Proposition de loi
Un élu du Montana demande officiellement le retrait des vaccins à ARNm du marché
Un élu républicain vient de publier un projet de loi visant à interdire les injections à ARN messager. Il a soutenu sa proposition devant la justice le 6 février. Le Montana devient ainsi le 8e État américain à se mobiliser pour faire retirer ces produits du marché.

Deux projets de loi ont été déposés le 2 février aux États-Unis par un élu républicain, Greg Kmetz, pour interdire les vaccins génétiques à usage humain (HB 371) et animal (HB 418) sur le territoire du Montana.
Les motifs invoqués par le projet HB 371 sont les suivants :
- les vaccins à ARN messager (ARNm) ont provoqué un nombre considérable de décès, d’invalidités et d’effets indésirables graves ; et
- aucune étude à long terme n’a été réalisée concernant la fertilité, la tératogénicité, la mutagénicité ou l’oncogénicité ; et
- les receveurs ne bénéficient pas d’un consentement éclairé ; et
- les vaccins ARNm peuvent s’intégrer dans le génome humain et être transmis à la génération suivante ; et
- les vaccins ARNm sont contaminés par de l’ADN, des particules métalliques et d’autres nanoparticules inconnues ; et
- les vaccins ARNm peuvent être transmis à d’autres personnes et provoquer des effets secondaires ou des dommages.
Le texte prévoit non seulement de réprimer le fait de fournir ou d’administrer un vaccin génétique à un être humain par une amende de 500 dollars par infraction, mais également de réexaminer l’agrément des professionnels qui enfreindraient ces dispositions législatives.
La proposition de loi s’applique à l’ensemble des vaccins génétiques, incluant les vaccins ADN et les vaccins à ARN messager, modifié ou autoamplifiant, soit l’ensemble des technologies utilisées lors de la campagne de vaccination contre le COVID ainsi que celles en cours de développement ou de déploiement, les vaccins ARNm autoamplifiant, déjà utilisés au Japon, ayant été approuvés le 12 décembre dernier par la Commission européenne en dépit des risques majeurs auxquels elle est déjà associée. Il s’agit donc de prévenir une catastrophe sanitaire d’ampleur si ces nouvelles injections venaient à être imposées aux Américains.
Concernant l’utilisation des vaccins génétiques à usage animal, le projet de loi HB 418 se fonde sur l’argumentaire suivant ;
- aucune étude de sécurité à long terme concernant la santé ou la fertilité d’un animal vacciné n’a été réalisée ; et
- aucune étude n’a été réalisée pour déterminer les protéines exactes qui sont créées, leur biodistribution ou leur concentration au sein d’un animal après la vaccination ; et
- aucune étude humaine n’a été réalisée pour garantir la santé et la sécurité des personnes qui consomment de la viande, des organes, du lait ou des œufs provenant d’un animal vacciné ; et
- aucune étude n’a été réalisée concernant la dissémination des vaccins à acide ribonucléique messager autoamplifiant chez l’homme ou chez d’autres animaux.
Les mêmes sanctions sont prévues en cas de violation de la loi.
Une audience a eu lieu le 7 février, où s’est notamment exprimée le Dr Christine Drivdahl-Smith. Elle a déclaré en soutien aux projets de loi :
Les vaccins à base de gènes, ou vaccins à ARNm, sont les produits médicaux les plus destructeurs et les plus mortels qui aient jamais été utilisés dans l’histoire de la médecine. Je vous demande de soutenir ce projet de loi interdisant les vaccins génétiques afin que nous puissions mettre un terme aux préjudices, aux handicaps et aux décès continus de nos citoyens.
https://x.com/MdBreathe/status/1889139152177811941
La veille, l’Alliance médicale indépendante (ex-FLCCC) a publié une déclaration dans laquelle elle demande instamment l’adoption de la loi HB 371, en rappelant les principaux motifs d’inquiétude soulevés par les injections géniques.
Selon de Dr Nicolas Hulscher, épidémiologiste à la fondation Peter McCullough, des projets de loi similaires sont déjà en cours d’élaboration dans 7 autres États américains : l’Idaho, l’Iowa, le Texas, le Tennessee, la Caroline du Sud, la Floride et l’État de Washington.
Rappelons également qu’une ville australienne (Port Hedland) a récemment voté pour la suspension des vaccins ARNm.