Dystopie

Équipe Le Point Critique | 27 avril 2025

Obscurcissement du Soleil, le Royaume-Uni franchit le pas

Le Royaume-Uni vient d’annoncer qu’il mèrerait prochainement des essais de géoingénierie en plein air. L’une des expériences en lice consiste à obscurcir le Soleil dans le but de ralentir les effets du changement climatique. L’agence qui pilote le projet est un clone de la DARPA, officiant dans l’obscurité et échappant à tout contrôle. Doit-on s’inquiéter ?

Ville de Shanghai sous un ciel sombre et nuageux
© Hxdbzxy

Le gouvernement britannique s’apprête à financer des essais de géoingénierie sur son territoire, à hauteur de 57 millions de livres sterling. Les expériences envisagées incluent l’injection d’aérosols dans la stratosphère, l’éclaircissement des nuages marins (marine cloud brightening), l’augmentation de la réflectivité de la surface de la Terre (par exemple en reconstituant la calotte glaciaire) ou encore la construction de réflecteurs spatiaux pour protéger la Terre d’une partie de la lumière solaire. Toutes participent du même objectif : refroidir artificiellement la planète pour ralentir « l’emballement du changement climatique », le temps de permettre à l’homme de décarboner suffisamment l’atmosphère pour faire baisser les températures mondiales.

Selon l’Agence publique de recherche avancée et d’invention (ARIA) à l’initiative de ce projet, le changement climatique pourrait entraîner une augmentation des températures mondiales de plusieurs degrés d’ici la fin du siècle, et « précipiter ainsi un basculement du climat avec des conséquences graves et irréversibles dans le monde entier ». Toujours selon l’Agence, le seul moyen de prévenir ou de réduire ce risque de basculement est la décarbonisation de l’atmosphère, qui se heurte aujourd’hui à des difficultés pratiques[1],[2].

Pour l’heure, l’objectif n’est officiellement que de tester « de manière responsable et éthique » si ces expériences sont sûres et efficaces, et si les effets de ces programmes seront réversibles, ce que seuls des tests physiques grandeur nature permettront de déterminer. L’équipe d’ARIA se veut rassurante : il s’agira uniquement d’« expériences de petite taille, contrôlées et géographiquement confinées », les chercheurs insistant sur le fait que « les travaux seront menés de la manière la plus transparente possible ».

Selon The Telegraph, les experts espèrent que si ces expériences s’avèrent concluantes, elles pourront être déployées à plus grande échelle et mises en œuvre dans un délai de dix ans. En parallèle, ARIA financera également des tests en intérieur ainsi que de nouvelles études de modélisation, de surveillance du climat et d’évaluation des attitudes du public à l’égard de la géoingénierie.

L’inquiétante conférence de presse animée par David Keight

Les risques soulevés par ce projet ont été exprimés du bout des lèvres lors d’une conférence de presse, où le Canadien David Keith, directeur fondateur de la Climate Systems Engineering initiative à l’université de Chicago, a exprimé le « dilemme moral » que soulève ce projet – qu’il soutient par ailleurs activement –, à savoir que ces expériences tuent in fine plus de gens qu’elles ne prétendent en sauver.

L’ex-professeur de sciences géophysiques de Harvard, également fondateur de Carbon Engineering, une entreprise financée par Bill Gates qui développe une technologie permettant de capturer le CO2 de l’air ambiant, est considéré comme le grand prêtre de la géoingénierie solaire. Cette approche, citée par l’agence ARIA et considérée aujourd’hui comme l’une des plus prometteuses pour tenter de soumettre le climat – « pirater l’atmosphère », écrit le Time –, vise à faire réfléchir le rayonnement solaire dans l’espace pour limiter le réchauffement climatique. En l’occurrence, la stratégie défendue par David Keith consiste à injecter des particules de dioxyde de soufre, et donc d’acide, dans l’atmosphère, afin de simuler les effets d’une éruption volcanique massive et continue.

