Une semaine américaine

Équipe Le Point Critique | 23 février 2025

Voile levé sur une tentation totalitaire européenne

Vendredi 14 février, à la conférence de Munich sur la sécurité, JD Vance, actuel vice-président des États-Unis a violemment dénoncé la dérive des démocraties européennes. Présenté par la presse comme une marque de rupture de l’administration américaine envers ses alliés continentaux, ce message avait pourtant déjà résonné deux jours plus tôt en clôture de l’IA Action Summit, dans l’enceinte sonore du Grand Palais.

JD Vance lève le voile sur la tentation totalitaire européenne

Vendredi dernier à Munich, JD Vance a sidéré un auditoire en attente d’un discours musclé sur la résolution du conflit russo-ukrainien. Contre toute attente, il l’a au contraire mis en garde contre le danger d’un abandon des valeurs démocratiques au sein des nations du Vieux Continent. Après l’annonce surprise de l’ouverture de négociations excluant l’Europe d’une résolution du conflit russo-ukrainien, il a bousculé l’assemblée en dénonçant successivement l’ingérence de l’entité européenne dans des élections souveraines, le recul de la liberté d’expression et la remise en cause des libertés individuelles au sein des nations du vieux continent.

Déni de réalité ou jusqu’au-boutisme idéologique, les réactions des responsables européens opposent à cette dénonciation d’un recul de la démocratie européenne… la spécificité d’une « vision européenne de la démocratie ».

L’avertissement de JD Vance à l’Europe

Devant un parterre de chefs militaires et d’officiels européens, le représentant américain a donc très vite médusé un auditoire pourtant initialement acquis sa cause.

Attendu sur la thématique de la sécurité internationale et du leadership américain, il a au contraire dénoncé la remise en cause par certains pays de l’OTAN, des valeurs supposées communes à l’alliance.

Pendant des années, on nous a dit que tout ce que nous financions et soutenions l’était au nom de nos valeurs démocratiques communes. Tout – de notre politique envers l’Ukraine au numérique – est présenté comme une défense de la démocratie.

Avec en ligne de mire, la limitation des libertés individuelles et les menaces d’ingérence de l’UE dans les processus démocratiques des nations, JD Vance fustige alors « le recul de l’Europe sur certaines de ses valeurs les plus fondamentales », assumé quelques jours plus tôt par Thierry Breton sur un plateau de télévision :

J’ai été frappé qu’un ancien commissaire européen soit récemment passé à la télévision en semblant se réjouir que le gouvernement roumain vienne juste d’annuler la totalité d’une élection. Il a aussi prévenu que si les choses ne se passaient pas comme prévu, un dénouement strictement similaire pourrait aussi advenir en Allemagne.

Ces déclarations cavalières ont été choquantes pour les oreilles américaines alors que pendant des années […] lorsque nous voyons les tribunaux européens annuler des élections et vos hauts fonctionnaires menacer d’en invalider d’autres, nous devons nous demander si si nous nous imposons des normes suffisamment élevées.

Au fil de son discours, le vice-président revient inlassablement sur la nécessité pour les nations européennes de rester aligner sur des principes démocratiques ayant initialement cimenté l’OTAN et permis sa victoire dans la guerre froide qui l’avait opposé au bloc soviétique.

Évoquant la récente annulation des élections roumaines, il dénonce notamment un recours systématique au prétexte de la « désinformation » pour justifier l’interventionnisme et la pression imposée par l’entité européenne. Il rappelle par là même à ses dirigeants qu’aucun système ne peut se prévaloir de la démocratie sans le respect préalable des aspirations des peuples et de leurs libertés individuelles :

Maintenant, la situation est tellement grave qu’en décembre dernier, la Roumanie a purement et simplement annulé des élections présidentielles sur la base de fragiles soupçons d’une agence de renseignements et l’énorme pression de ses voisins continentaux. Si je comprends bien l’argument était que la désinformation russe avait infecté les élections roumaines. […]

Aujourd’hui pour beaucoup d’entre nous outre atlantique, cela ressemble de plus en plus aux bons vieux intérêts se cachant derrière les mots laids datant de l’ère soviétique, tels que « désinformation » ou « mésinformation » de ceux qui n’aime simplement pas l’idée que quelque opinion ou point de vue différent puisse s’exprimer, ou dieu nous en préserve, voter différemment ou pire, gagner une élection […]

La démocratie repose sur le principe sacré selon lequel la voix du peuple compte. Il n’y a pas de place pour les pare-feu. Soi vous respectez ce principe soi vous ne le respectez pas.

Décrite depuis vendredi par une presse quasi unanime, comme une grossière tentative d’ingérence dans la vie politique de nations souveraines, la charge du représentant américain semble toutefois trouver son origine dans le constat des reculs concrets des droits fondamentaux en Europe. Il multiplie à ce titre sans ambages les références aux excès conduisant son administration à exprimer aujourd’hui une défiance vis-à-vis de ses partenaires.

