Mise au point
Quiz vaccination : 40 questions à poser à votre médecin
Une infographie a été récemment publiée sur les réseaux sociaux concernant les risques vaccinaux, leur encadrement juridique, la composition des vaccins et leur efficacité. Elle recense 40 questions à poser à son médecin traitant pour tester ses connaissances en matière de vaccination. Éléments de réponse.
« Si vous croyez que les vaccins sauvent des vies, j’ai 40 questions à vous poser. » Ce document, rédigé en anglais, est influencé par le contexte réglementaire américain (cadre légal, indemnisation, schéma de vaccination…) qui ne s’applique donc pas en France. Il démontre en revanche comment ce cadre a été élaboré afin d’organiser l’impunité juridique des laboratoires, qui ont eu besoin de cette dérégulation pour se maintenir en vie, et quel a été son impact sur l’explosion du nombre d’injections inscrites dans le calendrier vaccinal des petits Américains, qui est sensiblement le même en France.
Composition des vaccins
- Ingrédients : le vaccin Gardasil contre le papillomavirus humain (HPV) contient du polysorbate 80 (toxique pour les ovaires, quelle que soit la dose injectée), du sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe (toxique pour les ovaires, neurotoxique, cancérigène et mutagène) et du borax (toxique pour la fertilité féminine et masculine, avec des risques de malformation pour le fœtus). Tous les vaccins H5N1 contiennent des adjuvants à base de squalène, l’AS03 ou le MF59. Ce dernier est suspecté être à l’origine de narcolepsies. Les vaccins COVID-19 Pfizer et Moderna contiennent du cholestérol, du polyéthylène glycol (PEG) et des lipides (nanoparticules lipidiques) composés de SM-102 pour Moderna, ALC-0315 et ALC-0159 pour Pfizer, une première dans l’histoire.
- MRC-5 : le MRC-5 est une lignée cellulaire diploidienne provenant du tissu pulmonaire d’un fœtus de 14 semaines, utilisée dans la production de vaccins (hépatite A, poliomyélite). Une lignée cellulaire est une population de cellules, généralement cancéreuses prélevées chez un patient et ayant une capacité de division infinie. Le MRC-5 est la lignée la plus couramment utilisée dans la production de vaccins viraux.
- WI-38 : le WI-38 est la première lignée cellulaire diploidienne humaine à être utilisée dans la préparation de vaccins humains. Les cellules WI-38 ont été isolées à partir du tissu pulmonaire d’un embryon de femelle de 3 mois. WI-38 est utilisé dans les tests de virus.
- Tiussu de fœtus avortés : concernant les vaccins COVID-19, Pfizer, Moderna, Astra Zeneca, Janssen et Sanofi utilisent tous les quatre des cellules de fœtus avortés à différentes phases de développement de leur vaccin. L’Institut européen de bioéthique détaille quels laboratoires ont recours à ce type de cellules.
- ADN animal : le vaccin pédiatrique contre la grippe Fluenz Tetra utilise un excipient à base de gélatine de porc. Le vaccin COVID d’Astra Zeneca contient de l’ADN de chimpanzé. Ceux de Pfizer et Moderna utilisent plusieurs séquences non réglementaires d’un virus de singe (SV40), un oncogène notoire dont la présence permettrait de favoriser l’intégration du vaccin dans l’ADN des personnes vaccinées. Des quantités astronomiques ont été retrouvées dans plusieurs échantillons de vaccins, par différents laboratoires de génomique. Il a été utilisé dans les années 1960 pour le vaccin contre la polio.
- Adjuvants : les adjuvants sont des substances ajoutées au principe actif du vaccin afin de renforcer et de prolonger son efficacité. L’objectif est de réduire la quantité d’antigène ou le nombre d’injections et ainsi de vacciner un nombre plus important de personnes en période de pandémie (Leem). Ces adjuvants permettent d’amplifier la réaction immunitaire, mais au prix d’une persistance prolongée dans l’organisme pouvant aller jusqu’à un an au site d’injection (Angrand et al.)[1].
- Antigène : l’antigène correspond à la sous-partie d’un agent pathogène qui entraîne la formation d’anticorps. C’est sur ces anticorps que repose pour partie la réaction du système immunitaire (OMS).
