Inversion accusatoire

Équipe Le Point Critique | 31 août 2024

JesuisFranceSoir – 2. Les mille et une fakenews du Gouvernement

Le 26 juin dernier, le ministère de la Culture a confirmé qu’il ne renouvellerait pas l’agrément du journal France-Soir. Cette décision se fonde sur une note de la direction générale de la Santé visant à démontrer que le journal représente une menace la santé publique. Sur la forme, elle souligne ses propres manquements déontologiques et démontre le caractère vital d'un média comme France-Soir.

Illustration des mensonges sur les vaccins
© iStock/Wildpixel

L’affaire qui oppose depuis novembre 2022 le journal France-Soir à la Commission paritaire pour les publications et agences de presse (CPPAP) est désormais entre les mains du Conseil d’État. C’est à lui qu’il reviendra de déterminer si le journal représente une menace pour la santé publique, comme l’affirme la CPPAP. Elle se fonde pour cela sur une expertise du contenu éditorial de France-Soir, datée du 6 mai 2024, qui a été réalisée par le directeur général de la santé (DGS).

La note indique que 14 articles ont été analysés, mais elle n’en cite que 13. Il leur est reproché de véhiculer une image négative de la vaccination basée sur des paroles ou des études dont les conclusions seraient interprétées de manière biaisée. Sept concernent la vaccination contre le papillomavirus humain (HPV), les six autres sont présentés comme « des articles engagés au service de causes comme l’anti-vaccination et le traitement du COVID-19 par l’hydroxychloroquine » et non comme « des analyses critiques de publications ».

Efficacité de l’hydroxychloroquine vs inefficacité des vaccins

Pour deux des six articles (articles 1 et 3), il est reproché à France-Soir de promouvoir une étude dont le DGS conteste la méthodologie et les conclusions. Ces deux articles portent sur l’analyse secondaire de la fameuse étude rétrospective conduite par l’IHU de Marseille sur 30 423 patients COVID[1] qui démontre l’efficacité de l’utilisation précoce de la bithérapie hydroxychloroquine-azithromycine (HCQ-AZ) sur la mortalité, y compris chez les personnes âgées ou à risque, et la compare à celle de la vaccination. Elle conclut donc que son utilisation aurait sauvé des vies, et appelle à un réexamen des données sur lesquelles les essais défavorables à l’HCQ ont établi leurs conclusions.

L’analyse secondaire de ces résultats, mis à disposition de la communauté scientifique par l’IHU de Marseille pour permettre leur analyse par d’autres chercheurs, a donné lieu à deux études, publiées chacune dans une revue à comité de lecture, et donc après un examen par des pairs.

Inefficacité des vaccins COVID-19

Le premier article pointé par le DGS présente le deuxième volet de cette étude[2], qui confirme le bénéfice de l’HCQ-AZ sur la mortalité et les formes graves (– 58 % de passages en soins intensifs et décès) et l’inefficacité des vaccins COVID-19, dont les auteurs affirment qu’ils ont eu au contraire un effet aggravant sur la maladie chez de nombreux patients vaccinés après une infection. Ils appellent donc à un moratoire sur la vaccination en soulignant – ce que ne fait pas l’étude de l’IHU – l’enjeu qu’a représenté le discrédit de l’hydroxychloroquine pour les fabricants de vaccins, qui n’ont pu obtenir une homologation qu’en l’absence de tout traitement ancien potentiellement bénéfique.

Le DGS propose une critique non pas de l’article de France-Soir, mais de l’analyse de l’étude marseillaise et de la qualité de la revue dans laquelle elle a été publiée. Il considère notamment que l’étude conduite à l’IHU de Marseille est biaisée et qu’elle démontre un bénéfice relatif de la vaccination. Il estime sur ce principe que l’article de France-Soir est « partiel, spécieux et orienté contre la vaccination avec un titre volontairement trompeur ». Un conflit d’intérêts est également pointé, l’un des auteurs de l’étude étant le directeur de la rédaction de France-Soir, ce qui est clairement précisé dans l’article, mais qui selon le DGS, remettrait en cause le caractère « indépendant » de… l’étude.

Le DGS considère donc comme une entorse à la déontologie médicale le fait de promouvoir une étude scientifique validée par des pairs dont les conclusions ne sont pas conformes aux recommandations gouvernementales, mais il n’assume pas cette logique puisqu’il oppose à l’étude mise en avant par France-Soir et à celle de l’IHU de Marseille l’existence de « très nombreuses études » ayant démontré que les bénéfices de la vaccination, « y compris » chez les personnes âgées.