Arrestation d’un opposant allemand au mouvement féministe, menace de fermeture des réseaux sociaux par le parlement européen, poursuite judiciaire au Royaume-Uni pour une prière silencieuse devant une clinique d’avortements, remise en cause de la liberté de culte en Écosse… Autant d’évènements que le jeune vice-président n’hésite pas à décrire comme les symptômes d’une bascule autoritaire sur le vieux continent.

On nous avait assuré que tout ce que nous financions et supportions l’était au nom de valeurs démocratiques communes. Tout, depuis nous politique ukrainienne jusqu’à la censure digitale est censé être construit comme un rempart pour la démocratie […] Malheureusement lorsque je regarde l’Europe aujourd’hui, ce qui est arrivé à certains vainqueurs de la guerre froide ne paraît pas très clair […]

Je crains qu’en Grande-Bretagne, en Allemagne comme en Europe, la liberté d’expression soit en recul […]

J’ai beaucoup entendu parler ici, de ce contre quoi nous devons vous défendre, et bien sûr c’est important. Mais ce qui semble un peu moins clair, pour moi ainsi certainement que pour beaucoup de citoyens européens, c’est précisément ce pour quoi vous vous battez. Quelle est la vision positive qui anime ce pacte de sécurité si important pour nous ?

Soulignant enfin la problématique de la gestion migratoire dans les pays de l’hémisphère nord, il fustige aussi des politiques « non souhaitées » par les populations qui remettent en cause jusqu’aux fondements mêmes de l’Alliance transatlantique.

Il insiste ainsi à plusieurs reprises sur la nécessité de conduire des politiques en adéquation avec les aspirations des peuples et dénonce des mesures relevant davantage d’une soumission au diktat du Forum économique mondial que d’une réelle adhésion populaire.

Aucun électeur sur ce continent ne s’est rendu aux urnes pour ouvrir les vannes à des millions d’immigrants incontrôlés. En revanche, vous savez ce pour quoi ils ont voté. En Angleterre, ils ont voté pour le Brexit, et que vous soyez d’accord ou pas, ils ont voté pour cela.

De plus en plus en Europe ils votent pour des leaders politiques qui promettent de mettre fin à l’immigration incontrôlée […] Je pense juste que les gens se soucient de leurs maisons, de leurs rêves, de leur sécurité et de leurs capacités à subvenir à leurs besoins et ceux de leurs enfants. Et ils sont intelligents […]

Contrairement à ce que l’on pourrait entendre dans les montagnes de Davos, les citoyens de toutes nos nations ne se considèrent généralement pas comme des animaux éduqués ou des rouages interchangeables d’une économie mondiale. Et il n’est guère surprenant qu’ils ne veuillent pas être déplacés ou indéfiniment ignorés par leurs dirigeants.

L’éloquente esquive de la classe médicatico-politique

Depuis vendredi, les organes de presse et les chancelleries européennes décrivent unanimement l’allocution de JD Vance comme un discours « fasciste », symptomatique d’un abandon de l’Ukraine et des nations européennes. Le mot est lâché : la « trahison » des États-Unis à l’égard de leurs alliées est désormais l’élément de langage en vigueur sur tous les plateaux de télévision.

Toutefois, si à l’issue de la Conférence de Munich, le diplomate allemand Christoph Eusgen a fondu en larmes à la tribune après avoir déclaré « qu’à la suite du discours du vice-président Vance, nous devions regretter que la base de nos valeurs communes ne soit plus autant partagée », il paraît peu probable que son désespoir affiché en quittant son pupitre ait été provoqué par la seule absence annoncée de l’Union européenne de la table des négociations russo-ukrainiennes.

La mise en garde de JD Vance sur une dérive antidémocratique des chancelleries européennes semble au contraire avoir été reçue cinq sur cinq, et l’esquive pour y répondre le mode opératoire choisi.

En marge de la conférence de Munich, la réaction sur le réseau X de l’ancien commissaire européen Thierry Breton à l’attaque du vice-président américain ne se fait pas attendre. Il tente ainsi de faire oublier son goût affiché pour l’interventionnisme de l’Union européenne dans les élections nationales, arguant que « l’UE n’a jamais fait annuler une élection et que Elon Musk propage un mensonge ». Les images de son intervention télévisée du 9 janvier accréditeront au contraire la thèse d’une ingérence de l’UE dans les processus électoraux des pays membres.

https://twitter.com/visegrad24/status/1877861172306673790

La réponse de l’exécutif français laisse elle aussi quelque peu perplexe. Au lendemain du sommet de Munich, l’Élysée convoquera en effet sept chefs d’État européens avec pour ambition de contrer la forfaiture américaine. Un conseiller d’E. Macron communique à cette occasion sur la « nécessité pour les Européens de faire plus, mieux et de manière cohérente pour notre sécurité collective en conséquence de l’accélération sur le dossier ukrainien […] en conséquence aussi de ce que disent les dirigeants américains ».