- Aluminium : depuis 2011, la « dose hebdomadaire tolérable provisoire (DHTP) » de l’aluminium est de 2 mg/kilo de poids corporel et par semaine vs 1 mg avant 2011. En France, deux vaccins sur trois contiennent des sels d’aluminium, ce sont ceux qui sont le mieux remboursés : DTP, DTP/coqueluche, DTP/coqueluche/Hib, DTP/coqueluche/Hib/hépatite B, hépatite A, hépatite B, méningocoque C, méningocoque B, HPV, pneumocoque, tétanos. La quantité délivrée est très variable en fonction du vaccin administré, l’exposition la plus forte a lieu avant l’âge de 1 an. Les études animales confirment leur persistance dans l’organisme et démontrent leurs effets délétères sur l’organisme (Angrand et al.).
- Glyphosate : des tests menés par un laboratoire aux États-Unis ont démontré la présence de glyphosate dans les vaccins (Mediapart). Le vaccin ROR, obligatoire en France, contiendrait par exemple une dose de glyphosate 25 fois supérieure à celle utilisée dans d’autres vaccins.
- Formaldéhyde : le formaldéhyde est naturellement présent dans l’organisme, il aide à digérer les aliments. Le formaldéhyde synthétique est synthétisé à partir du méthanol. Il est utilisé dans la fabrication de certains vaccins « pour inactiver les virus et les bactéries qui peuvent contaminer le vaccin durant la production », mais il supposé être éliminé avant son conditionnement commercial. Il est utilisé notamment dans le vaccin antigrippal.
- Latex : des protéines de latex hautement allergène peuvent être présentes dans le bouchon du flacon du vaccin, mais également les pistons et les capuchons des seringues, pouvant provoquer une réaction anaphylactique chez les patients allergiques au latex (Le Progrès).
Législation concernant la responsabilité des fabricants de vaccins et l’indemnisation des victimes
- Tribunal des vaccins (Vaccine Program) : Le tribunal des vaccins (Office of Special Masters of the U.S. Court of Federal Claims) arbitre les litiges portant sur des dommages ou des décès survenus à la suite de l’administration de certains vaccins obligatoires pour les enfants. Les plaintes contre les fabricants de vaccins ne peuvent pas être déposées devant les tribunaux civils d’État ou fédéraux depuis la loi nationale sur les lésions causées par les vaccins chez l’enfant (National Childhood Vaccine Injury Act, ou Vaccine Act) de 1986, qui a accouché du Programme de vaccination (National Vaccine Injury Compensation Program, ou Vaccine Program).
- Programme de vaccination (NCVIP): Le NVCIP est un programme d’indemnisation « sans égard à la faute », supposé constituer « une alternative rapide, flexible et moins conflictuelle » à des procès en responsabilité intentés aux fabricants de vaccins. La loi de 1986, promulguée par Ronald Reagan, a ainsi permis de garantir une immunité juridique et financière totale aux fabricants de vaccins à la suite de plaintes pour lésions vaccinales (par exemple pour le vaccin DTP, qui menaçait de mettre les fabricants en faillite). À titre d’exemple, le site ViolationTracker recense les pénalités auxquelles les laboratoires pharmaceutiques ont été condamnés, soit 11 130 383 623 $ (11 milliards) pour le laboratoire Pfizer depuis l’année 2000.
- 1986 : Lors du premier test, un vaccin est considéré comme expérimental. Il peut être qualifié de « vaccin autorisé » après la délivrance d’une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA). Une fois qu’un vaccin a été autorisé par la FDA, inclus dans le calendrier des vaccins des CDC, et autorisé par le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, il est couvert par le VICP. Les laboratoires ne peuvent plus alors être poursuivis en cas de blessures ou de décès dus à leur produit, y compris s’ils résultent d’un défaut de conception.
- 2011 : En 2011, la Cour suprême des États-Unis a rendu un arbitrage en faveur des laboratoires en rejetant le recours des parents d’une enfant handicapée depuis une vaccination. Les fabricants ne peuvent ainsi pas non plus être poursuivis pour vice de conception.
- Indemnisation : Entre sa création en 1986 et mai 2023, le NVICP a accordé un total de 4,6 milliards de dollars, le montant moyen accordé entre 2006 et 2020 étant de 450 000 dollars, et le taux d’attribution moyen étant de 1,2 attribution par million de doses administrées.