Il estime que même une réduction de seulement 1 °C de la température terrestre, comme celle qui fut observée en 1991 après l’éruption du volcan Pinatubo, aux Philippines, pourrait prévenir des millions de décès liés à la chaleur et soutient que la technologie est aujourd’hui, si ce n’est mûre, beaucoup mieux comprise et maîtrisée que ses détracteurs ne l’affirment.

Pourtant, en 2018, il a essuyé un revers cuisant lorsqu’il a tenté de réaliser un premier test d’une expérience de géoingénierie solaire (Scopex), consistant à disperser de la poussière minérale à une altitude d’environ 20 kilomètres depuis un ballon et à suivre le comportement des particules en suspension. Non seulement, relate le New Yok Times, Keith n’a pas réussi à trouver de partenaire pour procéder au lancement du ballon, mais lorsque les détails de l’expérience ont été rendus publics, un groupe d’autochtones s’y est opposé et a publié un manifeste contre la géoingénierie.

Les tentatives, trois ans plus tard, de sauvetage du projet par l’université Harvard n’ont pas réussi à convaincre la communauté indigène, soutenue par la militante suédoise pour le climat Greta Thunberg. L’expérience, financée par Bill Gates, a été annulée, mais David Keith s’est contenté de changer d’université pour y fonder son Initiative sur l’ingénierie des systèmes climatiques.

L’alerte de la communauté scientifique

Ces expérimentations suscitent en réalité de profondes inquiétudes[3],[4],[5] non pas uniquement chez les scientifiques qui contestent la réalité de l’urgence climatique, mais aussi et surtout parmi les plus ardents « défenseurs du climat ». Shuchi Talati, fondatrice de l’ONG Alliance for Just Deliberation on Solar Geoengineering, qualifie cette technologie d’« épée à double tranchant », qui pourrait « exacerber la souffrance humaine si elle est utilisée à mauvais escient ».

Beatrice Rindevall, présidente de la Société suédoise pour la conservation de la nature, estime qu’il s’agit d’une « voie vraiment dangereuse qui pourrait ébranler le système climatique, modifier les cycles hydrologiques et exacerber les conditions météorologiques extrêmes ainsi que l’instabilité climatique ». Lili Fuhr, directrice du programme sur l’économie fossile au Centre for International Environmental Law, ne dit pas autre chose : « Personne ne devrait contrôler le thermostat mondial ; les risques sont trop importants, car ils pourraient perturber les régimes climatiques et nuire à des milliards de personnes. » La même aberration est dénoncée par l’écologiste canadien David Suzuki, qui estime que « l’idée de pulvériser des composés sulfurés pour réfléchir la lumière du Soleil est arrogante et simpliste ».

Enfin, deux voix puissantes se sont récemment exprimées pour fustiger ce « projet complètement fou » et « activement nocif » : celle de Raymond Pierrehumbert, professeur de physique à l’université d’Oxford et co-auteur du troisième rapport d’évaluation du GIEC, et celle du climatologue Michael Mann, auteur de la fameuse courbe en forme de crosse de hockey supposée démontrer une explosion des températures dans l’hémisphère Nord concomitante avec le début de l’ère industrielle. C’est notamment sur cette courbe, publiée en 1998 dans Nature et sacralisée dans le troisième rapport d’évaluation du GIEC, que se fonde la théorie moderne de la responsabilité du CO2 humain dans le réchauffement climatique, requalifié depuis en « changement climatique ».

Mi-mars, les deux chercheurs cosignaient une tribune dans le Guardian pour dénoncer une « distraction dangereuse par rapport au travail qui doit être fait pour parvenir à des émissions nettes de dioxyde de carbone » :

Nous n’avons jamais imaginé que le gouvernement britannique lui-même dirigerait la charge de ce qui est presque universellement reconnu comme la recherche la plus dangereuse et la plus déstabilisatrice : des essais sur le terrain qui risquent de développer une technologie dangereuse et d’ouvrir la voie au déploiement. […] L’expérimentation en plein air est une entreprise tellement controversée que même la Fondation Simons, qui finance la recherche en géoingénierie solaire, s’est abstenue de faire des subventions dans ce domaine.