Efficacité de l’hydroxychloroquine et nombre de morts évitables

Le troisième article ciblé par le DGS détaille les conclusions du premier volet[3] de l’analyse et appelle à une mission d’enquête parlementaire « afin d’évaluer combien de vies auraient pu être sauvées avec un usage systématique des traitements précoces », chiffre qu’ils évaluent par extrapolation à 97 400 sur les 167 642 décès attribués au COVID en France, et à plus de 4 millions dans le monde.

L’article revient également sur les accusations d’essai clinique sauvage formulées au lendemain de la publication de l’IHU par le Pr Molimard, responsable de la pharmacovigilance nationale du vaccin Pfizer et du Paxlovid (nirmatlevir) qu’il a activement promu à son stade expérimental, mais dont l’essai clinique a finalement démontré qu’il était aussi inefficace que coûteux (1 300 $ la boîte vs 27 $ pour l’HCQ ou l’IVM)[4]. Le DGS ne semble pas au courant de ses résultats, pourtant publiés deux mois avant la rédaction de sa note, qui remettent en cause l’intégrité scientifique du Pr Molimard.

Le DGS critique là encore la méthodologie et la « crédibilité des résultats » de l’étude. Pour preuve, il n’existerait aucune étude randomisée en double aveugle (le gold standard pour les études d’efficacité) démontrant une quelconque efficacité de l’HCQ et de l’IVM.

On en conclut que le DGS ignore que l’essai clinique Pfizer n’était pas un essai randomisé en double aveugle et que le vaccin a été promu par les agences, dont l’ANSM, malgré une mortalité supérieure dans le groupe vacciné, sans données concernant l’efficacité contre les formes graves, et avec un risque accru d’événements indésirables graves et d’événements indésirables graves d’intérêt particulier estimé aujourd’hui à + 36 % et + 57 % pour Pfizer (+ 6 % et + 36 % pour Moderna)[5]. L’étude qui le démontre a pourtant été abondamment commentée lors de sa publication en ligne. Il est impossible qu’elle ait échappé au dispositif de veille documentaire auquel l’ANSM est astreinte déontologiquement.

Il précise :

De tous les articles de France-Soir cités ici, celui-ci est le plus polémique. […] Il ne s’agit pas d’un article scientifique, mais d’un article critiquant, sans aucun fondement, les mesures prises par le Gouvernement (confinement, vaccination) et visant à faire accroire que l’hydroxychloroquine aurait sauvé des vies, perdues par aveuglement et intérêt financier.

La rétractation de l’étude Pradelle

En appui, il met en avant une étude promue par le Pr Molimard[6] et abondamment relayée dans les médias, attribuant 17 000 morts à l’HCQ, « et bien plus probablement ». Cette étude a pourtant immédiatement été identifiée par la communauté scientifique comme une fraude caricaturale. Elle vient tout juste d’être rétractée par l’éditeur, qui confirme que ces résultats sont biaisés et que les données de l’étude de l’IHU ne sont a contrario pas attaquables.

France-Soir avait disséqué cette fraude en janvier dernier, dans un article où il soupçonne les professeurs Lega et Molimard de faire du « blanchiment de fausses informations ». Il semblerait que oui, Mathieu Molimard ayant exhorté les patients à se vacciner pour prévenir notamment le risque de myocardite dont on sait aujourd’hui qu’il est un effet secondaire des vaccins et non du virus, et tout en expliquant publiquement, trois ans plus tard, que le COVID « guérit spontanément dans plus de 98 % des cas [et qu’] un médicament n’aurait pas été utile de toute façon ».

Les motivations du Gouvernement à censurer les traitements précoces en dépit du signalement de leur efficacité auprès du Pr Delfraissy et de Dr Anthony Fauci, dès mars 2020 sont donc à nouveau mises en cause par cette fraude et par la réponse du DGS. Sa position est d’autant plus suspecte que l’ivermectine a été réhabilitée par l’Australie, qui autorise depuis plus d’un an sa prescription dans le cadre du COVID. On notera que l’article de France-Soir qui relaie cette information n’a pas été relevé par le DGS.