- Situation de la France : L’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) est l’équivalent français du NVICP. Fin 2023, l’Office a indemnisé à l’amiable 116 personnes pour 1 375 demandes d’indemnisation reçue concernant la vaccination COVID-19, soit un taux de 8 %. Elle dispose d’un budget limité à environ 200 millions d’euros, ce qui laisse présager soit d’un taux de refus élevé, soit de compensation dérisoire pour le dossier COVID.
Calendrier vaccinal
- Aux États-Unis, le calendrier vaccinal établi par les CDC incluait 5 injections en 1962 et 24 en 1983. En 2023, ils en recommandent 80 entre la naissance jusqu’à la majorité. Un enfant peut recevoir jusqu’à cinq injections en une seule visite. Ainsi, depuis la loi de 1986, 56 doses supplémentaires ont été ajoutées par les CDC au calendrier vaccinal des enfants et des adolescents. Voir : https://mikedonio.substack.com/p/the-cdc-released-an-updated-immunization.
- En France, le gouvernement vient d’ajouter 4 vaccins (méningite A, B, W et Y) à la liste des 11 vaccins rendus obligatoires par Agnès Buzyn en 2018.
- Consentement à la vaccination : en France, le recueil du consentement ne nécessite pas de formulaire ou d’engagement écrit, y compris pour les vaccins qui ne sont pas obligatoires. Il est recueilli à l’oral par le professionnel de santé qui « doit expliquer de manière détaillée aux adolescents les différents aspects de la vaccination, pour qu’ils puissent donner leur consentement ».
- Récompense vaccinale : Tous les professionnels de santé ont perçu des compensations pour la vaccination contre le COVID-19, avec des seuils d’objectifs proposés par certaines organisations de santé. En France, la rémunération des « vaccinateurs » a atteint des sommets (420 à 460 € la demi-journée), proportionnels au risque non divulgué auquel exposait cette injection. L’Assurance maladie envisage d’inclure pour l’année 2026 (p. 26), dans la rémunération des médecins traitants, une part variable, intitulée « Incitations prévention », avec une majoration de 5 € par « indicateur », c’est-à-dire par vaccin injecté, proposition de dépistage ou de suivi.
Santé des enfants vaccinés vs non vaccinés
- Dans une étude de 2017 (Mawson et al.)[2], les chercheurs ont trouvé que les enfants vaccinés étaient moins susceptibles que les enfants non vaccinés d’avoir reçu un diagnostic de varicelle et de coqueluche, mais plus susceptibles d’avoir reçu un diagnostic de pneumonie, d’otite moyenne, d’allergie et de trouble du spectre autistique. Bien que la naissance prématurée n’apparaisse pas comme un facteur de risque pour le développement de troubles du développement neurologique (DDN), la vaccination était associée à une probabilité de DDN multipliée par 6,6.
- Dans une étude de 2020 (Hooker et al.)[3], les chercheurs ont trouvé que les enfants vaccinés avant l’âge d’un an avaient un risque accru de retard de développement (+ 118 %), d’asthme (+ 349 %) et d’infections de l’oreille (+ 113 %). Ce risque était majoré par le nombre de doses reçues, avec une aggravation dans le temps. Les auteurs concluent :
- Une étude de 2011 (Delong)[4] pointe également un possible lien entre « la batterie de vaccinations que reçoivent les jeunes enfants » et l’explosion de l’autisme aux États-Unis depuis les années 1990. Elle établit que plus la proportion d’enfants ayant reçu les vaccins recommandés à l’âge de 2 ans est élevée, plus la prévalence de l’autisme (AUT) ou de la déficience de la parole ou du langage (SLI).
- Une étude publiée en 2024 (Salmon et al.)[5], dont l’auteur principal est considéré comme la référence ultime en matière de sécurité vaccinale, affirme aujourd’hui qu’aucun vaccin n’a jamais été correctement étudié et testé, ni avant ni après sa commercialisation. Les auteurs estiment sur ce principe qu’aucun vaccin ne peut être qualifié de « sûr et efficace », le lien entre les événements indésirables post-vaccinaux et la vaccinaux n’ayant pu être réfuté que dans 24 % des 234 études conduites en vingt ans.
