Revue de la littérature
Une étude établit un lien entre vaccins et autisme en cherchant à le réfuter
Une étude de cohorte danoise établit une association statistiquement significative entre l’exposition à l’aluminium vaccinal et l’apparition de troubles neurocomportementaux chez les jeunes enfants. Cette nouvelle recherche complète une liste d’au moins trente études, qui suggèrent un lien entre vaccins et autisme.

Une nouvelle étude portant sur 1,4 million d’enfants vient d’apporter la preuve de l’impact des vaccins sur le développement neurologique au cours de la petite enfance. Ce lien a été établi 48 heures après la publication des résultats, l’éditeur de la revue ayant publié un correctif révélant une erreur de 200 % par rapport aux taux d’incidence de l’autisme et du trouble du déficit de l’attention (TDAH) initialement revendiqués.
Bien que les nouvelles données fassent état d’associations statistiquement significatives entre l’exposition à l’aluminium vaccinal et l’augmentation de l’incidence de l’autisme, les conclusions n’ont pas été modifiées par l’éditeur, qui mentionne simplement que les données ont été corrigées.
Un médecin exige aujourd’hui la rétractation de l’étude, présentée fallacieusement comme la « preuve définitive » d’une absence de lien entre les vaccins et l’autisme. Il souligne des erreurs méthodologiques grossières ainsi qu’un conflit d’intérêts majeur entre les auteurs et l’industrie pharmaceutique, qui autorisent à qualifier l’étude de « fraude scientifique ».
Précisons qu’en 2014[1], une fraude similaire, commise en 2004 par les CDC[2], a été révélée par l’un des auteurs de l’étude. L’article initial affirmait qu’il n’y a pas de lien entre l’âge de la vaccination (en l’occurrence avec le vaccin ROR) et le risque de diagnostic ultérieur d’autisme. Dix ans plus tard, un chercheur indépendant[3] a confirmé que ce risque d’autisme était 3,4 fois plus élevé chez les enfants afro-américains vaccinés avant l’âge de 2 ans.
Version initiale de l’étude
L’étude, publiée le 15 juillet 2025 dans les Annales de médecine interne (Annals of Internal Medicine), avait pour objectif d’évaluer l’association entre l’exposition cumulée à l’aluminium résultant de la vaccination dans la petite enfance et le risque de troubles auto-immuns, atopiques ou allergiques et de neurodéveloppement.
Elle a porté sur les données du Registre national de vaccination danois impliquant 1,224 million d’enfants. Les chercheurs ont comparé l’évolution des diagnostics de 50 troubles chroniques, incluant le trouble du spectre autistique et le TDAH, avec l’augmentation de la teneur en aluminium des vaccins infantiles, entre 1997 et 2020.
Ils n’ont retrouvé aucune association positive entre l’exposition cumulative à l’aluminium issu de la vaccination entre 0 et 2 ans, et l’augmentation des taux des 50 troubles évalués, les augmentations de risque observées étant respectivement de 0,93 pour les troubles du développement neurodéveloppemental, 0,98 et 0,99 pour les troubles allergiques et auto-immuns.
Les auteurs concluent sur cette base :
Cette étude de cohorte nationale n’a trouvé aucune preuve à l’appui d’un risque accru de troubles auto-immuns, atopiques ou allergiques, ou de troubles du neurodéveloppement associés à l’exposition de la petite enfance aux vaccins adsorbés à l’aluminium.
Biais méthodologiques
Le Dr Friedrich V. Pfister, à l’origine de la demande de rétraction de l’étude, soulève plusieurs problèmes méthodologiques et éthiques :
- déclaration trompeuse : l’ampleur de la révision du nombre de diagnostics d’autisme et de TDAH (5 200 vs 2 200, soit un ratio de 2,36) modifie fondamentalement les conclusions de l’étude qui continuent pourtant de stipuler catégoriquement une absence de lien entre l’exposition à l’aluminium vaccinal et l’augmentation des taux des 50 troubles évalués ;
- conclusions invalides : l’étude suit les enfants jusqu’à l’âge de 5 ans, avec une analyse secondaire jusqu’à l’âge de 8 ans. Or l’autisme et le TDAH sont rarement diagnostiqués avant l’âge de 7 ans au Danemark ;
- conflits d’intérêts : trois des quatre auteurs sont affiliés au Statens Serum Institut (SSI), un fabricant de vaccins ayant un intérêt financier direct dans les résultats de la recherche. L’étude ne mentionne pourtant aucun conflit d’intérêts.
