Collusion

Mathilde Debord | 08 juillet 2025

Une étude soutenue par 63 laboratoires affirme que les injections anti-COVID protègent le cœur

Trois sociétés savantes de cardiologie publient une étude dans laquelle ils affirment que les injections contre le COVID-19 protègent contre les maladies cardiovasculaires. Les conclusions des auteurs, liés à 63 laboratoires incluant Pfizer et ModernaCTA coronaire artère pour la prévention des maladies coronariennes se basent sur des données anciennes, démenties à ce jour par plus de 340 études.

CT-scan cardiaque, examen pour la prévention des maladies coronariennes
CT-scan cardiaque, examen pour la prévention des maladies coronariennes | © iStock/Mr.suphachai praserdumrongchai

La Société européenne de cardiologie (ESC) vient de publier début juillet une « déclaration de consensus[1] » présentant la vaccination, en particulier celle contre le COVID-19, comme « une nouvelle forme de prévention cardiovasculaire ». Cette déclaration est soutenue par la Société européenne de cardiologie préventive (EAPC), l’Association pour les soins cardiovasculaires aigus (ACVC) et l’Association pour l’insuffisance cardiaque (HFA) de l’ESC.

L’étude a été soumise le 25 novembre 2024. Elle porte sur les vaccins contre la grippe, le COVID-19, le virus respiratoire syncytial (VRS), le pneumocoque et le zona, qui sont produits par les laboratoires Pfizer et Moderna (vaccins contre COVID-19). GlaxoSmithKline (vaccins contre la grippe et le VRS), Sanofi Pasteur (vaccins contre la grippe), Merck (vaccins contre le zona) et Seqirus (vaccins contre la grippe).

Une étude sponsorisée par 63 laboratoires

L’étude est cosignée par 15 auteurs, dont 14 mentionnent des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Ces liens concernent 63 entités pharmaceutiques, dont 4 sont des fabricants des vaccins cités dans l’étude.

L’étude s’appuie essentiellement sur deux arguments : les infections virales ou bactériennes entraînent des événements cardiovasculaires majeurs. A contrario, les événements indésirables graves associés à la vaccination sont rares pour la plupart des vaccins. La balance entre les complications vaccinales et les risques évités est donc en faveur de la vaccination.

Une étude basée sur des données d’efficacité éculées

Concernant les injections anti-COVID, les chercheurs assurent qu’elles réduiraient les infections ou du moins leur sévérité, et donc les hospitalisations et les décès, malgré des différences selon le type de vaccin et la souche du SARS-CoV-2. Ils citent en appui l’étude de 2021 réalisée par Pfizer/BioNTech[2] et portant sur les six premiers mois d’utilisation de leur vaccin.

L’efficacité négative des injections a été confirmée par les essais cliniques

Cette affirmation est aujourd’hui contredite par au moins 6 études revues par les pairs[3],[4],[5],[6],[7],[8] qui démontrent que les vaccins Pfizer et Moderna présentent en réalité une efficacité négative, et qu’ils augmenteraient ainsi le risque de contaminations (jusqu’à 253 % après la 3e dose, 257 % chez les enfants vaccinés vs non vaccinés).

Cette efficacité calamiteuse est corroborée par les données officielles de huit agences sanitaires (France, ECDC, Belgique, Danemark, Italie, Espagne, Portugal, Suède) portant sur l’efficacité à six mois de l’injection du rappel d’automne 2024 chez les personnes de plus de 65 ans. L’étude publiée en preprint en mai dernier a porté sur 19,3 millions de personnes. Elle révèle les taux d’efficacité suivants contre le risque d’hospitalisation (i.e. de forme grave) et de décès :

  • efficacité chez les les 65-79 ans : taux absolus d’hospitalisation et de décès de + 3 % (6,4 vs 6,2) et + 133 % (2,1 vs 0,9) chez les vaccinés vs non vaccinés ;
  • efficacité chez les plus de 80 ans : taux absolus d’hospitalisation et de décès de + 13 % (24,9 vs 21,9) et + 91 % chez les vaccinés vs non vaccinés ;

Après ajustement en fonction des comorbidités :

  • efficacité chez les 65-79 ans : 16 % contre les formes graves, 21,7 % contre le décès ;
  • efficacité chez les plus de 80 ans : 2,8 % contre les formes graves, 1,5 % contre le décès.

