Contre-diplomatie

Équipe Le Point Critique | 03 mars 2025

Clash historique entre Kiev et Washington

Donald Trump et Volodymyr Zelensky se sont entretenus vendredi à la Maison-Blanche en vue de la signature d’un accord assorti d’un possible cessez-le-feu en Ukraine. La rencontre a dégénéré à la 39e minute révélant l’ampleur du divorce entre la nouvelle et la précédente administration, à laquelle le président ukrainien est resté visiblement fidèle.

Rencontre Trump/Zelensky à la Maison-Blanche, 28 février 2025

Le comportement de Volodymyr Zelensky dans le bureau Ovale ce 28 février restera probablement dans les annales de la diplomatie comme un parfait contre-exemple de la manière dont se négocie un accord de paix. Après une séquence de 39 minutes où il n’a pas donné une seule fois le sentiment d’approuver cette rencontre, le président ukrainien a ruiné en quelques secondes les efforts de son équipe pour préserver des relations apaisées avec la nouvelle administration. Un clash d’une violence historique, ponctué d’une insulte, que le président ukrainien aurait marmonnée en russe à l’encontre du vice-président américain.

Le contexte

L’objectif de la rencontre était de présenter à la presse l’accord sur l’exploitation des minerais ukrainiens proposé par les États-Unis en dédommagement de leur financement de l’effort de guerre en Ukraine. L’accord prévoit un partage entre les deux pays des revenus issus de ces ressources via un fonds créé spécifiquement à cette fin, mais il n’aborde pas la question des garanties de sécurité exigées par Volodymyr Zelensky depuis que la perspective d’un cessez-le-feu se précise.

Le 26 février, les autorités ukrainiennes avaient néanmoins donné leur feu vert pour la signature du texte, largement remanié à la faveur de l’Ukraine à l’issue des négociations entre les chancelleries. Dans un message posté sur son compte X deux jours plus tôt, la vice-Première ministre chargée de l’intégration européenne et euro-atlantique de l’Ukraine, Olha Stefanichyna, dit « espérer que les dirigeants des États-Unis et de l’Ukraine le signeront et l’approuveront au plus tôt à Washington pour montrer l’engagement [de l’Ukraine] pour les décennies à venir ».

L’entretien a duré 49 minutes. Les quarante premières minutes se sont déroulées de manière relativement cordiale, mais sans véritable enthousiasme. Trump a d’emblée rassuré Zelensky, avec deux annonces extrêmement fortes (00:23) : l’extraction des minerais ukrainiens sera réalisée par les Américains, qui assureront donc une présence sur le territoire. Ce principe a été validé par Vladimir Poutine, qui aurait confirmé auprès de son homologue américain sa volonté d’obtenir un cessez-le-feu.

Nous avons quelque chose qui est un accord très équitable et nous avons hâte d’entrer et de creuser, creuser, creuser, travailler et obtenir une partie de la terre rare. Cela signifie que nous allons être à l’intérieur. C’est un gros engagement des États-Unis. Nous apprécions beaucoup de le faire et nous continuerons à le faire, nous avons eu de très bonnes discussions avec la Russie, j’ai parlé avec le président Poutine et nous allons essayer de mettre un terme à cela, quelque chose que vous voulez et qu’il veut.

Trump a également indiqué dans son introduction que l’urgence absolue était de mettre un terme au carnage sur la ligne de front, en précisant que la guerre aurait pris fin il y a trois ans s’il avait été en fonction, évoquant en sous-texte le projet de traité de paix convenu en mars et avril 2022 à Istanbul et torpillé par Boris Johnson.

Le principe de l’accord ayant été acté par Kiev en amont de la rencontre, celle-ci ne devait durer que quelques minutes et refléter l’entente qui avait permis aux chancelleries de s’accorder sur une proposition.

L’épineuse question des garanties de sécurité

Le dirigeant ukrainien a fait part de son incrédulité concernant les intentions de la Russie de respecter un futur cessez-le-feu, et de sa défiance vis-à-vis des garanties de sécurité annoncées par son homologue. Trump a expliqué en quoi l’accord permettait de répondre à cette préoccupation, et pourquoi il était urgent que l’Ukraine le signe compte tenu de l’ampleur des pertes humaines essuyées par son pays sur le front (9:02) :

Je pense qu’une fois que nous aurons conclu l’accord, elle sera garantie à 95 %, c’est-à-dire que [l’Ukraine et la Russie] ne vont pas recommencer à se battre. J’ai parlé avec le président Poutine et je suis très confiant. Je connais [les Russes] depuis longtemps et je suis très confiant dans le fait qu’ils sont très sérieux à ce sujet. […]
Je ne m’inquiète pas de la sécurité pour l’instant. Nous devons trouver un accord maintenant, parce que des vies sont en jeu : la semaine dernière, 2 000 soldats sont morts des deux côtés. 2 000 ! Et ils perdent 2 000, 3 000 chaque semaine. Alors que nous sommes assis ici et que nous parlons, des gens se font tirer dessus et meurent sur le champ de bataille. Vous savez, ce ne sont pas des soldats américains, mais des soldats russes et ukrainiens, et nous voulons être en mesure d’arrêter cela et de dépenser de l’argent pour d’autres choses.

