Alerte rouge

Équipe Le Point Critique | 11 mai 2025

Myocardites vaccinales : appel à suspendre les vaccins COVID-19 sur la base de 341 études

Une revue systématique de la littérature basée sur 341 études revues par les pairs invalide le récit selon lequel les myocardites causées par les injections à ARNm contre le COVID-19 seraient légères et transitoires. Les auteurs appelent au retrait du marché immédiat de ces produits.

Représentation d'un cœur humain
© Rasi Bhadramani

Les myocardites ont été l’un des premiers événements indésirables graves des vaccins COVID-19 à ARN messager reconnus par les autorités médicales. Le signal a été confirmé en octobre 2021 par les CDC pour la tranche d’âge 12-39 ans, mais il est apparu en Israël dès avril 2021[1]. Pour autant, aucune mesure n’a jamais été prise pour exclure les enfants et les jeunes adultes des obligations vaccinales alors que le pronostic de la myocardite est extrêmement sombre. On estime en effet qu’elle est fatale à dix ans dans 40 à 55 % des cas, et jusque 60 % à cinq ans selon certaines études (voir Boîte noire en fin d’article), alors que la létalité du COVID oscille entre 0,000 3 % entre 0 et 19 ans, et 0,011 % entre 30 et 39 ans[2].

Contexte

La raison pour laquelle les autorités médicales ont continué d’exiger que les enfants et les adolescents se fassent injecter après la découverte de cet effet secondaire était que les myocardites provoquées par les injections étaient légères, transitoires et rares. L’étude[3] publiée récemment par Hulscher et al. réduit en cendres ce faux récit à l’origine d’une masse hors norme de blessures, dont on ne mesurera le bilan définitif que dans quelques années.

Méthode

L’étude a été cosignée par six auteurs, dont le Dr Peter A. McCullough, qui fut l’un des premiers à alerter sur la fréquence et la gravité des myocardites vaccinales. Elle consiste en une revue de la littérature exhaustive, basée sur un large éventail de preuves et de types de preuves (réanalyses des données des essais cliniques, études d’observation de grande ampleur, données de surveillance post-commercialisation, autopsies, données de surmortalité par tranche d’âge collectées par les assureurs américains…), permettant de comparer l’incidence de la myocardite après une infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à la myocardite induite par le vaccin COVID-19.

Les conclusions réfutent les trois principales affirmations formulées par les agences de santé publique, la presse et le corps médical impliqué dans la campagne de vaccination de masse, à savoir :

  • les infections par le SARS-CoV-2 auraient provoqué plus de cas de myocardite que les vaccinations par l’ARNm COVID-19 ;
  • la myocardite induite par les vaccins par l’ARNm serait généralement légère, transitoire et rare, sans séquelles à long terme ;
  • la balance risque-bénéfice serait favorable à la poursuite de l’utilisation de ces produits.

Chacune de ces hypothèses a été évaluée en appliquant une combinaison de perspectives épidémiologiques, cliniques et immunologiques.

La bibliographie comporte 341 références qui documentent le risque de lésions myocardiques, et démontrent qu’il est majoré chez les jeunes hommes de moins de 40 ans.

Résultats

Le tableau 1 (p. 4 de l’étude) résume les incidences vertigineuses retrouvées dans les études d’observation, les tableaux 2 et 3 (p. 9) détaillent les taux de surmortalité par tranche d’âge issues de la Société américaine des actuaires ainsi que l’évolution de la surmortalité cardiovasculaire entre décembre 2016 et juin 2021, qui s’est effondrée durant la période pandémique précédant l’introduction des vaccins, où elle a brutalement explosé. Les tableaux 4 et 5 détaillent les caractéristiques cliniques des personnes hospitalisées pour myocardite et les taux d’incidence de la myopéricardite, dans les 6 jours suivant l’injection, en Angleterre, selon le nombre de doses reçues et le type de vaccin.

Les principaux résultats sont les suivants :

  • une hospitalisation a été requise dans 96 % des cas confirmés de myocardites vaccinales ;
  • une personne injectée sur 35, soit 2,8 %, présentait des signes de myocardite subclinique associée à l’ARNm[4] ;
  • dans plus de 50 % des cas de myocardites vaccinales, des lésions cardiaques durables ont été détectées lors d’une IRM ;
  • le taux de mortalité atteint 20 % dans les cas confirmés ;
  • le risque de myocardite est 6 fois plus élevé chez les jeunes hommes après la dose 2 de Moderna par rapport à l’infection ;
  • un décès sur 14 (7,1 %) lié aux vaccins est dû à une myocardite

L’étude rappelle plusieurs données particulièrement critiques.

