Désastre sanitaire

Équipe Le Point Critique | 14 avril 2025

Maladie de Charcot postvaccinale, 83 % des cas recensés en 25 ans sont associés à un vaccin COVID

Le comédien Eric Dane, qui avait milité pour la vaccination contre le COVID vient d’annoncer publiquement être atteint de la maladie de Charcot (SLA). Une recherche dans la base du VAERS révèle que 83 % des cas de SLA enregistrés depuis 1990, tous vaccins confondus, sont associés aux vaccins COVID, et plus particulièrement au vaccin Pfizer (3 cas sur 4).

Images de scanner cérébral.
© Stockdevil

Plusieurs cas de sclérose latérale amyotrophique (SLA, maladie de Charcot ou maladie du motoneurone) ont été relatés depuis la campagne de vaccination contre le COVID-19. Celui de Melene Gevremont (37 ans) avait bouleversé l’Australie, tout comme celui de la top model slovaque Katarina Pavelek, qui a choisi de s’exiler en Suisse pour bénéficier d’un suicide assisté. Le dernier en date est celui du comédien américain Eric Dane, dont l’annonce de la maladie a fait le tour du monde.

Le lien avec la vaccination n’est pas évoqué dans les médias, mais il a révélé sur son compte X qu’il avait été vacciné contre le COVID en avril 2021 avec le vaccin Johnson et Johnson (J & J), ce qui renforce l’hypothèse d’un possible lien entre les vaccins géniques et la SLA, une maladie neurodégénérative rare (2,7 nouveaux cas pour 100 000 habitants en France) et incurable, à évolution rapide, et dont le pronostic est particulièrement sombre (espérance de vie de 3-4 ans après l’apparition des premiers symptômes).

L’article de France Bleu censuré quelques heures après un tweet adressé à Olivier Véran

Un des cas relatés en France est celui de Mélanie Maupas, dont les premiers symptômes (fasciculations) sont apparus deux jours après la deuxième dose de vaccin Pfizer. Le lien d’imputabilité entre sa SLA, diagnostiquée 15 mois plus tard, a été formellement confirmé par le centre régional de pharmacovigilance (CRPV), qui n’a mis en évidence aucune autre cause, notamment génétique, pour expliquer le déclenchement de la maladie, ce qui, selon les règles de la pharmacovigilance suffit à établir un tel lien.

Dans un communiqué publié le 5 février dernier auquel a répondu l’avocat de l’association dont Mélanie Maupas est la vice-présidente (Aavic Team), l’ANSM récuse pourtant ce lien en mettant en avant le manque de données disponibles. Comme pour la maladie de Creutzfeldt-Jakob contractée par Mauricette Doyer ou pour les « turbo-cancers » survenus après une vaccination (ce qui est le cas de presque tous les nouveaux cas de cancer, compte tenu du nombre de personnes injectées ou multiinjectées), dont l’incidence explose depuis deux ans, la pharmacovigilance récuse le lien d’imputabilité au motif que « médicalement et physio-pathologiquement, la maladie ne peut être déclenchée dans un délai aussi court ».

L’association Aavic Team détaille sur son site les mécanismes physiopathologiques de la maladie qui plaident au contraire en faveur de la responsabilité du vaccin.

Historique de la maladie de Mélanie Maupas, rapport de pharmacovigilance, publié par l'association Aavic Team
Historique de la maladie de Mélanie Maupas, rapport de pharmacovigilance, publié par l’association Aavic Team
Diagnostic de SLA de Mélanie Maupas retenu par la pharmacovigilance, publié par l'association Aavic Team
Diagnostic de SLA de Mélanie Maupas retenu par la pharmacovigilance, publié par l’association Aavic Team

L’ANSM estime ainsi que la progression de la maladie serait beaucoup trop rapise par rapport à son tableau clinique type, comme l’explique la responsable du CRPV Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui relate une quinzaine de cas dans sa région, sans prendre en compte le fait que la technologie ARNm n’a été utilisée pour la première fois chez l’homme dans le cadre d’une vaccination qu’à partir de 2020. Les victimes sont donc condamnées à une triple peine : celle d’avoir testé une technologie dont on ignorait tout, dont elles n’avaient pour la plupart aucunement besoin, et dont les effets secondaires ne sont pas pris en compte car ils n’ont pas été observés avec les précédents vaccins.