Jean-Noël Barrot enfin, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères ira jusqu’à expliquer que « des discussions sont en cours sur le déploiement de troupes, notamment françaises, britanniques, et polonaises ».

Étrange communication s’il en est, lorsqu’au moment où s’ouvrent les négociations pour la sortie dudit conflit, le locataire de l’Élysée, déjà absent des débats bavarois et lâché depuis en rase campagne par ses homologues européens, s’évertue désormais à feuilletonner une « menace existentielle » de la Russie sur l’Europe pour le moins fantasmée.

Gesticulations ? Écran de fumée ? Loin d’être convaincante, la communication élyséenne nous impose finalement de nous recentrer sur le message de JD Vance qui résonnait depuis trois jours déjà sur le sol européen.

Le contre-projet numérique porté par les États-Unis

Le 11 février, en clôture du sommet de Paris sur l’intelligence artificielle (IA), l’allocution pourtant volontariste et optimiste du jeune vice-président se teinte en effet très vite d’une grande perplexité vis-à-vis du projet technosociétal européen. Il expose les positions de la nouvelle administration américaine sur les réglementations encadrant l’IA et ses technologies dérivées, puis prend ses distances avec leur dévoiement annoncé en un outil de contrôle des populations européennes.

Nous pensons qu’une réglementation excessive du secteur de l’IA pourrait tuer une industrie en pleine mutation, au moment même où elle prend son essor […]

Nous affirmons avec force que l’IA doit rester exempt de biais idéologiques, et l’IA américaine ne sera pas dévoyée en un outil de censure autoritaire […]

Beaucoup de nos entreprises les plus productives sont forcées de subir le DSA (Digital Services Act) ainsi que la régulation massive qu’il a engendrée concernant la suppression de contenus et la surveillance de la soi-disant « désinformation ».

Bien sûr nous voulons nous assurer qu’Internet est un espace sûr, mais c’est une chose d’empêcher un prédateur s’en prenne à un enfant sur l’Internet, mais c’est quelque chose de sensiblement différent d’empêcher un adulte d’accéder à une opinion que le gouvernement étiquette comme de la désinformation.

Si certains organes de presse soulignent ensuite le départ précipité de JD Vance du Grand Palais ainsi que le refus des États-Unis et de la Grande-Bretagne de signer de la déclaration finale du sommet, ils s’évertuent néanmoins à limiter la portée de la charge à une attaque à l’encontre de la Chine et des régimes autoritaires.

Cette même presse, reconnaissant toutefois qu’« Ursula Von der Leyen s’est gardée de répondre à JD Vance sur la censure », et qu’Emmanuel Macron, qui « a évité toute réponse frontale […] n’a pas insisté sur les réglementations européennes, dont l’IA Act », préfère relever le plaidoyer du président français « pour une IA de confiance ».

Le deuxième message qui est au fond comment bâtir la confiance et pour sortir du dilemme risque-opportunité, il faut éviter d’aller tout de suite vers la régulation qui s’impose et qui pourrait stopper l’innovation. Le défi qui nous est tous posé, et il est évidemment aussi au gouvernement […] c’est de savoir comment la confiance à l’égard de l’intelligence artificielle et de sa diffusion est maintenue […] Ce qui va fonder cette confiance, c’est également un respect de la vie privée […] donc un cadre de confiance qui permet à chaque citoyen que tout ce qui constitue sa vie privée est respecté…

L’IA orwellienne d’Emmanuel Macron

Dans son discours de clôture, Emmanuel Macron défend donc le projet européen comme un modèle de transparence, de confiance et de respect pour les libertés individuelles. L’avertissement sans frais du vice-président américain s’appuie cependant sur une tout autre lecture du projet élyséen, confirmée par les textes réglementaires européens rédigés sous la pression du gouvernement français. Leur lecture attentive nous éclaire en effet sur la duplicité de la position élyséenne.

Le 22 janvier dernier, le magazine Disclose pointe du doigt l’extrême agressivité avec laquelle le pouvoir français a cherché à limiter l’encadrement de « l’usage de l’intelligence artificielle contre les menaces pour les droits fondamentaux et les libertés publiques en Europe ».

L’article présente les commentaires écrits du secrétariat général aux Affaires européennes (SGAE) adressés au Conseil de l’UE, dans le cadre des consultations en vue de la rédaction du règlement européen sur l’intelligence artificielle.

Dans ce courrier, le secrétariat d’État insiste plus particulièrement pour imposer au sein de l’IA Act européen deux articles permettant d’assimiler la notion « d’ordre public » à celle de « sécurité nationale », et ainsi d’introduire dans la loi « des systèmes de surveillance biométrique de masse qui risquent d’affecter lourdement nos libertés de mouvement, de réunion, d’expression ainsi que notre vie privée ».