Données confidentielles de sécurité post-homologation

Selon des documents confidentiels de Pfizer ont été rendus publics en août 2022 par le biais d’une action en justice, la FDA et Pfizer exigeant un délai de 75 ans pour les diffuser, le laboratoire avait documenté, trois mois après le début de la vaccination de masse, environ 1,6 million d’événements indésirables liés aux vaccins ARNm[5],[6],[7], dont :

  • près de 127 000 troubles cardiaques ;
  • environ 270 catégories de lésions cardiaques, dont la myocardite et la péricardite ;
  • environ 260 catégories de troubles vasculaires, soit 73 542 cas ;
  • près de quatre fois (3,66) plus d’événements cardiovasculaires indésirables chez les femmes que chez les hommes ;
  • deux fois plus d’événements cardiovasculaires graves que d’événements cardiovasculaires non graves ;
  • la plupart des événements cardiovasculaires graves étaient survenus chez des adultes plus jeunes (< 40 ans), dont 92 % ne présentaient aucune comorbidité.

Ces documents ont révélé que la myocardite survenait le plus souvent chez les jeunes hommes de 16 ans et plus, avec un âge moyen de 37,2 ans.

Au moins cinq équipes de chercheurs établissent un lien entre l’augmentation de la surmortalité dans les pays largement « vaccinés » observée en 2021-2022 était plus fortement liée à la campagne mondiale de vaccination COVID-19 qu’à l’infection par le SRAS-CoV-2[8],[9],[10],[11],[12].

Données d’autopsie

Une analyse systématique[13]. des résultats d’autopsie après la vaccination par le COVID-19 basée sur les résultats de 44 études, comprenant 325 cas d’autopsie et un cas de nécropsie (âge moyen du décès, 70,4 ans) a révélé que :

  • 240 décès, soit 73,9 % étaient directement ou significativement associés aux vaccins ;
  • l’âge moyen du décès était de 55,8 ans (14 à 94 ans).

Les causes de décès comprenaient :

  • la mort cardiaque subite (35 %) ;
  • l’embolie pulmonaire (12,5 %) ;
  • l’infarctus du myocarde (12 %) ;
  • la thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin (7,9 %) ;
  • la myocardite (7,1 %) ;
  • le syndrome inflammatoire multisystémique (4,6 %) ;
  • l’hémorragie cérébrale (3,8 %).

En moyenne, les décès sont survenus 14,3 jours après l’inoculation, la plupart des décès survenant dans la semaine. L’actualisation de l’étude quelques mois plus tarda retrouvé 28 décès supplémentaires attribués aux vaccins à ARNm[14].

Données VAERS (États-Unis)

Les cas de myocardite signalés dans le VAERS après l’introduction du vaccin COVID-19 en 2021 étaient 223 fois plus élevés que la moyenne combinée de tous les vaccins au cours des 30 années précédentes[15]. Cela se traduit par une augmentation spectaculaire de 2 500 % des cas signalés par rapport à la période précédant 2021.

Selon cette étude :

  • les jeunes représentaient 50 % des cas, survenus à 69 % chez des hommes ;
  • dans 76 % des cas, des soins médicaux d’urgence ou une hospitalisation ont été requis
  • tragiquement, 92 personnes sont décédées (3 % des cas).

En octobre 2024, il y avait plus de 1,6 million de rapports VAERS de blessures associées aux injections à ARNm anti-COVID, dont 25 % étaient considérés comme des effets indésirables graves, incluant le décès, l’invalidité et les maladies mettant en jeu le pronostic vital. Ce résultat est supérieur de 10 % à la limite supérieure d’un pourcentage acceptable d’effets secondaires graves selon toute liste standard d’effets indésirables.

Séquelles potentielles de la myocardite liée aux vaccins ARNm contre le COVID-19

Séquelles à court terme :

  • Insuffisance cardiaque (aiguë ou fulminante)
  • Arythmies
  • Choc cardiogénique
  • Thromboembolique
  • Péricardite et épanchement péricardique

Séquelles à long terme :

  • Cardiomyopathie dilatée
  • Insuffisance cardiaque chronique
  • Arythmies persistantes
  • Arrêt cardiaque soudain
  • Risque thromboembolique chronique
  • Cardiomyopathie restrictive
  • Syndrome post-myocardite
  • Troubles cardiaques auto-immuns

Morts subites chez les athlètes

Le nombre d’athlètes de moins de 35 ans décédés en raison de diverses affections cardiaques chiffre a été multiplié par près de 10 depuis 2021 par rapport à la moyenne des décès sur une période récente de 38 ans, passant de 29 décès par an avant 2021[16] à 283 par an par an après le déploiement des injections. Il a été associé à un taux de décès de 66 %[17].