Effets indésirables
- Myélite transverse : la myélite transverse aiguë est une inflammation de la moelle épinière. Elle peut se développer chez des personnes qui sont atteintes de certaines maladies, comme la sclérose en plaques, une neuromyélite optique, la maladie de Lyme ou un lupus, le COVID-19, ou qui prennent certains médicaments. Seul un tiers des patients se rétablit. Elle est suspectée être un effet secondaire des vaccins anti-COVID.
- Encéphalopathie : les encéphalopathies regroupent des troubles nerveux liés à des altérations anatomiques. Elle inclut notamment la maladie de Creutzfeldt-Jakob, dont le lien avec la vaccination contre le COVID est étayé par une série d’études. Le laboratoire Pfizer a également admis que le rôle de son vaccin ne pouvait pas être écarté dans le développement de la maladie de Creutzfeldt-Jakob chez Mauricette Doyer, 15 jours après l’administration de sa deuxième dose.
- MTHFR: la méthylènetétrahydrofolate réductase (MTHFR) est une enzyme qui joue un rôle crucial dans de nombreuses maladies (cardiovasculaires, neurologiques, ophtalmologiques, osseuses…), mais également dans la reproduction. Les mutations du gène de la MTHFR sont impliquées dans les hypofertilités. Pour les personnes atteintes d’une mutation du gène de la MTHFR, les antibiotiques, les vaccins et certains médicaments (antidépresseurs) peuvent épuiser le glutathion et empêcher la détoxification de l’organisme.
Les symptômes de la mutation MTHFR comprennent les fausses couches ou mortinaissances, la prééclampsie, les nouveau-nés présentant des anomalies du tube neural, les liens langue/frenulum, la dépression, l’anxiété, les troubles bipolaires, l’autisme et d’autres problèmes de développement de l’apprentissage, le TDAH, le syndrome de Down, le spina bifida, la thyroïde et d’autres troubles auto-immuns, les migraines, les problèmes hormonaux, le diabète, le syndrome de fatigue chronique
https://hopewellfamilycare.com/articles/2017/1/13/mthfr-what
- Autisme : selon les données des CDC, la prévalence de l’autisme aux États-Unis était de 1 cas pour 36 en 2020. Elle était de 1 pour 10 000 en 1970 et de 1 pour 1 000 en 1995. Cela correspond à une hausse de 2 700 % (x 28) au cours des 30 dernières années, près de trois fois plus élevée que celle enregistrée sur une même durée entre 1970 et 1995.
- Coïncidences. Les vaccins peuvent-ils provoquer des effets indésirables. Non, ils provoquent seulement des… coïncidences, en particulier depuis le COVID.
- Excrétion (shedding) : l’excrétion vaccinale est une forme d’excrétion virale qui peut survenir à la suite d’une infection virale causée par un vaccin. Selon Wikipédia, elle ne peut être provoquée que par un vaccin atténué, c’est-à-dire contenant du virus vivant. L’article cite le cas du vaccin oral antipolio, supposé unique, et précise :
L’excrétion n’est possible qu’avec un vaccin atténué. Il est impossible avec d’autres technologies vaccinales telles que le vaccin inactivé (vaccins à virus tué), le vaccin contre les vecteurs viraux, les vaccins à ARN (qui ne contiennent pas de virus), ou les vaccins sous-unités (une technologie vaccinale utilisant uniquement des protéines isolées d’un virus).
https://en.wikipedia.org/wiki/Vaccine_shedding
Ce risque de shedding est pourtant évoqué dans le protocole d’essai clinique du vaccin Comirnaty[6] (Pfizer), p. 61, dans la section « Occupational exposure », où il est considéré comme un effet indésirable grave.
Pour un point complet sur cette question, voir l’article du Dr Hélène Banoun[7], cité dans notre article « L’EMA a-t-elle organisé un essai de thérapie génique au prétexte du COVID (1/3) ? ».