Fin décembre 2024, France Bleu Pays d’Auvergne a publié un article mentionnant la reconnaissance du lien entre le SLA de Mélanie Maupas et sa vaccination COVID 19. Quelques heures plus tard, France Bleu a supprimé l’article suivi le lendemain de la publication d’un communiqué affirmant que « La responsabilité du vaccin dans l’apparition de la maladie de la patiente n’a, à ce jour, pas été reconnue ». Entre-temps, le Dr Amine Umlil, responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet, qui a été révoqué de ses fonctions après avoir témoigné dans le cadre de l’enquête parlementaire sur les effets indésirables des vaccins anti-COVID[1], avait adressé un tweet à Olivier Véran mentionnant l’article de France Bleu. Dans son communiqué, le média réfute avoir fait l’objet de pressions, mais il est permis d’en douter.

La réponse de l’ANSM

Si le lien était avéré, cette nouvelle serait embarassante pour l’ancien ministre et l’ANSM. Dans son rapport du 14 avril 2022, l’agence consacre 3 pages à la SLA dont elle explique qu’elle est « une maladie à très haut risque de COVID grave », ce qui expliquerait que les spécialistes aient« très fortement recommandé la vaccination chez les patients ». Or cette affirmation pose un certain nombre de problèmes :

  • elle ne tient pas compte du fait que les injections favorisent les contaminations, comme l’ont révélé les données de l’essai clinique Pfizer, déclassifiées le 1er avril 2022, qui montrent une immunosuppression dans les 7 jours suivant la première injection. Au moins six études indépendantes[2],[3],[4],[5],[6], revues par les pairs, confirment aujourd’hui l’efficacité négative du vaccin ;
  • elle omet la forte affinité de la protéine Spike pour le cerveau, et notamment le fait qu’elle possède une région de type « prions ». Là encore, ce risque était connu dès 2021 ;
  • elle ne tient pas compte de la susceptibilité des patients atteints de maladies neurodégénératives (sclérose en plaques, SLA, maladie d’Alzheimer et de Parkinson), qui peuvent influencer les réponses immunitaires et entraîner des événements indésirables[7].

Par ailleurs, l’ANSM estime dans son rapport de 2022 que les données ne sont pas suffisantes pour émettre un signal de sécurité, mais précise que le lien d’imputabilité est à l’étude pour deux patients. Quand bien même les patients porteurs d’une SLA seraient à haut risque de COVID, peut-on sérieusement invoquer la létalité du COVID avec celle de la SLA ? Enfin, une étude de novembre 2022 (Zhang et al.)[8] a établi que le COVID-19 ne majorait pas le risque de SLA contrairement à d’autres maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer. Quid des injections ?

Ce que dit la littérature

En août 2024, nous avons publié un article de synthèse sur les complications neurologiques associées aux vaccins COVID, qui devrait être prochainement actualisé pour tenir compte des dernières études. Si la SLA n’est pas actuellement reconnue comme un effet secondaire des injections, une étude de mars 2022 (Frontera et al.)[9] portant sur les rapports du système américain de surveillance des vaccins (VAERS) a retrouvé une « faible association entre la SLA et le vaccin COVID, avec une incidence de 0,02, 0,01 et 0,00 cas pour 1 000 000, respectivement, pour les vaccins Pfizer, Moderna et J & J ».

