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Équipe Le Point Critique | 09 août 2025

Hiroshima vaccinal, la bombe ARNm continue de tuer au Japon

Un ensemble de données inédites provenant du Japon révèle une augmentation massive des décès plusieurs mois après l’injection, confirmant que la vaccination contre le COVID est à l’origine d’effets indésirables mortels différés.

Japonaise masquée dans les rues de Tokyo
© iStock/Jacob Wackerhausen

Le groupe japonais United Citizens for Stopping mRNA Vaccines (Coalition nationale pour arrêter les vaccins contre les ARNm), formé en avril 2024 après l’homologation du premier vaccin à ARN messager autoamplifiant pour sensibiliser le public aux dangers de cette nouvelle injection a obtenu plus de 25 millions de dossiers de vaccination officiels par le biais d’une requête formulée au titre de la loi sur la liberté de l’information (FOIA).

Le groupe a analysé les informations contenues dans ce groupe de données, qui constitue l’un des plus grands ensembles de ce type jamais étudiés. Elles ont été présentées le 13 juillet dernier lors d’une conférence de presse et débattues le 6 août lors d’un entretien de 35 minutes entre l’épidémiologiste Nicolas Hulscher, administrateur de la fondation McCullough, et la chercheuse indépendante et journaliste Masako Ganaho, membre du groupe de lanceurs d’alerte.

L’analyse des dossiers a été menée par le professeur Yasufumi Murakami, Professeur émérite à l’Université des sciences de Tokyo. Elle révèle un pic de décès massifs survenant 90 à 120 jours après l’injection d’ARNm, avec des décès plus précoces chez les patients multiinjectés.

La collecte des données fut épique, ce qui rend ce matériau d’autant plus exceptionnel, le gouvernement japonais refusant de communiquer les statistiques de mortalité par statut vaccinal, à l’instar des autorités françaises. Les membres de l’association ont donc dû déposer des requêtes FOIA locales adressées aux bureaux municipaux pour obtenir des registres officiels et relier les numéros de lot, les dates de vaccination et les données de mortalité toutes causes confondues. La base constituée par ces volontaires est accessible à cette adresse : https://stop-mrna.sakura.ne.jp/db/lot-totalization.php.

Résultats préliminaires de l’étude

Quatre principaux résultats se dégagent.

  1. Le pic de décès est intervenu 3 à 4 mois après la vaccination, ce qui confirme les conclusions du Dr Hélène Banoun et du Pr Patrick Provost, qui estimaient en 2023 que le délai traditionnel de six semaines, établi par la pharmacovigilance, n’était pas suffisant pour la prise en compte des décès post-vaccinaux.
  2. Aucun pic de ce type n’a été observé dans le groupe non vacciné. Ce résultat signifie-t-il que les personnes en bonne santé ne se sont pas fait vacciner et que les décès survenus dans le groupe injecté sont imputables à une maladie acquise avant l’injection ? À l’échelle de 25 millions d’individus, cette interprétation ne peut pas être retenue.
  3. Le délai de survenue du décès est inversement proportionnel au nombre d’injections reçues : plus les personnes avaient reçu de doses, plus le décès était précoce. Ainsi, dans la cohorte des patients ayant reçu 4 à 5 injections, le pic de mortalité est apparu bien avant le délai de 90 jours.
  4. Les données confirment des différences massives de mortalité dans certains lots, comme cela a été identifié dans la littérature examinée par les pairs, où les chercheurs qui ont voulu vérifier cette hypothèse parviennent tous à la même conclusion. En l’occurrence, les lots Pfizer commençant par la lettre E présentent le niveau de danger maximal.

Mise en garde contre le vaccin ARNm autoamplifié

La communauté scientifique indépendante alerte sur les risques majeurs associés aux vaccins ARNm autoamplifiants, déployé au Japon depuis 2024 (KOSTAIVE, du laboratoire Arcturus Therapeutics) et qui a reçu une autorisation de mise sur le marché en Europe et aux États-Unis. Les scientifiques soupçonnent également Pfizer d’avoir utilisé les essais cliniques de son vaccin contre le COVID pour tester discrètement cette formule, qui ne correspond pas au mécanisme décrit dans l’AMM et qui n’aurait donc jamais dû l’être. Mais nous ne sommes pas une fraude près. Celle-ci est presque dérisoire par comparaison avec la falsification des ingrédients contenus dans la formule commerciale, qui classe définitivement les injections dans la catégorie des thérapies géniques.