Efficacité vaccinale
- Vaccin contre la coqueluche : selon le site Eurosurveillance, plusieurs études ont signalé une augmentation du nombre de cas de coqueluche dans le monde depuis le début de 2024. Cette résurgence a même entraîné des décès, notamment chez les nourrissons. Rien qu’en France, plus de 7 000 cas de coqueluche ont été identifiés par des tests PCR entre janvier et mai 2024, contrairement aux 500 cas signalés pour l’ensemble de l’année 2023. L’article précise :
De plus, des études récentes indiquent que l’introduction de vaccins acellulaires a peut-être entraîné une augmentation du taux de mutation des antigènes vaccinaux B. pertussis. […] la possibilité d’une évolution de B pertussis axée sur le vaccin soulève d’importantes questions quant au maintien de l’efficacité à long terme et à son impact sur la santé publique.
- Poliomyélite : l’OMS estimait en 2023 que les épidémies actuelles de poliomyélite sont exclusivement des épidémies de poliomyélite vaccinale, 50 fois plus invalidante que la poliomyélite sauvage qui a été éradiquée en 2020 en Afrique et en 2000 et 2002 pour les continents américain et européen. Un nouveau vaccin, le NVPO2, présenté comme « une nouvelle arme contre la polio », est déployé depuis novembre 2020.
- Vaccin contre la rougeole : La rougeole a été officiellement éliminée des États-Unis en 2000. Un schéma à deux doses a été adopté en 1996. La revoilà aujourd’hui…
Vaccins à virus vivant atténué : les vaccins vivants atténués sont des vaccins contenant le microbe en entier, sous forme inactivée. La France propose 8 vaccins à virus vivant atténué :
- Fièvre jaune
- Rougeole, oreillons, rubéole (ROR)
- Rotavirus
- Vaccin oral contre la poliomyélite
- Varicelle
- Zona
- Dengue
- BCG
Selon le site Infovac, « le microbe est tué ; il est totalement incapable de se multiplier et donc de provoquer une maladie. » Concernant le vaccin contre la poliomyélite, il précise : « le vaccin contre la polio contient des virus inactivés provenant des 3 souches du virus de la polio. Son action est soutenue par un sel d’aluminium. »
Bonne vaccination ! Les plus curieux peuvent se promener sur le site puis lire l’article de septembre 2021, proposé par l’encyclopédie Britannica, sur les mythes concernant les vaccins COVID-19.
Références
[1] Angrand L, Ardzivian Elnar A, Authier FJ, Gherardi RK, Crépeaux G. Exposition a l’aluminium vaccinal en france en 2018. Ann Pharm Fr. 2020 Nov;78(6):544-5. https://www.doi.org/10.1016/j.pharma.2020.07.008.
[2] Mawson AR, Ray BD, Bhuiyan AR, Jacob B. Pilot comparative study on the health of vaccinated and unvaccinated 6- to 12-year-old U.S. children. J Transl Sci. 2017;3(3):1-12. https://www.doi.org/10.15761/JTS.1000186.
[3] Hooker BS, Miller NZ. Analysis of health outcomes in vaccinated and unvaccinated children: Developmental delays, asthma, ear infections and gastrointestinal disorders. SAGE Open Med. 2020 May 27;8:2050312120925344. https://www.doi.org/10.1177/2050312120925344.
[4] Delong GA positive association found between autism prevalence and childhood vaccination uptake across the U.S. population. J Toxicol Environ Health A. 2011;74(14):903-16. https://doi.org/10.1080/15287394.2011.573736.
[5] Salmon DA, Orenstein WA, Plotkin SA, Chen RT. Funding postauthorization vaccine-safety science. N Engl J Med. 2024 Jul 11;391(2):102-105. https://doi.org/10.1056/NEJMp2402379.
[6] Polack FP, Thomas SJ, Kitchin N, Absalon J, Gurtman A, Lockhart S, et al. Safety and efficacy of the BNT162b2 mRNA Covid-19 vaccine. N Engl J Med 2020;383:2603-15. https://doi.org/10.1056/NEJMoa2034577. Supplément: https://www.nejm.org/doi/suppl/10.1056/NEJMoa2034577/suppl_file/nejmoa2034577_protocol.pdf.
[7] Banoun H. Current state of knowledge on the excretion of mRNA and spike produced by anti-COVID-19 mRNA vaccines; possibility of contamination of the entourage of those vaccinated by these products. Infect Dis Res. 2022 Nov 14;3(4):22. https://doi.org/10.53388/IDR20221125022.