Appel à l’action
Injections contre le COVID-19, synthèse des préjudices et dommages connus
Un article scientifique évalué par des pairs décrit les dommages potentiellement irréversibles causés par les injections anti-COVID. Il établit un lien formel entre ces atteintes et les manipulations génétiques, réalisées dans le cadre d'expériences de gain de fonction, dont le virus SARS-CoV-2 est soupçonné être le produit.

Onze experts scientifiques et juridiques publient une synthèse des dommages, potentiellement irréversibles, causés par les injections anti-COVID[1]. Ces conséquences physiologiques sont désormais abondamment documentées, le recensement le plus complet faisant état de 3 751 études. Cet article d’anthologie, qui se présente comme une revue narrative de la littérature, est en revanche unique en son genre.
Il expose les violations éthiques commises au nom de la pandémie et les dégâts incommensurables qu’elles ont entraînés sur le plan économique, psychologique et anthropologique. Il explique également comment est née la pandémie et quelles caractéristiques ont été ajoutées à un coronavirus de chauve-souris pour en faire une arme biologique ayant la capacité de tuer, handicaper ou stériliser tout ou partie de l’humanité.
Était-ce le but partagé par ceux qui ont promu ou rendu obligatoires ces injections ? Peu importe, ceux qui se taisent ou s’emploient à consolider le mensonge présentant les vaccins anti-COVID comme sûrs et efficaces participent de la même démarche. C’est la conclusion de cet appel à l’action, dont nous proposons ici une traduction partielle.
Principaux résultats
Des preuves convaincantes montrent que le SARS-CoV-2 et les injections à ARNm modifié contre le COVID-19 sont le résultat de recherches à gain de fonction (GoF), avec des caractéristiques génomiques suggérant une ingénierie délibérée plutôt qu’une évolution naturelle. Les résultats vaccinaux semblent confirmer cette hypothèse. Loin d’être bénins, ces vaccins ont provoqué des dommages profonds, perturbant presque tous les systèmes du corps humain et contribuant à des niveaux sans précédent de morbidité et de mortalité. Ce schéma de toxicité systémique, qui ne peut être considéré comme une coïncidence, nécessite un réexamen des données et une enquête urgente.
Origines du SARS-CoV-2 et des injections à ARNm modifié
Il existe une longue histoire de collaboration entre les États-Unis et la Chine, notamment l’Institut de virologie de Wuhan (WIV), dans les expériences de gain de fonction (GoF) et les techniques de manipulation virale. En particulier, la proposition DEFUSE soumise en 2018 par EcoHealth Alliance à l’Agence pour les projets de recherche avancée de la défense (DARPA) décrivait la création intentionnelle de coronavirus chimériques à infectiosité accrue, incluant des caractéristiques comme le site de clivage par la furine (FCS) – une séquence qui joue un rôle majeur dans la transmission du virus, sa pénétration dans l’organisme et sa pathogénicité, et qui est absente des virus similaires au SARS trouvés dans la nature – et des inserts semblables au virus de l’immunodéficience humaine (VIH), retrouvées chacune dans le SARS-CoV-2. Ces manipulations, qui représentent une violation de la Convention sur les armes biologiques correspondent aux objectifs de quatre des sept catégories d’expériences de type GoF.
Suppression d’informations et développement précoce du vaccin
Le premier prototype de vaccin a été développé, le 13 janvier 2020, par le Centre de recherche sur les vaccins (VRC) dirigé par Anthony Fauci, et le laboratoire Moderna, avant que la transmission interhumaine ne soit officiellement confirmée. Ce calendrier inédit révèle une compréhension précoce du fort potentiel de propagation du virus. Or celle-ci a été dissimulée à la communauté médicale et au public.
