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Équipe Le Point Critique | 07 septembre 2025

La FDA publiera prochainement le nombre de décès causés par les vaccins anti-COVID

Le commissaire de la FDA a annoncé vendredi la publication prochaine de deux jeux de données. Le premier concerne l’efficacité et la sécurité des trois principaux vaccins anti-COVID constatées lors de la dernière saison grippale. Le second porte sur le nombre de décès enregistrés dans le VAERS où un lien de causalité avec les vaccins a été établi.

Pr Marty Makary, commissaire de la FDA

Le Pr Marty Makary, chirurgien oncologue et actuel commissaire de la Food and Drug Administration (FDA), en charge de l’homologation des vaccins, a annoncé jeudi sur CNN que l’agence publierait prochainement les données sur le nombre de personnes décédées à cause du vaccin contre le COVID. Il a relayé ce message vendredi, sur son compte X, accompagné du commentaire suivant :

Le peuple américain mérite de voir les données sur les enfants décédés à cause du vaccin contre le COVID.

https://twitter.com/DrMakaryFDA/status/1963945207910830081

L’interview, en anglais, peut être visionnée ici. Elle était conduite par le journaliste Jake Tapper qui s’illustra de manière funeste dans les mois qui ont suivi le déploiement des injections, en incitant massivement la population à se faire vacciner. En avril 2021, il affirmait de manière définitive que « les vaccins fonctionnent » et qu’ils sont la « meilleure protection contre le virus ».

On sait aujourd’hui que cette recommandation était basée sur des statistiques frauduleuses, mais aucun démenti formel n’a été apporté par les médias et les autorités de santé. La décision de la FDA vise à combler cette lacune.

Selon le Dr Makary, elle a été prise pour permettre aux Américains de bénéficier d’un consentement éclairé face à de futures vaccinations. Il précise qu’un essai clinique a été commandé aux laboratoires Pfizer, Moderna et Novavax afin de déterminer quelle a été l’efficacité réelle des vaccins, et à quels taux de mortalité et d’effets indésirables ils ont été associés au cours de la dernière saison grippale. Les résultats sont attendus pour le mois de mai prochain :

Aujourd’hui, les gens demandent à juste titre : « Si je suis en bonne santé, dois-je faire un autre rappel ? » 85 % des professionnels de la santé n’ont pas fait de rappel l’année dernière, car je pense qu’ils veulent voir des données. Ainsi, lorsque la FDA a approuvé la dernière version du COVID par trois sociétés différentes, Pfizer, Moderna et Novavax, la plateforme traditionnelle, nous avons demandé aux sociétés de procéder à un essai clinique sur des sujets sains au cours de la saison grippal de cette année et de nous communiquer les résultats d’ici le mois de mai. Elles ont accepté.

Je pense que cela va permettre de répondre à la question que se posent de nombreux parents. Une petite fille de 6 ans a-t-elle besoin de 70 vaccins supplémentaires au cours de sa durée de vie moyenne ? Ou bien l’immunité de la population, l’immunité naturelle et la virulence circulante actuelle, la gravité du virus circulant aujourd’hui est-elle plus proche d’un simple rhume ? La protection est-elle transitoire ? Quel est le véritable taux de mortalité, le taux de myocardite ou le taux d’effets indésirables graves de l’injection de COVID chez un jeune homme en bonne santé aujourd’hui ?

https://x.com/verity_france/status/1964230828960928032

Pourquoi la FDA ni aucune autre agence n’ont exigé de telles données au cours de cinq années qui viennent de s’écouler ? En ce sens, cette première suffit à rendre cette démarche révolutionnaire. Mais la véritable révolution réside peut-être dans la seconde annonce faite par le Dr Makary. Il explique que l’agence a mené des enquêtes approfondies sur les décès d’enfants recensés dans la Système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) afin de déterminer combien parmi eux sont décès à cause du vaccin :

Combien d’enfants sont décédés ?

