Dans l'œil du cyclone
Sortie le 11 août de deux documentaires pour comprendre les vaccins ARNm et la manière dont ils ont été testés
Comment fonctionnent les vaccins à ARN messager ? Comment ont-ils été testés ? Deux documentaires réalisés par des scientifiques de renom, diffusés depuis le 11 août, répondent à ces questions.

Deux documentaires traduits en 15 et 18 langues viennent de paraître en début de semaine. Ils jettent une lumière crue sur le fonctionnement de la technologie ARNm et sur les gravissimes manquements éthiques qui ont été observés durant les essais.
Comment fonctionnent les vaccins à ARNm (Inside mRNA vaccines) ?
Le premier donne la parole aux médecins et aux scientifiques qui furent les héros de la pandémie. Ils ont été traînés dans la boue pour avoir voulu informer leurs concitoyens sur le fonctionnement des vaccins à ARN messager, utilisés pour la première fois dans l’histoire dans un cadre commercial, en mettant à leur disposition les études scientifiques indispensables pour éclairer leur consentement.
Pour ceux qui ne savent pas en quoi consistent ces injections, nous leur en conseillons vivement le visionnage. Ce conseil s’adresse également à ceux qui ont oublié l’étendue du mensonge qui a été commis à l’encontre de la population :
Bill Gates : L’invention la plus urgente au monde à l’heure actuelle est un vaccin qui empêche de contracter le COVID-19. Il devra être administré à 7 milliards de personnes. Une dernière piste prometteuse est le vaccin à ARN.
Ryan Cole, pathologiste : Si nous avions une pandémie [clin d’œil, clin d’œil], nous pourrions autoriser en urgence cette nouvelle technologie à ARNm.
Albert Bourla (CEO, Pfizer) : Il n’y a jamais eu de vaccin fabriqué à partir d’ARNm.
Paul Offit (expert en vaccins, pédiatre) : L’ARN messager, dont nous n’avions aucune expérience préalable. Aucune.
Ryan Cole : Les gens ont toujours eu confiance dans le concept « Oh, ce n’est qu’un vaccin ». Les nanoparticules lipidiques se propagent partout dans le corps, dans le cerveau, dans la moelle osseuse, dans le foie, dans la rate et, surtout, dans les organes reproducteurs.
Aseem Malhotra, cardiologue : Il est très probable que les vaccins à ARNm accélèrent les maladies coronariennes. En tant que cardiologue, c’est vraiment très grave. Car ce que nous avons fait, c’est introduire dans la population un autre facteur de risque de maladies cardiaques et de crises cardiaques. Cela signifie que nous allons assister à une augmentation de la prévalence des crises cardiaques et des morts cardiaques subites pendant des années. Et c’est ma plus grande crainte.
Peter McCullough, cardiologue : Cet article de Baumeier montre que la protéine Spike est physiquement présente dans le cœur. Nous ne devrions pas trouver la protéine Spike de Wuhan chez de jeunes garçons hospitalisés en Allemagne pour une myocardite. À l’heure où nous parlons, il existe plus de 3 000 articles dans la littérature scientifique évaluée par des pairs qui décrivent les blessures, les handicaps et les décès liés au vaccin contre la COVID-19.
Paul Marik, médecin spécialiste en soins pulmonaires et critiques : C’est une tragédie que cela ait été autorisé.
Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm : On estime que cette nouvelle technologie représente une mine d’or, un énorme potentiel de profits.
Robert Redfield, ex-directeur des CDC : Je transforme votre corps en une usine, mais je n’ai aucun contrôle sur cette usine. Vous pouvez en produire beaucoup, ou peu. Vous pouvez en produire pendant une semaine ou pendant six mois. Je ne pense pas qu’il soit déraisonnable de réexaminer la sécurité de ce que nous savons sur ces vaccins.
Bill Gates : Les vaccins actuels ne bloquent pas l’infection. Lorsque de nouveaux variants apparaissent, vous perdez votre protection. Et leur durée d’action est très courte. Tous ces problèmes peuvent être résolus.
Ryan Cole : Des milliards de doses ont été distribuées et partagées, et aujourd’hui, des millions de personnes dans le monde souffriront de séquelles permanentes pour le reste de leur vie, qui sont aujourd’hui paralysés, qui souffrent de maladies neurodégénératives, qui souffrent de graves maladies auto-immunes.
Quatre ans après, ils ne l’ont pas été car ils ne peuvent pas l’être et ne le seront donc jamais :
Utiliser l’ARNm pour transformer l’ensemble du corps en une usine à protéines Spike mortelles et non humaines était la pire idée de l’histoire de la médecine. Ce film percutant lève le voile sur le déploiement désastreux des vaccins à ARNm, avec des animations 3D époustouflantes et des témoignages sans filtre des plus grands experts mondiaux.
Peter McCullough
Comment les vaccins ARNm ont-ils été testés (Inside the vaccine trials) ?
Le second donne la parole aux participants aux essais cliniques qui ont testé les vaccins en faisant confiance à la science. Il offre également une tribune à la lanceuse d’alerte, Brooke Jackson, qui a révélé l’envers des essais dont elle était supposée assurer la supervision, et au Dr Fraiman, un ancien régulateur de la FDA qui a participé à l’homologation des vaccins. Il a démissionné depuis et produit une étude dans laquelle il réexamine les données des essais cliniques. Ce travail, publié précocement, confirmait dès 2021 que les régulateurs ont sciemment validé des produits malgré des taux de décès et d’événements indésirables graves supérieurs dans le groupe vacciné.
Chacun est libre d’interpréter comme il peut, ou veut, pourquoi des milliards de citoyens ont été contraints à s’injecter ces produits pour combattre un virus dont la létalité oscillait entre 0,0003 % et 0,506 %, avec un vaccin dont on a découvert, avant la mise en place des passes sanitaire et vaccinal, qu’il était incapable d’empêcher les contaminations, mais au contraire, qu’il les favorisait.
Ne soyons pas dupes. La passion des gouvernements occidentaux pour les vaccins et en particulier la technologie ARNm n’est pas le fruit d’une idéologie ou d’une religion, mais un moyen de détourner des milliards pour contrôler la population et son volume, les vaccins étant à ce jour le seul médicament qu’il est possible d’imposer à des citoyens.
Les accents martiaux d’Ursula von der Leyen ânonnant les mêmes slogans marketing et les mêmes mensonges scientifiques pour annoncer le versement de centaines de millions d’euros à GAVI, L’Alliance pour les vaccins, le confirment de manière lumineuse. Pourquoi refuse-t-elle de nous faire partager ses échanges avec Albert Bourla autour de la conclusion du marché qui a permis aux Européens de pouvoir bénéficier de ce sérum miraculeux ?