Leçon de science
Arrêt du financement des vaccins ARNm, pourquoi RF Kennedy a eu raison de prendre cette décision
Les États-Unis ont mis un terme au financement de la recherche sur les vaccins à ARN messager contre le COVID. Nous présentons ici les principales données sur lesquelles repose cette décision.

Le secrétaire du département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS), Robert F. Kennedy Jr, a annoncé le 5 août l’arrêt de l’aide fédérale au développement de nouveaux vaccins à ARN messager contre des maladies respiratoires, en particulier contre le COVID. Le Dr Steven Hatfill, conseiller au HHS et expert en armes biologiques, a été interrogé il y a quelques jours sur les motivations de cette décision. Il explique que celle-ci a été prise en accord avec les données scientifiques. Celles-ci démontrent selon lui, de manière convergente, que se faire vacciner est plus dangereux que de contracter le COVID :
Ce qui s’est passé, c’est que les données se sont accumulées au point que des études de méta-analyse ont pu être réalisées. Il s’agit d’analyses très complètes. Et il en est ressorti de manière pratiquement cohérente qu’il n’y avait pas de rapport bénéfice/risque à prendre un vaccin à base d’ARN messager. En fait, il était plus dangereux de se faire vacciner que de contracter le COVID-19 et d’être hospitalisé pour cette raison.
https://twitter.com/i/status/1954975570015686845
C’est en 2022 que ces données ont commencé à être publiées. Les effets secondaires de cette thérapie génique étaient tellement énormes et progressifs qu’il était difficile de les imaginer. Enfin, il y a quelques mois, certaines études biochimiques détaillées ont commencé à être publiées. Et le flot soudain d’ARN messager… il semble que, indépendamment de ce que l’insert d’ARN messager code, la simple quantité de millions de molécules d’ARN messager entrant dans la cellule crée des ravages biochimiques. Il perturbe le métabolisme des protéines, il interfère avec les gènes suppresseurs de tumeurs. Il endommage complètement les mitochondries, les centrales électriques de la cellule. Il fallait l’arrêter.
Le Dr Hatfill va en réalité plus loin que RF Kennedy Jr, puisqu’il estime que les injections anti-COVID devraient être retirées du marché. Il rappelle les efforts désespérés de Pfizer et la FDA pour dissimuler les données des essais cliniques, qui révélaient depuis le début que les injections n’étaient ni sûres ni efficaces, sur l’ensemble des résultats attendus. Pfizer a été condamné en 2022 à publier l’ensemble des données, qui couvrent des millions de pages, dont la majorité sont aujourd’hui déclassifiées. Une nouvelle décision de justice a toutefois été requise pour contraindre le laboratoire a divulgué les données concernant les contrôles qualité et la composition des injections, que Pfizer refuse toujours de publier :
Il s’avère que les fabricants n’ont pas fait preuve de diligence raisonnable pour s’assurer qu’il s’agissait de produits sûrs avant qu’ils ne soient mis sur le marché américain. Et tout au long de la période 2021 à 2024, les sociétés pharmaceutiques ont essentiellement géré la réponse à la pandémie. Personne ne leur a tenu tête. Personne ne les a remis en question.
https://x.com/PanDanTag/status/1954975759644209235
Judicial Watch, America First Legal ont pu obtenir certains documents. [Pfizer et la FDA] ne voulaient pas les sortir. Ils voulaient un moratoire de 70 ans sur les données des essais cliniques, qui, dès le début ont montré que ça n’a jamais empêché l’infection, que ça n’a jamais empêché la transmission de maladies. Et il n’y a pas de bonnes données cliniques qui ont montré que ça réduisait la gravité de la maladie. Les CDC, en réponse – je ne sais pas ce qui a mal tourné avec cette agence autrefois excellente, mais ils sont devenus des suppléants des grandes entreprises pharmaceutiques –, ont publié un papier disant : « Oui, nous avons sauvé environ 14 millions de vies avec le programme de vaccination. » Non ! L’étude a été déchirée en lambeaux par les épidémiologistes. C’était basé sur un modèle informatique et contre l’idée qu’il y a pic et qu’il descend puis remonte à nouveau.