Effets secondaires des vaccins

Le second article concerne une étude internationale[7] – la plus vaste réalisée à ce jour – sur les effets secondaires liés aux vaccins COVID-19. Le DGS estime qu’elle ne confirme que des signaux de sécurité connus, les autres signaux détectés par les auteurs n’étant, selon leurs propres termes, pas avérés. L’étude démontre donc selon lui essentiellement que la balance bénéfice-risque de la vaccination est positive. Sur ce principe, le DGS estime que l’article de France-Soir « est volontairement alarmiste et ne reproduit pas les conclusions des auteurs en faveur de la vaccination ».

Les auteurs expliquent en réalité que les signaux potentiels de sécurité associés aux vaccins COVID-19 ne se limitent pas à ceux actuellement reconnus par les agences et que le nombre de cas pourrait être sous-estimé en raison de leur sous-déclaration :

Bien que notre étude ait confirmé les rares signaux de sécurité identifiés précédemment à la suite de la vaccination par COVID-19 et apporté des preuves sur plusieurs autres résultats importants, d’autres investigations sont nécessaires pour confirmer les associations et évaluer les résultats cliniques.

De manière accablante, la note indique que l’étude confirme l’existence d’un signal de sécurité connu pour le syndrome de Guillain-Barré. Or le dernier rapport de l’ANSM estime que ce signal n’a toujours pas été confirmé, quel que soit le vaccin.

Lancet Gate

Le quatrième article revient sur l’une des fraudes les plus spectaculaires de l’histoire de la médecine et dont les conséquences auront été vertigineuses. Le DGS évoque un « prétendu » scandale grossi artificiellement par France-Soir puisque l’étude aurait été été rétractée « rapidement » par le Lancet. Elle ne l’a été en réalité qu’après 13 jours et des torrents d’encre versés qui ont crucifié l’hydroxychloroquine.

A contrario, il a fallu moins de 48 heures au journal pour censurer une revue de la littérature portant sur des études post-mortem de patients vaccinés, et aujourd’hui publiée après examen par des pairs, démontrant que le vaccin aurait causé le décès dans 74 % des cas[8]. Le DGS ne fait aucune mention du fait que le ministère de la Santé n’a jamais modifié son discours sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine en dépit de centaines d’études attestant de son efficacité. Il est au contraire explicitement reproché à France-Soir d’être « une défense du traitement par hydroxychloroquine ».

Contamination des vaccins par du matériel oncogène

Le cinquième et le sixième articles portent sur la composition des injections.

Le premier présente la découverte du Dr McKernan, l’un des tout premiers experts mondiaux en génomique, dans les vaccins Pfizer et Moderna, de séquences d’un ou plusieurs « promoteurs » du virus polyomavirus simien 40 (SV40) réputé oncogène, et de fragments d’ADN qui auraient dû être éliminés par les laboratoires lors de la phase de purification des vaccins. L’article est purement informatif, puisqu’il explique l’enjeu de cette découverte et relate la déclaration sous serment faite par un second scientifique qui confirme cette découverte. La conclusion est par ailleurs ouverte et prudente :

Tous ces questionnements ont motivé moult débats sur la sécurité et la réglementation des vaccins à ARNm, et révèlent une nécessité quant à des recherches supplémentaires pour évaluer les risques sur la santé des personnes vaccinées.

Il est reproché à France-Soir d’avoir repris et amplifié cette « information » – qui n’est donc pas une fake news, selon le DGS –, dans un second article.

Le second article auquel le DGS fait allusion relaie l’appel du ministre de la Santé de Floride, le Dr J. Lapado, à suspendre les injections de vaccin Pfizer et Moderna après la découverte de cette contamination. Le chapô de l’article est factuel et très en deçà du niveau de préoccupation suscité par cette découverte, aujourd’hui confirmée par de nombreux chercheurs mais également par des sénateurs australiens :

La découverte d’une contamination possible des vaccins à ARN messager contre la COVID-19, par de l’ADN plasmidique, déclenche une vive préoccupation parmi les membres du monde scientifique international. Ceux-ci demandent l’arrêt de l’utilisation de ces vaccins ainsi que la réalisation d’une réévaluation totale de leur sécurité.

La note du DGS relaie le démenti de la FDA, sans préciser que malgré sa condamnation par la justice à publier l’ensemble des données cliniques des essais, elle refuse toujours de communiquer le résultat des tests de pureté qu’elle a effectués sur les vaccins Pfizer, ni elle ni le laboratoire n’ayant accepté par ailleurs de procéder à de nouvelles analyses.