Une téléconférence le 1er février 2020, convoquée par Anthony Fauci et Jeremy Farrar visait à supprimer les préoccupations concernant la présence d’inserts semblables au VIH et le site de clivage de la furine, retrouvé également dans un brevet de Moderna daté de 2017. L’article[2] largement cité sur l’« origine proximale du SARS-CoV-2 » a été coordonné par les participants à cette téléconférence pour discréditer les théories d’origine en laboratoire. La dissimulation délibérée de caractéristiques génomiques critiques a retardé la prise de conscience publique et les efforts d’atténuation de la pandémie.
Anomalies de la Base de données épidémiologique médicale de la Défense
En 2021, des lanceurs d’alerte du Pentagone ont signalé des augmentations significatives du nombre de pathologies médicales déclarées par rapport aux bases de 2016-2020, dans la Base de données épidémiologique médicale de la défense (DMED). Ces anomalies ont été attribuées par le Département de la défense (DoD) à une « erreur de logique de programmation ». Pourtant, en 2023, la mise à jour des données a confirmé des diagnostics élevés, y compris la myocardite (151,4 %). Des analyses supplémentaires menées par le Lt. Edward Macie jusqu’en avril 2025 confirment la persistance de ces variations : myocardite (153,8 %), cancer des organes digestifs (46,3 %), et idées suicidaires/homicidaires (85,6 % en 2024).
Dysfonction auto-immune et immunologique
La vaccination contre le COVID-19 s’est accompagné d’une hausse des maladies auto-immunes, dont le syndrome de Guillain-Barré (GBS), la thrombocytopénie immunitaire (ITP), l’hépatite auto-immune, la néphropathie IgA, le lupus érythémateux systémique (LES) et l’arthrite rhumatoïde (AR), avec des taux atteignant 74,79 %[3], voire 81,5 %[4] (dont 4,7 % de décès) selon les études. Des résultats similaires ont été notés dans plusieurs études[5],[6], notamment la réactivation d’une infection virale (virus d’Epstein-Barr, herpès, cytomégalovirus) ou bactérienne latente, qui a été documentée chez plus de 90 % des personnes évaluées.
Trougakos et al.[7] ont proposé que la protéine spike elle-même, quelle que soit sa source, peut altérer les fonctions immunologiques et vasculaires. De même, Peluso et al.[8] et Santopaolo et al.[9] ont trouvé que les individus avec des séquelles de COVID-19 (PASC) présentaient une activation prolongée des lymphocytes T spécifiques du SARS-CoV-2 et des cytokines inflammatoires élevées persistant des mois après la phase aiguë, suggérant une dysrégulation immunologique à long terme. Celle-ci pourrait s’expliquer par la persistance de la protéine spike, retrouvée chez des individus vaccinés avec un COVID long[10] 15 mois après la vaccination, et plus récemment jusqu’à 700 jours, ce qui souligne le risque de dommages irréversibles[11].
Hypersensibilité, orage cytokinique et injections répétées
Des preuves suggèrent que les vaccins biologiques à ARNm modifié peuvent déclencher des réactions d’hypersensibilité médiées par les anticorps IgE, pouvant mener à des tempêtes de cytokines. Une exposition répétée à des antigènes viraux, comme la protéine spike du SARS-CoV-2, ou à des composants de vaccin comme les nanoparticules lipidiques (LNPs) et le polyéthylène glycol (PEG), peut sensibiliser le système immunitaire, augmentant le risque de tempêtes de cytokines lors d’expositions ultérieures[12],[13].
Ces tempêtes conduisent à des manifestations cliniques allant de réactions allergiques légères (éruptions cutanées, urticaire) à des issues graves, comme l’anaphylaxie[14], des conditions auto-immunes et inflammatoires[15], ou des événements cardiovasculaires, y compris le syndrome de Kounis, où l’anaphylaxie déclenche un syndrome coronarien aigu.
