Génération sacrifiée
Surmortalité de 77 % à 88 % chez les bébés issus de mères injectées à l’ARN messager
Une étude basée sur les données des CDC révèle une surmortalité de 77 % à 88 % chez les enfants de moins de 4 ans, confirmant l’hypothèse d’une contamination in utero à l’origine de décès différés. L’étude suggère également des effets transgénérationnels, en lien avec la vaccination des futures mères, sans contamination durant la grossesse.

Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont publié le 12 juin un rapport national[1] présentant l’évolution de la mortalité infantile au cours des trente dernières années. Le lanceur d’alerte Ethical Skeptic, qui fut le premier à identifier les sources du tsunami de cancers auxquels la population mondiale est aujourd’hui confrontée[2] a analysé les données issues de ce rapport, incluant la période pandémique avant et après déploiement des injections anti-COVID. La surmortalité atteindrait selon lui 77,3 % chez les enfants âgés de 0 à 4 ans.
Hausse de l’ensemble des indicateurs de mortalité chez les nourrissons après la vaccination des femmes enceintes
Le rapport des CDC présente l’évolution des trois principaux indicateurs de mortalité chez les enfants de moins de 1 an (Figure 1) :
- Mortalité infantile : décès d’un enfant né vivant avant la fin de sa première année de vie ;
- Mortalité néonatale : décès survenant entre 0 et 27 jours de vie ;
- Mortalité post-néonatale : décès survenant entre 28 jours et 11 mois.
Les données sont issues de la base épidémiologique des CDC (WONDER CDC/NCHS) dans laquelle sont enregistrés tous les certificats de décès des États-Unis. Elles couvrent l’ensemble des décès survenus entre 1995 et 2023 chez les enfants âgés de 0 à 4 ans, à l’exclusion des décès formellement attribués au COVID-19.
La figure 1 montre une diminution régulière des taux de mortalité sur une période de trente ans environ. Cette tendance d’une extrême stabilité a été brutalement interrompue à partir de 2021, avec une montée en flèche inédite qui coïncide avec l’ouverture de la vaccination aux femmes enceintes auxquelles elle a été imposée dans l’ensemble des pays occidentaux.
Ethical Skeptic précise qu’aucun de ces enfants n’a reçu d’injection d’ARNm ou n’a été exposé au COVID-19 sur cette période.
Figure1 : Mortalité infantile, néonatale et postnéonatale, États-Unis (1995-2023).

Comment expliquer cette tendance ?
La campagne de vaccination basée sur des injections à ARNm a été déployée dans le cadre d’une autorisation d’utilisation d’urgence qui n’a pas permis d’évaluer préalablement deux catégories de risques :
- Risque tératogène : inclut les maladies congénitales (malformations, anomalies du développement, déficits fonctionnels, décès) chez un embryon ou un fœtus pendant la grossesse, lors d’une exposition in utero.
- Risque transgénérationnel/épigénétique : inclut les modifications biologiques de la santé et du développement, chez des générations n’ayant jamais été directement exposées à l’agent d’origine. Contrairement aux mutations génétiques, ces effets résultent de mécanismes épigénétiques héréditaires.
Dans le cadre de la vaccination contre le COVID, les sujets de préoccupation sont le passage d’instructions d’ARNm synthétiques à travers la barrière placentaire (risque tératogène) ou à travers le cycle ovaire-ovule-zygote féminin (risque épigénétique).
Surmortalité par cause de décès chez les enfants issus de mère vaccinée (0-4 an)
La figure 2, établie également à partir des données CDC WONDER, analyse l’écart entre la mortalité toutes causes (hors COVID) observée et la mortalité attendue pour les enfants nés après la vaccination de leur mère. Contrairement à la figure 1, qui ne concerne que les nourrissons, la figure 2 prend en compte toutes les naissances survenues après le déploiement des injections ARNm.
Figure 2 : Décès toutes causes naturelles non liées au COVID-19 dans la tranche d’âge de 0 à 4 ans.

La tendance observée révèle :
- une inflexion de la surmortalité à partir de la semaine 14 de 2021 (5-11 avril 2021), soit immédiatement après la vaccination de masse des adultes en âge de procréer ;
- une persistance de cet écart pendant une période où plus de 90 % de la population américaine a cessé de se faire vacciner contre l’ARNm.