Zelensky a manifesté ouvertement son exaspération lorsque Trump a évoqué le projet d’accord de paix de 2022 et le bilan humain du conflit. A contrario, le président américain a volé au secours de son homologue ukrainien, lorsqu’un journaliste lui a demandé s’il envisageait d’organiser des élections en gage de compromis. Pour rappel, Trump avait traité Zelensky de dictateur il y a deux semaines en soulignant qu’il se maintenait en fonction grâce à la loi martiale qui interdit la tenue d’un nouveau scrutin.

Trump est revenu un peu plus tard, à la demande d’une journaliste, sur l’épineuse question des garanties de sécurité (20:08) :

Je ne veux pas encore parler de sécurité parce que je veux d’abord conclure cet accord. Vous savez, vous tombez dans le même piège que tout le monde. […] La question de la sécurité est si facile. Elle représente environ 2 % du problème. Je ne m’inquiète pas de la sécurité, je m’inquiète de conclure l’accord. La sécurité est la partie facile. La sécurité se porte très bien.
Tout le monde a arrêté de tirer et maintenant que l’Europe s’apprête à envoyer des hommes là-bas – je sais que la France va le faire, je sais que le Royaume-Uni va le faire, je sais que d’autres pays vont le faire, et ils se trouvent juste à côté.
Nous ne nous sommes pas engagés, mais nous pourrions concevoir… vous savez que nous apportons la sécurité sous une forme différente. Nous aurons des travailleurs qui creuseront, qui creuseront, qui creuseront pour extraire la terre brute […]. Donc dans ce sens, vous avez une forme de sécurité, mais nous n’avons pas encore déterminé comment. Je dirais qu’en parlant à la France et en parlant au Royaume-Uni, qui étaient ici, comme vous le savez, la semaine dernière… et pas plus tard que l’autre jour, ils se sont engagés à fournir beaucoup de sécurité. Je ne pense pas que vous aurez besoin de beaucoup de sécurité. Je pense qu’une fois que cet accord sera conclu, le conflit sera terminé. La Russie ne voudra pas revenir en arrière et personne ne voudra revenir en arrière lorsque cet accord sera conclu.

En réponse, Zelensky a rejeté toute perspective de cessez-le-feu qui ne soit pas assortie de conditions de sécurité supplémentaires, en rappelant l’échec des accords de Minsk signés en 2014 dans le but de mettre un terme à la guerre du Donbass opposant des séparatistes prorusses à l’armée régulière ukrainienne. Selon le président ukrainien, la Russie ne respectera pas le cessez-le-feu proposé par Donald Trump, comme elle l’a fait à 25 reprises entre 2014 et 2024 dans le Donbass où elle est soupçonnée d’avoir armé activement les séparatistes. Personne ne l’a relevé dans l’assistance, mais la Russie n’était, au même titre que la France et l’Allemagne, que l’un des garants de ces accords, dont il été précisé depuis qu’il n’interdit la vente ou la fourniture d’armes à l’Ukraine.

On sait également aujourd’hui, de la bouche de François Hollande et d’Angela Merkel, que ces accords ont été signés dans le seul but de permettre à l’Ukraine de s’armer en perspective d’une guerre avec la Russie. Gabriel Attal avait par ailleurs admis en 2022 que « la France avait été depuis 2014 le premier fournisseur d’armes en direction des Ukrainiens ».

On ne pouvait donc citer d’argument plus inepte pour justifier le refus d’un cessez-le-feu (24:12), a fortiori lorsqu’on sait, comme l’a expliqué récemment François Holllande, que Zelensky a été utilisé par les Occidentaux pour perpétrer le coup d’État de Maïdan qui marque le début de guerre russo-ukrainienne.

Nous n’accepterons jamais un simple cessez-le-feu, cela ne fonctionnera pas sans garanties de sécurité. Peut-être que le président a raison à propos de ce document et d’autres, mais ce document n’est pas suffisant. Une armée forte est suffisante, parce que ses soldats ont peur, les soldats de Poutine ont peur de nos soldats quand nous sommes assez forts. Si nous ne sommes pas assez forts, si notre magasin est vide, nous ne pouvons pas défendre notre terre. […] Les Européens ont besoin de l’aide des États-Unis. S’il n’y a pas les États-Unis, nous n’aurons jamais de contingent fort de la part des Européens.

