Droits de l'homme
Quiz COVID-19, ces 63 questions qui attendent une réponse
Une liste de 36 questions concernant la gestion de la pandémie de COVID-19 a été posée en avril dernier lors d’une conférence sur les droits de l'homme. Nous y ajoutons 27 autres questions qui permettent de prendre la mesure de cette attaque contre l’humanité, la science et la liberté d’expression. Le simple fait de les poser permet de répondre à la question sous-jacente : quel était le but de cette expérience ?
Les 36 premières questions de cette liste ont été soumises par le Dr Christof Plothe, responsable santé et sciences du Conseil mondial pour la santé (World Council for Health), lors de la conférence Droits de l’homme et COVID-19 organisée en mars dernier à l’ONU. Les suivantes (37 à 63) sont des questions que chaque citoyen, mais également chaque médecin, aurait dû se poser avant de se faire vacciner ou d’injecter ses patients. Cette liste est loin d’être exhaustive, mais elle suffit à démontrer que ce qui a été dépeint comme du complotisme n’était finalement que du bon sens.
- Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que le SARS-COV-2 avait été breveté par Moderna en 2018 ?
- Pourquoi Moderna a-t-elle produit 100 000 doses de « vaccin » anti-COVID en 2019 avant le début de la pandémie ?
- Pourquoi, contre toute évidence scientifique, le confinement et les masques ont-ils été utilisés ?
- Pourquoi nous a-t-on dit que le « vaccin » reste dans le bras, alors qu’il s’accumule dans tout le corps ?
- Pourquoi le test PCR a-t-il été recommandé alors qu’il n’est pas conçu à des fins diagnostiques ?
- Pourquoi les définitions de « vaccin » et d’« immunité collective » ont-elles été modifiées avant l’épidémie de COVID-19 ?
- Pourquoi une pandémie a-t-elle été déclarée alors que le taux de mortalité était proche de celui de la grippe ?
- Pourquoi les tests de génotoxicité, de tératogénicité et de cancérogénicité n’ont-ils pas été effectués, et pourtant nous a-t-on dit que le « vaccin » était sûr ?
- Pourquoi n’y a-t-il pas eu de suivi adéquat de toutes les personnes injectées lors de l’utilisation d’un nouveau produit de thérapie génique ?
- Pourquoi les médecins et le public n’ont-ils pas été rappelés à l’importance de signaler les effets indésirables de ces « vaccins » génétiques expérimentaux ?
- Pourquoi a-t-on recommandé un « vaccin » en pleine pandémie, alors qu’il est contre-indiqué en vaccinologie ?
- Pourquoi un « vaccin » a-t-il été recommandé à ceux qui avaient une immunité naturelle, par principe supérieure ?
- Pourquoi une nouvelle thérapie génique a-t-elle été lancée après trois mois, au lieu des dix ans requis ?
- Pourquoi ne nous a-t-on pas dit que, dans l’essai Pfizer, plus de personnes sont mortes dans le groupe vacciné ?
- Pourquoi nous a-t-on dit que ces injections étaient « sûres et efficaces » alors que les preuves ne le confirmaient pas ?
- Pourquoi les voix scientifiques « dissidentes » ont-elles été – et sont-elles – discréditées, punies et emprisonnées ?
- Pourquoi les médecins ont-ils été, pour la première fois dans l’histoire, découragés de traiter une maladie et invités à attendre un vaccin ?
- Pourquoi les traitements précoces ont-t-il été découragés, alors que nous savons qu’ils constituent l’outil le plus important pour lutter contre toute maladie infectieuse ?
- Pourquoi des médicaments efficaces et très sûrs comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont-ils été discrédités et même interdits ?
- Pourquoi les laboratoires ont-ils refusé que leurs données soient publiées pendant 75 ans ?
- Pourquoi a-t-on recommandé des injections, des masques et des confinements aux enfants alors qu’on savait qu’ils n’étaient pas gravement atteints et ne propageaient pas le COVID ?
- Pourquoi les injections COVID ont-elles été recommandées pendant la grossesse, alors que plus de 80 % des bébés ont été perdus lors des essais chez les femmes vaccinées au 1er trimestre ?
- Pourquoi l’autorisation d’urgence a-t-elle été confirmée alors que plus de 2 000 personnes sont décédées dans les 90 jours suivant le déploiement des « vaccins » ?
- Pourquoi n’y a-t-il pas de tollé scientifique après la publication de plus de 3 500 articles démontrant les effets secondaires des injections anti-COVID ?
- Pourquoi les conflits d’intérêts sont-ils tolérés parmi les autorités médicales, alors que la FDA, l’EMA et l’OMS sont financées à 80-90 % par l’industrie ?
- Pourquoi n’y a-t-il pas eu d’éducation adéquate des médecins, des patients et du public, et donc aucune possibilité de consentement éclairé ?
- Pourquoi et comment les médias ont-ils été convaincus de pousser le même agenda à l’échelle mondiale ?
- Pourquoi des protocoles médicaux efficaces, qui existent depuis 2020, ont-ils été interdits et déclarés illégaux ?
- Pourquoi ne nous informe-t-on pas des décès inutiles qui ont été attribués au COVID mais qui ont en réalité été causés par des mesures iatrogènes (ex : Midazolam, ventilation) réalisées début 2020 ?
- Pourquoi le rôle crucial du statut en vitamine D, de l’alimentation et du microbiome n’a-t-il pas été communiqué, alors que ces mesures auraient pu prévenir près de 100 % des décès COVID ?