Au total, 17 975 décès excédentaires ont été enregistrés après la semaine 14 de 2021 (point d’inflexion). La figure ne tient toutefois pas compte de la baisse du taux de natalité observée durant cette période :
- avant ajustement, ces 17 595 décès excédentaires représentent un écart de 77,3 % par rapport à la tendance historique ;
- après ajustement du taux de natalité, la surmortalité atteint 82 à 88 % ;
Lorsque la cohorte est élargie d’une année supplémentaire (5 ans), le graphique reste pratiquement inchangé, ce qui démontre que l’effet se limite spécifiquement à la génération dont les mères ont été précédemment exposées au vaccin à ARNm. L’essentiel (70 %) de la surmortalité est concentré entre 0 et 1 an, une période où peu de mères se faisaient vacciner. En d’autres termes, il ne s’agit pas d’un effet hérité du COVID-19, mais plutôt d’un héritage génétique issu de la lignée germinale de la mère.
Cette augmentation systémique se répercute sur de nombreuses catégories de maladie. Les principales causes de décès sont, comme chez les adultes primovaccinés :
1. Fonction rénale (+135 %)
2. Méningite (+112 %)
3. Sensibilité aux virus et à la septicémie (+90 %)
4. Troubles hépatiques/digestifs (+82 %)
5. Troubles respiratoires (+54 %)
6. Malformations congénitales (+51 %)
7. Troubles cardio-pulmonaires (+38 %)
8. Affections nerveuses/épileptiques (+37 %)
Ces catégories représentent 7 600 décès, soit 41 % de la surmortalité identifiée dans la figure 2.
Interprétation des données
La concomitance entre l’inversion brutale de la tendance historique observée sur trente ans et le déploiement des injections dans la figure 1 suggère un possible effet tératogène.
La figure 2, en revanche, montre que l’impact des injections sur les enfants à naître n’est pas limité, mais omniprésent et commun à de multiples domaines physiologiques, ce qui indique une perturbation épigénétique ou une modification de la lignée germinale.
La persistance de la surmortalité suggère que l’effet ne se limite pas aux expositions pendant la grossesse. Il indique plutôt un effet différé de la vaccination chez les femmes qui sont tombées enceintes par la suite, ce qui signifie qu’une femme vaccinée pourrait contaminer sa descendance à distance de l’injection.
Conclusion :
Le signal détectable s’est déplacé en aval, apparaissant chez nos plus jeunes enfants : ceux qui n’ont ni contracté le COVID-19 ni reçu d’injection d’ARNm, mais qui manifeste les conséquences biologiques de l’exposition de leurs parents.
Il ne s’agit pas simplement d’un effet tératogène sur un seul enfant, mais d’un écho générationnel se répercutant sur des milliers d’autres.
Confirmation de cette tendance au Royaume-Uni
La pathologiste Clare Craig a publié jeudi les dernières données de la surmortalité chez les enfants britanniques âgés entre 0 et un an pour la période 2018-2025s. Ces données montrent une tendance similaire à celle reflétée par les données des CDC, avec un excès de mortalité par rapport à la tendance de la période prévaccinale (2018-2020) atteignant 27 % la semaine 20 de 2025.

Données de la littérature
La capacité des nanoparticules lipidiques dans lesquelles est encapsulé l’ARNm vaccinal à coloniser les organes reproducteurs (ovaires, sperme) et à pénétrer dans le placenta est clairement établie aujourd’hui. Plusieurs exemples de contaminations in utero ont également été rapportés depuis 2023 :
- Une étude taïwanaise[3] a démontré en février 2025 que l’ARNm vaccinal pénétrait dans le placenta moins d’une heure après l’injection pour se propager dans la circulation sanguine du fœtus et exprimer la protéine Spike toxique dans de plusieurs organes, notamment le foie et la rate. Les essais cliniques suggéraient déjà une contamination du placenta durant la grossesse, qui a été confirmée par un faisceau de preuves en 2022[4].
- Des fibrilles amyloïdes de type « prions » ont été découvertes en mai 2025 dans la circulation sanguine d’un enfant de 3 ans après une exposition in utero à une injection d’ARNm[5]. L’enfant est né sans signes vitaux une semaine après la deuxième injection de Pfizer de sa mère, mais il a pu être réanimé et souffre depuis la naissance d’une maladie chronique. Le chercheur à l’origine de cette découverte s’interrogeait à l’époque :
La persistance de fibrilles amyloïdogènes des années après une exposition gestationnelle ne peut être écartée par des hypothèses pharmacocinétiques dépassées. Qu’est-ce que cela signifie pour toute une génération de bébés soumis à des injections génétiques avant la naissance ?
- Plusieurs cas de « turbo-cancers » (une notion validée scientifiquement[6] depuis quelques jours) chez des nouveau-nés issus de mères vaccinées ont été rapportés par des scientifiques : nouveau-né décédé d’un cancer cérébral à 2 jours de vie (décembre 2023), deux triplés atteints de cancer de stade 4 ou métastatique, décédés à l’âge de 1 mois.