La note conclut en ces termes, en confondant une nouvelle fois l’authenticité de l’information relayée par l’article (la déclaration du ministre de la Santé de Floride) et la validité de son contenu, pourtant présenté au conditionnel :

L’article de France-Soir est volontairement trompeur et alarmiste. Il véhicule une fausse information destinée à rendre les vaccins COVID-19 dangereux aux yeux du public. Aucune recherche n’a été conduite par France-Soir. Aucune mise à jour n’a été éditée après la réponse de la FDA.

Cette découverte est en fait à l’origine d’un véritable feuilleton dont il paraît difficile de tenir rigueur à France-Soir de ne pas avoir publié un article à chaque nouvel épisode. Il n’a par exemple pas relaté la confirmation de cette contamination massive par une étude revue par les pairs[9], où les auteurs expliquent avoir retrouvé des concentrations d’ADN bactérien atteignant jusqu’à 354 fois la limite autorisée de contamination.

Pour l’anecdote, la DGS n’a toujours pas mis à jour ses recommandations concernant l’ivermectine après la condamnation de la FDA à supprimer l’ensemble de ses publications en ligne critiquant l’utilisation de l’ivermectine pour le COVID-19. C’était en mars 2024, deux mois avant l’analyse de la DGS.

La fin du mythe des vaccins « sûrs et efficaces »

Au-delà des vaccins COVID et de la polémique sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine qui lui est étroitement liée, c’est la position supposée de France-Soir à l’égard de la vaccination en général qui est attaquée par la DGS, notamment celle contre le papillomavirus humain (HPV) dont . Ce procès est incompatible avec la proximité du journal avec le Pr Perronne, décrit comme un opposant à la vaccination, qu’il présente au contraire comme « l’action de santé publique la plus efficace et la plus rentable pour sauver des millions de vies et éviter un nombre encore plus grand de séquelles de maladies infectieuses graves[10] ».

Ce procès est en réalité particulièrement déplacé aujourd’hui, puisqu’il intervient au lendemain de la publication d’une étude[11] dans le New England Journal of Medecine – la bible des revues médicales, où a été publié l’ensemble des études sur l’efficacité des vaccins COVID – dont l’auteur principal est considéré comme le « parrain » de la sécurité des vaccins. Le Dr Stanley Plotkin reconnaît dans cet article, qui est un appel à libérer des financements pour les agences sanitaires, qu’aucun vaccin n’a jamais été correctement étudié, ni avant ni après sa sortie.

Par conséquent, et bien qu’il ait affirmé le contraire pendant des décennies, aucun vaccin ne peut selon lui être qualifié de « sûr et efficace » dans la mesure où les critères de sécurité standards, comme l’utilisation de groupes de test placebo appropriés, d’échantillons de population suffisamment grands et de durées de test suffisamment longues, n’ont jamais été respectés. L’étude précise :

Dans 234 études sur divers vaccins et effets sur la santé, menées entre 1991 et 2012, il n’a pas été trouvé de preuves insuffisantes pour prouver ou réfuter la causalité dans 179 (76 %) des relations qu’elle a explorées, illustrant la nécessité d’une science plus rigoureuse.

Or, en pharmacovigilance, s’il un lien entre un effet indésirable et l’administration d’un médicament est présumé – ce qui est le cas pour l’ensemble des 12 millions d’événements indésirables recensés dans la base de l’OMS (VigiAccess) et des 193 934 cas recensés en août 2023 pour la France par l’ANSM –, la règle d’or est de considérer qu’il s’agit d’un effet secondaire causé par ce médicament tant que sa responsabilité n’a pas été formellement écartée. En d’autres termes, c’est la règle de la présomption de culpabilité et non d’innocence qui prévaut.

Soutenir en 2024 que les vaccins sont « sûrs et efficaces » relève donc de la mystification, l’étude qui démontre qu’ils ne le sont pas ayant été réalisée avec le soutien des institutions les plus engagées en faveur de la vaccination : l’Institut pour la sécurité des vaccins (Institute for Vaccine Safety), l’école de santé publique de l’université Johns Hopkins, l’université Emory, l’université de Pennsylvanie, la Brighton Collaboration, le Groupe de travail pour la santé mondiale (Task Force for Global Health), affilié à la fondation Bill & Melinda Gates.

Conclusion

La censure de France-Soir est-elle une affaire d’État ? L’article 4 du projet de loi sur les dérives sectaires avait confirmé il y a plusieurs mois que le Gouvernement était prêt à tout pour empêcher les Français de prendre la mesure du scandale qu’a été la gestion de la pandémie. La note du ministère de la Santé répond de manière fracassante à cette question.