La FDA le sait parce qu’elle a consulté la base de données VAERS, qui contient des rapports personnels d’enfants décédés à la suite de l’administration du vaccin COVID. Nous menons donc une enquête en bonne et due forme.

Nous allons publier un rapport dans les semaines à venir et nous informerons les gens. Nous menons une enquête approfondie. Nous nous adressons aux sources primaires, aux membres des familles qui ont perdu un enfant. Nous discutons, nous examinons les rapports d’autopsie, nous demandons à des médecins de mener l’enquête et nous pensons que le public mérite d’avoir ces informations. Elles n’ont pas été divulguées sous l’administration précédente et elles auraient dû l’être. Il n’y a donc pas de doute.

https://x.com/verity_france/status/1964230828960928032

L’objectif de ces enquêtes est donc de pouvoir communiquer une information complète au public, mais la FDA sait déjà que les conclusions seront déchirantes. Fin juillet, le Pr Makary avait déclaré avoir dans son entourage des amis touchés par la perte d’un être proche ayant été blessés par les injections ou des amis. Il avait dénoncé avec des mots extrêmement forts la manière dont le consentement de la population a été violé et s’était publiquement engagé à enquêter sur les décès potentiellement provoqués par le vaccin :

Je connais personnellement des personnes qui ont été blessées par le vaccin. Je connais personnellement des amis qui ont perdu un être cher à cause du vaccin COVID à ARNm… Les gens ont le droit d’être en colère. Ils ont été trompés… Je leur demande d’être patients avec nous afin que nous fassions cela d’une manière scientifiquement irréprochable.

https://twitter.com/tatiann69922625/status/1947177823665590622

En ce sens, l’annonce faite ce jeudi est essentiellement une manière d’honorer la promesse de transparence pour laquelle RF Kennedy Jr a choisi de le nommer à la tête de la FDA.

En dépit d’une censure hors norme, les réseaux sociaux sont inondés depuis cinq ans de récits d’enfants décédés dans les suites immédiates de leur vaccination. Le volume de preuves accumulées depuis cinq ans sur la toxicité des injections à ARNm, notamment leur impact sur la morbidité et la mortalité cardiovasculaire chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes, laisse augurer d’un nombre de décès hors norme.

Pour rappel, deux revues d’autopsies publiées ont confirmé un lien de causalité entre les injections à ARNm anti-COVID et le décès dans 73,9 % des cas et dans 100 % des cas de décès causés par une myocardite.

Précisons qu’à la date du 25 juillet, le VAERS recense 38 742 décès associés aux vaccins anti-COVID pour un total de 47 760 décès (81 %), soit 4 fois plus que l’ensemble des vaccins administrés depuis la création de la base en 1990. Lorsqu’on extrapole le nombre de décès enregistrés depuis 4,7 ans à la suite d’une vaccination contre le COVID, pour le comparer au nombre de décès recensés en 35 ans pour l’ensemble des autres vaccins, la conclusion glaçante est que les injections anti-COVID ont potentiellement causé 33 fois plus de décès que l’ensemble des autres vaccins réunis. Ce ratio s’est consérablement atténué depuis que les obligations vaccinales ont été levées, entraînant mécaniquement un quasi-arrêt de la vaccination, mais l’effet de sidération produit par ces statistiques lorsqu’on réalise ce qu’elles représentent et qu’on se remémore le contexte dans lequel les citoyens ont été incités à recevoir ces produits ne pourra jamais être effacé.

Précisons également, comme le rappelle le VAERS, que seul 1 % des événements indésirables feraient l’objet d’une déclaration. Le nombre de décès pourrait ainsi être 100 fois plus élevé que celui indiqué par la base. On sait également que des rapports ont été effacés, ce qui a été confirmé par des victimes ne trouvant plus de trace de leur dossier lorsqu’elles ont voulu vérifier son état d’avancement.

Les résultats de l’enquête conduite par la FDA sont donc particulièrement attendus, notamment par les proches endeuillés qui ont plus que jamais besoin de justice et de reconnaissance.

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