Le rôle des États-Unis dans la résolution du conflit

Trump a cherché durant tout l’échange à recentrer la discussion sur la paix, en rappelant la responsabilité des Américains dans le conflit. Si cela n’a pas été verbalisé, c’est très probablement cette dette vis-à-vis du peuple ukrainien dont il cherche aujourd’hui à s’acquitter, en endossant le rôle de médiateur ou de « faiseur de paix ». Il n’a pas non plus réagi aux provocations de Zelensky qui a cherché à de multiples reprises à lui faire valider le fait que Poutine serait un criminel de guerre, et donc à disqualifier tout accord signé avec le président russe.

Peut-on parler pour autant d’un alignement sur l’agenda du Kremlin, sous prétexte que l’accord ne reprend pas l’ensemble des conditions que Kiev souhaiterait imposer à la Russie, notamment le règlement de l’intégralité des pertes, en utilisant les avoirs russes gelés en Europe (26:38), ou que Trump ne surenchérisse pas aux provocations de Zelensky ? La question a été formulée à par un journaliste polonais reprenant à son compte le procès intenté aujourd’hui au président américain d’être un agent du Kremlin (38:49) :

Si je ne m’alignais pas sur les deux, il n’y aurait jamais d’accord. Vous voulez que je dise des choses terribles sur Poutine et que je dise ensuite : « Bonjour, Vladimir, comment ça se passe pour l’accord ? » Je ne suis aligné avec personne je suis aligné avec les États-Unis d’Amérique et pour le bien du monde. Je suis aligné avec le monde et je veux en finir. Vous voyez la haine que [Volodymyr Zelensky] a pour Poutine ? C’est très difficile pour moi de faire un marché avec ce genre de hâte. Il a une haine énorme, et je le comprends, mais je peux vous dire que l’autre côté, il n’est pas vraiment amoureux de lui non plus… Donc ce n’est pas une question d’alignement, je suis aligné avec le monde, je veux mettre les choses en place. Je suis aligné avec l’Europe, je veux voir si nous pouvons faire avancer les choses. Vous voulez que je sois dur ? Je pourrais être plus dur que n’importe quel être humain, mais vous n’obtiendrez jamais un accord de cette façon, donc c’est ça le problème.

Le dérapage puis l’altercation

L’entretien est resté cordial jusqu’à la 39e minute environ, malgré des désaccords majeurs difficilement compréhensibles compte de tenu de la maturité des discussions qui ont précédé la rencontre. Les premiers nuages sont apparus lorsque le vice-président américain JD Vance a pris la parole pour tenter de mettre un terme au dialogue de sourds entre Trump et son homologue ukrainien, et expliquer la philosophie de la nouvelle administration américaine, à savoir : utiliser la voie diplomatique pour mettre un terme au conflit (39:51).

L’étincelle

Zelensky a dénoncé l’échec de la diplomatie américaine en pointant à nouveau la responsabilité de la Russie dans l’échec des accords de Minsk, dont chacun autour de la table savait qu’ils ont été torpillés par les Occidentaux. D’où l’agacement de JD Vance, qui a rappelé la situation actuelle de l’Ukraine en expliquant à Zelensky qu’il n’avait plus les moyens de faire la guerre. Il a notamment évoqué les images abondamment relayées sur les médias sociaux et dans la presse d’enrôlement forcé de citoyens, envoyés au front sans aucune expérience pour prolonger artificiellement la guerre « jusqu’au dernier Ukrainien » (42:13) :

— Vance : Monsieur le Président, avec tout le respect que je vous dois, vous venez dans le bureau Ovale et essayez de plaider cette question devant les médias américains, en ce moment même, vous vous promenez et vous forcez les conscrits à aller au front parce que vous avez des problèmes de main-d’œuvre. Vous devriez remercier le président d’essayer de l’amener dans cette conférence…
— Zelensky : Êtes-vous déjà allé en Ukraine pour dire quels problèmes nous avons ?
— Vance : J’y suis allé… j’ai en fait regardé et vu les histoires et je sais ce qui se passe, c’est que vous amenez des gens, vous les amenez dans une tournée de propagande. […] J’ai vu les reportages et je sais ce qui se passe : vous amenez les gens dans une tournée de propagande. Monsieur le Président, êtes-vous en désaccord avec le fait que vous avez eu des problèmes pour faire entrer des gens dans votre armée et pensez-vous qu’il est respectueux de venir dans le bureau Ovale des États-Unis d’Amérique et d’attaquer l’administration qui essaie d’empêcher la destruction de votre pays ?

L’insulte

C’est durant cet échange que s’est produit un micro-événement, dont on ne sait pas encore s’il aura un impact sur l’avenir des négociations : l’insulte prononcée en russe par Zelensky, selon certains observateurs, à la minute 39’ 40, lorsque Vance a évoqué les images des rafles de citoyens ukrainiens dans les rues : « сука блять » (putain de salope). D’autres estiment qu’il s’est simplement « maudit silencieusement ».