Les auteurs de l’étude rapellent également que les cas de myocardites survenus chez les athlètes entre 2021 et 2023 ne peuvent pas être attribués au COVID-19, qui ne peut donc être considéré comme la cause de ces décès.

Conclusion

Sur la base de ces conclusions, les auteurs appellent au retrait immédiat du marché des injections anti-COVID à ARN messager.

Précisons qu’une étude publiée en août 2021 portant sur les données de 40 hôpitaux américains montrait clairement que les myocardites et les péricardites n’ont commencé à augmenter qu’après le déploiement des injections (Diaz et al.)[18].

Nombre mensuel de cas de myocardite et de péricardite dans les services d’hospitalisation et d’urgence dans 40 hôpitaux de l’ouest des États-Unis (Diaz et al.)(2)

Incidence des myocardites, États-Unis, 2021, Diaz et al.
Nombre mensuel de cas de myocardite et de péricardite dans les services d’hospitalisation et d’urgence dans 40 hôpitaux de l’ouest des États-Unis (Diaz et al.)

Pronostic des myocardites

Mortalité à 10 ans

Dans une étude publiée en 2000, les myocardites aiguës étaient associées à un taux de décès de 55 % à 10 ans sans transplantation (McCarty et al.[19],[20]). Il était de 40 % dans une étude publiée en 2020 (Schlimpert)[21].

Mortalité à 5 ans

La létalité était de 20 % à 5 ans dans une étude de 2012 (Mahrholdt)[22], avec un risque de décès sans transplantation cardiaque d’environ 4 à 5 % au cours de la première année (Greulich et al.)[23]. D’autres études plus pessimistes évoquent un taux de survie à 5 ans de seulement 39 % sans transplantation, soit un taux de létalité de 61 % (Kindermann et al.)[24].

L’insuffisance cardiaque, qui est une complication de la myocardite, serait mortelle à 5 ans dans 50 % des cas selon l’Institut Pasteur de Lille.

Ces taux dramatiquement élevés s’expliquent notamment par le fait que les cellules cardiaques n’ont aucun mécanisme de réparation[25].


Références

[1] Israeli Ministry of Health. Surveillance of myocarditis (Inflammation of the Heart Muscle) cases between December 2020 and May 2021 (including). 2021 June 02. https://www.gov.il/en/departments/news/01062021-03.

[2] PezzulloAM, Axfors C, Contopoulos-Ioannidis DG, Apostolatos A, Ioannidis JPA. Age-stratified infection fatality rate of COVID-19 in the non-elderly informed from pre-vaccination national seroprevalence studies. Environ Res. 2023 Jan 1;216(Pt 3):114655. https://doi.org/10.1016/j.envres.2022.114655..

[3] Mead MN, Rose J, Makis W, Milhoan K, Hulscher N, McCullough PA. Myocarditis after SARS-CoV-2 infection and COVID-19 vaccination: Epidemiology, outcomes, and new perspectives ? Int J Cardiovasc Res Innov. 2025 Mar;3(1):1-43. https://doi.org/10.61577/ijcri.2025.100001.

[4] Buergin N, Lopez‐Ayala P, Hirsiger JR, Mueller P, Median D, Glarner N, et al. Sex‐specific differences in myocardial injury incidence after COVID‐19 mRNA‐1273 booster vaccination. Eur J Heart Fail. 2023;25(10):1871-1881. https://doi.org/10.1002/ejhf.2978.

[5] Cumulative and interval summary tabulation of serious and non-serious adverse reactions from post-marketing data sources. Pfizer. 2022:1-393. https://www.globalresearch.ca/wp-content/uploads/2023/05/pfizer-report.pdf.

[6] Pfizer. Periodic safety update report #3 for active substance: COVID-19 modmRNA vaccine, BNT162b2. BioNTech Manufacturing GmbH, Mainz, Germany. 2022. https://tkp.at/wp-content/uploads/2023/03/3.PSUR-1.pdf.

[7] Horowitz D. Confidential Pfizer document shows the company observed 1.6 million adverse events covering nearly every organ system. 2023. https://www.globalresearch.ca/confidential-pfizer-document-shows-company-observed-1-6-million-adverse-events-covering-nearly-every-organ-system/5823115.

[8] Kuhbandner C, Reitzner M. Estimation of excess mortality in Germany during 2020-2022. Cureus. 2023;15(5):e39371. https://doi.org/10.7759/cureus.39371.

