Balance bénéfice/risque

Équipe Le Point Critique | 23 août 2023

Myocardites après une infection ou un vaccin COVID

Quels sont les risques réels de myocardite après une infection et après un vaccin COVID ? Cette question est cruciale car c’est sur la prévention du risque de myocardite que s’est essentiellement fondée la politique de vaccination des enfants en 2021 et 2022. Cet argument a-t-il encore un sens en 2023 ? Le Dr Hélène Banoun publie aujourd’hui un article qui fait le point sur l’état de la science. Nous le rééditons ici avec son accord.

Anatomie du cœur humain sur un fond médical flou. Illustration 3D.
© Mohammed Haneefa Nizamudeen/iStock

À chaque décès de jeune athlète vacciné, les médias continuent d’affirmer que l’infection COVID cause plus de myocardites que le vaccin. Pourtant, toutes les études sérieuses montrent le contraire. J’ai pris la peine de réfuter celle du CDC qui a un énorme biais et qui affirme le contraire !

Vaccinovigilance

J’avais déjà abordé ce sujet dans un article publié avec le Pr Patrick Provost de l’université Laval de Montréal [1] : nous montrions que le virus cause très peu de myocardites, en tous les cas pas chez les jeunes. Les publications citées montraient qu’en France, les myocardites commencent à augmenter avec la période de vaccination des jeunes ; en Israël, aucune augmentation de l’incidence de la myocardite n’est notée en période d’épidémie de COVID avant la campagne de vaccination. D’autres études citées montraient une incidence supérieure de la myocardite chez les vaccinés par rapport aux non-vaccinés.

J’y ajouterai ci-dessous d’autres publications, dont deux provenant de l’équipe chargée de la vaccinovigilance au CDC qui est donc la référence : il sera difficile de les accuser de complotisme !

Les données du CDC auraient dû entraîner le retrait des injections du marché

Le CDC a publié le risque de myocardite après infection COVID en fonction de l’âge du patient : le risque est plus élevé pour les moins de 16 ans (1 330 par million) et les plus de 75 ans (2 380 par million). Chez les adolescents et les jeunes, il est inférieur à 1 000 par million (839 myocardites par million chez les 16-39 ans après COVID). Il faut garder à l’esprit qu’il s’agit de risque chez les malades hospitalisés, et nous avons vu qu’il est rarissime qu’un enfant ou un adolescent soit hospitalisé pour COVID. Le risque relatif à la population globale sera donc infiniment plus faible puisque chez l’immense majorité des jeunes, la COVID ne conduit pas à l’hôpital : le nombre absolu de myocardites chez les jeunes sera donc très faible. Par contre, dans les pays où on a massivement vacciné les adolescents, le nombre absolu de myocardites sera notable.

Entre mars 2020 et janvier 2021, le CDC conclut qu’il y a 7,5 fois plus de risque de myocardite chez un jeune de 16 à 39 ans (sans précision du sexe) s’il est atteint de COVID que s’il n’a pas été infecté [2].

Pour faire la comparaison exacte avec le risque post-vaccinal, il faudrait disposer des données pour les mêmes tranches d’âge, ce qui n’est pas le cas pour les données de pharmacovigilance du CDC. On peut s’en approcher avec les résultats d’un rapport de juin 2021 (figure 1[3]. Le CDC y publiait que pour les garçons et les jeunes hommes de 12 à 24 ans, le risque de myocardite était 100 fois supérieur dans les 21 jours après la seconde dose d’ARNm par rapport à ce qui était attendu ; cela aurait dû suffire à retirer ces produits du marché.

Figure 1 – COVID-19 Vaccine safety updates Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). June 23, 2021 Tom Shimabukuro, page 27. https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf

Pour calculer ce risque, le CDC compare le taux attendu de myocardite en fonction de l’âge au taux observé après vaccin en se fondant sur les rapports du VAERS, qui souffre d’une forte sous-notification [4]. La publication de référence du CDC pour l’estimation des taux attendus précise que l’incidence des myopéricardites est inconnue, mais est estimée à 1-10 cas/100 000 personnes/an, sans précision d’âge.