Les taux réels de décès sont probablement beaucoup plus inquiétants puisque les personnes vaccinées il y a moins de 14 jours sont comptées dans l’étude comme non vaccinées, contournant ainsi la période d’immunosuppression de 7 jours post première dose, identifiée par Pfizer lors des essais cliniques (p. 8 du document, commentée ici).

Or on sait que plus de 75 % des décès recensés dans le VAERS en 2021 durant les premiers mois de vaccination, chez les plus de 65 ans, sont survenus dans la semaine suivant l’injection, 50 % dans les 48 premières heures[9]. Les propres données cliniques de Pfizer[10] ont révélé que 50 % des événements indésirables cardiovasculaires survenus durant les trois premiers mois suivant le déploiement des injections ont été signalés dans les 24 premières heures suivant l’injection.

Comment les injections pourraient-elles réduire le risque de complications cardiovasculaires alors qu’elles favorisent les infections ?

La dernière preuve en date de l’efficacité négative des vaccins provient de l’Angleterre dont les données officielles couvrant la période entre avril 2021 et mai 2023 font état de sept fois plus de décès « dus au COVID » parmi la population vaccinée (48 370) vs non vaccinée (6 836).

Décès dus au COVID-19 par statut vaccinal, Angleterre, avril 2021-mai 2023
Décès dus au COVID-19 par statut vaccinal, Angleterre, avril 2021-mai 2023

Le démenti le plus inattendu concernant l’efficacité de son vaccin est fourni par Pfizer lui-même, dont les données cliniques finales confirment une efficacité négative de – 30 % à deux ans (la courbe en rouge représente l’incidence cumulée des cas de COVID dans le groupe placebo). Elles ont été publiées en 2024 à l’issue des essais, qui se sont terminés en février 2023, soit plus de deux ans après les premières injections. Pfizer a publié une synthèse de 13 pages de ce rapport de 2198 pages dans laquelle cette figure n’est pas reproduite.

Rapport final de l'essai clinique Pfizer C4591001, Courbes d’incidence cumulative de la COVID-19 après vaccination, p. 132
Rapport final de l’essai clinique Pfizer C4591001, Courbes d’incidence cumulative de la COVID-19 après vaccination, p. 132

Le mythe des myocardites légères et transitoires est démenti par plus de 340 études

Concernant les complications cardiovasculaires des injections anti-COVID, le seul risque vaccinal mentionné concerne les myocardites, présentées comme rares, transitoires, bénignes et concernant exclusivement les jeunes, en particulier les jeunes hommes. Les auteurs renvoient aux recommandations de l’ESC de 2022, basées sur des données datant de juin 2022[11]. Ils affirment, en se basant sur ce document et sur une étude israélienne d’août 2021[12] dont les auteurs ont refusé de publier les données brutes, que le risque de développer une myocardite serait six fois plus élevé à la suite d’une infection par la COVID-19 que d’une vaccination.

Peut-on décemment continuer à tenir se discours en 2025 ?

Concernant le risque de contracter une myocardite à la suite d’une infection ou une vaccination, la réponse a été définitivement tranchée il y a plus d’un an. On sait aujourd’hui que :

  • l’infection par le COVID-19 n’a été associée à aucune augmentation du risque de myocardite : aucun cas n’a notamment été détecté chez des sportifs atteints de COVID[13] ;
  • l’incidence a en revanche brutalement explosé après le déploiement des injections[14] ;
  • le risque de développer une myocardite après un vaccin ARNm a été multiplié jusqu’à 45 fois dans une étude de pharmacovigilance française[15];
  • la vaccination Pfizer a multiplié par 133 le risque de myocardite chez les 12-15 ans selon les données du CDC concernant la période entre décembre 2020 et août 2021[16] ;
  • le site React19.org recense 3 751 études documentant la toxicité des injections, dont 460 concernent la toxicité cardiovasculaire.

