Sang contaminé

Équipe Le Point Critique | 22 septembre 2024

Dons de sang et d’organes post COVID, que sait-on des risques en 2024 ?

Des scientifiques japonais ont recensés en mars dernier les risques de contamination de produits sanguins ou d'organes issus de personnes vaccinées contre le COVID-19 avec un vaccin génique. Une étude récente établit que les personnes atteintes d’un COVID long sont susceptibles de transmettre leurs symptômes lors d'un don de sang ou d'organes. Une publication expliquait ce risque en septembre 2021, mais elle n'a été publiée qu'en mars 2023.

Poches de transfusion sanguine
© Pexels/Charlie-Helen Robinson

En mars dernier, une équipe de chercheurs japonais alertait sur les risques associés aux transfusions utilisant des produits sanguins provenant de personnes injectées avec un vaccin génétique ou de patients atteints d’un COVID long, et appelait à la mise en place d’une traçabilité de ces produits. Elle a été abondament commentée par la communauté scientifique, mais n’a provoqué aucune modification des protocoles de collecte de sang. Ces inquiétudes sont confirmées par une nouvelle étude, relayée par le Pr Hiroshi Yasuda, professeur émérite à l’Université de Tokyo, qui relève sur son compte X que les personnes atteintes de COVID long (400 millions de personnes dans le monde) sont toujours autorisées à donner leur sang malgré les mises en garde formulées par la communauté scientifique.

Mars 2024 : alerte sur la contamination du sang des personnes vaccinées ou atteintes de COVID long

L’étude japonaise de mars 2024 (Ueda et al.)[1] est la première étude à avoir formalisé les conséquences de la toxicité des vaccins ARNm sur la sécurité des produits sanguins et des transfusions. Cette question avait fait l’objet de débats avant le déploiement des injections, mais l’évaluation des risques liés à l’utilisation de produits sanguins issus de personnes vaccinées prenait pour hypothèse que le vaccin est éliminé rapidement, qu’il reste localisé au point d’injection et qu’il n’a pas la capacité de s’intégrer à l’ADN du receveur.

On sait désormais que le matériel génétique et la protéine Spike des vaccins persistent dans le sang des personnes vaccinées pendant des périodes prolongées[2],[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9],[10],[11], que l’ARNm vaccinal peut s’intégrer dans le génome, de façon potentiellement permanente avec le risque d’une transmission à la descendance (voir notre série d’articles sur ce sujet), et qu’ils sont à l’origine d’événements indésirables graves impliquant l’ensemble des organes, via deux mécanismes :

Premièrement, les nanoparticules lipidiques (LNP) encapsulant l’ARNm peuvent se répandre dans l’organisme via la circulation sanguine à partir du site d’injection. Il a déjà été démontré que les LNP ont tendance à s’accumuler dans des organes spécifiques, tels que le foie, la rate, les ovaires, les testicules et la moelle osseuse[12]. L’autre est la libération de molécules d’ARNm pseudouridinées et de protéines synthétisées sous forme de vésicules extracellulaires, ou exosomes, à partir de cellules qui ont incorporé des LNP. Ces exosomes sont transportés dans la circulation à travers le corps pour atteindre différents organes[13],[14],[15],[16]. Par ailleurs, il a déjà été prouvé que les protéines spike produites par les cellules qui ont absorbé le gène modifié voyagent dans tout l’organisme dans la circulation sanguine.

Une étude de 2023 (Roubinian et al.)[17] se voulait toutefois rassurante, les auteurs ayant établi que les transfusions de composants sanguins prélevés après une vaccination contre le COVID-19 n’étaient pas associées à une augmentation des effets indésirables chez les transfusés. Or cette étude pose deux problèmes :

  • seules les préparations de plasma et de plaquettes ont été évaluées ;
  • la durée de suivi des transfusés s’est limitée à 30 jours.

L’étude japonaise estime au contraire, à la lumière des connaissances acquises depuis deux ans concernant la pathogénicité de la protéine Spike et le fonctionnement de la plateforme des vaccins ARNm, dont la toxicité reste encore largement inexplorée[18], qu’il existe « un risque indéniable que les patients rencontrent certains problèmes s’ils reçoivent des produits sanguins dérivés de sang collecté au cours d’une période d’exclusion, au moins brève, après la vaccination génétique », comme cela a été observé pour le vaccin contre la fièvre jaune, où un cas d’encéphalite causé par le sang d’une personne vaccinée a été rapporté en 2023[19]. Leurs préoccupations concernent les troubles de la coagulation et les anomalies sanguines, les dysfonctionnements immunitaires, ou encore les complications cardiologiques ou neurologiques, notamment la transmission de maladies à prions.