L’étude a également été analysée par le collectif Health Freedom Defense Fund. Le HFDF soupçonne l’augmentation du nombre d’injections recommandées par les CDC d’être à l’origine de l’explosion des cas d’autisme aux États-Unis, leur incidence ayant augmenté de + 2700 % depuis la loi de 1986 qui a accordé une immunité totale aux fabricants de vaccins.

Leur analyse révèle des erreurs qui ne peuvent s’expliquer que par une volonté délibérée de tromper la communauté scientifique et les parents :
- L’étude danoise a exclu les enfants qui avaient reçu un nombre « invraisemblable » de vaccins par rapport aux nombres d’injections officiellement recommandées. Or ce nombre « invraisemblable » correspond précisément à celui que reçoivent les enfants américains ;
- Les chercheurs n’ont suivi que les enfants âgés de 2 à 5 ans dans leur analyse principale, malgré l’accès à près de trois décennies de dossiers médicaux ;
- Les enfants qui présentaient des symptômes correspondant aux conditions médicales ciblées (soit 466 047 enfants) ont été exclus de l’analyse. Ainsi, tous les enfants présentant des « conditions préexistantes » avant l’âge de 2 ans ont été exclus de la cohorte qui contenait initialement 1 384 357 enfants, ce qui représentent 32,2 % des sujets ;
- Les auteurs ont sélectionné une liste de « variables confusionnelles » pour isoler l’impact de l’exposition à l’aluminium (année et saison de naissance, sexe, âge de la mère à l’accouchement…), puis ont ajusté les données en fonction du nombre de visites médicales effectuées avant l’âge de 2 ans. Or les enfants chez qui l’exposition à l’aluminium vaccinal a pu entraîner une maladie chronique ont probablement consulté plus souvent un médecin généraliste.
L’étude a donc délibérément exclu les enfants qui auraient pu présenter des signes évidents de lésions dues à un vaccin contenant de l’aluminium ; - Les auteurs ont recherché les différences entre les enfants qui avaient reçu plus ou moins 1 mg d’aluminium à l’âge de 2 ans, au lieu de comparer les résultats de santé des enfants non exposés à l’aluminium à ceux des enfants exposés à l’aluminium. La cohorte comportait pourtant 15 237 enfants n’ayant reçu aucun vaccin adjuvé avant l’âge de 2 ans. Au lieu d’isoler ces enfants et d’en faire un groupe témoin indépendant, les auteurs les ont intégrés dans le groupe d’enfants ayant reçu un faible niveau d’exposition à l’aluminium ;
- Les résultats indiquent que l’exposition à l’aluminium a réduit le risque de nombreuses maladies chroniques. Or les auteurs ne cherchent à aucun moment à expliquer cette « découverte invraisemblable », l’aluminium étant un composé neurotoxique connu, dont l’accumulation a été retrouvée dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, de la maladie de Parkinson et de l’autisme selon les propres données du NIH américain[4].
Données scientifiques disponibles
La réfutation du lien entre vaccins et autisme se fonde principalement sur deux arguments :
- L’augmentation du nombre d’injections pédiatriques n’a entraîné aucune hausse des cas d’autisme, c’est le dépistage de la maladie qui a progressé, créant ainsi une illusion d’optique ;
- Il n’existe aucun lien de causalité entre de fortes concentrations d’aluminium et l’apparition de troubles neurocomportementaux.