Une étude plus récente, datée de mars 2023 (Feghali et al.)[10], présente le cas d’un patient (47 ans, sportif, sans problème de santé mais avec des antécédents familiaux de SLA) qui a commencé à présenter des symptômes de la maladie 24 heures après avoir reçu le vaccin anti-COVID J & J :

Bien que la physiopathologie précise ne soit pas claire, elle pourrait être liée à la réponse immunitaire accrue observée après l’administration du vaccin. Celle-ci pourrait déclencher une réponse neuro-inflammatoire, conduisant finalement à la neurodégénérescence et à la SLA. Une étude a rapporté le déclin fonctionnel rapide de deux patients atteints de SLA à progression lente et ayant contracté le COVID-19[11]. Les auteurs ont émis l’hypothèse que ce déclin accéléré pouvait s’expliquer par la capacité du COVID-19 à déclencher une neuro-inflammation, étayant ainsi l’hypothèse selon laquelle le déclencheur pourrait être soit le virus lui-même, soit la réponse immunitaire.

Fin février, le Dr. Jörg-Heiner Möller, médecin-chef en cardiologie à l’hôpital de Burglengenfeld (Bavière, Allemagne) aujourd’hui retraité, a donné un entretien dans le magazine Mutlipolar. Il appelle à des enquêtes pénales contre l’Institut Paul Ehrlich, le pendant allemand de l’ANSM, pour ne pas avoir mis en garde la population contre les dangers de la nouvelle technologie ARNm et pour refuser aujourd’hui de confirmer la responsabilité des injections dans les dommages « considérables » qu’elles ont causés.

Parmi eux, il relève deux cas de SLA déclarés immédiatement après la vaccination au sein de sa patientèle, incluant une jeune mère probablement décédée aujourd’hui en raison de la gravité de son évolution. Dans un cas, la progression a été si fulgurante qu’il qualifie cette forme de « turbo-SLA ».

Il précise que si les causes de la SLA ne sont que partiellement connues, elles incluent potentiellement, selon l’index pharmaceutique allemand « Liste jaune », « des mauvais repliements de protéines commandés par les prions », ce qui est confirmé par une étude de 2019 (Weickenmeier et al.)[12], citée par Stefanie Seneck en juillet 2021. Une étude publiée en 2021 (Classen) avait également attiré l’attention sur le risque que les vaccins COVID puissent déclencher des maladies à prions, notamment une SLA.

Dans notre précédent article « Impact des vaccins COVID-19 sur le cerveau, mini-état de la science », nous citons pas moins de 36 références (21 à 36 dans l’article), dont l’étude de Classen, celle du Pr Montagner et du mathématicien Jean-Claude Perez où ils identifient des séquences de type « prions » dans la protéine Spike du virus du SARS-CoV-2[13], et plus récemment trois études majeures[14],[15],[16], dont une étude tchèque de 2023 (Stefano et al.) :

Nous supposons, en partie, que le COVID long peut impliquer l’induction de l’émergence spontanée de prions, en particulier chez les individus sensibles à son origine, et peut donc expliquer certaines de ses manifestations après une infection virale aiguë.

Les données de pharmacovigilance

Une analyse des données du VAERS apporte aujourd’hui un argument extrêmement troublant en révélant que 83 % des cas de SLA enregistrées dans la base américaine depuis sa création en 1990, tous vaccins confondus, sont associés aux vaccins COVID.

Nous avons consulté le site Medalerts, qui permet d’effectuer des recherches ciblées dans le VAERS. Ainsi, la base recense 371 cas de SLA (dont 2 formes congénitales et 3 formes familiales), tous vaccins confondus, depuis sa création. Parmi ces 371 cas, 309 (83 %) ont été associés à un vaccin COVID (2 formes génétiques et 2 formes familiales), dont 13 % avant 50 ans. Sur ces 309 cas, 213 ont été signalés après une injection Pfizer (69 %), soit près de 3 vaccins sur 4.