Une étude italienne récente a signalé un risque de mortalité toutes causes confondues plus élevé chez les personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin que chez les personnes non vaccinées, les rappels n’ayant montré aucun effet protecteur. La perte d’espérance de vie a été évaluée à – 37 % chez les personnes ayant reçu plusieurs doses[16]. Des études post-mortem ont noté une mortalité toutes causes confondues accrue chez certains vaccinés, avec des décès survenant peu après la vaccination, suggérant des réactions immunologiques aiguës comme des tempêtes de cytokines ou de l’anaphylaxie comme contributeurs potentiels[17].
Événements cardiovasculaires indésirables
Des données substantielles indiquent désormais que la vaccination à ARNm contre la COVID-19 est associée à de graves effets indésirables cardiovasculaires, dont la myocardite et la péricardite[18]. Deux études majeures portant sur 184 millions de personnes fournissent des résultats cohérents concernant le profil de sécurité de ces produits, dont :
- étude de Faksova et al. (n = 99 millions)[19] : risque accru de 510 % de myocardite ;
- étude de Karimi et al. (n = 85 millions)[20] : risque accru de 286 % d’infarctus du myocarde et de 244 % de maladie des artères coronaires après la deuxième dose, de 240 % d’accident vasculaire cérébral et de de 199 % d’arythmie cardiaque après la première dose.
Ces effets cardiovasculaires délétères sont probablement dus à l’absorption du vaccin par le cœur, ce qui entraîne la production de protéines de pointe pour les cardiomyocytes, une inflammation et, en fin de compte, une cicatrisation irréversible[21]. Une analyse de 325 cas d’autopsie[22] a démontré une forte probabilité de relation de cause à effet entre la vaccination contre le COVID-19 et le décès, par l’intermédiaire de lésions de plusieurs systèmes organiques.
Risques reproductifs et liés à la grossesse
La sécurité des vaccins contre le COVID-19 chez les femmes enceintes a été remise en question en raison d’événements indésirables affectant la santé maternelle, fœtale et néonatale. Le rapport post-commercialisation de Pfizer[23], achevé en février 2021, a documenté 42 086 événements indésirables, dont 1 223 décès, dans les 10 semaines suivant le lancement du vaccin. Les résultats liés à la grossesse ont montré un taux de fausse couche de 81 %, avec 26 cas sur 32 entraînant une perte de grossesse. Les taux de mortinaissance et de décès néonatal étaient de 31 pour 1 000, les taux attendus étant 5,8 et 3,9 pour 1 000 respectivement.
Le système de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) a mis en évidence des signaux de sécurité qui ont été ignorés par les autorités de santé. Une lettre de 2022 adressée au Collège américain des obstétriciens et gynécologues mentionnait des risques accrus de fausse couche, de malformations fœtales et de pertes de grossesse soutenus par 1 019 articles révisés par des pairs dans les 12 mois suivant le lancement, un nombre qui a augmenté à 3 580 d’ici juin 2024[24],[25].
Une étude de 2023[26] a comparé les événements indésirables post-vaccination contre le COVID-19 et contre la grippe. Les rapports proportionnels de risque étaient jusqu’à 4 257 fois supérieurs après une injection anti-COVID. Une analyse de 2025 a retrouvé 37 événements indésirables sur 40 mois présentant des violations des signaux de sécurité CDC/FDA.
Une série d’études publiées entre 2022 et 2024 ont confirmé le transfert transplacentaire de l’ARNm[27], suggérant des effets fœtaux, ainsi que son passage dans le lait maternel[28],[29]. En 2022, Aldén et al.[30] ont également démontré in vitro une transcription inverse de l’ARNm vaccinal dans les cellules hépatiques humaines, soulevant des inquiétudes sur une possible intégration génomique. Ces résultats indiquent des effets développementaux ou immunologiques chez les fœtus ou nouveau-nés à partir de l’exposition à l’ARNm.