Le Dr Jay Bhattacharya, qui remplace aujourd’hui Anthony Fauci à la tête du NIH, a confirmé cette analyse il y a deux jours :
Il est très important que les gens comprennent que… en ce qui concerne la santé publique pour les vaccins, la plateforme d’ARNm n’est plus viable… Et ce que vous voyez avec Colbert[1]… c’est de la frustration parce qu’ils n’obtiennent plus ce qu’ils veulent.
https://twitter.com/i/status/1954368590184092072
À titre d’information, le bilan des premiers mois du mandat de RFK Jr, qui a dénonçé il y a quelques jours la corruption généralisée de la classe politique et que le Washington Post décrit en retour, dans une forme de confirmation honteuse, comme une « catastrophe de santé publique », est résumé dans cet article.
L’épidémiologiste Nicolas Hulscher relève trois raisons pour lesquelles les vaccins ARNm auraient dû être depuis longtemps retirés du marché, et auraient dû l’être depuis longtemps. Chacune serait suffisante si le marché que convoitent les laboratoires n’était pas si profitable. Elles ont été débattues dans une métanalyse qui recense près de 70 études[2].
Surmortalité
Plus de 12 études[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9],[10],[11],[12],[13],[14] ont démontré que les injections contre le COVID-19 augmentent le risque de décès, réduisent l’espérance de vie (– 37 %) et ont tué environ 17 millions de personnes dans le monde.
Ces résultats sont corroborés par les données du système de notification américain des effets indésirables (VAERS) où le nombre de décès recensés (plus de 38 000) représente près de 4 000 fois (+ 375 340 %) le plafond de sécurité historique à partir duquel un vaccin était traditionnellement sorti du marché.
La dernière étude en date, basée sur les données de l’OMS (Okoro, et al.), rapporte :
- une augmentation des décès dans toutes les régions de l’OMS après le déploiement du vaccin ;
- une augmentation de 1 275 % des décès dans le Pacifique occidental après la vaccination de masse ;
- des pics de mortalité maximaux dans les zones les plus fortement vaccinées.
Le vaccin Pfizer s’est avéré le plus délétère selon une étude[15] récente en cours de validation, coproduite par le Dr R. Levi (MIT) et le Dr J. Lapado, ministre de la Santé de Floride, où il était associé aux résultats suivants :
- + 37 % de risque de décès qu’après le vaccin Moderna ;
- + 53 % de mortalité cardiovasculaire ;
- + 88 % de mortalité COVID ;
- + 35 % de mortalité non COVID.
Selon Nicolas Hulscher qui a extrapolé ces données, ce résultat implique après ajustement que le vaccin Pfizer serait responsable, pour la seule année 2021, du décès de 470 000 à 600 000 Américains, ce qui représente plus de morts que ceux causés par les deux premières guerres mondiales et la guerre du Vietnam cumulées.
Efficacité négative
Au moins 16 études[16],[17],[18],[19],[20],[21],[22],[23],[24],[25],[26],[27],[28],[29],[30],[31], établissent que les individus « vaccinés » sont confrontés à un risque d’infection plus élevé que ceux qui ne le sont pas en raison d’une dysrégulation du système immunitaire. Les résultats détaillés de ces études ont été résumés par Nicolas Hulscher et une lanceuse d’alerte suisse.
Ce risque explose littéralement chez les enfants (Feldstein et al.) selon une étude récente du CDC, qui a révélé que les enfants vaccinés contre le COVID-19 avec Pfizer ont 159 % plus de risques d’être infectés par le SARS-CoV-2 (x 2,59) et 257 % plus de risques de développer un COVID-19 symptomatique que leurs pairs non vaccinés (x 3,57).
