Planification
Faux tests, faux vaccin, l’escroquerie de la pandémie COVID expliquée par deux nouvelles études
Deux études publiées à quelques jours d’intervalle confirment la double escroquerie qui a servi de levier à la campagne de vaccination contre le COVID. La première révèle que 86 % des tests PCR étaient faux, la seconde explique comment le codage du statut vaccinal a dissimulé l’inefficacité et la létalité des injections.
La vaccination contre le COVID a impliqué d’innombrables fraudes visant à dissimuler la toxicité des injections (un lanceur d’alerte a recensé 133 biais concernant les essais du vaccin Pfizer), mais elle n’aurait pas été possible sans les biais utilisés en amont durant les premiers mois de la pandémie. Deux études récentes reviennent sur les principaux leviers qui ont permis au gouvernement d’extorquer le consentement de la population.
Tests PCR : 86 à 90 % des tests positifs étaient faux
La première est une étude allemande publiée mi-octobre dans la revue Frontiers in Epidemiology. Elle révèle que seuls 10 % à 14 % des personnes qui ont reçu un test PCR positif en Allemagne entre la mi-mars 2020 et la fin 2021 étaient réellement infectées par le SRAS-CoV-2. L’étude confirme également qu’un quart de la population allemande possédait déjà des anticorps issus d’une infection naturelle à la fin de l’année 2020.
Les chercheurs ont comparé les résultats des tests PCR et des tests de mesure des taux d’anticorps publiés par le consortium agréé ALM, qui a réalisé environ 90 % de l’ensemble des tests COVID entre mars 2020 et janvier 2023, et qui a procédé à des tests sérologiques de masse jusqu’en mai 2021. Comme le souligne l’étude, la comparaison entre ces deux résultats est cruciale pour évaluer la fiabilité des tests, un résultat positif ne signifiant pas que la personne est contagieuse. Les chercheurs rappellent les principaux facteurs de confusion qui ont été dénoncés durant la pandémie, notamment le nombre de cycles d’amplification (CT) nécessaires pour que de l’ADN viral soit détecté :
Les personnes dont les tests PCR nécessitent des valeurs CT supérieures à 30 ne sont généralement pas considérées comme contagieuses[1], alors qu’en pratique, de nombreux tests ont été réalisés avec des valeurs CT allant jusqu’à 40, voire plus (CT = 45).
À titre de comparaison, le seuil retenu par la France était de 42 CT, très au-delà des 33 CT recommandés par la Société française de microbiologie (SFM). Or la probabilité qu’un échantillon contienne du virus actif chute à 8 % avec une valeur de CT > 35 et à 6 % dix jours après la contamination[2].
Les auteurs concluent par deux réflexions. Les tests sérologiques, développés en sept jours[3] par les équipes du virologue Christian Drosten (La Charité) et validés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) moins de 24 heures après la publication du protocole, ont été commandés par l’Institut Robert-Koch (RKI), sous tutelle du ministère de la Santé, mais la publication des résultats sur le site du fabricant s’est apparemment arrêtée en 2021 et le RKI refuse de les divulguer. Les chercheurs estiment toutefois que fin 2021, pratiquement toute la population allemande possédait des anticorps qui non seulement ne justifiaient pas qu’elle se fasse vacciner mais rendait cette vaccination éminemment risquée.
Or en mars 2020, une étude nationale de cohorte d’anticorps sérologiques allemands a été discrètement menée par le RKI, sans que le gouvernement en informe la population ni ne communique ses résultats. Les auteurs estiment en conséquence que les autorités allemandes ont eu « un accès fiable et opportun » à ces données cruciales qui remettaient en cause l’utilité de la vaccination. En réaction, le gouvernement allemand a imposé le test PCR, dont ils savaient pertinemment qu’il était un indicateur fallacieux, comme la nouvelle norme légale pour imposer les confinements et la vaccination.
Pour rappel, la vaccination s’est déroulée non pas après, comme l’affirmait Olivier Véran, mais en parallèle de la phase III des essais cliniques, qui s’est terminée en février 2024 pour Pfizer et en décembre 2023 pour Moderna, avec une date finale de soumission des résultats en avril 2025 (Pfizer) et en mars 2024 (Moderna). Les contrats expliquaient que la population se ferait vacciner à ses risques et périls, c’est pour cette raison que les laboratoires ont imposé que ce soient les gouvernements qui assument le coût des dommages et des plaintes, et qu’ils ont refusé que des personnes migrantes ou apatrides soient vaccinées.