Signaux de sécurité VAERS et préoccupations sur la contamination des vaccins
Le VAERS a enregistré 25 641 décès et 1 183 493 rapports d’événements indésirables liés aux vaccins contre le COVID-19 au 11 mars 2022[31]. Cependant, le rapport Lazarus indique que seulement 1 à 10 % des événements indésirables sont signalés au VAERS. En comparaison, le programme de vaccination contre la grippe porcine de 1976 a été arrêté en raison de quelques décès et plus de 200 cas de syndrome de Guillain-Barré (GBS). Malgré 5 500 cas rapportés de GBS et de myélite transverse liés aux vaccins contre le COVID-19, ces produits restent en usage.
La contamination des vaccins a ajouté aux préoccupations de sécurité. Des laboratoires indépendants ont identifié de l’ADN plasmidique dans le vaccin de Pfizer. Un rapport de 2024 du Dr Kevin McKernan a confirmé la présence de SV40 et d’ADN plasmidique dans des biopsies d’un patient cancéreux injecté avec le vaccin Pfizer[32]. Si cet ADN s’intègre dans le génome, il pourrait conduire à une transformation cellulaire ou à des anomalies génétiques, particulièrement chez les femmes enceintes et leur progéniture.
Explosion des cancers agressifs
Depuis 2021, après la vaccination généralisée contre le COVID-19, les oncologues et les rapports de cas révisés par des pairs ont noté une augmentation de cancers agressifs survenant post-vaccination. Ces cancers se caractérisent par une apparition rapide, une présentation à un stade avancé, une occurrence chez des patients plus jeunes, et des rechutes chez des individus précédemment en rémission.
Les données épidémiologiques des États-Unis, du Royaume-Uni et du Japon indiquent une incidence accrue de cancers, en particulier chez les personnes âgées de 75 ans et plus, avec un taux croissant de décès excédentaires. L’oncologue Kashyap Patel a également noté une augmentation de cancers rares comme le cholangiocarcinome chez des patients plus jeunes et une progression rapide dans des cancers (sein, cellules rénales) depuis le début de la pandémie de COVID-19.
Plusieurs mécanismes biologiques sont proposés pour expliquer cette oncogenèse, une étude récente en ayant identifié dix-sept dont l’essentiel sont cités dans cette nouvelle revue de la littérature[33]. Ces mécanismes incluent notamment les séquences génétiques de SV40 dans les vaccins Pfizer, historiquement liées à l’oncogenèse.
Production de protéines aberrantes
L’incorporation de N1-méthylpseudouridine (m1Ψ) dans les vaccins à ARNm modifié, comme ceux développés par Pfizer-BioNTech (BNT162b2) et Moderna, vise à réduire l’immunogénicité et à améliorer la stabilité de l’ARNm. Cependant, le m1Ψ peut entraîner des erreurs de traduction, produisant des protéines aberrantes potentiellement toxiques ou auto-immunes[34],[35],[36].
Les protéines aberrantes peuvent être reconnues comme étrangères, déclenchant des réponses inflammatoires, ou partager une homologie avec des protéines humaines, risquant l’auto-immunité. Les protéines mal repliées pourraient s’agréger, causant un stress cellulaire, une toxicité ou contribuant à des troubles neurodégénératifs, comme les maladies à prions. De plus, un afflux de protéines aberrantes pourrait surcharger les voies de dégradation comme le système ubiquitin-protéasome ou l’autophagie, menant à un dysfonctionnement cellulaire et un stress mitochondrial. Dans de rares cas, des protéines fonctionnelles mais non intentionnelles pourraient émerger, interagissant potentiellement avec la chromatine pour causer des changements épigénétiques ou affecter le cycle cellulaire pour promouvoir la tumorigenèse[37].
Considérations biopsychosociales et éthiques
Les mandats de vaccination contre le COVID-19 ont causé des dommages biopsychosociaux significatifs, y compris des violations éthiques, une fragmentation sociale, une détresse psychologique, une dévastation économique et une érosion de la confiance dans la santé publique, tout en ne tenant pas les promesses de bénéfices. Ces politiques ont perturbé le bien-être individuel, la cohésion sociale et la crédibilité institutionnelle, laissant des cicatrices durables.