Le dérapage

Puis l’entretien a dérapé lorsque Volodymyr Zelensky a dénoncé la situation confortable des États-Unis, aujourd’hui retranchés derrière « leur bel océan », et qu’il a tenté de leur expliquer qu’ils seront tôt ou tard, eux aussi, touchés directement par le conflit (43:01). Voire qu’ils seront à leur tour obligés d’envoyer des troupes en Ukraine, où ils seront alors confrontés aux mêmes difficultés que son pays. Cette mise en garde n’a pas été formulée explicitement, mais elle l’a été dans une autre séquence où Zelensky affirme : « Les États-Unis devront envoyer leurs fils et leurs filles se battre et ils mourront ».

Pendant la guerre, tout le monde a des problèmes, même vous, mais vous avez un bel océan qui vous sépare de la guerre, et vous ne ressentez pas encore son impact, mais vous le ressentirez dans le futur.

C’est ce mot qui a fait sortir Donald Trump de ses gonds :

Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir, nous essayons de résoudre un problème. Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir […] parce que vous n’êtes pas en position de dicter cela, souvenez-vous-en. Vous n’êtes pas en position de dicter ce que nous allons ressentir […] Vous n’êtes pas en bonne position, vous n’avez pas les cartes en main. Avec nous, vous commencez à avoir des cartes. Pour l’instant, vous n’en avez pas. Vous jouez aux cartes, vous jouez avec la vie de millions de personnes. Vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale, vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale, et ce que vous faites est très irrespectueux pour le pays, ce pays qui a fait pour vous bien plus que ce que beaucoup de gens ont dit qu’il aurait dû faire.

Le recadrage américain

S’en est suivi un échange surréaliste entre le président ukrainien et son homologue américain, Zelensky se plaignant d’avoir été abandonné par les Occidentaux (« Nous sommes seuls depuis le début »), en consentant du bout du lèvres les remerciements réclamés par JD Vance pour le soutien apporté à l’Ukraine par son pays. Zelensky a en revanche persisté dans son refus de tout cessez-le-feu immédiat, en continuant d’exiger des garanties de sécurité malgré la menace d’un arrêt du soutien américain en l’absence d’une signature de l’accord validé par les diplomates ukrainiens.

Au-delà de la défaite morale infligée à Zelensky, dont l’échange a confirmé qu’il n’avait probablement jamais voulu la paix, et qu’il était prêt à sacrifier sa population s’il n’obtenait pas de contrepartie suffisante. De quelle contrepartie s’agit-il ? Zelensky a été incapable de verbaliser ce qu’il attendait des Américains, mais il n’y a que trois réponses possibles à cette question : la poursuite de l’aide financière et militaire, l’envoi de troupes en Ukraine et l’adhésion de son pays à l’OTAN.

L’administration Trump refuse de continuer à financer, soutenir ou encourager un bain de sang, les deux premières options sont donc exclues. Elles le sont d’autant plus que le président américain a acquis la certitude que Poutine ne voulait pas de cette guerre, et qu’il veut que l’histoire se souvienne de lui comme d’un faiseur de paix. La troisième l’est pour les mêmes raisons : le président américain avait imputé il y a deux semaines le déclenchement du conflit à la promesse faite par le président Biden que l’Ukraine pourrait rejoindre l’Alliance. Deux jours avant la rencontre, il avait exclu cette possibilité, on voit donc mal comment elle pourrait revenir sur la table aujourd’hui.

Le retournement de Zelensky par les Européens ?

Le président Zelensky a publié le 1er mars sur son compte un long thread dans lequel il remercie le peuple américain et l’administration Trump pour son soutien. Il n’a fait en revanche aucune annonce concernant son intention de s’excuser – ce qui est une condition sine qua non exigée aujourd’hui par la Maison-Blanche –, et de signer l’accord que son équipe avait validé sur le principe. Que s’est-il passé entre-temps ?

L’écart entre les intentions affichées la veille par le président ukrainien et son rejet, dans le bureau Ovale, de l’intégralité des propositions américaines, jusqu’au principe même d’un accord, suggère qu’il a probablement subi d’intenses pressions en vue de faire échouer cette proposition de paix, la seule actuellement sur la table. Était-ce l’objet du déplacement d’Emmanuel Macron à Washington en début de semaine dernière ? BFM rapporte qu’il aurait convaincu Donald Trump de maintenir sa rencontre avec Zelensky après l’avoir annulée. Emmanuel Macron se « serait porté garant », mais on ne sait pas de quoi. Ce qu’on sait en revanche, c’est que l’échec de sa rencontre rapproche un peu plus le monde d’une guerre que les dirigeants occidentaux semblent vouloir à tout prix.

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