Ultimatum
Donald Trump somme les fabricants de vaccins anti-COVID de divulguer les preuves qu’ils ont sauvé des millions de vies
Le président américain Donald Trump demande aux laboratoires ayant produit les vaccins anti-COVID de rendre publiques les données démontrant qu’ils sont sûrs et efficaces. Cet ultimatum a été lancé alors que plusieurs responsables des CDC contestent l'exclusion des injections du calendrier pédiatrique. Pour rappel, la FDA avait exigé en 2022 un délai de 75 ans pour publier l’intégralité du dossier d’évaluation des vaccins Pfizer et Moderna.

Le président Donald Trump a publié lundi, sur son réseau Truth Social, un message à l’attention des fabricants de vaccins anti-COVID. Il fait état des doutes d’une partie de la communauté scientifique concernant les revendications des laboratoires selon lesquelles les injections auraient permis de sauver des millions de vies.
Cette déclaration intervient dans un contexte particulier, marqué par une série de départs à la tête des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui ont notamment pour mission d’établir les recommandations vaccinales aux États-Unis.
Le conflit entre Robert F Kennedy, le nouveau secrétaire d’État américain à la Santé, et les CDC est historiquement daté. L’ancien avocat accuse l’agence de n’avoir jamais été en mesure de publier la moindre preuve de l’évaluation de la sécurité des 92 injections, inscrites dans le programme d’immunisation des petits Américains. Début juin, il avait licencié l’ensemble des membres du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination, qui conseille les CDC, pour les remplacer par des scientifiques indépendants, sans lien avec l’industrie pharmaceutique, et imposer que chaque vaccin soit désormais rigoureusement testé pour en garantir l’innocuité.
Il y a quelques jours, il a annoncé la publication prochaine de nouvelles preuves de l’impact des vaccins sur l’explosion de l’autisme et des maladies chroniques chez les enfants parallèlement à celle du nombre de doses de vaccin recommandées par les CDC. Le retrait du marché des injections anti-COVID, qui ne sont plus recommandées aujourd’hui pour les enfants et les femmes enceintes, ferait également partie des mesures à l’étude compte tenu du nombre croissant d’études attestant de leur toxicité et de leur inefficacité.
Ce dernier point serait à l’origine du licenciement de la directrice des CDC, Susan Monarez, moins d’un mois après sa nomination, l’ancienne collaboratrice de Bill Gates s’étant opposée au retrait des injections anti-COVID du calendrier vaccinal des enfants, malgré le risque de myocardites auquel elles sont associées au sein de cette tranche d’âge. Durant la pandémie, les CDC ont activement dissimulé ce risque, en manipulant les données de pharmacovigilance et en refusant de publier les études dont ils disposaient.
Le départ de Susan Monarez aurait précipité celui du directeur du Centre national pour la vaccination et les maladies respiratoires, Demetre Daskalakis, nommé en 2022, par l’administration Biden, coordinateur adjoint de la réponse à l’épidémie de variole du singe.
Le Dr Daskalakis, sataniste et adepte assumé de soirées sadomasochistes dénonce les pressions exercées par RF Kennedy pour « générer des politiques ne reflétant pas la réalité scientifique ».
Le sénateur démocrate Bernie Sanders, dont les liens d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques ont été révélés lors de la nomination de Robert F. Kennedy Jr, contre laquelle il s’est battu acharnement, réclame aujourd’hui la démission du ministre de la Santé, qu’il qualifie de « menace pour la santé publique ». Dans une tribune publiée samedi dans le New York Times, il l’accuse d’« utiliser son autorité pour mener une guerre contre la science, la santé publique et contre la vérité elle-même ».
C’est donc dans ce contexte que Donald Trump s’est exprimé sur son compte Truth Social :
Il est crucial que les laboratoires pharmaceutiques justifient le succès de leurs différents médicaments contre la COVID. Nombreux sont ceux qui pensent qu’ils représentent un miracle ayant sauvé des millions de vies. D’autres ne sont pas d’accord ! Alors que les CDC sont déchirés sur cette question, je veux la réponse, et je la veux MAINTENANT. On m’a montré des informations extraordinaires de Pfizer et d’autres, mais ils ne semblent jamais en rendre compte au public. Pourquoi pas ? Ils passent à la chasse et laissent tout le monde s’entre-déchirer, y compris Bobby Kennedy Jr. et les CDC, pour tenter de comprendre le succès ou l’échec des travaux des laboratoires pharmaceutiques sur la COVID. Ils me montrent des chiffres et des résultats exceptionnels, mais ils ne semblent pas les montrer à grand monde. Je veux qu’ils les montrent MAINTENANT, aux CDC et au public, et qu’ils mettent fin à ce désordre, d’une manière ou d’une autre ! J’espère que l’opération Warp Speed a été aussi brillante que beaucoup le disent. Si ce n’est pas le cas, nous voulons tous en être informés, et savoir pourquoi. Merci de votre attention à ce sujet très important ! Président DJT
https://truthsocial.com/@realDonaldTrump/115128985245605660
L’opération Warp Speed est le cadre de coopération entre les agences fédérales américaines et les laboratoires, mis en place en avril 2020 par Donald Trump pour faciliter et accélérer le développement des vaccins anti-COVID. Elle a servi de couverture à l’Armée américaine pour le déploiement de la technologie ARNm dont les vaccins anti-COVID sont d’un point de vue légal de simples prototypes conçus et développés par le Pentagone.
On sait aujourd’hui qu’Anthony Fauci, qui a piloté la réponse pandémique, a dissimulé à l’ancien président la teneur des recherches qu’il finançait en Chine, à l’Institut de virologie de Wuhan, dont on suppose aujourd’hui que le SARS-CoV-2 est issu. Il s’est toujours défendu d’avoir financé des expériences de gain de fonction (GoF) visant à manipuler des virus pour les rendre hautement pathogènes, y compris sous serment devant le Congrès américain et malgré un nombre écrasant de preuves attestant le contraire.
Il est aujourd’hui sous le coup d’une enquête pénale pour parjure, destruction de preuves fédérales et dissimulation de l’origine de la pandémie, mais il pourrait également être tenu pour responsable d’avoir sciemment dissimulé les preuves de la toxicité et de l’inefficacité des injections, à l’ensemble de l’Amérique et au président en fonction à l’époque, à savoir Donald Trump.
Ce qui a changé depuis le précédent mandat de Donald Trump ? Le président américain sait aujourd’hui que les mensonges d’Anthony Fauci ont empêché les États-Unis de faire pression sur le gouvernement chinois pour récupérer la séquence du génome et « concevoir un vaccin efficace plutôt que la merde [sic] avec laquelle on s’est retrouvé ». C’est ce qu’a déclaré le conseiller de Donald Trump, Peter Navarro, dans une interview, où il accuse formellement le laboratoire Pfizer d’avoir dissimulé les dommages causés par ses injections et d’avoir présenté comme un vaccin ce qui est en réalité un produit de thérapie génique.
Donald Trump a-t-il également été informé que la version commerciale n’était pas la version homologuée, et qu’elle a donc été administrée à 7 milliards d’humains sans aucune évaluation clinique ? Si ce n’est pas le cas, il risque d’être furieux de l’apprendre. Rappelons qu’il est l’un des rares présidents en exercice à n’avoir pas participé à ce crime contre l’humanité que fut la vaccination contre le COVID.