Concernant leur gravité, l’argument des myocardites légères et transitoires n’est plus audible aujourd’hui :

  • une revue systématique de la littérature basée sur 341 études revues par les pairs a récemment documenté le risque de lésions myocardiques. Dans plus de 50 % des cas de myocardites vaccinales, des lésions cardiaques durables ont été détectées lors d’une IRM[17];
  • une étude thaïlandaise de 2022[18] portant sur des adolescents ayant reçu deux doses de vaccin Pfizer a notamment retrouvé des manifestations cardiovasculaires chez 29,24 % des patients, avec des séquelles possibles dans 1 cas sur 28 à 40 ;
  • la FDA a reconnu le 17 septembre 2021, dans son rapport d’évaluation du booster Pfizer[19], « des risques graves de myocardite et de péricardite », dont elle n’excluait pas qu’ils engendrent des séquelles à long terme (p. 7) ;
  • Elle reconnaît aujourd’hui que les myocardites vaccinales sont probablement beaucoup plus graves que les myocardites classiques, dont le pronostic à cinq et dix ans est déjà extrêmement sombre. Elle cite le rehaussement tardif du gadolinium (LGE) sur les IRM cardiaques comme preuve d’une lésion myocardique durable et irréversible. Selon le nouveau directeur de l’agence, 60 % des patients ayant souffert de la myocardite post-vaccinale présentaient encore des signes de LGE cinq ans plus tard[20] ;
  • cet indicateur qui est aujourd’hui utilisé pour prédire la mort subite et la mortalité cardiovasculaire a été retrouvé dans 91 % des 118 études recensées dans une revue de la littérature de 2022[21] ;
  • la gravité des myocardites vaccinales a été confirmée par deux autres publications : une étude de 2023[22] a montré que 58 % des enfants ayant contracté une myocardite conservaient des séquelles à un an ; ils étaient 63 à 69 % à avoir toujours des symptômes ou des signes de lésion cardiaque huit mois après l’injection dans une étude de juin 2022[23].

À ce jour, au moins trois autres études évaluées par des pairs[24],[25],[26] démontrent que les injections d’ARNm contre le COVID-19 provoquent des cicatrices cardiaques irréversibles pouvant conduire au syndrome de mort subite de l’adulte des mois à des années après l’injection. Ces études incluent notamment :

  • une revue d’autopsies où la cause du décès a été attribuée au vaccin dans 74 % des cas ;
  • une étude basée les rapports annuels du service médical d’urgence du comté de King (États-Unis)pour les années 2016 à 2023, montrant une hausse du nombre de cas d’arrêts cardiopulmonaires mortels de 1 236 % entre 2020 et 2023.

Fait particulièrement troublant, Pfizer vient de repousser pour la cinquième fois cette année la date de fin de son essai sur les séquelles éventuellement induites chez les moins de 21 ans par les myocardies survenues au décours d’une vaccination. Les résultats de l’étude seront connus en 2030, soit neuf ans après les premières injections dont il a été martelé qu’elles étaient sûres et efficaces.

Des complications cardiovasculaires gravissimes soutenues par plus de 184 millions de données

Le document de consensus de l’ESC se base exclusivement sur le risque de myocardite pour fonder sa recommandation. Deux études majeures conduites une cohorte totale de 184 millions de personnes testées révèle une toxicité cardiovasculaire majeure des injections :

  • l’étude de Faskova et al. (99 millions), publiée en avril 2024[27] montre une augmentation du risque de myocardite de + 510 % et de thrombose du sinus veineux cérébral de + 223 % après une injection d’ARNm anti-COVID ;
  • l’étude de Karimi et al. (85 millions), publiée en mars 2025[28], a retrouvé des hausses vertigineuses d’incidence :
    • crise cardiaque : + 286 % après la deuxième dose ;
    • AVC : + 240 % après la première dose ;
    • maladie coronarienne : + 244 % après la deuxième dose ;
    • arythmie cardiaque : + 199 % après la première dose.