Nicolas Hulscher a par ailleurs identifié 131 études qui documentent le mécanisme de facilitation des contaminations connu sous le nom de « péché antigénique ».
Contamination de l’ADN
À ce jour, 10 équipes de chercheurs[32] ont confirmé que les « vaccins » à ARNm anti-COVID Pfizer et Moderna étaient massivement contaminés par de l’ADN plasmidique non réglementaire. Cette contamination est documentée pour plusieurs fabricants (Pfizer et Moderna) et régions géographiques, avec des niveaux dépassant les seuils réglementaires jusqu’à 65 500 % (x 655).
Le Dr Kevin McKernan, l’expert mondial en génomique à l’origine de cette découverte, a également établi la présence de séquences d’un virus de singe oncogène (SV40) dans les injections Pfizer. L’utilisation de ce matériel génétique prohibé par les agences de réglementation a été activement dissimulée par le laboratoire qui a commencé par nier leur existence, avant de la reconnaître et d’affirmer qu’il ne pouvait pas s’intégrer dans le génome, contrairement à ce que démontre la littérature[33], et induire de potentiels cancers, qui sont le principal risque associé à cette intégration.
Le Dr McKernan a rapporté plus tard des preuves d’intégration de ce matériel génétique dans l’ADN des personnes injectées, où il a retrouvé des séquences de SV40 dans des cellules cancéreuses apparues après la vaccination. Ces preuves ont été transmises à la FDA et au régulateur australien, qui n’ont pris aucune mesure. En novembre dernier, le Pr Philippe Buckhaults a également confirmé l’intégration génomique du matériel vaccinal, à des fréquences allant de 1/1 000 cellules à 1/10 000 cellule (11′ de la conférence). Il a également examiné 50 tumeurs apparues après la vaccination, dont certaines contiennent le matériel génétique vaccinal.
L’impact de cette contamination évoqué par le Dr Steven Hatfill a été récemment établi dans une étude en cours de révision par les pairs, qui démontre une perturbation génétique à long terme causées par les injections anti-COVID, dont elle confirme le potentiel cancérigène.
Études populationnelles
Par ailleurs, les deux plus grandes études[34],[35] comparatives jamais réalisées en population réelle (184 millions de personnes concernées) font état de taux d’événements indésirables observés chez les personnes vaccinées vs non-vaccinées à des niveaux inacceptables :
- Étude de Faksova et al., publiée en 2024, portant sur 99 millions de personnes :
- Myocardites : + 510 % après la dose 2 ;
- Inflammation du cerveau/de la moelle épinière : + 278 % après la dose 1 ;
- Caillots cérébraux : + 223 % après la dose 1 ;
- Syndrome de Guillain-Barré : + 149 % après la dose 1.
- Étude de Karimi et al., publiée en 2025, portant sur 85 millions de personnes :
- Crise cardiaque : + 286 % après la dose 2 ;
- Accident vasculaire cérébral : + 240 %, après la dose 1 ;
- Maladie coronarienne : + 244 %, après la dose 2 ;
- Arythmie cardiaque : + 199 %, après la dose 1.
Enfin, la base React19 recense plus de 3 750 études évaluées par des pairs qui décrivent les blessures et les décès liés au vaccin anti- COVID-19. Jamais dans l’histoire de la médecine une telle masse de preuves n’a été collectée, et encore moins publiée pendant une campagne de vaccin, sans que les autorités de santé ne réagissent si ce n’est pour inciter la population à continuer à s’injecter.
Précisons qu’au-delà des essais cliniques, où les participants ont été littéralement abandonnés avec un recensement erroné de leurs effets indésirables (les dates de décès ont notamment été falsifiées dans l’essai Pfizer pour permettre au vaccin de franchir le cap de l’homologation), les autopsies ont été rarissimes et la pharmacovigilance totalement défaillante durant la campagne de vaccination. Or la règle d’or en pharmacovigilance (« Coupable jusqu’à preuve du contraire ») est que vous ne pouvez écarter le rôle du vaccin que si vous êtes en mesure d’identifier une cause alternative. Tous les décès de cause inconnue, qui ont été l’une, voire la première cause de décès dans de nombreux pays, sont donc imputables par défaut au vaccin.