Nombre de cas de SLA recensés dans le VAERS depuis 1990, tous vaccins confondus (Medialerts.org)
Nombre de cas de SLA recensés dans le VAERS depuis 1990, tous vaccins confondus (Medialerts.org)
Nombre de cas de SLA recensés dans le VAERS depuis 1990 après un vaccin COVID-19 (Medialerts.org)
Nombre de cas de SLA recensés dans le VAERS depuis 1990 après un vaccin COVID-19 (Medialerts.org)
Nombre de cas de SLA recensés dans le VAERS depuis 1990 après un vaccin COVID-19 Pfizer (Medialerts.org)
Nombre de cas de SLA recensés dans le VAERS depuis 1990 après un vaccin COVID-19 Pfizer (Medialerts.org)

Ces chiffres sont confirmés par une étude de février dernier[17] (Sodogari et al.) portant sur la période 2022-2023 et la période de juillet à décembre 2024, qui a retrouvé un taux de 93,37 %, la discordance entre leur résultat et le nôtre s’expliquant par le fait que nous avons inclus l’ensemble des vaccins contrairement à l’étude.

L’étude analyse également la fréquence des symptômes après la vaccination chez les patients atteints de SLA, de sclérose en plaques (SEP), maladie d’Alzheimer et de Parkinson. Pour la SLA, le symptôme le plus fréquemment rapporté après la vaccination était… le COVID-19.

Une épidémie silencieuse ?

Les scientifiques ont alerté dès 2021 sur le risque de maladies neurodégénératives. Comment des responsables politiques ont-ils pu s’abaisser à contraindre la population, notamment des enfants qui souhaitaient continuer à faire du sport ou de jeunes adultes qui voulaient sortir et partir en vacances à se faire injecter ces substances pour se protéger d’une maladie qui ne les concernait pas ?

Pour rappel, la toute dernière méta-analyse cosignée par le Pr John Ioannidis[18] portant sur 31 études et impliquant 29 pays, évalue la mortalité du COVID avant la vaccination à :

  • 0,000 3 % pour les 0-19 ans ;
  • 0,002 % pour les 20-29 ans ;
  • 0,011 % pour les 30-39 ans ;
  • 0,035 % pour les 40-49 ans ;
  • 0,123 % pour les 50-59 ans ; et
  • 0,506 % à 60-69 ans.

Entre 0 à 69 ans, le taux de létalité en cas d’infection est évalué à 0,095 %, très loin des 3-4 % postulés par les autorités sanitaires. Avec des taux de mortalité aussi dérisoires, était-il humain d’imposer un vaccin inefficace à des populations jeunes et en parfaite santé ?


Références

[1] Voir ou revoir l’intervention complète du Dr Umlil : https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/surete-amine/.

[2] Ioannou GN, Locke ER, O’Hare AM, Bohnert ASB, Boyko EJ, Hynes DM, et al. COVID-19 Vaccination Effectiveness against infection or death in a National U.S. Health Care System: A target trial emulation study. Ann Intern Med. 2022 Mar;175(3):352-361. https://doi.org/10.7326/M21-3256.

[3] Eythorsson E, Runolfsdottir HL, Ingvarsson RF, Sigurdsson MI, Palsson R.Rate of SARS-CoV-2 reinfection during an Omicron wave in Iceland. JAMA Netw Open. 2022 Aug 1;5(8):e2225320. https://doi.org/10.1001/jamanetworkopen.2022.25320.

[4] Chemaitelly H, Ayoub HH, AlMukdad S, Coyle P, Tang P, Yassine HM, et al. Duration of mRNA vaccine protection against SARS-CoV-2 Omicron BA.1 and BA.2 subvariants in Qatar. Nat Commun. 2022 Jun 2;13(1):3082. https://doi.org/10.1038/s41467-022-30895-3.

[5] Shrestha NK, Burke PC, Nowacki AS, Simon JF, Hagen A, Gordon SM. Effectiveness of the Coronavirus Disease 2019 Bivalent Vaccine. Open Forum Infect Dis. 2023 Apr 19;10(6):ofad209. https://doi.org/10.1093/ofid/ofad209.

[6] Feldstein LR, Ruffin J, Wiegand R, Grant L, Babu TM, Briggs-Hagen M, et al. Protection From COVID-19 Vaccination and Prior SARS-CoV-2 Infection Among Children Aged 6 Months-4 Years, United States, September 2022-April 2023. J Pediatric Infect Dis Soc. 2025 Jan 20;14(1):piae121. https://doi.org/10.1093/jpids/piae121.

