Arme biologique

Équipe Le Point Critique | 25 août 2025

La protéine Spike, une arme à double tranchant

Les injections anti-COVID sont-elles des armes biologiques ? Cette question fait l’objet d’un procès historique aux Pays-Bas, où la justice vient de refuser d’entendre sous serment un panel d’experts. Nous publions une infographie expliquant pourquoi la protéine Spike est une sorte de couteau suisse conçu pour tuer deux fois : lors de l’infection et lors de la vaccination.

Virus du COVID
© iStock/Quantic69

En 2023, le nouveau ministre de la Santé américain, RF Kennedy Jr, a confirmé publiquement que les vaccins à ARN messager ne sont pas des produits médicaux, mais des prototypes développés par le Pentagone, dont la fabrication a été sous-traitée à des contractants militaires. Les laboratoires pharmaceutiques ont été mandatés par le gouvernement américain pour apposer leur nom sur les flacons pour donner l’illusion qu’il s’agissait de vaccins commerciaux. C’est en partie ce qui explique que les décisions prises durant la pandémie, concernant notamment la vaccination, l’ont été dans le cadre de conseils de sécurité :

Il s’avère que les vaccins n’ont pas été développés par Moderna et Pfizer, mais par les NIH, qui possèdent les brevets à 50 %. Ils n’ont pas non plus été fabriqués par Pfizer ou Moderna, mais par des sous-traitants militaires, et Pfizer et Moderna ont été payés pour apposer leur marque sur ces vaccins, comme s’ils provenaient de l’industrie pharmaceutique, alors que ce n’est pas le cas.

https://x.com/LDeclencheur/status/1853533676950466987

L’information est connue depuis plus de deux ans, le PDG de Moderna l’a confirmée sous-serment devant le Congrès américain. L’auditrice Sasha Latypova, ancienne dirigeante de l’industrie pharmaceutique a publié en 2023 une série d’articles détaillant le cadre contractuel dans ont été réalisés les essais cliniques des vaccins Pfizer et Moderna :

Les contrats de contre-mesures [dont le vaccin] comprennent un bouclier de responsabilité pour les fabricants et les sous-traitants tout au long des chaînes d’approvisionnement et de distribution, en vertu de la loi PREP. Voir l’exemple de clause PREP Act du contrat Moderna. Notez la déclaration à la fin selon laquelle ce produit est « à la fois une application civile et militaire » (p. 26 du document). En tant que prototypes sous autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pendant une urgence de santé publique les contre-mesures COVID n’ont pas besoin d’être conformes aux lois régissant les essais cliniques, la qualité de fabrication, la sécurité ou l’étiquetage (21 USC 360bbb-3 (k)).

C’est ce que confirme la juriste Katherine Watt. Selon la loi américaine, les produits relevant d’une utilisation d’urgence (21 USC 360bbb-3) ne relèvent pas des règles d’évaluation clinique. Le juriste Olivier Frot, diplômé de Saint-Cyr et docteur en droit explique pourquoi, dans ce contexte, la lanceuse d’alerte Brook Jackson qui a dénoncé les violations des règles de bonne pratique lors des essais cliniques de Pfizer a été finalement déboutée par la justice américaine.

En 2024, le Dr Peter McCullough a expliqué pourquoi, d’un point de vue scientifique, les vaccins à ARNm ne peuvent être considérés comme des produits médicaux destinés à un usage clinique. Il publie aujourd’hui un guide de 13 pages, accessible gratuitement en ligne, qui explique de manière synthétique en quoi la protéine Spike est fondamentalement toxique (The Spike protein effect) :

Je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi préjudiciable au corps humain.

• Elle envahit le cerveau.

• Elle envahit le cœur.

• Elle provoque des lésions cérébrales et cardiaques.

• Elle envahit la moelle osseuse.

• Elle stimule les anticorps contre les cellules et les plaquettes.

• Elle provoque une coagulation du sang et des dommages aux vaisseaux sanguins comme nous n’en avons jamais vu.

• Des données de l’université de Pittsburgh suggèrent qu’elle provoque le cancer.

Depuis quand une seule protéine peut-elle endommager le cerveau, le cœur, la moelle osseuse et le système immunitaire, provoquer la coagulation du sang et potentiellement causer le cancer ?

C’est une arme,

Selon des critères militaires stricts, c’est une arme biologique.

C’est également la thèse que soutenait l’auteur de la loi américaine sur les armes biologiques (BioTerrorist Act), le Pr Francis Boyle, décédé en début d’année. Il l’avait formalisée sous serment, sous la forme d’un affidavit, dans le cadre d’une affaire (SC2024-0327), déposée le 3 mars 2024 visant à faire interdire la distribution, la promotion, l’accès et l’administration de l’ensemble des produits utilisant la technologie ARNm dans l’État.

Aucune de ces informations n’est fondamentalement nouvelle, mais le statut d’« arme biologique » des injections anti-COVID est actuellement débattu par un tribunal néerlandais. L’affaire est portée par plusieurs victimes des injections, dont l’une est décédée avant l’ouverture du procès. La liste des accusés comprend le PDG de Pfizer, Albert Bourla, le milliardaire Bill Gates et l’actuel secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas durant la pandémie.

Le 9 juillet dernier, quelques jours après l’arrestation par une brigade antiterroriste de l’avocat Arno van Kessel, maintenu en détention sans inculpation formelle, une demande d’audition de plusieurs experts internationaux a fait l’objet d’une audience. Le Pr Francis Boyle figurait sur cette liste, mais il est décédé trois semaines après avoir formellement accepté de témoigner sans que l’on connaisse à ce jour les causes de sa mort.

La juge a rejeté le 20 août la demande d’audition.

Nous avons choisi dans ce contexte de traduire et de mettre à jour une infographie, réalisée par le chercheur Tom Czerniawski, qui présente les multiples niveaux de toxicité de la protéine Spike virale et vaccinale, dont l’épidémiologiste Nicolas Hulscher explique, dans une courte vidéo :

L’humanité a été frappée par deux armes biologiques synergiques.

https://twitter.com/NicHulscher/status/1956021707900076142

Dans une seconde vidéo, il explique pourquoi les injections anti-COVID ne sont pas et ne seront jamais des vaccins :

Il s’agit de plateformes synthétiques de transfert de gènes qui détournent des organes vitaux pour produire en masse des protéines mortelles et non humaines.

https://twitter.com/NicHulscher/status/1959718845293482134

Télécharger l’infographie au format PDF interactif : https://lepointcritique.fr/wp-content/uploads/2025/08/spike-couteau-suisse.pdf

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