Précisons également que les représentants de Pfizer avaient admis publiquement lors d’une réunion avec la FDA :
De toute évidence, nous ne comprenons pas complètement le fonctionnement du vaccin en termes de production d’une réponse immunitaire.
https://x.com/TheChiefNerd/status/1954323866500657279
La réponse de la FDA se passe de commentaires :
Nous ne saurons jamais à quel point ce vaccin est sûr tant que nous ne l’administrerons pas.
https://twitter.com/i/status/1649146865999544320
La nouvelle philosophie du HHS est probablement un drame pour les fabricants et ceux qui espèrent que les profits issus de cette tragédie continueront de ruisseler, mais c’est une respiration salutaire pour des millions de citoyens.
Références et notes
[1] Colbert est un présentateur télé à forte audience qui a commenté la décision de RFK par un doigt d’honneur. Il s’était humilié durant la pandémie lors d’une sorte show, avec une mise en scène grotesque destinée à encourager la population à se faire injecter. https://x.com/DschlopesIsBack/status/1946022942589997190.
[2] Hulscher N, Bowden MT, McCullought PA. Review: Calls for market removal of COVID-19 vaccines intensify as risks far outweigh theoretical benefits. Sci Publ Health Pol Law. 2025 Jan 28; v6.2019-2025. https://publichealthpolicyjournal.com/review-of-calls-for-market-removal-of-covid-19-vaccines-intensify-risks-far-outweigh-theoretical-benefits/.
[3] Hulscher N, Hodkinson R, Makis W, McCullough PA. A systematic review of autopsy findings in deaths after COVID-19 vaccination. ESC Heart Fail. 2024 Jan 14. https://doi.org/10.1002/ehf2.14680. Mise à jour en nov. 2024 : Hulscher N, Alexander PE, Amerling R, Gessling H. A systematic review of autopsy findings in deaths after COVID-19 vaccination. Sci Publ Health Pol Law. 2024 Nov 17; v5.2019-2024.
[4] Rancourt DG, Baudin M, Hickey J, Mercier J. COVID-19 Vaccine associated mortality in the Southern Hemisphere. J Res Appl Med. 2023. https://researchandappliedmedicine.com/revistas/vol2/revista2/canada-ingles.pdf [mise à jour 30/07/2024].
[5] Mostert S, Hoogland M, Huibers M, Kaspers G. Excess mortality across countries in the Western World since the COVID-19 pandemic: ‘Our World in Data’ estimates of January 2020 to December 2022: BMJ Publ Health. 2024;2(1):e000282. https://doi.org/10.1136/bmjph-2023-000282.
[6] Skidmore M. COVID-19 illness and vaccination experiences in social circles affect COVID-19 vaccination decisions. Sci Publ Health Pol Law. 2023 Oct 02;v4.2019-2024. https://publichealthpolicyjournal.com/covid-19-illness-and-vaccination-experiences-in-social-circles-affect-covid-19-vaccination-decisions/.
[7] Pantazatos S, Seligmann H. COVID vaccination and age-stratified all-cause mortality risk. Research Gate 2021 Oct 26. Epub Oct 26. https://doi.org/10.13140/RG.2.2.28257.43366.
[8] Hulscher N, Cook MJ, Stricker RB, McCullough PA. Excess cardiopulmonary arrest and mortality after COVID-19 vaccination in King County, Washington. J Emerg Med OA. 2024 Oct 24;2(1):1-11. https://doi.org/10.33140/JEMOA.02.01.12.
[9] Aarstad J, Kvitastein OA. Is there a link between the 2021 COVID-19 vaccination uptake in Europe and 2022 excess all-cause mortality? Asian Pac J Health Sci. 2023;10(1):25-31. https://doi.org/10.21276/apjhs.2023.10.1.6.
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