Cette étude confirme donc la probable tératogénicité des injections. Toutefois, elle est la première à identifier, dans des données officielles de santé, un signal suggérant un effet transgénérationnel, avec une surmortalité durable chez des enfants jamais infectés ou injectés. L’étroite correspondance entre les causes de surmortalité observées chez ces enfants et celles documentées chez les adultes vaccinés suggère également que les mêmes mécanismes peuvent se transmettre d’une génération à l’autre.
Selon l’épidémiologiste Nicolas Hulscher :
Les implications s’étendent bien au-delà de la génération actuelle. Si cela se confirmait, cela représenterait une crise de santé publique d’une ampleur historique, non seulement pour ceux qui ont reçu les injections, mais aussi pour les enfants et les petits-enfants qui n’ont jamais consenti aux risques.
Une catastrophe de santé planifiée ?
Les essais cliniques n’ont jamais inclus les femmes enceintes qui ont été fortement incitées ou contraintes de se faire injecter sans aucune donnée de sécurité et en dépit de données précliniques inquiétantes. Pfizer savait notamment dès les trois premiers mois de déploiement de son injection qu’elle contaminait le lait maternel et qu’elle provoquait des échecs de grossesse.
L’Australie et les États-Unis sont revenus récemment sur cette recommandation, qui prévaut toujours en France, où les femmes enceintes sont considérées comme prioritaires. Pourtant, on sait depuis plus de trois ans que :
- le risque de transmission du COVID-19 de la mère au bébé est inexistant ou marginal (mars 2022)[7] ; et que
- la vaccination favorise, a contrario, les contaminations et les malformations congénitaires (juillet 2023)[8].
Un nouveau pavé a été jeté dans la mare en juin dernier, avec une étude canadienne[9] dans laquelle les chercheurs ont démontré qu’une infection pendant la grossesse par le virus du SARS-VoV-2, contrairement à de nombreux virus, n’entraînait aucune séquelle sur le développement de l’enfant au cours de ses deux premières années d’existence.
Comment les autorités de santé ont-elles pu se fourvoyer à ce point ? Comment comprendre qu’elles n’aient toujours pas rectifié le tir ?
Références
[1] Ely DM, Driscoll AK. Infant mortality in the United States, 2023: Data from the period linked birth/infant death file. Natl Vital Stat Rep. 2025 Jun;74(7):1-20. https://dx.doi.org/10.15620/cdc/174592.
[2] Ancien officier du Renseignement américain, qui analyse depuis quatre ans les données des CDC et publie son travail sous un pseudonyme pour des raisons évidentes de sécurité.
[3] Chen JC, Hsu MH, Kuo RL, Wang LT, Kuo ML, Tseng LY, et al. mRNA-1273 is placenta-permeable and immunogenic in the fetus. Mol Ther Nucleic Acids. 2025 Feb 17. In Press. https://doi.org/10.1016/j.omtn.2025.102489.
[4] Banoun H. Current state of knowledge on the excretion of mRNA and spike produced by anti-COVID-19 mRNA vaccines; possibility of contamination of the entourage of those vaccinated by these products. Infect Dis Res. 2022;3(4):22. https://doi.org/10.53388/IDR20221125022. https://www.tmrjournals.com/public/articlePDF/20221114/483e983160eb24f1ef94bdd666603ac9.pdf.
[5] McCairn K. Amyloidogenic fibrin microclotting following prenatal mRNA vaccination exposure. 2025 May 25. Substack. https://substack.com/home/post/p-164383206.
[6] Marik P, Hope J. COVID-19 mRNA-Induced « Turbo Cancers ». J Indep Med. 20253(1). https://doi.org/10.71189/JIM/2025/V01N03A02.
[7] Kyle MH, Hussain M, Saltz V, Mollicone I, Bence M, Dumitriu D. Vertical transmission and neonatal outcomes following maternal SARS-CoV-2 infection during pregnancy. Clin Obstet Gynecol. 2022 Mar 1;65(1):195-202. DOI: https://doi.org/10.1097/grf.0000000000000667. Disponible en français à : https://www-ncbi-nlm-nih-gov.translate.goog/pmc/articles/PMC8767921/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.
[8] Cassidy AG, Li L, Golan Y, Gay C, Lin CY, Jigmeddagva U, et al. Assessment of adverse reactions, antibody patterns, and 12-month outcomes in the mother-infant dyad after COVID-19 mRNA vaccination in pregnancy. JAMA Netw Open. 2023 Jul 3;6(7):e2323405. DOI: https://doi.org/10.1001/jamanetworkopen.2023.23405.
[9] Vrantsidis DM, van de Wouw M, Hall ERM, Kuret V, Rioux C, Conrad ML, et al. Neurodevelopment in the First 2 Years of Life Following Prenatal Exposure to Maternal SARS-CoV-2 Infection. JAMA Netw Open. 2024 Nov 4;7(11):e2443697. https://doi.org/10.1001/jamanetworkopen.2024.43697.