Pourtant, au moins huit études évaluées par des pairs comparant le statut autistique des enfants vaccinés et non vaccinés indiquent que la vaccination infantile est fortement associée à l’autisme :
- Étude de Mawson et Jacob[5] (2025) : hausse de + 258 % des diagnostics de TSA chez les enfants nés prématurés et vaccinés vs non vaccinés, de + 170 % des cas d’autisme (x 2,7) chez les enfants ayant effectué une seule visite vaccinale et de 340 % (x 4,4) chez les enfants à partir de 11 visites vaccinales.
- Étude de Mawson et al.[6] (2017) : hausse de 320 % des cas d’autisme (x 4,2) chez les enfants scolarisés vaccinés vs non vaccinés et non scolarisés.
- Études de Hooker et Miller[7],[8] (2020 et 2021) : hausse de 403 % des cas d’autisme (x 5,03) chez les enfants vaccinés vs non-vaccinés selon les données d’enquêtes issues de plusieurs cabinets médicaux aux États-Unis.
- Étude de DeLong[9] (2011) : Plus la proportion d’enfants recevant des vaccinations recommandées est élevée, plus la prévalence de l’autisme ou de la déficience de la parole ou du langage est élevée. Une augmentation de 1 % de la vaccination a été associée à une hausse de 1,7 % de la prévalence de l’autisme ou d’un retard d’acquisition du langage (680 cas supplémentaires) ;
- Étude de Tomljenovic et Shaw[10] (2011) : l’augmentation de la prévalence du TSA au cours des deux dernières décennies est fortement corrélée à celle de l’exposition aux adjuvants à base d’aluminium ;
- Étude de Boretti[11] (2021) : Les adjuvants à base d’aluminium dans les vaccins constituent une explication plausible de l’autisme, d’après des études écologiques, des modèles animaux, des analyses de tissus cérébraux et des mécanismes biologiques ;
- Étude de Mold et al.[12] (2018) : Des niveaux extrêmement élevés d’aluminium ont été trouvés dans le cerveau des personnes atteintes de TSA, incrustés dans les neurones, les cellules immunitaires et les tissus cérébraux.
- Étude de Gallagher et Goodman[13] (2010) : Les garçons vaccinés en tant que nouveau-nés avaient trois fois plus de chances d’obtenir un diagnostic d’autisme que les garçons n’ayant jamais été vaccinés ou vaccinés après le premier mois de la vie.
À cette liste d’études s’ajoute une série d’autres recherches qui interrogent le lien entre autisme et vaccins. Nous avons recensé 19 dans laquelle les auteurs décrivent des mécanismes immunitaires[14],[15],[16],inflammatoires[17] ou génétiques[18] susceptibles d’être favorisés par des injections répétées[19],[20], ou pointent la neurotoxicité de certains composants vaccinaux (thimerosal, mercure)[21],[22],[23],[24],[25],[26],[27],[28],[29],[30],[31],[32],[33],[34] et les problèmes méthodologiques des études visant à prouver qu’ils sont sûrs[35].
Le combat de Kennedy pour rendre la santé aux Américains
L’étude danoise pourrait rebattre les cartes et mettre fin à l’obscurantisme dont se nourrit le mythe selon lequel les vaccins seraient par définition sûrs et efficaces. Le nouveau secrétaire américain à la Santé, Robert F Kennedy Jr, a consacré une partie de sa carrière d’avocat à tenter d’établir un lien entre vaccins et autisme. Il a récemment annoncé l’émergence de nouvelles preuves qui pourraient remettre fondamentalement en cause la légitimité des recommandations vaccinales et précipiter la suppression de l’immunité pénale dont jouissent les fabricants de vaccins :
En septembre, nous pourrions commencer à voir les résultats d’analyses de données massives et indépendantes. Si un lien entre vaccins et autisme est révélé, cela représentera un tort monumental. Le gouvernement a promu – et dans de nombreux cas imposé – un produit qui a causé des dommages.
Mais comment les victimes sont-elles indemnisées ? Elles ne le sont pas. En 1986, le Congrès a accordé aux fabricants de vaccins une immunité totale. Quelle que soit l’imprudence de l’entreprise, la toxicité du produit ou la gravité du préjudice, vous ne pouvez pas les poursuivre en justice.