Concernant la responsabilité directe du gouvernement, outre le fait d’avoir menti sur le caractère expérimental de cette vaccination et d’avoir créé des conditions artificielles pour l’imposer à la population en sachant qu’elle était dangereuse et inefficace, les dossiers du RKI ont révélé il y a un an comment le ministère de la Santé allemand a élaboré une communication mensongère, notamment lorsque les premiers signaux de mortalité vaccinale sont apparus. La fuite de données montre également que Paris et Berlin étaient en lien direct durant cette période pour harmoniser leurs pratiques.
Enfin, on sait aujourd’hui que la raison pour laquelle les premières livraisons de vaccins imposaient des conditions inhabituelles de stockage et de conservation était de justifier le recours à l’armée. Elle a ainsi été sollicitée pour répartir entre les centres de vaccination les lots identifiés comme toxiques par le RKI, afin d’éviter la formation de clusters de décès vaccinaux trop visibles. A contrario, les employés de Pfizer en Australie ont bénéficié d’un circuit d’approvisionnement distinct de celui des lots destinés à la population, où aucun effet indésirable n’a miraculeusement été observé. Leurs employés ont bénéficié d’une exemption d’obligation vaccinale, au même titre que ceux de l’OMS et de Moderna pour ne citer qu’eux.
Statut vaccinal frauduleux : la fabrication d’une épidémie de non-vaccinés
La seconde étude est une étude italienne publiée le 3 novembre dans la revue Autoimmunity. Elle a été réalisée par les chercheurs qui ont démontré il y a un an que les personnes vaccinées contre le COVID avaient une espérance de vie amputée de 37 %. Dans cette nouvelle étude, ils évaluent comment la décision de classer comme non vaccinées les personnes injectées depuis moins de 14 jours a gonflé l’efficacité et la sécurité du vaccin COVID-19. Ce biais a été théorisé en 2024 (Fung et al.) mais c’est la première fois que des chercheurs le documentent et évaluent son impact. Il consiste à attribuer aux personnes non vaccinées tout événement (infection, hospitalisation ou décès) survenu durant la période séparant l’administration du vaccin et le moment où la réponse immunitaire est considérée comme pleinement établie (généralement 14 jours, voire 21 dans certains pays).
Les auteurs expliquent que leur recherche a été compliquée par le refus des autorités sanitaires, constaté dans la quasi-totalité des pays, en particulier la France, de communiquer les données de mortalité COVID et de mortalité toutes causes selon le statut vaccinal. Ils concluent néanmoins leur article en ce sens :
En conclusion, notre étude montre que la le biais de la fenêtre de comptage des cas gonfle les taux de mortalité attribués à tort aux personnes non vaccinées, tout en sous-estimant les effets indésirables survenant peu de temps après la vaccination.
Pourquoi ce biais de comptage a-t-il été utilisé dès le départ et pourquoi les scientifiques n’ont-ils jamais eu accès à l’information qui aurait permis de tordre le cou aux complotistes qui estimaient qu’il n’était pas raisonnable d’imposer une injection non testée et ne prévenant pas la transmission à des individus pour lesquels le COVID ne représentait aucun danger, dans le but exclusif de protéger les individus vaccinés ?
Pour mémoire, on sait depuis novembre 2023 (Uusküla et al.) que les personnes vaccinées ont sept fois plus de risques d’être hospitalisées pour une forme grave du COVID que les personnes non vaccinées.
Références
[1] Larremore DB, Wilder B, Lester E, Shehata S, Burke JM, Hay JA, et al. Test sensitivity is secondary to frequency and turnaround time for COVID-19 screening. Sci Adv. 2021:7(1):eabd5393. https://doi.org/10.1126/sciadv.abd5393.
[2] Singanayagam A, Patel M, Charlett A, Lopez Bernal J, Saliba V, Ellis J, et al. Duration of infectiousness and correlation with RT-PCR cycle threshold values in cases of COVID-19, England, January to May 2020. Eurosurveillance. 2020;25(32):2001483. https://doi.org/10.2807/1560-7917.es.2020.25.32.2001483.
[3] Le virus a été séquencé le 10 janvier 2020, le protocole de test a été soumis à la revue Eurosurveillance le 17 janvier et publié le 23 janvier.