Les auteurs détaillent notamment les types d’effets secondaires susceptibles d’advenir après une vaccination génique dont le spectre « est caractérisé par une forte prévalence de maladies hématologiques et immunitaires[20] », et appellent à un enregistrement systématique des donneurs et à une traçabilité rigoureuse des produits sanguins, y compris pour les personnes atteintes de COVID long dont on sait depuis février 2023 qu’il peut être induit par la persistance de la protéine Spike dans le sang[21] :

En outre, comme mentionné ci-dessus, on ne peut pas exclure que même les personnes qui n’ont pas été vaccinées avec le vaccin génétique, mais qui ont eu un COVID long, puissent avoir des protéines de pointe résiduelles ou des microthrombi dérivés de la fibrine dans leur corps, et il serait donc souhaitable d’effectuer les mêmes tests et le même suivi que pour les personnes ayant reçu le vaccin génétique.

Les tableaux ci-dessous recensent les préoccupations liées à l’utilisation de produits sanguins issus des données de la littérature et les mesures à mettre en place pour prévenir une contamination massive des réserves de sang.

Principales préoccupations liées à l’utilisation de produits sanguins provenant de receveurs de vaccins géniques

Principales préoccupations liées à l’utilisation de produits sanguins provenant de receveurs de vaccins géniques (Ueda et al.)

Tests nécessaires pour confirmer la sécurité des produits sanguins

Tests nécessaires pour confirmer la sécurité des produits sanguins (Ueda et al.)

L’étude se concluait sur un appel à suspendre l’utilisation des vaccins ARNm et à la mise en place de mesures visant à prévenir une contamination massive des stocks de produits sanguins :

Il convient également de souligner que les questions abordées ici concernent toutes les greffes d’organes, y compris les greffes de moelle osseuse, et pas seulement les produits sanguins. L’impact de ces vaccins génétiques sur les produits sanguins et les dommages réels qu’ils causent sont inconnus à l’heure actuelle. Par conséquent, afin d’éviter ces risques et d’empêcher l’expansion de la contamination sanguine et la complication de la situation, nous demandons instamment que la campagne de vaccination utilisant des vaccins génétiques soit suspendue et qu’une évaluation des dommages et des bénéfices soit effectuée le plus tôt possible, comme le demandent Fraiman et al. et Polykretis et al.[22], [23],[24],[25]. Comme nous l’avons répété à maintes reprises, les dommages sanitaires causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations concernées prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier les risques, les contrôler et les résoudre.

Juin 2024 : confirmation de la transmission des symptômes de COVID long lors d’une transfusion

Une nouvelle étude américaine (Santos Guedes de Sa et al.)[26] publiée en juin dernier, également en preprint, démontre que les transfusions de sang issu de patients atteints d’un COVID long exposent les receveurs à des risques similaires, confirmant les inquiétudes des chercheurs japonais.

L’objectif de l’étude était de vérifier si la persistance d’auto-anticorps fonctionnels pouvait provoquer des symptômes chez les patients atteints de COVID longs ne répondant pas aux critères diagnostiques de maladies auto-immunes connues. L’étude a été réalisée sur des souris auxquelles ont été injectées des immoglobulines (IgG) issues de patients atteints de COVID long présentant des symptômes neurocognitifs et neurologiques. Les résultats sont particulièrement troublants, les souris ayant développé des symptômes neurologiques reflétant précisément ceux rapportés par le donneur.

  • Un jour après l’injection (24 heures), les anticorps ont été retrouvés dans le cerveau des souris, confirmant que les IgG peuvent traverser la barrière hématoencéphalique (BHE). La concentration d’anticorps est restée relativement constante pendant cinq jours.
  • Les souris ont été soumises à un test de coordination (J +2), un test de douleur (J +3) et un test de résistance à la préhension (J +3).
  • Test de coordination (J +2) : 88,8 % des souris ayant montré une perte d’équilibre et de coordination avaient reçu des IgG de patients souffrant des vertiges.
  • Test de douleur (J +3) : 85 % des souris présentant des signes de douleur avaient reçu du sang de personnes diagnostiquées avec une douleur chronique (douleur inflammatoire ou douleur neuropathique). Le test était également associé à une faiblesse et à une dysautonomie, avec 55 % des souris douloureuses ayant reçu du sanf de patients ayant déclaré une faiblesse et 90 % de patients atteints de dysautonomie.
  • Test de résistance à la préhension : 54,5 % des souris présentant une faiblesse musculaire avaient reçu du sang de patients présentant des acouphènes, 90,9 % avaient reçu du sang de donneurs présentant des maux de tête.