Cette immunité est l’une des principales raisons de l’explosion du calendrier vaccinal. Quand j’étais enfant, nous disposions de trois vaccins. En 1986, lorsque la loi a été adoptée, il y en avait 11. Aujourd’hui, un enfant doit recevoir jusqu’à 92 vaccins entre la conception et l’âge de 18 ans pour pouvoir aller à l’école dans les États où la vaccination est obligatoire.
Chaque vaccin est conçu pour altérer durablement le système immunitaire. Nous assistons actuellement à une épidémie de dérèglements immunitaires : diabète, polyarthrite rhumatoïde, troubles épileptiques, TDAH, retard de langage, tics, syndrome de Gilles de la Tourette, narcolepsie, autisme, allergies aux arachides et eczéma.
Ces maladies étaient pratiquement invisibles durant notre enfance. Aujourd’hui, elles sont omniprésentes dans toutes les salles de classe. Point crucial : chacune de ces blessures est mentionnée comme effet secondaire potentiel sur la notice d’emballage des fabricants.
Lors de cette interview avec le journlaiste Tucker Carlson, il mentionne également l’obstruction des autorités de santé américaines à la conduite d’études sur l’implication potentielle des vaccins dans la survenue de certains événements indésirables :
Depuis plus de 25 ans, l’Institute of Medicine exhorte les CDC à étudier 158 cas suspects de blessures liées aux vaccins. Seulement 38 ont été étudiés, la plupart confirmant un lien. Les 120 autres ont été délibérément ignorés. Les CDC ont délibérément fait dérailler ces études cruciales.
https://x.com/newstart_2024/status/1958960700899905978
Ce n’est pas une spéculation. J’ai vu les courriels. Lorsque des scientifiques indépendants tentent de mener ce type de recherche, leurs conclusions sont censurées. Les éditeurs scientifiques refusent de publier toute étude critique à l’égard des vaccins.
Ce tabou doit disparaître. Le travail du Dr Jay Bhattacharya, chercheur collaboratif au NIH, vise à restaurer l’intégrité scientifique. Nous allons lever ce tabou et être honnêtes avec le public américain. Il est temps d’exiger les études de sécurité qui nous ont été promises et de demander des comptes à ceux qui les ont bloquées.
Kennedy a déjà expliqué à plusieurs occasions qu’aucune étude n’avait jamais été menée pour évaluer l’innocuité des composants vaccinaux. Ce combat pour la vérité fut le moteur de sa campagne. Peut-on honnêtement considérer que cet engagement relève d’une théorie du complot ?
Références
[1] Chhawchharia R, Puliyel JM. Commentary-controversies surrounding mercury in vaccines: autism denial as impediment to universal immunisation. Indian J Med Ethics. 2014 Oct-Dec;11(4):218-22. https://doi.org/10.20529/ijme.2014.055.
[2] DeStefano F, Bhasin TK, Thompson WW, Yeargin-Allsopp M, Boyle C. Age at first measles-mumps-rubella vaccination in children with autism and school-matched control subjects: a population-based study in metropolitan Atlanta. Pediatrics. 2004 Feb 1;113(2):259-66. https://doi.org/10.1542/peds.113.2.259.
[3] Hooker BS. Measles-mumps-rubella vaccination timing and autism among young african american boys: a reanalysis of CDC data. Transl Neurodegener. 2014 Aug 8;3:16. https://doi.org/10.1186/2047-9158-3-16.
[4] Tomljenovic L. Aluminum and Alzheimer’s disease: after a century of controversy, is there a plausible link? J Alzheimers Dis. 2011;23(4):567-98. https://doi.org/10.3233/JAD-2010-101494.
