en Europe (Le Figaro).
Sa présidente, accusée d’avoir négociée par SMS, de gré à gré, près de 2 milliards de doses avec le PDG de Pfizer (elle est actuellement sous le coup d’une plainte pénale visant à obtenir la diffusion de ces échanges), va plus loin aujourd’hui avec l’annonce d’une vaste campagne de vaccination contre le cancer…
Conclusion
Les agences sanitaires et les gouvernements ont choisi de faire bloc derrière les laboratoires et continuent à recommander les injections dont plus personne ne semble pourtant vouloir, si l’on croit les taux de vaccination et le volume de doses détruites qui dépasse dans certains pays (la Suisse, par exemple) le nombre de doses administrées.
Les médecins et les sociétés savantes qui ont ressassé pendant trois ans des arguments commerciaux sans aucune distance critique et qui ont incité des citoyens à se faire injecter au nom d’un bénéfice imaginaire (partie 2) en minimisant systématiquement les risques ont quant à eux choisi de répondre en contre-attaquant, le 29 janvier 2024 :
Récemment, nous avons entendu que les vaccins anti-COVID seraient inefficaces, ou, pis, responsables de cancers ou de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, alors qu’aucune donnée épidémiologique ne rapporte une quelconque augmentation de ces maladies en lien avec la vaccination. […] Par ailleurs, aucune donnée crédible de biologie moléculaire ne corrobore l’idée d’une intégration de brins d’ADN vaccinaux dans le génome humain à partir de vaccins à ARN messager. […]
https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sante/reseaux-sociaux-medias-mettons-fin-a-la-propagation-impunie-de-fausses-informations-medicales-LDQ7GCFEBBEQNHDY44TC6P3MZA/
Il est essentiel de rappeler que les affirmations médicales doivent reposer sur des données solides issues de la science. […] Nous déplorons que certains individus et médias profitent de la crédulité d’une partie de la population, contribuant ainsi à mettre leur santé en danger. […]
Face à la désinformation médicale relayée par des opportunistes, qui ont le plus souvent quelque chose à vendre, nous appelons à une régulation plus stricte des réseaux d’information pour protéger les citoyens. Nous réaffirmons notre soutien à la vaccination, pour prévenir plutôt que guérir. Nous affirmons la primauté de l’éclairage de la démonstration scientifique. Nous réaffirmons notre engagement médical total contre les maladies. Il est temps de choisir le camp de la santé contre toute forme d’obscurantisme.
On l’aura compris, l’objectif de cette tribune est purement politique : assimiler à de la désinformation l’expression d’un risque ou d’une hypothèse, étayé par des dizaines d’études, et spéculer sur les intentions des scientifiques qui relaient ces études afin de pouvoir organiser légalement la censure d’informations cruciales pour l’exercice d’un consentement libre et éclairé.
Or la question qui devrait hanter tout scientifique ou médecin n’est pas « Peut-on affirmer de façon certaine que le vaccin s’intégrera dans le génome et provoquera des cancers chez les personnes vaccinées ? », mais : « Dispose-t-on aujourd’hui d’une preuve formelle, voire d’un embryon de preuve, qu’il ne peut techniquement pas le faire ? » La réponse tient malheureusement en trois lettres : NON. Cette question en appelle donc une seconde : était-il éthique d’affirmer (et de continuer à le faire) que le vaccin est sûr et de militer pour qu’il soit administré à des gens en parfaite santé, en affirmant sans preuve que ce risque n’existe pas et en refusant d’analyser celles qui suggèrent le contraire ?
Pour rappel, selon le Dr M. Wargon qui a milité activement en 2021 et 2022 pour rendre la vaccination obligatoire, et qui s’est battu bec et ongle pour que l’on ne réintègre pas les soignants suspendus, le seul effet secondaire du vaccin Pfizer étant selon lui un syndrome grippal… Il a récemment confirmé que sa position n’avait pas évolué, en dépit des inquiétudes majeures de la communauté scientifique. Elles ont été formulées il y a quelques jours en Australie par le Pr Ian Brighthope, président fondateur de l’Australian College of Nutritional and Environmental Medicine (ACNEM), devant la Commission royale d’enquête COVID, qui explique pourquoi les vaccins ARNm « n’auraient dû être injecté à un seul être humain ».
De son côté, le Pr Phillip J. Buckhault, biologiste moléculaire et oncogénéticien, appelle l’ensemble de la communauté scientifique à collaborer pour vérifier si l’intégration de cet ADN est effective, à partir d’échantillons sanguins anonymisés.
Autrement dit, à faire ce que l’EMA impose pour les vaccins à usage vétérinaire mais qu’elle refuse catégoriquement de faire pour les injections destinées à l’homme.
Références
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[68] Un lanceur d’alerte a détaillé ce calcul. Il propose un calculateur et une méthode de calcul (en anglais).
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