Confirmation
L’UE contrainte d’avouer que la vaccination anti-COVID était expérimentale
La Commission européenne a confirmé par écrit, fin août, que les vaccins anti-COVID avaient été libérés sans données de sécurité suffisantes, et qu'elle avait donc menti en prétendant qu'ils étaient sûrs et efficaces. Le député autrichien Gerald Hauser exige désormais des réponses quant aux conséquences judiciaires de ce mensonge.

La Commission européenne a été interpellée par écrit, le 27 mai dernier, par le député autrichien Gerald Hauser (Parti de la liberté d’Autriche). Il l’accuse d’avoir organisé, dans le cadre de la vaccination contre le COVID-19, « l’expérience la plus importante de l’histoire humaine » en citant en appui un extrait du contrat signé avec le laboratoire Pfizer (pages 48-49) dans lequel il est stipulé que « les États membres doivent accepter que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus et que des effets indésirables inconnus peuvent survenir » :
Dans ce contrat légal, la Commission a ainsi confirmé que l’efficacité et la sécurité de ce nouveau vaccin à base d’ARNm n’étaient pas connues. Avec l’autorisation conditionnelle de ce vaccin à base de gènes totalement insuffisamment testé le 21 décembre 2020, la Commission a lancé la plus grande expérience de l’histoire de l’humanité, avec 4,6 millions de doses administrées dans le monde. Les citoyens vaccinés n’ont jamais été informés des incertitudes, ce qui signifie que les vaccins à base de gènes ont été administrés sans les informations et les consentements nécessaires et qu’ils étaient tous en infraction au Code de Nuremberg.
1. Stella Kyriakides a-t-elle signé ce contrat de manière indépendante, sans consulter la Commission ?
2. L’ensemble de la Commission, y compris la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a-t-elle conjointement décidé de signer le contrat de vaccination ?
3. Pourquoi la Commission n’a-t-elle pas respecté le traité et n’a-t-elle pas informé les citoyens – comme l’indique le contrat de vote – que l’efficacité et la sécurité du vaccin génétique ne sont pas garanties ?
https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-10-2025-002126_EN.html
Début mars, il avait dénoncé le nombre massif de décès associés aux vaccins anti-COVID en citant la constitution de l’Organisation mondiale de la santé qui rappelle la responsabilité des États-nations vis-à-vis de la santé de leurs concitoyens.
La réponse de la Commission est intervenue le 28 août Elle reconnaît que les vaccins anti-COVID administrés à la population l’ont été sans données de sécurité suffisantes, mais que les contrats, et donc leurs conditions, ont été négociés par une équipe mixte impliquant l’ensemble des États :
Cette équipe a régulièrement fait rapport à un comité de pilotage des vaccins coprésidé par la Commission et un État membre participant, qui a fourni des orientations.
Lorsque le texte définitif du contrat a été négocié, la signature a été exécutée par le commissaire responsable, non pas de manière indépendante, mais après approbation par le Collège.
Le processus était donc fondé sur un effort commun et une prise de décisions collectives, tant dans la négociation que dans la signature des contrats.
Les premiers vaccins contre la COVID-19 ont obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMMc), un type spécifique d’autorisation de mise sur le marché pour faciliter l’accès aux médicaments répondant à un besoin médical non satisfait, y compris dans des situations d’urgence telles que la pandémie de COVID-19, alors qu’un dossier de données complet n’est pas encore disponible.
https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-10-2025-002126-ASW_EN.html
Elle explique dans la suite de la réponse avoir toujours fait preuve de transparence et s’être conformée au calendrier légal pour la publication des données de sécurité. Elle n’explique pas en revanche pourquoi elle a violé l’obligation légale qu’elle avait d’informer les citoyens de ce manque de données, créant ainsi une brèche dans laquelle se sont engouffrés les gouvernements. On se souvient notamment de la virulence avec laquelle Olivier Véran avait assuré que les vaccins avaient été entièrement testés avant leur mise sur le marché.
Le 3 septembre, le député autrichien Gerald Hauser a donc reposé la question omise dans cette réponse, agrémentée de trois nouvelles interrogations concernant la sécurité des injections, le dédommagement des citoyens victimes de blessures vaccinales, notamment ceux qui n’étaient pas à risque et qui ont été relégués au rang de « cobaye expérimental » et la pérénité des autorisations de mise sur le marché ou a minima des recommandations vaccinales, sur le point d’être révoquées aux États-Unis :
Dans sa réponse à la question E-002126/2025, la Commission a récemment confirmé qu’« un dossier complet de données n’est pas encore disponible » pour les vaccins contre la COVID-19. Dans l’accord d’achat conclu avec Pfizer le 20 novembre 2020, la Commission et tous les États membres de l’UE ont signé pour indiquer explicitement qu’ils « reconnaissent que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas connus à l’heure actuelle ». En conséquence, chaque personne vaccinée dans l’UE a été reléguée au rang de cobaye expérimental. Le 27 août 2025, le secrétaire américain à la Santé, Robert Kennedy Jr, a déclaré que l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins contre la COVID-19 avait été révoquée. Pendant ce temps, dans l’UE, ces vaccins sont toujours proposés et recommandés sans condition à l’ensemble de la population, y compris aux femmes enceintes, aux bébés et aux enfants.
1. La Commission va-t-elle désormais également révoquer ses autorisations de vaccins contre la COVID-19 pour l’ensemble de la population ?
2. Qui, au sein de la Commission, est désormais responsable des dommages causés par les vaccins, en particulier chez les personnes en bonne santé ne présentant aucune affection préexistante ?
3. Que dit la Commission au sujet de l’absence persistante de données substantielles sur la sécurité et l’efficacité des vaccins contre la COVID-19, comme l’a désormais officiellement confirmé la FDA ?
https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-10-2025-003388_EN.html
Cette passe d’armes juridique constitue un tournant puisqu’en n’informant pas les citoyens des risques mentionnés dans les contrats, la Commission a violé le droit européen. Mais surtout, en ne respectant pas les indications pour lesquels les vaccins ont été homologués, elle devient juridiquement responsable des effets indésirables survenus dans la population qui n’était pas destinée à être vaccinée.
Ce point avait été soulevé en octobre 2023 lors d’un échange avec un groupe de députés, mais il prend à l’évidence une tournure plus concrète avec cette nouvelle interpellation de la présidente de la Commission.
Nous sommes impatients de lire sa réponse, espérons en fin d’année 2025.