[5] Mawson AR, Jacob B. Vaccination and neurodevelopmental disorders: A study of nine-year-old children enrolled in Medicaid. Sci Pub Health Pol Law. 2025 Jan 23. https://publichealthpolicyjournal.com/vaccination-and-neurodevelopmental-disorders-a-study-of-nine-year-old-children-enrolled-in-medicaid/
Voir l’analyse de cette étude par la fondation McCullough : https://www.thefocalpoints.com/p/breaking-study-childhood-vaccination?utm_source=publication-search.
[6] Mawson AR, Ray BD, Bhuiyan AR, Jacob B. Pilot comparative study on the health of vaccinated and unvaccinated 6- to 12-year-old U.S. children. J Translat Sci. 2017;3(3):1-12. https://dx.doi.org/10.15761/jts.1000186.
[7] Hooker BS, Miller NZ. Analysis of health outcomes in vaccinated and unvaccinated children: Developmental delays, asthma, ear infections and gastrointestinal disorders. SAGE Open Med. 2020 May 27;8:2050312120925344. https://doi.org/10.1177/2050312120925344.
[8] Hooker BS, Miller NZ. Health effects in vaccinated versus unvaccinated children, with covariates for breastfeeding status and type of birth. J Transl Sci. 2021;7:1-11. https://doi.org/10.15761/JTS.1000459.
[9] Delong G. A positive association found between autism prevalence and childhood vaccination uptake across the U.S. population. J Toxicol Environ Health A. 2011;74(14):903-16. https://doi.org/10.1080/15287394.2011.573736.
[10] Tomljenovic L, Shaw CA. Do aluminum vaccine adjuvants contribute to the rising prevalence of autism? J Inorg Biochem. 2011 Nov;105(11):1489-99. https://doi.org/10.1016/j.jinorgbio.2011.08.008.
[11] Boretti A. Reviewing the association between aluminum adjuvants in the vaccines and autism spectrum disorder. J Trace Elem Med Biol. 2021 Jul;66:126764. https://doi.org/10.1016/j.jtemb.2021.126764.
[12] Mold M, Umar D, King A, Exley C. Aluminium in brain tissue in autism. J Trace Elem Med Biol. 2018 Mar;46:76-82. https://doi.org/10.1016/j.jtemb.2017.11.012.
[13] Gallagher CM, Goodman MS. Hepatitis B vaccination of male neonates and autism diagnosis, NHIS 1997-2002. J Toxicol Environ Health A. 2010;73(24):1665-77. https://doi.org/10.1080/15287394.2010.519317.
[14] Singh VK, Lin SX, Newell E, Nelson C. Abnormal measles-mumps-rubella antibodies and CNS autoimmunity in children with autism. J Biomed Sci. 2002 Jul-Aug;9(4):359-64. https://doi.org/10.1007/BF02256592.
[15] Singh VK, Jensen RL. Elevated levels of measles antibodies in children with autism. Pediatr Neurol. 2003 Apr;28(4):292-4. https://doi.org/10.1016/s0887-8994(02)00627-6.
[16] Richmand BJ. Hypothesis: conjugate vaccines may predispose children to autism spectrum disorders. Med Hypotheses. 2011 Dec;77(6):940-7. https://doi.org/10.1016/j.mehy.2011.08.019.
[17] Ratajczak HV. Theoretical aspects of autism: causes–a review. J Immunotoxicol. 2011 Jan-Mar;8(1):68-79. https://doi.org/10.3109/1547691X.2010.545086.
[18] Ewing GE. What is regressive autism and why does it occur? Is it the consequence of multi-systemic dysfunction affecting the elimination of heavy metals and the ability to regulate neural temperature? N Am J Med Sci. 2009 Jul;1(2):28-47. https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC3364648/.
[19] Rose NR. Conjugate vaccines and autism. Med Hypotheses. 2011 Dec;77(6):937-9. https://doi.org/10.1016/j.mehy.2011.08.033.
[20] Blaylock RL. A possible central mechanism in autism spectrum disorders, part 1. Altern Ther Health Med. 2008 Nov-Dec;14(6):46-53. http://ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19043938.