Dans cette tribune, ils dressent notamment un portrait alarmant de la toute jeune agence britannique. Créé officiellement en janvier 2023, ce clone de l’Agence des projets avancés de défense des États-Unis (Darpa) – une émanation du Pentagone, à laquelle nous devons la création des vaccins COVID –, est présenté comme un pur produit du capitalisme de connivence britannique. L’Agence disposerait de ressources pharaoniques (800 millions de dollars) et d’une capacité de financement extraterritoriale lui permettant de mener des expérimentations sur des sites faiblement réglementés, sans le moindre contrôle, ou presque.

Les Anglais ont tiré les premiers

Londres a-t-elle ouvert une boîte de Pandore ? L’Australie a commencé en 2020 à expérimenter la technique d’éclaircissement des nuages marins afin, officiellement, de protéger la Grande Barrière de corail, mais l’initiative britannique sera la première organisée dans l’hémisphère Nord. L’objectif du programme est de créer un « modèle de transparence que d’autres programmes de financement pourraient adopter ». Il n’y aurait rien à perdre, mais tout à gagner, puisque la science aura progressé même en cas d’échec en démontrant que ce projet n’était qu’une utopie.

Pourtant, l’agence ARIA reconnaît elle-même qu’elle s’apprête à naviguer à vue, dans des eaux particulièrement troubles. Au-delà de la question de la faisabilité et de l’efficacité de telles expériences, elle concède que « de nombreux risques mal maîtrisés » leur sont aujourd’hui associés[6] :

  • quelles seront la portée et l’ampleur de leurs effets secondaires, sachant qu’ils peuvent affecter de manière inégale différentes parties du monde[7] (par exemple, créer de la pluie dans une région aride tout en asséchant la saison des moussons dans une autre région), voire perturber les systèmes naturels et engendrer des perturbations climatiques locales complexes à anticiper ?
  • doit-on craindre un « choc de résiliation catastrophique[8] » en cas d’arrêt soudain du déploiement[9], se concrétisant par une hausse brutale des températures et une forme d’addiction corrélative à la géoingénierie ?
  • le journal Reporterre en mentionne un troisième, qui est le risque de destruction de la couche d’ozone ?
  • quid enfin des conséquences de l’inévitable infiltration des particules de dioxyde de soufre dans le sol, jadis conspuées par la communauté scientifique qui incitait il y a dix ans les gouvernements à lutter contre les fameuses « pluies acides » ? Cherchez l’erreur…

La fausse question de l’aléa moral

Lors de la conférence de presse britannique, David Keight est revenu sur l’« aléa moral[10]» soulevé par le projet :

Si je prenais la décision, ou si une décision collective était prise, de mettre en place un programme de géoémission […] qui, disons, pourrait entraîner la mort de plusieurs dizaines de milliers de personnes chaque année, ce serait la conséquence directe de cette décision. Je pense que cela a des conséquences morales. Je ne m’en cache pas.

Conférence de presse – Annonce de l’initiative britannique d’essais de géingénierie solaire

Il se résume en réalité à un double dilemme :

  • les risques d’un « déploiement précipité » de ces approches insuffisamment étudiées l’emportent-ils sur ceux d’un déploiement plus tardif et plus soudain ?
  • développer la capacité de réduire les températures mondiales sans réduire « l’effet de serre » ne risque-t-il pas de réduire l’incitation à atteindre les objectifs de décarbonation dans un délai raisonnable ?

Ce n’est d’ailleurs qu’un dilemme de façade, qui semble déjà résolu : selon Michael Gerrard, professeur à la Columbia Law School, auteur d’un ouvrage sur la création d’un cadre régissant les expériences de géoingénierie : « Il se peut qu’elles fonctionnent, qu’elles ne fonctionnent pas ou qu’elles fassent plus de mal que de bien, mais sans recherches supplémentaires, nous ne le saurons pas. »

On croyait que la sagesse l’avait emporté sur la folie, avec l’abandon du plan de recherche sur la géoingénierie solaire, annoncé en juin 2023 par l’administration Biden, qui mentionnait que « des expériences en plein air seraient utiles ». Même l’Union européenne – et dans une moindre mesure l’ONU – estime que la technologie est beaucoup trop risquée pour qu’un tel déploiement soit envisagé :

La Commission européenne considère que la géoingénierie n’est pas la solution au changement climatique, car elle ne s’attaque pas à la cause première du problème : l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. […] Dans l’état actuel du développement, une intervention délibérée dans les systèmes naturels de la Terre, telle que le déploiement d’un système de modification du rayonnement solaire (SRM), représente un niveau de risque inacceptable pour l’homme et l’environnement.