- Pourquoi une procédure médicale a-t-elle été imposée à des personnes contre leur volonté, alors que la déclaration de Nuremberg s’y oppose ?
- Pourquoi les recherches sur le gain de fonction, comme celles portant sur le COVID-19, ne sont-elles pas interdites dans le monde entier ?
- Pourquoi un produit à base d’ARNm est-il encore utilisé, alors que nous savons que l’ARNm est incorporé dans le génome humain et entraîne la production d’autres protéines inconnues ?
- Pourquoi le concept d’ARNm, qui a échoué, n’a-t-il pas été arrêté, alors que l’on sait qu’il augmente la probabilité que le receveur contracte le COVID-19, démontrant ainsi une efficacité négative ?
- Pourquoi ces injections continuent-elles d’être recommandées, alors qu’au moins 17 millions de personnes seraient mortes à cause d’elles ?
- Pourquoi n’y a-t-il pas d’enquête sur les décès excédentaires et l’augmentation des taux de cancer, de problèmes cardiaques…, qui ont commencé en 2021 et non en 2020 ?
- Pourquoi les décès inexpliqués ne sont-ils pas attribués par défaut au « vaccin » conformément à la règle qui prévaut en pharmacovigilance ?
- Pourquoi les autorités sanitaires refusent-elles de communiquer les données de mortalité toutes causes confondues par statut vaccinal ?
- Pourquoi le Gouvernement n’a-t-il jamais révélé que le « vaccin » avait entraîné des décès ?
- Pourquoi les parents ne sont-ils pas informés que les myocardites vaccinales peuvent être fatales ?
- Pourquoi la population n’est-elle pas informée que 48 % des participants sont décédés d’une mort subite lors des six premiers mois de l’essai ?
- Pourquoi les autorités ne peuvent-elles pas fournir d’études sur le nombre de vies sauvées par le « vaccin », hormis une modélisation ?
- Pourquoi les laboratoires et les régulateurs ont-ils commencé par nier que les « vaccins » Pfizer et Moderna contenaient de l’ADN oncogène et pourquoi refusent-ils de réanalyser les flacons ?
- Comment savent-ils qu’ils ne déclenchent pas de cancers alors que le temps de développement d’un cancer est beaucoup plus long, sauf pour les turbocancers dont ils nient l’existence ?
- Pourquoi affirment-ils qu’elles ne peuvent pas déclencher de cancers alors qu’ils reconnaissent que les cancers explosent depuis que 80 % de la population a été vaccinée ?
- Pourquoi un produit présentant au moins 10 mécanismes cancérogènes ne pourrait-il pas provoquer des cancers ?
- Pourquoi les laboratoires investissent-ils massivement dans des traitements anticancéreux utilisant cette technologie ?
- Pourquoi les laboratoires n’ont-ils toujours pas démenti le nouveau mécanisme vaccinal qui expliquerait l’ensemble des effets indésirables ?
- Pourquoi, en 2020, a-t-on vacciné publiquement les politiques pour convaincre que les injections étaient sûres et pourquoi, dès 2021, était-il complotiste de penser qu’elles pourraient ne pas l’être ?
- Pourquoi la procédure d’alerte (black box) de la FDA n’a pas été déclenchée suite au décès de personnes vaccinées dans les minutes ou les heures suivant une injection ?
- Pourquoi les autorités continuent-elles à recommander les injections alors que l’essai clinique final a officiellement démontré en 2023 qu’elles offraient une efficacité négative ?
- Pourquoi a-t-on imposé le « vaccin » aux femmes enceintes alors que Pfizer a démontré en 2020 que l’hydroxychloroquine est sûre pendant la grossesse ?
- Pourquoi a-t-on également imposé le « vaccin » aux patients atteints d’un cancer alors que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont des anticancéreux et que plus de 500 études affirment qu’elles sont efficaces contre le COVID ?
- Pourquoi l’essai pédiatrique Pfizer comptait-il 4 526 enfants au démarrage et 992 après la deuxième dose selon le rapport de la FDA ?
- Pourquoi Pfizer n’a-t-il pas publié les résultats de l’essai clinique, annoncés pour mai 2021, qui était supposé démontrer que le « vaccin » n’entraîne pas de stérilité masculine ?
- Pourquoi la date de clôture de l’essai clinique Pfizer sur le risque de myocardite est-elle repoussée régulièrement ?
- Pourquoi le « vaccin » a-t-il été homologué définitivement sans attendre le résultat des essais imposés lors de l’autorisation d’urgence ?
- Pourquoi a-t-il fallu créer 400 nouveaux types de maladies en 2020 pour enregistrer les événements indésirables ?
- Pourquoi le volume d’événements indésirables enregistrés pour les « vaccins » COVID est-il supérieur à celui enregistré en 50 ans pour l’ensemble des autres vaccins réunis ?
- Pourquoi ce volume rapporté au nombre de doses injectées est-il supérieur à celui de n’importe quel autre vaccin ?
- Pourquoi 78 % des décès enregistrés dans le VAERS américain depuis 1990 sont-ils associés aux « vaccins » COVID ?
- Pourquoi faut-il attendre 14 jours pour être considéré comme vacciné alors que 40 % des décès enregistrés dans le VAERS se sont produits pendant cette période ?
- Pourquoi la population n’est-elle pas informée que le produit qui a été injecté n’est pas celui qui a été homologué ?