[7] Carvajal R, Zabalza A, Carbonell-Mirabent P, Martínez-Gómez X, Esperalba J, Pappolla A, et al. Vaccine safety and immunogenicity in patients with multiple sclerosis treated with natalizumab. AMA Netw Open. 2024 Apr 1;7(4):e246345. https://doi.org/10.1001/jamanetworkopen.2024.6345.

[8] Nakatani E, Morioka H, Kikuchi T, Fukushima M. Behavioral and health outcomes of mRNA COVID-19 vaccination: A case-control study in Japanese small and medium-sized enterprises. Cureus. 2024 Dec 13;16(12):e75652. https://doi.org/10.7759/cureus.75652.

[9] Frontera JA, Tamborska AA, Doheim MF, Garcia-Azorin D, Gezegen H, Guekht A, et al.; contributors from the Global COVID-19 Neuro Research Coalition.Neurological events reported after COVID-19 vaccines: An analysis of VAERS. Ann Neurol. 2022 Mar 2;91(6):756-71. https://doi.org/10.1002/ana.26339.

[10] Feghali EJ, Challa A, Mahdi M, Acosta E, Jackson J. New-onset amyotrophic lateral sclerosis in a patient who received the J&J/Janssen COVID-19 vaccine. Kans J Med. 2023 Mar 15;16(1):69-70. https://doi.org/10.17161/kjm.vol16.18969.

[11] Li X, Bedlack R. COVID-19–accelerated disease progression in two patients with amyotrophic lateral sclerosis. 2021 Sep;64(3):E13-E15. https://doi.org/10.1002/mus.27351.

[12] Weickenmeier J, Jucker M, Goriely A, Kuhl E. A physics-based model explains the prion-like features of neurodegeneration in Alzheimer’s disease, Parkinson’s disease, and amyotrophic lateral sclerosis. J Mech Phys Solids. 2019;124:264-81. https://doi.org/10.1016/j.jmps.2018.10.013.

[13] Perez JC, Moret-Chalmin C, RIP Montagnier L. Emergence of a new Creutzfeldt-Jakob disease: 26 cases of the human version of mad-cow disease, days after a COVID-19 injection. Int J Vaccine Theory Pract Research. 2023 Jan 12;3(1):727:70. https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/66. Publié en prepint en 2022 : https://zenodo.org/records/6641999.

[14] Seneff S, Kyriakopoulos AM, Nigh G, McCullough PA. A potential role of the Spike protein in neurodegenerative diseases: A narrative review. Cureus. 2023 Feb 11;15(2):e34872. https://doi.org/10.7759/cureus.34872. Inclut 134 références.

[15] Mulroney TE, Pöyry T, Yam-Puc JC, Rust M, Harvey RF, Kalmar L, et al. N1-methylpseudouridylation of mRNA causes +1 ribo-somal frameshifting. Nature. 2023 Dec 6. https://doi.org/10.1038/s41586-023-06800-3.

[16] Stefano GB, Büttiker P, Weissenberger S, Anders M, Raboch J, Ptacek R, et al. Potential prion involvement in long COVID-19 neuropathology, including behavior. Cell Mol Neurobiol. 2023 Aug;43(6):2621-2626. https://doi.org/10.1007/s10571-023-01342-8.

[17] Sodagari S, Sodagari N. Examining vaccination-related adverse events in frequent neurodegenerative diseases. Brain Behav Immun Health. 2024 Nov 16;43:100902. https://doi.org/10.1016/j.bbih.2024.100902.

[18] PezzulloAM, Axfors C, Contopoulos-Ioannidis DG, Apostolatos A, Ioannidis JPA. Age-stratified infection fatality rate of COVID-19 in the non-elderly informed from pre-vaccination national seroprevalence studies. Environ Res. 2023 Jan 1;216(Pt 3):114655. https://doi.org/10.1016/j.envres.2022.114655. Publiée en preprint le 11 octobre 2022.

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