Les auteurs concluent en ces termes :

L’utilisation de produits sanguins, y compris d’immunoglobulines provenant de personnes atteintes de COVID long nécessite un examen attentif, car ils peuvent présenter des risques pathologiques pour les receveurs.

Conséquences judiciaires

Doit-on s’attendre à terme à un nouveau scandale du sang contaminé, mais dans des proportions et un niveau de culpabilité sans commune mesure compte tenu de l’atteinte aux libertés fondamentales qu’a représentée la vaccination obligatoire (« déguisée », dans le meilleur des cas, selon les propres termes d’Olivier Véran) ?

Le Dr Annelise Bocquet a réagi au lendemain de cette publication (ici et ici) en rappelant que la protéine spike a été détectée jusqu’à 187 jours après une infection, dans la salive, les urines, le sang, les alvéoles pulmonaires (Brogna et al.), mais également dans le sang du cordon ombilical[27].

Tous les pays n’ont pas faire preuve de la même imprudence, même si aucun ne semble avoir véritablement pris la mesure de la situation. Le Luxembourg par exemple exige un délai de carence après une vaccination sans effet secondaire, alors que la France n’en n’exige aucun.

Aucun n’adopte en tout cas des délais de prévenance adaptés, ce qui démontre qu’aucun d’eux ne tient compte des dernières données scientifiques. Le journal danois De Andere Krant rapportait par exemple début juin le cas d’une patiente décéde de de caillots sanguins dans les poumons et les jambes, 5 jours après une transfusion de sang dont elle avait exigé en vain qu’il émane d’un donneur non vacciné. Le corps médical lui avait assuré que « tout le sang est sûr ».

A contrario, une victoire historique a été remportée début juillet en Italie par un patient ayant refusé qu’on lui transfuse le sang d’une personne vaccinée.

La preuve de la persistance de l’ARNm dans le sang a été séquestrée pendant 2 ans par l’université de Copenhague

Si l’imprudence et désormais l’obscurantisme des autorités sanitaires sont inqualifiables, celle des éditeurs scientifiques est sans doute encore plus problématique. L’étude démontrant que l’ARNm circule dans le sang pendant au moins 28 jours après la vaccination (Castruita et al.) a été publiée en mars 2023, mais ces résultats avaient été soumis le 10 septembre 2021 au Département de microbiologie clinique de l’université de Copenhague.

L’étude précisait également que des séquences du vaccin Moderna (ARNm-1273) avaient été détectées dans le plasma sanguin 5 jours après la dose 2. Pourquoi cette étude, fortuitement dénichée par le Dr K. McKernan, a-t-elle été enterrée pendant près de deux ans ? Le Dr K. McKernan précise que les quantités de vaccin présentes dans ces échantillons doivent être très élevées puisque le calibrage des tests PCR utilisés pour les détecter les rend très peu sensibles, en moyenne trois fois moins que celui des tests qui ont servis de base au diagnostic du COVID.

Étude de Castruita et al. non publiée, 10/09/2021

Références

[1] Ueda J, Motohashi H, Hirai Y, Yamamoto K, Murakami Y, et al. Concerns regarding transfusions of blood products derived from genetic vaccine recipients and proposals for specific measures. Preprints 2024 May. https://doi.org/10.20944/preprints202403.0881.v2.

[2] Boros LG, Kyriakopoulos AM, Brogna C, Piscopo M, McCullough PA, Seneff S. Long-lasting, biochemically modified mRNA, and its frameshifted recombinant spike proteins in human tissues and circulation after COVID-19 vaccination.Pharmacol Res Perspect. 2024 Jun;12(3):e1218. https://doi.org/10.1002/prp2.1218.

[3] Patterson BK, Francisco EB, Yogendra R, Long E, Pise A, Rodrigues H, et al. Persistence of SARS CoV-2 S1 Protein in CD16+ Monocytes in Post-Acute Sequelae of COVID-19 (PASC) up to 15 Months Post-Infection. Front Immunol. 2022 Jan 10;12:746021. https://doi.org/10.3389/fimmu.2021.746021.

[4] Parry PI, Lefringhausen A, Turni C, Neil CJ, Cosford R, Hudson NJ, et al. ‘Spikeopathy’: COVID-19 Spike Protein Is Pathogenic, from Both Virus and Vaccine mRNA. Biomedicines. 2023 Aug 17;11(8):2287. https://doi.org/10.3390/biomedicines11082287.

[5] Brogna C, Cristoni S, Marino G, Montano L, Viduto V, Fabrowski M, et al. Detection of recombinant Spike protein in the blood of individuals vaccinated against SARS-CoV-2: Possible molecular mechanisms. Proteomics Clin Appl. 2023 Nov;17(6):e2300048. https://doi.org/10.1002/prca.202300048.