Aucune des deux ne ferme pour autant la porte à des expérimentations. L’ONU estime que « choisir d’ignorer complètement le système de modification du rayonnement solaire (SRM) à ce stade pourrait comporter ses propres risques » et propose un guide à l’attention des décideurs[11]. L’UE rappelle de son côté qu’il est impératif « d’évaluer de manière exhaustive les risques et les incertitudes liés à ces interventions climatiques et à promouvoir les discussions sur un éventuel cadre international pour leur gouvernance, y compris la recherche sur les aspects connexes[12] ».

La communauté scientifique semble s’être accordée sur la nécessité d’installer un moratoire sur le déploiement des SRM, mais elle demeure divisée sur l’opportunité de continuer à développer ou non la recherche sur le sujet. L’initiative britannique apparaît donc, dans ce contexte, particulièrement surprenante, alors que l’administration travailliste cherche désespérément dans quel secteur des dépenses publiques elle va pouvoir opérer de nouvelles coupes.

Plus exactement, elle semble avoir cédé aux sirènes des Big Tech, de la finance internationale et de la Silicon Valley, où se multiplient les initiatives de géoingénierie. Le Time s’interrogeait ainsi en 2023 sur l’« obsession des milliardaires pour bloquer le Soleil ». Selon Reporterre, la liste des généreux donateurs qui souhaitent sauver la planète (sans suivre leurs propres recommandations pour y parvenir, et en se faisant construire des bunkers de luxe au cas où quelque chose ne se passerait pas comme prévu) inclut notamment Bill Gates, Jeff Bezos, George Soros, via l’Open Philanthropy Project, Dustin Moskovitz (cofondateur de Facebook), Niklas Zennström (fondateur de Skype), William Hewlett (cofondateur de Hewlett-Packard), ainsi que d’anciens dirigeants du secteur bancaire (Morgan Stanley, Goldman Sachs) et de grandes multinationales (McDonald’s, Shell ou Walmart).

Le GIEC a-t-il créé un monstre incontrôlable ?

L’annonce de l’initiative britannique a provoqué un sursaut dans la communauté scientifique, mais on soupçonne que ces expériences sont déjà pratiquées à grande échelle, sans aucune consultation des populations. Leur existence est prise très au sérieux par le nouveau ministre de la Santé américain qui a juré de « mettre fin à ce crime », alors que leur interdiction est débattue dans plusieurs États (Tennessee, Floride). L’objectif est-il de corriger a posteriori le tir ?

L’inquiétude exprimée par les chercheurs ou les activistes du climat est toutefois bien tardive. En janvier 2024, l’une des contributrices du GIEC s’inquiétait du catastrophisme provoqué par les propres projections de son institution. Il semble que ces modélisations, jugées fallacieuses par une partie de la communauté scientifique, probablement la plus illustre, aient donc dépassé l’objectif qu’elles s’étaient fixé : provoquer une prise de conscience de « l’urgence climatique ».

Il est malheureusement « plus facile de faire sortir le dentifrice du tube que de l’y faire rentrer ». D’où l’inquiétude soulevée par l’emprise du GIEC, dont les scientifiques qui se réveillent aujourd’hui le font au nom de ses modélisations, alors que d’autres voix[13],[14],[15] censurées sans débat, prétendent que le CO2 humain n’est pas le problème – il aurait déjà atteint au contraire un niveau critiquement bas – et que l’humanité pourrait au contraire se diriger vers une nouvelle ère glaciaire.

