Épidémie programmée
Une vaste étude sud-coréenne révèle des hausses de cancers jusqu’à + 69 % après une injection anti-COVID
Une vaste étude sud-coréenne démontre que les injections anti-COVID augmentent le risque de cancer global et celui de six cancers de 20 % à 69 %. L’étude révèle également que les boosters ont provoqué une hausse massive du cancer du pancréas. Ces données confirment malheureusement celle d’une précédente étude italienne.

Une étude réalisée par des chercheurs sud-coréens[1] portant sur 8,4 millions d’adultes confirme que les injections anti-COVID ont été associées à une hausse massive des cancers. Il s’agit de la deuxième étude populationnelle qui établit une association positive entre l’augmentation du risque de cancer et la vaccination anti-COVID.
Conclusions de l’étude sud-coréenne
Les auteurs ont suivi l’évolution des diagnostics de cancer reçus par la population de Séoul entre 2021 et 2023, selon son statut vaccinal, pour 29 types de cancers différents. Ils ont découvert que les personnes vaccinées vs non vaccinées avaient un risque majoré de manière globale et plus spécifiquement pour 6 types de cancer, jusqu’à + 69 % pour celui de la prostate :
- Risque global de cancer (tous types confondus) : + 27 % ;
- Risque de cancer de la prostate : + 69 % ;
- Risque de cancer du poumon : + 53 % ;
- Risque de cancer de la thyroïde : + 35 % ;
- Risque de cancer gastrique : + 34 % ;
- Risque de cancer colorectal : + 28 % ;
- Risque de cancer du sein : + 20 %.
L’étude a comparé les augmentations d’incidence par type de vaccin, mettant en évidence un risque accru apparu une injection génique à base de vecteur ADN :
- Injections à vecteur ARN messager (Pfizer/Moderna) : + 20 % de risque global de cancer ;
- Injections à vecteur ADN (Janssen/AstraZeneca) : + 47 % de risque global de cancer ;
- Injections selon un schéma mixte → + 34 % de risque global de cancer.
Les chercheurs notent également une majoration du risque de cancer pour la population ayant reçu des boosters. Les types concernés sont les cancers gastriques et les cancers du pancréas pour lesquels l’augmentation est vertigineuse :
- Cancer gastrique : + 23 % ;
- Cancer du pancréas : + 125 %.
Convergence avec les données de l’étude italienne
Ces résultats rejoignent de manière spectaculaire ceux d’une précédente étude[2], publiée en juillet dernier par des chercheurs italiens dont nous avions analysé les conclusions au moment de sa parution :
- Cancer global : + 23 % ;
- Cancer du sein : + 54 % ;
- Cancer de la vessie : + 62 % ;
- Cancer colorectal : + 35 %.
Des augmentations avaient été également observées pour quatre autres types de cancers, mais elles avaient été jugées statistiquement non significatives :
- Cancer hématologique : +31 % ;
- Cancer de l’utérus : + 77 % ;
- Cancer des ovaires : + 86 % ;
- Cancer de la thyroïde : + 58 %.
Les auteurs de l’étude sud-coréenne pointent la répétition des injections ainsi que la probable oncogénicité de la protéine Spike en se basant sur le fait que le COVID est un virus oncogène, et concluent de manière politiquement correcte :
Compte tenu des associations observées entre la vaccination contre la COVID-19 et l’incidence du cancer selon l’âge, le sexe et le type de vaccin, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer si des stratégies de vaccination spécifiques pourraient être optimales pour les populations nécessitant une vaccination contre la COVID-19.
Il apparaît en réalité aujourd’hui, à la lueur du nombre d’études documentant l’explosion des nouveaux cancers apparus depuis la « vaccination de masse » ainsi que les mécanismes oncogéniques associés à ces thérapies géniques (au moins 17 selon notre recensement, qui pourrait être porté à 19 ou 20) que 70 % de la population mondiale a reçu un produit notoirement cancérigène favorisant les réinfections, sur la base d’incitations agressives fondées sur des données épidémiologiques frauduleuses.
La notion de « turbo cancer » a été récemment validée par les pairs. Combien de temps les personnes vaccinées devront-elles attendre pour que le lien avec les injections soit officiellement reconnu ?
Le fait d’avoir privilégié la vaccination en dépit de son inefficacité et de l’absence totale de recul plutôt que des molécules comme l’hydroxychloroquine[3],[4],[5],[6],[7] et l’ivermectine[8],[9] s’avère d’autant plus criminel. Le point commun entre ces deux molécules, outre le fait qu’elles ont démontré précocement leur efficacité, qu’elles sont considérées comme sûres, avec une innocuité confirmée par des centaines de milliards de doses administrées durant des décennies y compris chez les enfants et les femmes enceintes, est qu’elles sont toutes les deux des anticancéreux notoires.
Références
[1] Kim HJ, Kim MH, Choi MG, Chun EM. 1-year risks of cancers associated with COVID-19 vaccination: a large population-based cohort study in South Korea. Biomark Res. 2025 Sep 26;13(1):114. https://doi.org/10.1186/s40364-025-00831-w.
[2] Acuti Martellucci C, Capodici A, Soldato G, Fiore M, Zauli E, Carota R, et al. COVID-19 vaccination, all-cause mortality, and hospitalization for cancer: 30-month cohort study in an Italian province. EXCLI J. 2025 Jul 1;24:690-707. https://doi.org/10.17179/excli2025-8400.
[3] Arshad S, Kilgore P, Chaudhry ZS, Jacobsen G, Wang DD, Huitsing K, et al. Treatment with hydroxychloroquine, azithromycin, and combination in patients hospitalized with COVID-19. Int J Infect Dis. 2020 Jul 2;97:396-403. https://doi.org/10.1016/j.ijid.2020.06.099.
[4] Li YS, Ren HC, Cao JH. Correlation of SARS-CoV-2 to cancer: Carcinogenic or anticancer? (Review). Int J Oncol. 2022 Apr; 60(4):42. DOI: https://doi.org/10.3892/ijo.2022.5332.
[5] Chen MY, Yadav VK, Chu YC, Ong JR, Huang TY, Lee KF, et al. Hydroxychloroquine (HCQ) modulates autophagy and oxidative DNA damage stress in hepatocellular carcinoma to overcome sorafenib resistance via TLR9/SOD1/hsa-miR-30a-5p/Beclin-1 axis. Cancers (Basel). 2021 Jun 28;13(13):3227. https://doi.org/10.3390/cancers13133227.
[6] Zhou N, Liu Q, Wang X, He L, Zhang T, Zhou H, et al. The combination of hydroxychloroquine and 2-deoxyglucose enhances apoptosis in breast cancer cells by blocking protective autophagy and sustaining endoplasmic reticulum stress. Cell Death Discov. 2022 Jun 11;8(1):286. https://doi.org/10.1038/s41420-022-01074-6.
[7] https://twitter.com/backtolife_2023/status/1639007694794137605?s=20
[8] Tang M, Hu X, Wang Y. Ivermectin, a potential anticancer drug derived from an antiparasitic drug. Pharmacol Res. 2021 Jan;163:105207. https://doi.org/10.1016/j.phrs.2020.105207.
[9] Braga L, Ali H, Secco I, Neves G, Goldhill D, Penn R, et al. Drugs that inhibit TMEM16 proteins block SARS-CoV-2 spike-induced syncytia. Nature. 2021; 594:88–93. https://doi.org/10.1038/s41586-021-03491-6.