Donc il y a beaucoup d’approximations dans ces données, mais il faut retenir que pour le CDC, il y a 7,5 fois plus de risque d’avoir une myocardite chez un jeune de 16-39 ans à cause de la COVID et 100 fois plus de risque chez un garçon de 12-24 ans à cause de la 2e dose de vaccin ARNm. Ce résultat est sans appel et aurait dû suffire à clore le débat.

On peut supposer que le surrisque vaccinal est encore plus élevé, car le CDC n’a certainement pas sous-estimé le risque de myocardite après COVID, alors que le risque vaccinal est sans doute sous-évalué à cause de la sous-notification spontanée des effets indésirables. Je donne quand même ci-dessous des résultats de publications qui vont dans le même sens.

Le site des CDC a publié une étude qui conclut au contraire que les adolescents mâles et les jeunes hommes ont jusqu’à 8 fois plus de risque après infection qu’après vaccin. Cette étude comporte un énorme biais : elle est effectuée après le début des vaccinations et tous les participants sont vaccinés, elle ne compare que des vaccinés entre eux. Ceux qui ont été infectés par la Covid et vaccinés dans les 30 jours après un test positif sont comptés comme infectés et non comme vaccinés. On sait que le risque d’EI est plus élevé lorsqu’on vaccine un convalescent ; donc les myocardites dues au vaccin sont attribuées à l’infection. Tous ceux qui ont été vaccinés plus de 30 jours avant l’infection Covid et qui font une myocardite sont comptés dans le groupe infecté et non dans le groupe vacciné : la myocardite est aussi attribuée à l’infection et non au vaccin [5].

Aucune myocardite après une infection chez les sportifs, mais un risque multiplié par 133 après une injection Pfizer chez les adolescents

Chez des sportifs atteints de COVID, aucune myocardite n’a été détectée [6]. L’injection Pfizer augmente de 133 fois le risque de myocardite chez les 12-15 ans entre décembre 2020 et août 2021 d’après les données du VAERS, analysées par le CDC [7].

Hausse de 25 % des accidents cardiaques en Israël chez les moins de 40 ans après une 1re ou une 2e dose Pfizer

Chez les hommes de moins de 40 ans, le risque de myocardite est plus élevé chez les vaccinés que chez les convalescents [8]. Une étude israélienne publiée dans Nature Scientific Reports a constaté une augmentation récente de 25 % des événements cardiovasculaires d’urgence chez les 16-39 ans. Le nombre d’appels d’urgence était significativement associé aux taux de 1re et 2e doses de vaccin, mais ne l’était pas aux taux d’infection par COVID-19 [9].

Entre 13 et 45 fois plus de risque de développer une myocardite après un vaccin ARNm selon l’âge

La pharmacovigilance française a étudié les bases de données mondiales et montre aussi un surrisque de myo/péricardites dans les 42 jours après un vaccin ARNm anti-COVID à tous les âges [10].

Une autre étude française sur le VAERS entre mai et octobre 2021 montre :

  • un surrisque de myocardite de 13 fois supérieur après Pfizer et de 44 fois plus après Moderna par rapport aux non-vaccinés pour les hommes de 18-24 ans (entre 1 et 21 jours après l’injection) ;
  • le risque est 45 fois plus élevé pour les 30-39 ans après Moderna que chez les non-vaccinés et 21 fois chez les 40-50 ans.

Cette étude ne tient pas compte des décès à domicile ni des myocardites subcliniques ni des myocardites le jour de l’injection ni plus de 21 jours après [11].

Une étude sur 40 hôpitaux de l’Ouest américain montre clairement une hausse de l’incidence des myo/péricardites à partir de janvier 2021, le début de la campagne de vaccination COVID ; l’incidence pendant le début de la pandémie entre mars et décembre 2020 était comparable à celle de l’ère prépandémique. Les auteurs font remarquer la sous-notification spontanée des événements indésirables (Eis) qui explique les taux inférieurs trouvés sur les bases de pharmacovigilance : ils observent entre 1 à 2 myo/péricardites hospitalisées pour 100 000 vaccinés contre 0,48/100 000 sur les bases données du CDC [12].