Des efforts souterrains de l’Élysée, finalement récompensés par l’adoption des articles 41, 47, 82 b, 83 et 84 dudit règlement, stipulant notamment que « dans une situation d’urgence dûment justifiée pour des raisons exceptionnelles de sécurité publique […] les autorités répressives » pourront utiliser « un service d’IA à haut risque spécifique », sans autorisation – sans même préciser la nature de cette « situation d’urgence ».

Sous la pression de l’Élysée, l’article 46 du Règlement (UE) 2024/1689 du Parlement européen accorde donc bien un blanc-seing à une remise en cause des libertés fondamentales sous quelque prétexte « sécuritaire » que ce soit :

Toute autorité de surveillance du marché peut, pour des raisons exceptionnelles de sécurité publique ou pour assurer la protection de la vie et de la santé humaines, la protection de l’environnement ou la protection d’actifs industriels et d’infrastructures d’importance majeure, autoriser la mise sur le marché ou la mise en service de systèmes d’IA à haut risque spécifiques [pour les libertés individuelles] sur le territoire de l’état membre concerné.

L’intention sous-jacente est d’ailleurs largement précisée dans l’une des réponses du SGAE assumant le recours à la catégorisation des personnes en fonction de leurs opinions politiques ou de leurs croyances religieuses, et soulignant le rôle décisif de la France dans cet élargissement du texte :

France considers it very important to preserve the possibility of searching for a person on the basis of objective criteria expressing a religious belief or political opinion, such as the wearing of a badge or accessory, when that person is involved in violent extremism or presents a terrorist risk.

Dès lors, cette inversion sémantique orwellienne consistant à brandir le drapeau de la démocratie pour mieux en limiter les attributs, pose évidemment la question de la réalité du système – d’aucun diront du régime – défendu par Emmanuel macron et son extrême centre européiste.

Suivre l’argent…

Maria Maggiore et Leila Minano des magazines Disclose et Investigate Europe précisent en effet en conclusion de leur enquête que Cédric O, ancien secrétaire d’État au numérique et membre fondateur du mouvement En Marche !, est aujourd’hui l’un des principaux actionnaires de Mistral AI, l’une des rares entreprises retenues pour l’exploitation d’un datacenter de la future IA européenne.

Le média cafetech.fr rappelait quant à lui, fin janvier, que ce même Cédric O avait intégré à l’automne 2023 le Comité de l’IA générative supposé éclairer le Gouvernement dans sa stratégie numérique, en tant que simple consultant et non en tant que dirigeant de Mistral AI, une double casquette extrêmement gênante laissant présager de très probables conflits d’intérêts.

Un curieux exercice du pouvoir

Au cours de ses près de huit années d’exercice, Emmanuel Macron a démontré qu’il excellait dans l’art de gouverner contre les populations. Au palmarès de ses actions démocratiques, on se souviendra du mouvement revendicatif des Gilets jaunes, qui s’est soldé par plus de 350 blessés dont 30 éborgnés, des dizaines de mains et de pieds arrachés, de citoyens édentés, de gueules cassées, sans compter les quelque 3 000 condamnations prononcées par une justice expéditive.

L’ère Macron, c’est aussi une dégringolade de la France au 25e rang de l’indice de corruption des nations, induite notamment par la succession des scandales, la défaillance du Parquet financier et l’absence d’indépendance de la justice. On se souviendra à ce titre de la Légion d’honneur accordée à Richard Ferrand ainsi que sa nomination à la tête du Conseil constitutionnel malgré son implication dans l’escroquerie des Mutuelles de Bretagne. Ce très proche d’E Macron ne  fut blanchi que par un hasard du calendrier, les faits étant prescrits au moment du jugement.

Sous la gouvernance d’Emmanuel Macron, enfin, ce seront 21 condamnations, 10 mises en examen, 13 enquêtes en cours parmi les ministres les plus proches du locataire de l’Élysée, et une lutte à mort pour tenter d’éteindre l’association Anticor en lui confisquant son agrément.

Entre surveillance de masse, limitation des libertés fondamentales et prises illégales d’intérêts, c’est peut-être plus généralement l’avènement d’un système techno-totalitaire qu’a voulu dénoncer JD Vance lors de sa tournée européenne.

Les prises de parole du vice-président américain en Europe, si elles n’étaient certainement pas dénuées d’arrière-pensées, auront permis de rappeler aux citoyens que la sphère privée et la liberté d’expression sont les piliers de toute démocratie, et qu’il appartient au peuple, en dernier ressort, de faire valoir son rejet de la soumission et son aspiration à l’autodétermination. Si tant est qu’on leur en laisse les moyens.

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