[9] Aarstad J, Kvitastein OA. Is there a link between the 2021 COVID-19 vaccination uptake in Europe and 2022 excess all-cause mortality? Asian Pac J Health Sci. 2023;10(1):25-31. http://dx.doi.org/10.21276/apjhs.2023.10.1.6.

[10] Economidou EC, Soteriades ES. Excess mortality in Cyprus during the COVID-19 vaccination campaign. Vaccine. 2024;42(15):3375-6. https://doi.org/10.1016/j.vaccine.2023.11.028.

[11] Raknes G, Fagerås SJ, Sveen KA, Júlíusson PB, Strøm MS. Excess non-COVID-19 mortality in Norway 2020-2022. BMC PublicHealth. 2024;24(1):244. https://doi.org/10.1186/s12889-023-17515-5.

[12] Mostert S, Hoogland M, Huibers M, Kaspers G. Excess mortality across countries in the Western World since the COVID-19 pandemic: ‘Our World in Data’estimates of January 2020 to December 2022. BMJ Public Health. 2024;2(1). https://doi.org/10.1136/bmjph-2023-000282.

[13] Hulscher N, Alexander PE, Amerling R, Gessling H, Hodkinson R, Makis W, et al. A systematic review of autopsy findings in deaths after COVID-19 vaccination. Forensic Sci Int. 2024:112115. https://doi.org/10.1016/j.forsciint.2024.112115.

[14] Hulscher N, Hodkinson R, Makis W, McCullough PA. Autopsy findings in cases of fatal COVID‐19 vaccine‐induced myocarditis. ESC heart failure. 2024. https://doi.org/10.1002/ehf2.14680.

[15] Rose J, Hulscher N, McCullough PA. Determinants of COVID-19 vaccine-induced myocarditis. Ther Adv Drug Saf. 2024;15:20420986241226566. https://doi.org/10.1177/20420986241226566.

[16] Bille K, Figueiras D, Schamasch P, Kappenberger L, Brenner JI, Meijboom FJ, et al. Sudden cardiac death in athletes: the Lausanne Recommendations. Eur J Cardiovasc Prev Rehabil. 2006;13(6): 859-875. https://doi.org/10.1097/01.hjr.0000238397.50341.4a.

[17] Polykretis P, McCullough PA. Rational harm-benefit assessments by age group are required for continued COVID-19 vaccination. Scand J Immunol. 2023;98(1):e13242. https://doi.org/10.1111/sji.13242.

[18] Diaz GA, Parsons GT, Gering SK, et al. Myocarditis and pericarditis after vaccination for COVID-19. JAMA. 2021 Aug 4;326(12):1210-1212. https://doi.org/10.1001/jama.2021.13443.

[19] McCarthy RE, Boehmer JP, Hruban RH, Hutchins GM, Kasper EK, Hare JM, et al. Long-term outcome of fulminant myocarditis as compared with acute (nonfulminant) myocarditis. N Engl J Med. 2000 Mar 9;342(10):690-5. https://doi.org/10.1056/NEJM200003093421003.

[20] Hékimian G, Franchineau G, Bréchot N, Schmidt M, Nieszkowska A, Besset S, et al. Diagnostic et prise en charge des myocardites. Med Intensive Rea. 2017;26:196-206. https://doi.org/10.1007/s13546-017-1273-4.

[21] Schlimpert V. Spätfolgen einer virus-myokarditis: Viele sterben binnen 10 Jahre. Springer Medizin. 2020 Aug 14. https://www.springermedizin.de/kardiologie/spaetfolgen-einer-virus-myokarditis–viele-sterben-binnen-10-jah/24653370.

[22] Mahrholdt H. Prognosis in myocarditis. 78th Annual Meeting of the DGK. April 12, 2012. https://doi.org/10.1016/j.jacc.201201.007.

[23] Greulich S, Seitz A, Müller KAL, et al. Predictors of mortality in patients with biopsy-proven viral myocarditis: 10-year outcome data. J Am Heart Assoc. 2020 Aug 18;9(16):e015351. https://doi.org/10.1007/10.1161/JAHA.119.015351.

[24] Kindermann I, Barth C, Mahfoud F, et al. Update on myocarditis. J Am Coll Cardiol. 2012 Feb 28;59(9):779-92. https://doi.org/10.1016/j.jacc.2011.09.074.

[25] Parmacek MS, Epstein JA. Cardiomyocyte renewal. N Engl J Med. 2009 Jul 2;361(1):86-8. https://doi.org/10.1056/NEJMcibr0903347.

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