La pharmacovigilance chez les adolescents donne des incidences bien supérieures allant jusqu’à 16 myocardites pour 100 000 adolescents mâles vaccinés (données du VAERS entre janvier et juin 2021). Le risque d’une myocardite post-vaccinale est 13,7 fois plus élevé après la seconde dose vaccin que lors d’une infection COVID chez un adolescent mâle de 12 à 15 ans [13].

Le vaccin ne réduit pas le risque de myocardite

Le vaccin Novavax donne la même incidence de myocardite que l’ARNm Moderna [14].

Une étude anglaise montre que le vaccin ne diminue pas le risque de myocardite due à l’infection COVID [15].

Études prospectives

Les études prospectives confirment cette pharmacovigilance : il s’agit de suivre l’apparition de myocardites chez tous les individus vaccinés d’une cohorte. Des cardiologues d’Ottawa au Canada ont suivi tous les vaccinés de leur région entre le 1er juin et le 31 juillet 2021. Ils observent une incidence de 1 myocardite pour 1 000 doses de vaccin ARNm ; leur étude a été retirée : elle ne plaisait pas aux autorités de santé [16].

Mais les résultats d’une étude suisse sont encore plus alarmants avec 2,8 % des vaccinés ARNm qui font des myocardites cliniques ou subcliniques (détectées par des marqueurs spécifiques d’inflammation cardiaque). Cette étude sur les personnels de santé, donc jeunes et sains, montre que les femmes sont plus atteintes que les hommes [17].

Des médecins thaïlandais ont suivi une cohorte de 301 adolescents de 13 à 18 ans après leur seconde dose de vaccin Pfizer. Des effets cardiovasculaires ont été recensés chez 29 % des participants : tachycardie, essoufflement, palpitation, douleurs thoraciques, hypertension. Une myocardite a été confirmée (0,33 % des participants) et 6 myo/péricardites subcliniques (2 % des participants) [18].

Conclusion

Nous n’avons pas fini de voir passer des pseudo-études et des affirmations péremptoires de spécialistes autoproclamés affirmant que le virus est plus dangereux que le vaccin.

Le Dr Hélène Banoun est pharmacien biologiste, anciennement chargée de recherche à l’institut français de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Elle est l’une des participantes au Conseil scientifique indépendant (CSI) créé dans le contexte de la pandémie de COVID-19.

Source de l’article original : Banoun H. Quels sont les risques réels de myocardite après infection Covid et après vaccin Covid ? August 2023. Researchgate. https://www.researchgate.net/publication/373097372_Quels_sont_les_risques_reels_de_myocardite_apres_infection_Covid_et_apres_vaccin_Covid.

Pour prolonger cette discussion, Le Point Critique vous propose de lire ou relire trois articles :
• Audition de Pfizer en Australie : risque de myocardites et thérapie génique (2/3)
• Code de Nuremberg : un médecin exige la condamnation des auteurs du « plus grand essai thérapeutique sauvage connu à ce jour » (2/2)
• Vaccin Novavax : 6 fois plus de myocardites dans le groupe vacciné lors des essais


Références

[1] Banoun H, Provost P. A 6-Week Time Period May not be Sufficient to Identify Potential Adverse Events Following COVID-19 Vaccination. International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research. 2023 Jan 12;3(1):771–812. DOI: https://doi.org/10.56098/ijvtpr.v3i1.67.

[2] Boehmer Tket, al. Association Between COVID-19 and Myocarditis Using Hospital-Based Administrative Data – United States, March 2020-January 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep. 2021 Sep 3;70(35):1228-1232. DOI: https://doi.org/10.15585/mmwr.mm7035e5. PMID: 34473684.

[3] Covid-19 Vaccine safety updates Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) June 23, 2021 Tom Shimabukuro. https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf.

[4] Aimsib. Sous-notification des effets indésirables des vaccins Quelques références utiles. 2022 Aug 22. https://www.aimsib.org/2022/08/22/sous-notification-des-effets-indesirables-des-vaccins-quelques-references-utiles/.

[5] Cardiac Complications After SARS-CoV-2 Infection and mRNA COVID-19 Vaccination — PCORnet, United States, January 2021–January 2022. https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/71/wr/mm7114e1.htm?s_cid=mm7114e1_w.