Éthiquement, les mandats ont violé l’autonomie personnelle et l’intégrité corporelle, des principes fondamentaux de l’éthique médicale. En liant l’emploi, l’éducation ou l’accès public au statut vaccinal, ils ont sapé le consentement éclairé, consacré dans le Code de Nuremberg, la Déclaration d’Helsinki et le Rapport Belmont. Psychologiquement, ils ont fracturé la confiance dans les institutions de santé publique, favorisant la division sans pour autant augmenter les taux de vaccination[38].
Économiquement et socialement, les mandats ont exacerbé les inégalités. Le passe sanitaire en France, par exemple, a marginalisé les populations vulnérables, approfondissant la précarité économique et les divisions sociales.
L’avenir des produits biologiques à base d’ARNm : promesses, risques et impératifs éthiques
Au-delà des vaccins contre la COVID-19, des plateformes avancées comme l’ARN autoamplificateur (ARNsa) et l’ARN circulaire (ARNcirc) sont à l’étude, avec plus de 1 160 essais cliniques menés depuis 2019 sur le cancer, les maladies infectieuses et les maladies génétiques rares. Ces « mises à niveau logicielles pour l’organisme » présentent des risques importants, comme l’absence de mécanismes de régulation de la dose, de la durée ou de l’arrêt des protéines soulève de graves problèmes de sécurité.
Le pipeline de Moderna comprend 48 programmes, dont 36 en essais cliniques[39]. En 2025, 150 à 200 thérapies et vaccins à base d’ARNm sont en développement clinique et préclinique à l’échelle mondiale, dont 70 % ciblent les maladies infectieuses et le cancer. Cependant, les produits biologiques à ARNm modifié contre le COVID-19 n’ont pas réussi à prévenir la transmission, ont montré une efficacité négative et ont provoqué des effets indésirables importants[40],[41].
Ces lacunes sapent les allégations de sécurité et d’efficacité, nécessitant un examen rigoureux des plateformes de nouvelle génération.
Violations
Les données présentées dans cet article révèlent une crise multiforme, alimentée par la manipulation délibérée du SRAS-CoV-2 par la recherche GOF, et par les conséquences catastrophiques sur la santé des produits biologiques à ARNm modifiés, qui ont déclenché une toxicité systémique sur de multiples organes.
Vacciner pendant une pandémie active sans évaluer l’immunité naturelle, 27 fois plus protectrice que l’immunité induite par le vaccin[42], risquait de provoquer des réponses immunologiques dangereuses. Ainis, la promotion des vaccins antigrippaux a accru la sensibilité au coronavirus par interférence respiratoire[43].
En ce sens, ce fut une folie.
Conclusion
Les caractéristiques virales et les vaccins conçus qui dévastent les systèmes immunologiques, cardiovasculaires, reproductifs et neurologiques sont à l’origine d’une morbidité et d’une mortalité stupéfiantes, dont les effets sont peu susceptibles d’être accidentels. Les efforts coordonnés pour masquer ces vérités, rendus possibles par les boucliers de responsabilité et les échecs législatifs, ont aggravé un désastre sanitaire mondial.
La recrudescence des maladies auto-immunes, des cancers agressifs, des pertes de grossesse, des décès cardiovasculaires, la fragmentation de la société et les risques imminents des plateformes avancées d’ARNm exigent un arrêt immédiat de l’utilisation des vaccins et des produits biologiques à base d’ARNm, des enquêtes approfondies sur les motifs de cette violation sans précédent de la confiance du public et des mesures énergiques pour rétablir des thérapies sûres et des pratiques éthiques en matière de santé publique.
Références
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[33] Voir les deux articles suivants :
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