[6] Yonker LM, Swank Z, Bartsch YC, Burns MD, Kane A, Boribong BP, et al. Circulating Spike Protein Detected in Post-COVID-19 mRNA Vaccine Myocarditis. Circulation. 2023 Mar 14;147(11):867-876. https://doi.org/10.1161/circulationaha.122.061025.

[7] Fertig TE, Chitoiu L, Marta DS, Ionescu VS, Cismasiu VB, Radu E, et al. Vaccine mRNA Can Be Detected in Blood at 15 Days Post-Vaccination. Biomedicines. 2022 Jun 28;10(7):1538. https://doi.org/10.3390/biomedicines10071538.

[8] Mörz M. A Case Report: Multifocal Necrotizing Encephalitis and Myocarditis after BNT162b2 mRNA Vaccination against COVID-19. Vaccines. 2022 Oct 1;10(10):1651. https://doi.org/10.3390/vaccines10101651.

[9] Yamamoto M, Kase M, Sano H, Kamijima R, Sano S. Persistent varicella zoster virus infection following mRNA COVID-19 vaccination was associated with the presence of encoded spike protein in the lesion. J Cutan Immunol Allergy. 2022 Aug;6:18-23. https://doi.org/10.1002/cia2.12278.

[10] Castruita JA.S, Schneider UV, Mollerup S, Leineweber TD, Weis N, Bukh J, et al. SARS-CoV-2 spike mRNA vaccine sequences circulate in blood up to 28 days after COVID-19 vaccination. APMIS. 2023 Mar;131(3):128-132. https://doi.org/10.1111/apm.13294.

[11] Krauson AJ, Casimero FV.C, Siddiquee Z, Stone JR. Duration of SARS-CoV-2 mRNA vaccine persistence and factors associated with cardiac involvement in recently vaccinated patients. NPJ Vaccines. 2023 Sep 27;8(1):141. https://doi.org/10.1038/s41541-023-00742-7.

[12] Ndeupen S, Qin Z, Jacobsen S, Bouteau A, Estanbouli H, Igyártó BZ. The mRNA-LNP platform’s lipid nanoparticle component used in preclinical vaccine studies is highly inflammatory. iScience. 2021 Dec 17;24(12):103479. https://doi.org/10.1016/j.isci.2021.103479.

[13] Maugeri M, Nawaz M, Papadimitriou A, Angerfors A, Camponeschi A, Na M, et al. Linkage between endosomal escape of LNP-mRNA and loading into EVs for transport to other cells. Nat Commun. 2019 Sep 24;10(1):4333. https://doi.org/10.1038/s41467-019-12275-6.

[14] Bansal S, Perincheri S, Fleming T, Poulson C, Tiffany B, Bremner RM, et al. Cutting Edge: Circulating Exosomes with COVID Spike Protein Are Induced by BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) Vaccination prior to Development of Antibodies: A Novel Mechanism for Immune Activation by mRNA Vaccines. J Immunol. 2021 Nov 15;207(10):2405-2410. https://doi.org/10.4049/jimmunol.2100637.

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[16] Polykretis P, Donzelli A, Lindsay JC, Wiseman D, Kyriakopoulos AM, Mörz M, et al. Autoimmune inflammatory reactions triggered by the COVID-19 genetic vaccines in terminally differentiated tissues. Autoimmunity. 2023 Dec;56(1):2259123. https://doi.org/10.1080/08916934.2023.2259123.

[17] Roubinian NH, Greene J, Liu VX, Lee C, Mark DG, Vinson DR, et al. Clinical outcomes in hospitalized plasma and platelet transfusion recipients prior to and following widespread blood donor SARS-CoV-2 infection and vaccination. Transfusion. 2024 Jan;64(1):53-67. https://doi.org/10.1111/trf.17616.

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[22] Polykretis P, Donzelli A, Lindsay JC, Wiseman D, Kyriakopoulos AM, Mörz M, et al. Autoimmune inflammatory reactions triggered by the COVID-19 genetic vaccines in terminally differentiated tissues. Autoimmunity. 2023 Dec;56(1):2259123. https://doi.org/10.1080/08916934.2023.2259123.

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[27] Lin X, Botros B, Hanna M, Gurzenda E, De Mejia CM, Chavez M, Hanna N. Transplacental transmission of the COVID-19 vaccine messenger RNA: evidence from placental, maternal, and cord blood analyses postvaccination. Am J Obstet Gynecol. 2024 Jun;230(6):e113-e116. https://doi.org/10.1016/j.ajog.2024.01.022.

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