Les Japonais ont payé un lourd tribut lors de la campagne de vaccination. De nombreux médecins ont alerté, à l’image du Dr Nakamura qui dénonçait un excédent de 71 000 décès en août 2022, du Dr Fujisawa, cardiologue, ou encore du Pr Masanori Fukushima, oncologue, expert en maladies infectieuses, professeur émérite à l’université de Kyoto, qui a déposé une plainte à l’encontre de l’État japonais en février 2023 pour avoir promu la vaccination, dont il a demandé demander l’annulation de l’autorisation administrative il y a désormais plus de deux ans. Les médias ont relayé la détresse des victimes.

C’est probablement ce qui explique le rejet massif des injections d’ARNm autoamplifiant, dont les essais cliniques se sont soldés par un taux d’événements indésirables de 90 % (77,5 % d’événements indésirables systémiques, 15,2 % d’événements graves ayant nécessité des soins médicaux) après la première dose, et de graves anomalies sanguines chez 93 % des participants. Nicolas Hulscher précise que ces taux sont probablement sous-évalués, les auteurs de l’étude étant pour la plupart des employés à plein temps d’Arcturus Therapeutics.

Ainsi, seules 15 000 doses ont trouvé preneur depuis avril 2025, provoquant l’ulcération du laboratoire. Il poursuit aujourd’hui le député Kazuhiro Haraguchi, qui a développé un lymphome après trois injections d’ARNm et qui a retrouvé la protéine Spike dans ses cellules lymphatiques deux ans après sa dernière injection. Il a publié ces données sur son compte X et a publiquement appelé à l’arrêt de la vaccination avec des produits à ARNm.

Des alertes ignorées

Une alerte a été émise il y a plusieurs mois, mais l’éditeur a retiré l’article bien qu’il ait été validé par les pairs. L’étude, publiée dans la revue Cureus, démontrait un excès de mortalité par cancer apparu fin 2020 au Japon, avec une augmentation persistante entre 2021 et 2022, non stabilisée en 2023. Les cancers gynécologiques (utérus et ovaire, la plus forte augmentation), du pancréas, du foie, de la prostate, de la peau, de l’oro-pharynx et les leucémies étaient plus particulièrement concernés.

Le gouvernement japonais confirme aujourd’hui que 1 018 personnes sont décédées à cause de la vaccination à la date du 2 juin dernier. Aucune mesure d’éviction n’a toutefois été prise. À titre de comparaison, les retraits historiques de vaccins sont intervenus lorsque les seuils de sécurité suivants ont été atteints :

  • vaccin contre la polio (1955) : 10 décès ;
  • vaccin contre la grippe porcine (1976) : 20-50 décès ;
  • vaccins contre le rotavirus (1999) : 10-15 cas d’occlusion intestinale.

Malgré 38 742 décès enregistrés dans le VAERS et un taux de notification estimé à 10 % des décès réels, les vaccins COVID restent recommandés, y compris pour les bébés.

Précisons qu’en France, les demandes d’accès aux données de mortalité par statut vaccinal ont systématiquement été récusées au motif que ces données n’existent pas. Le Gouvernement n’a toutefois jamais répondu à la question qu’il soulève lui-même, probablement parce que sa réponse est inavouable : comment savait-il que le vaccin était sûr s’il ignorait combien de personnes avaient été blessées ou tuées par l’injection ?

Faut-il être complotiste pour refuser de s’injecter un produit entouré d’un tel secret, dont la composition est inconnue et dont les contrats précisent que les labos eux-mêmes ignoraient tout de ses effets sur la santé, hormis le fait qu’il avait entraîné plus de morts (+ 43 %) et d’effets indésirables graves dans le groupe vacciné lors de essais ?

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