Révolution
Les CDC vont enquêter sur la contamination ADN des injections Pfizer et Moderna
Le nouveau ministre de la Santé, Robert F. Kennedy Jr a diligenté fin août une enquête sur la sécurité des injections anti-COVID. Elle inclut notamment la question de la contamination des vaccins Pfizer et Moderna par de l’ADN non réglementaire dont une nouvelle étude vient de confirmer l'ampleur.

Fin juin, le nouveau secrétaire à la Santé et aux Services sociaux (HHS), Robert F. Kennedy Jr, a procédé à une série de remaniements à la tête des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), marquée par le licenciement inédit de l’ensemble des membres du Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) qui conseille les CDC et les aide à élaborer leurs recommandations vaccinales. Cette refonte s’est accompagnée le 20 août de la création d’un groupe de travail sur l’immunisation contre le COVID-19 sous l’égide de l’ACIP.
L’objectif du groupe de travail est d’examiner les données disponibles, ainsi que les connaissances cliniques et scientifiques relatives aux injections anti-COVID, afin d’adapter les recommandations vaccinales aux nouvelles données de la littérature. L’objectif est notamment de comprendre pour quelles populations les injections peuvent être pertinentes, d’établir une liste actualisée de contre-indications médicales et de mettre à jour les informations concernant les effets indésirables.
La feuille de route inclut une liste de treize points sur lesquels l’ACIP devra s’appuyer afin d’établir une analyse de la balance bénéfice-risque de la vaccination fondée sur les données de la science :
- Examiner et résumer les données existantes et les recherches publiées et non publiées, ainsi que les connaissances cliniques liées à la sécurité, à l’efficacité et à l’immunogénicité des injections contre le COVID-19 autorisées ou approuvées aux États-Unis.
- Résumer les revues de la littérature sur l’épidémiologie de la maladie COVID-19 et du virus SARS-CoV-2.
- Évaluer la balance bénéfice-risque de l’administration des injections anti-COVID-19 en même temps que d’autres vaccins.
- Identifier les domaines où des données et recherches supplémentaires sont nécessaires pour documenter les recommandations vaccinales contre le COVID-19.
- Élaborer des recommandations vaccinales contre le COVID-19.
- Examiner et résumer les informations cliniques et scientifiques existantes, ainsi que les lacunes dans les connaissances existantes concernant la biodistribution, la pharmacocinétique et la persistance de la protéine Spike, de l’ARN messager et des nanoparticules lipidiques.
- Examiner et résumer les informations cliniques et scientifiques existantes, les lacunes dans les connaissances existantes concernant les impuretés potentielles (par ex., contamination par l’ADN et endotoxines) présentes dans les injections et leurs impacts sur la santé.
- Examiner et résumer les connaissances scientifiques existantes et les lacunes concernant l’impact cumulatif à court et long terme des injections de rappel répétées, y compris les effets non spécifiques (par ex., changement de classe IgG4, empreinte immunitaire, évolution virale sous immunisations imparfaites) pour aider à informer les recommandations d’immunisation.
- Examiner l’impact de la vaccination contre le COVID-19 sur les décès dus au COVID-19 et les décès toutes causes, les hospitalisations et les incapacités pour informer les recommandations d’immunisation.
- Analyser les données existantes et les connaissances scientifiques concernant les événements indésirables cardiovasculaires, thrombotiques, neurologiques, immunologiques et autres potentiellement causés par les injections anti-COVID.
- Examiner et résumer les données disponibles, informations et lacunes concernant les effets à long terme de le COVID-19 à partir de la littérature scientifique et de l’expérience clinique associés aux injections et à l’infection par le COVID-19.
- Cartographier les politiques d’immunisation contre le COVID-19 existantes dans les pays du monde entier et les comparer à celles appliquées aux États-Unis.
- Analyser les données existantes et les connaissances scientifiques relatives à la sécurité de la vaccination contre le COVID-19 pendant la grossesse.
La journaliste scientifique Maryanne Demaysi a interviewé fin août le Pr Retsef Levi, professeur de gestion des opérations à la MIT Sloan School of Management et expert en analytique de santé et sécurité vaccinale. Récemment nommé à la tête de l’ACIP, c’est lui qui aura donc pour mission de conduire cette enquête aux côtés notamment de Robert Malone, le père de la technologie à ARNm et du Pr Martin Kulldorff, biostatisticien et épidémiologiste, ancien professeur à Harvard Medical School, considéré comme l’un des plus grands experts dans son domaine avant d’être licencié pour sa critique des injections.
Le Pr Retsef Levi est l’un des deux scientifiques qui a alerté sur le fait que Pfizer a modifié la formule de son vaccin après son homologation, mais sans transmettre les données de l’essai clinique qu’il était supposé conduire pour vérifier son innocuité. On ignore donc à ce jour si cet essai a jamais été réalisé ou si ses conclusions se sont avérées impubliables, ce qui signifie concrètement que 7 milliards d’humains se sont fait injecter une substance non homologuée et n’ayant jamais été évaluée, ou dont le fabricant savait qu’elle était d’une toxicité inavouable :
C’est un renversement frappant pour le CDC et la FDA.
Pendant des années, ces agences ont rejeté les critiques qui ont exprimé des inquiétudes au sujet de la contamination de l’ADN, de la biodistribution, de l’impression immunitaire ou de la sécurité de la reproduction en tant qu’« alarmistes » et les diffuseurs de « désinformation ».
Aujourd’hui, l’organe consultatif du CDC s’est engagé à réexaminer chacune de ces questions en détail et à identifier les lacunes dans les preuves qui auraient dû être traitées avant que la vaccination de masse ne commence.
Les enjeux ne pourraient pas être plus élevés.
Les vaccins COVID-19 restent l’un des problèmes les plus controversés en matière de médecine, et la crédibilité des CDC a été entravée par des accusations de présentation sélective de données.
L’ACIP se voit donc officiellement confier pour mission d’enquêter sur la contamination ADN des injections anti-COVID, qui a été officiellement mentionnée lors d’une audition au Congrès américain par le sénateur Ron Johnson.
La nomination du Pr Retsef Levi ne pouvait être plus pertinente. La publication il y a quelques jours d’une nouvelle étude accablante, adossée à un corpus d’au moins 10 rapports indépendants fournit aujourd’hui une masse de preuves écrasantes de la capacité de l’ARN vaccinal à s’intégrer dans le génome et du potentiel toxique, en particulier cancérigène, que lui confère cette capacité d’intégration. C’était le tout premier risque envisagé par la communauté scientifique, qui a été ostracisée pour oser formuler une telle hypothèse.