Dans un précédent article consacré à cette affaire, nous expliquons en quoi la stratégie du Gouvernement est fondamentalement une impasse, comme le concédait du bout des lèvres la directrice de la CPPAP en janvier 2022. En toute logique, le Conseil d’État devrait donc donner raison à France-Soir. Du moins officiellement, car il semble que nous ayons franchi un nouveau cap dans la gestion autoritaire du pouvoir par Emmanuel Macron. C’est en effet le même levier qu’il a choisi utiliser pour tenter de bâillonner une autre voix embarrassante, celle de l’association Anticor, dont le Premier ministre refuse de renouveler l’agrément en dépit d’une décision de justice l’enjoignant à le faire.

Faut-il commencer à s’inquiéter ou est-ce au contraire déjà trop tard ? C’est à cette question que répondra la décision du Conseil d’État, rien de moins.


Références

[1] Brouqui P, Million M, Parola P, Mccullough PA, Raoult D. Outcomes after early treatment with hydroxychloroquine and azithromycin: An analysis of a database of 30,423 COVID-19 patients. New Microbes New Infect. 2023 Oct 30;55:101188. https://doi.org/10.1016/j.nmni.2023.101188.

[2] V Lounnas, E  Gkioulekas, M Rendell, A Lacout, X Azalbert, C Perronne. An independent analysis of a retrospective cohort of 30,423 Covid-19 patients treated at IHU-Mediterranean in Marseille, France: Part 2, A real-life assessment of Covid-19 vaccination efficacy. Arch Microbiol Immunol. 2024;8(1):67-83. https://doi.org/10.26502/ami.936500154.

[3] V Lounnas, E  Gkioulekas, M Rendell, A Lacout, X Azalbert, C Perronne. an independent analysis of a retrospective cohort of 30,423 Covid-19 patients treated at IHU-Mediterranean in Marseille, France: Part 1, Efficacy of early treatment with hydroxychloroquine and azithromycin. Arch Microbiol Immunol. 2024;8(1):51-66. https://doi.org/10.26502/ami.936500153.

[4] Hammond J, Fountaine RJ, Yunis C, Fleishaker D, Almas M, Bao W, Nirmatrelvir for Vaccinated or Unvaccinated Adult Outpatients with Covid-19. N Engl J Med. 2024 Apr 4;390(13):1186-95. https://doi.org/10.1056/NEJMoa2309003.

[5] Fraiman J, Erviti J, Jones M, Greenland S, Whelan P, Kaplan RM, Doshi P. Serious adverse events of special interest following mRNA vaccination in randomized trials. Vaccine. 2022 Sep 22;40(40):5798-5805. https://doi.org/10.1016/j.vaccine.2022.08.036. Epub 2022 Aug 31.

[6] Pradelle A, Mainbourg S, Provencher S, Massy E, Grenet G, Lega JC. RETRACTED: Deaths induced by compassionate use of hydroxychloroquine during the first COVID-19 wave: An estimate. Biomed Pharmacother. 2024 Feb;171:116055. https://doi.org/10.1016/j.biopha.2023.116055.

[7] Faksova K, Walsh D, Jiang Y, Griffin J, Phillips A, Gentile A, et al. COVID-19 vaccines and adverse events of special interest: A multinational Global Vaccine Data Network (GVDN) cohort study of 99 million vaccinated individuals. Vaccine. 2024 Apr 2;42(9):2200-2211. https://doi.org/10.1016/j.vaccine.2024.01.100.

[8] Hulscher N, Hodkinson R, Makis W, McCullough PA. Autopsy findings in cases of fatal COVID-19 vaccine-induced myocarditis. ESC Heart Fail. 2024 Jan 14. https://doi.org/10.1002/ehf2.14680.

[9] König B, Kirchner JO. Methodological considerations regarding the quantification of DNA impurities in the COVID-19 mRNA Vaccine Comirnaty®. Methods Protoc. 2024 May 8;7(3):41. https://doi.org/10.3390/mps7030041.

[10] Perronne C. La vaccination : première méthode de prévention. ADSP (Haut Conseil de la santé publique). 2010;71:2. https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Telecharger?NomFichier=ad710202.pdf.

[11] Salmon DA, Orenstein WA, Plotkin SA, Chen RT. Funding postauthorization vaccine-safety science. N Engl J Med. 2024 Jul 11;391(2):102-105. https://doi.org/10.1056/NEJMp2402379.


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