[21] Geier DA, Hooker BS, Kern JK, King PG, Sykes LK, Geier MR. A two-phase study evaluating the relationship between Thimerosal-containing vaccine administration and the risk for an autism spectrum disorder diagnosis in the United States. Transl Neurodegener. 2013 Dec 19;2(1):25. https://doi.org/10.1186/2047-9158-2-25.
[22] Geier DA, King PG, Sykes LK, Geier MR. A comprehensive review of mercury provoked autism. Indian J Med Res. 2008 Oct;128(4):383-411. http://ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19106436.
[23] Kern JK, Haley BE, Geier DA, Sykes LK, King PG, Geier MR. Thimerosal exposure and the role of sulfation chemistry and thiol availability in autism. Int J Environ Res Public Health. 2013 Aug 20;10(8):3771-800. https://doi.org/10.3390/ijerph10083771.
[24] Sharpe MA, Gist TL, Baskin DS. B-Lymphocytes from a population of children with autism spectrum disorder and their unaffected siblings exhibit hypersensitivity to thimerosal. J Toxicol. 2013;2013:801517. https://doi.org/10.1155/2013/801517.
[25] Bernard S, Enayati A, Redwood L, Roger H, Binstock T. Autism: a novel form of mercury poisoning. Med Hypotheses. 2001 Apr;56(4):462-71. https://doi.org/10.1054/mehy.2000.1281.
[26] Geier DA, Geier MR. A prospective study of thimerosal-containing Rho(D)-immune globulin administration as a risk factor for autistic disorders. J Matern Fetal Neonatal Med. 2007 May;20(5):385-90. https://doi.org/10.1080/14767050701228057.
[27] Geier MR, Geier DA. The potential importance of steroids in the treatment of autistic spectrum disorders and other disorders involving mercury toxicity. Med Hypotheses. 2005;64(5):946-54. https://doi.org/10.1016/j.mehy.2004.11.018.
[28] Geier DA, Geier MR. A case series of children with apparent mercury toxic encephalopathies manifesting with clinical symptoms of regressive autistic disorders. J Toxicol Environ Health A. 2007 May 15;70(10):837-51. https://doi.org/10.1080/15287390701212141.
[29] Holmes AS, Blaxill MF, Haley BE. Reduced levels of mercury in first baby haircuts of autistic children. Int J Toxicol. 2003 Jul-Aug;22(4):277-85. https://doi.org/10.1080/10915810305120.
[30] Walker SJ, Segal J, Aschner M. Cultured lymphocytes from autistic children and non-autistic siblings up-regulate heat shock protein RNA in response to thimerosal challenge. Neurotoxicology. 2006 Sep;27(5):685-92. https://doi.org/10.1016/j.neuro.2006.06.003.
[31] Garrecht M, Austin DW. The plausibility of a role for mercury in the etiology of autism: a cellular perspective. Toxicol Environ Chem. 2011 May;93(5-6):1251-1273. https://doi.org/10.1080/02772248.2011.580588.
[32] Geier DA, Hooker BS, Kern JK, King PG, Sykes LK, Geier MR. A dose-response relationship between organic mercury exposure from thimerosal-containing vaccines and neurodevelopmental disorders. Int J Environ Res Public Health. 2014 Sep 5;11(9):9156-70. https://doi.org/10.3390/ijerph110909156.
[33] Bernard S, Enayati A, Roger H, Binstock T, Redwood L. The role of mercury in the pathogenesis of autism. Mol Psychiatry. 2002;7 Suppl 2:S42-3. https://doi.org/10.1038/sj.mp.4001177.
[34] Li X, Qu F, Xie W, Wang F, Liu H, Song S, et al. Transcriptomic analyses of neurotoxic effects in mouse brain after intermittent neonatal administration of thimerosal. Toxicol Sci. 2014 Jun;139(2):452-65. https://doi.org/10.1093/toxsci/kfu049.
[35] Hooker B, Kern J, Geier D, Haley B, Sykes L, King P, et al. Methodological issues and evidence of malfeasance in research purporting to show thimerosal in vaccines is safe. Biomed Res Int. 2014;2014:247218. https://doi.org/10.1155/2014/247218.