[6] Krzywański J, et al. Elite athletes with COVID-19 – Predictors of the course of disease. J Sci Med Sport. 2022 Jan;25(1):9-14. DOI: https://doi.org/10.1016/j.jsams.2021.07.003. Epub 2021 Jul 14. PMID: 34334321; PMCID: PMC8277540.

[7] Oster ME, et al. Myocarditis Cases Reported After mRNA-Based COVID-19 Vaccination in the US From December 2020 to August 2021. JAMA. 2022 Jan 25;327(4):331-340. DOI: https://doi.org/10.1001/jama.2021.24110. PMID: 35076665.

[8] Patone M, et al. Risk of Myocarditis After Sequential Doses of COVID-19 Vaccine and SARS-CoV-2 Infection by Age and Sex. Circulation. 2022 Sept 6;146(10):743-754. DOI: https://doi.org/10.1161/CIRCULATIONAHA.122.059970. Epub 2022 Aug 22. PMID: 35993236.

[9] Sun CLF, Jaffe E, Levi R. Increased emergency cardiovascular events among under-40 population in Israel during vaccine rollout and third COVID-19 wave. Sci Rep. 2022 Apr 28;12(1):6978. DOI: https://doi.org/10.1038/s41598-022-10928-z.PMID: 35484304.

[10] Chouchana, L, et al. (2022), Features of Inflammatory Heart Reactions Following mRNA COVID-19 Vaccination at a Global Level. Clin Pharmacol Ther. 2022 Mar;111(3):605-613. https://doi.org/10.1002/cpt.2499.

[11] Le Vu S, et al. Age and sex-specific risks of myocarditis and pericarditis following Covid-19 messenger RNA vaccines. Nat Commun. 2022 Jun 25;13(1):3633. DOI: https://doi.org/10.1038/s41467-022-31401-5. PMID: 35752614; PMCID: PMC9233673.

[12] Diaz GA, et al. Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for COVID-19. JAMA. 2021 Sep 28;326(12):1210-1212. DOI: https://doi.org/10.1001/jama.2021.13443. PMID: 34347001; PMCID: PMC8340007.

[13] Krug A, et al. BNT162b2 Vaccine-Associated Myo/Pericarditis in Adolescents: A Stratified Risk-Benefit Analysis. Eur J Clin Invest. 2022 May;52(5):e13759. DOI: https://doi.org/10.1111/eci.13759.Epub 2022 Mar 4. PMID: 35156705; PMCID: PMC9111575.

[14] Macías Saint-Gerons D, et al. Myopericarditis Associated with the Novavax COVID-19 Vaccine (NVX-CoV2373): A Retrospective Analysis of Individual Case Safety Reports from VigiBase. Drugs Real World Outcomes. 2023 Jun;10(2):263-270. DOI: https://doi.org/10.1007/s40801-023-00355-5. Epub 2023 Feb 14. PMID: 36788170; PMCID: PMC9928497.

[15] Stowe J, et al. Risk of myocarditis and pericarditis after a COVID-19 mRNA vaccine booster and after COVID-19 in those with and without prior SARS-CoV-2 infection: A self-controlled case series analysis in England. PLoS Med. 2023 Jun 7;20(6):e1004245. DOI: https://doi.org/10.1371/journal.pmed.1004245. PMID: 37285378; PMCID: PMC10286992.

[16] Kafil T, et al. mRNA COVID-19 Vaccination and Development of CMR-confirmed Myopericarditis. medRxiv 2021.09.13.21262182; DOI: https://doi.org/10.1101/2021.09.13.21262182.

[17] Buergin N, et al. Sex-specific differences in myocardial injury incidence after COVID-19 mRNA-1273 Booster Vaccination. Eur J Heart Fail. 2023 Jul 20. DOI: https://doi.org/10.1002/ejhf.2978. Epub ahead of print. PMID: 37470105.

[18] Mansanguan S et al. Cardiovascular Manifestation of the BNT162b2 mRNA COVID-19 Vaccine in Adolescents. Trop Med Infect Dis. 2022 Aug 19;7(8):196. DOI: https://doi.org/10.3390/tropicalmed7080196. PMID: 36006288.

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