Nous avons alerté plusieurs fois dans Le Point critique sur l’explosion des arrêts cardiaques et des AVC (voir en particulier notre article de novembre 2023) dans plusieurs pays depuis le déploiement des vaccins (+ 192 % en 2021, + 225 % en Israël selon des données déclassifiées en juillet 2023). Ces hausses ont également été rapportées en Australie, au Canada, au Royaume-Uni, en Allemagne.

Nous avons également commenté en 2024 les conclusions d’une équipe de chercheurs italiens[29] qui ont estimé la perte d’espérance de vie liée à la vaccination à 37 % (voir notre analyse de cette étude). Enfin, il y a quelques jours, le lanceur d’alerte Ethical Skeptic, un analyste de données ayant travaillé au sein des services de renseignement américains a publié la courbe des décès par arrêt cardiaque chez les 0-54 ans entre 2018 et 2024.

Les données montrent un signal majeur concernant les myocardites (+ 50,9 % de surmortalité), apparu immédiatement après la vaccination, et confirmé par le Rapport de l’enquête sur la mortalité liée au COVID-19[30] de la Société des actuaires américains, publié en novembre 2023.

Les mécanismes cardiotoxiques des injections sont aujourd’hui bien identifiés

Les auteurs du document de consensus de l’ESC affirment que les mécanismes de la myocardite sont encore mal connus. Pourtant, au moins trois revues[31],[32],[33],[34],[35] de la littérature détaillent jusqu’à vingt mécanismes toxiques associés aux injections, notamment le rôle pathogène de la protéine Spike et des nanoparticules lipidiques sur le cœur et le système nerveux.

Comment peuvent-ils ignorer ces données et comment le manuscrit a-t-il pu être validé, l’étude ayant été acceptée le 23 mai dernier en dépit de cette masse écrasante de preuves ?

Ils insistent sur la nécessité, pour les personnes âgées de plus de 65 ans présentant des antécédents d’insuffisance cardiaque ou de maladie coronarienne de se faire vacciner contre le COVID en raison d’un risque accru de forme grave et de COVID long (étude des CDC de septembre 2021)[36] que la vaccination permettrait de réduire de 43 %.

La première affirmation se base sur trois études de 2020, impliquant potentiellement 16[37] et 108[38] labos. La seconde se fonde sur une étude de 2023 et une seconde de 2021, dont les auteurs ont des liens d’intérêts avec 49 laboratoires[39]. La déclaration de consensus des trois sociétés savantes est-elle une commande de l’industrie pharmaceutique ? À quel objectif répond-elle ?

À contre-courant de cette recommandation profondément choquante, le Dr Campbell, un médecin britannique qui présente depuis cinq ans l’actualité scientifique concernant les vaccins anti-COVID initialement dans le but de convaincre les citoyens sceptiques, est revenu en 2023 sur une étude portant sur le décès d’une jeune japonaise de 14 ans, deux jours après avoir reçu la troisième dose du vaccin Pfizer. Bien que l’autopsie ait conclu une myocardite liée au vaccin, les auteurs ont mis en évidence la présence d’infiltrats lymphocytaires dans une dizaine d’organes (poumons, cœur, foie, reins, estomac, duodénum, vessie, diaphragme) conduisant à une défaillance d’organes multiples. Le député Andrew Bridgen, profondément engagé dans la dénonciation des complications vaccinales, a commenté la vidéo du Dr Campbell sur son compte X :

Le Dr Campbell nous raconte l’autopsie d’une jeune fille japonaise de 14 ans qui n’était pas à risque de COVID 19, mais qui est décédée d’une défaillance d’organes multiples après la 3e dose Pfizer. C’est pourquoi je me bats si fort pour protéger nos enfants au Royaume-Uni. Dans le monde réel, ce triste cas à lui seul entraînerait la suspension de ces traitements expérimentaux dans le monde.


Références

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