Fraude

Équipe Le Point Critique | 29 septembre 2024

Le régulateur australien a couvert la contamination ADN du vaccin Moderna

Le régulateur australien a publié le 19 septembre 2024 la réponse à une demande d’accès à l’information concernant la contamination des lots de vaccin COVID de Moderna. Ce document démontre la faillite de l’Agence qui a exposé des millions d’Australiens à un risque de cancer.

Logo de la Therapeutic Goods Administration
© TGA

Les requêtes adressées au titre de la loi d’accès à l’information (Freedom of Information Act – FOIA) sont un outil puissant qui oblige les agences fédérales à transmettre à tout citoyen ou tout organisme les documents qu’il souhaite pouvoir consulter. Elles permettent également d’obtenir la publication des mails échangés par les fonctionnaires d’État, les données dont disposent ou non les administrations, les études sur lesquelles ils se sont fondés pour formuler une recommandation, etc.

C’est grâce à ce dispositif que la FDA a été condamnée en 2021 à déclassifier le dossier d’évaluation des vaccins Pfizer et Moderna, et que l’implication du Dr Anthony Fauci dans la conception du SARS-CoV-2 a pu être établie. C’est également grâce à ce dispositif que l’on sait qu’il était conscient, dès octobre 2021, que les vaccins ARNm entraîneraient des effets secondaires majeurs, dont le cancer.

Pour rappel, la toute première étude (Jiang et al.[1]) démontrant que la protéine Spike pénètre dans le noyau des cellules et inhibe la protéine p53 impliquée dans plus de 50 % des cancers a en effet été rétractée en mai 2022 contre la volonté des auteurs. Un lanceur d’alerte a soumis une requête FOIA portant sur les mails échangés entre le NIH, l’éditeur de la revue et le chercheur ayant dénoncés les conclusions de cette étude. Celle-ci a été rejetée 8 mois après la demande, mais la lettre de refus du NIH précise que 490 pages de courriels ont été échangés en amont de cette rétractation, supposée avoir été décidée de manière indépendante par l’éditeur.

La requête FOIA (FOI 5286) dont le régulateur australien a publié la réponse le 19 septembre portait sur la manière dont il a testé les niveaux d’ADN résiduel contenu dans l’injection anti-COVID de Moderna. On sait aujourd’hui que l’ensemble des vaccins Pfizer et Moderna contiennent des quantités non réglementaires (jusqu’à 354 fois les limites autorisées) d’ADN résiduel, et donc contaminant, dont la présence est notoirement connue pour induire des cancers, des dommages génétiques et une altération du système immunitaire. La réponse du régulateur australien était donc particulièrement attendue pour déterminer s’il a couvert cette fraude ou s’il a été induit en erreur par le laboratoire Moderna contre lequel il devrait alors logiquement se retourner.

Résultat, les trois quarts du rapport « Quantification de l’ADN résiduel dans les vaccins Moderna mRNA des vaccins Moderna par qPCR »[2] sur lequel il s’est basé pour approuver l’injection Moderna (14 pages sur 19) sont entièrement « caviardées », c’est-à-dire noircies par une encre opaque qui ne permet pas d’avoir accès au contenu.

Ce refus fait écho à celui de l’Agence de la santé publique canadienne de répondre à la question d’un journaliste du média Children Health Defense concernant la présence de matériel oncogène (SV40) dans les nouveaux vaccins Pfizer, à celui de la Food & Drugs Administration (FDA) de déclassifier les données concernant les contrôles qualité des vaccins Pfizer et Moderna et plus généralement, à celui des laboratoires et de l’ensemble des régulateurs de réanalyser les échantillons de vaccin pour vérifier s’ils ont été suffisamment purifiés. Dans ce contexte, on ne peut que s’inquiéter de la demande canadienne adressée à l’ensemble des établissements détenant des flacons de vaccin COVID de détruire l’intégralité de leurs stocks après avoir élargi les dates de péremption pour ne pas gâcher de doses.

Si la réaction des agences suggère a minima qu’elles ont couvert une fraude dont elles ne pouvaient pas ignorer les conséquences vertigineuses, qu’en est-il des laboratoires ? Un brevet publié en janvier 2021 par Moderna (US 10898574 B2) explique les implications d’une purification insuffisante de l’ARNm vaccinal pour les personnes vaccinées et leur descendance :

Les méthodes antérieures d’administration des compositions pharmaceutiques posent de nombreux problèmes pour obtenir une expression efficace des protéines, tant pour les applications thérapeutiques que pour les applications de biotraitement. Par exemple, l’ADN introduit peut s’intégrer dans l’ADN génomique de la cellule hôte à une certaine fréquence, ce qui entraîne des altérations et/ou des dommages à l’ADN génomique de la cellule hôte. Par ailleurs, l’acide désoxyribonucléique (ADN) hétérologue introduit dans une cellule peut être hérité par les cellules filles (que l’ADN hétérologue se soit ou non intégré dans le chromosome) ou par la descendance.

https://patents.justia.com/patent/10898574#description

L’objectif était-il de créer une épidémie de cancers ? Si tel est le cas, ce n’est pas une simple fraude que les régulateurs ont couverte et continuent activement de couvrir, mais un crime d’ampleur inédite par sa sophistication et par le nombre de victimes qu’il a engendré.


Références

[1] Jiang H, MeiYF. SARS-CoV-2 spike impairs DNA damage repair and inhibits v(d)j recombination in vitro. Viruses. 2021;13(10):2056. https://doi.org/10.3390/v13102056. Lien vers l’étude en français : https://www-mdpi-com.translate.goog/1999-4915/13/10/2056?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.

[2] Therapeutic Goods Administration. Residual DNA Quantitation in Moderna mRNA Vaccines by qPCR. 2023 Oct 17. https://www.tga.gov.au/sites/default/files/2024-09/FOI%205286.PDF.

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