En 2015, l’avènement de cette petite ère glaciaire était annoncée hypothétiquement pour 2030 ou 2035 par des chercheurs de la Société royale d’astronomie britannique. Cette tendance a été confirmée en 2018 par une étude[16] de l’évolution des conditions climatiques dans l’Arctique au cours des 160 dernières années, qui ne révèle aucun signe de réchauffement climatique, mais au contraire, une tendance au refroidissement. Plus inquiétante peut-être est l’obsession d’une ébullition climatique mortelle, alors que les données d’observation révèlent que le froid tue infiniment plus que les chaleurs excessives.

Le Bureau américain de l’air et des radiations (APE) a confirmé le 15 avril dernier que des expériences de géoingénierie sont déjà pratiquées en toute impunité par certains acteurs privés. Ainsi la start-up make Sunsets commercialise des crédits de « refroidissement » et exploite la technique de géoingénérie promue par David Keith pour manipuler le climat. Peut-on imaginer sur ce principe que les aléas climatiques qui inquiètent autant la communauté scientifique aient été provoqués par de telles expériences ? La question est ouverte.


Références

[1] Wieners CE, Hofbauer BP, de Vries IE, Honegger M, Visioni D, Russchenberg HWJ, et al. Solar Radiation Modification is risky, but so is rejecting it: A call for balanced research. Oxford open climate change. 2023 Mar;3(1):1-4. https://doi.org/10.1093/oxfclm/kgad002.

[2] Buck HJ, Nicholson S. Solar geoengineering research in the global public interest: A proposal for how to do it. One Earth. 2023 Dec;6(12):1652-64. https://doi.org/10.1016/j.oneear.2023.11.012.

[3] Frumhoff PC, Stephens JC. Towards legitimacy of the solar geoengineering research enterprise. Philosophical Transactions of the Royal Society A: Mathematical, Physical and Engineering Sciences. 2018 Apr;376(2119):20160459. https://doi.org/10.1098/rsta.2016.0459.

[4] Kravitz B, MacMartin DG. Uncertainty and the basis for confidence in solar geoengineering research. Nature Reviews Earth & Environment. 2020 Jan;1(1):64-75. https://doi.org/10.1038/s43017-019-0004-7.

[5] McLaren D, Corry O. The politics and governance of research into solar geoengineering. WIREs Climate Change. 2021 Mar;12(3):1-20, doi: https://doi.org/10.1002/wcc.707.

[6] The Royal Society. Geoengineering the climate: science, governance and uncertainty. 2009 Sept. royalsociety.org. https://royalsociety.org/-/media/policy/publications/2009/8693.pdf.

[7] Ricke KL, Morgan MG, Allen MR. Regional climate response to solar-radiation management. Nature Geoscience. 2010;3(8):537-41. https://doi.org/10.1038/ngeo915

[8] Pierrehumbert R. There is no Plan B for dealing with the climate crisis. Bulletin of the Atomic Scientists. 2019;75(5):215-21. https://doi.org/10.1080/00963402.2019.1654255.

[9] Parker A, Irvine PJ. The risk of termination shock from solar geoengineering. Earth’s Future. 2018;6(3):456-67.https://doi.org/10.1002/2017ef000735.

[10]  McLaren D. Mitigation deterrence and the ‘moral hazard’ of solar radiation management. Earth’s Future. 2016;4(12):596-602. https://doi.org/10.1002/2016ef000445.

[11] UN Environment Program, International Science Council. Navigating New Horizons
A global foresight report on planetary health and human wellbeing. 2024. https://wedocs.unep.org/20.500.11822/45890.

[12] Commission européenne. Questions and Answers on a new outlook on the climate and security nexus. 2023 Jun 28. https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/en/qanda_23_3525?_x_tr_hist=true.

[13] https://clintell.org/usa-wcd/

[14] https://x.com/wideawake_media/status/1727305681177305476

[15] Blazer L. Eight Important Facts – Not Opinions – That Totally Debunk the Human – Caused Global Warming Hypothesis. Gateway Pundit. 2023 Jul 23. https://www.thegatewaypundit.com/2023/07/eight-important-facts-not-opinions-that-totally-debunk/.

[16] Mikkelsen TB, Grinsted A, Ditlevsen P. Influence of temperature fluctuations on equilibrium ice sheet volume. The Cryosphere. 2018;12:39-47. https://doi.org/10.5194/tc-12-39-2018.

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