Mise en danger de la vie d'autrui
Les laboratoires savaient que les injections anti-COVID étaient délétères pour le cerveau
Deux informations récentes confirment que le « père » du vaccin anti-COVID de Pfizer/BioNTech savait dès 2020 que la composition du vaccin était délétère pour de nombreux organes, notamment le cerveau. Nous revenons ici sur deux cas emblématiques : la sclérose en plaques et la maladie de Parkinson.
À la date du 15 août 2024, la base de l’OMS (VigiAcess) recense, pour les vaccins anti-COVID, 2 955 191 troubles du système nerveux et 304 301 troubles psychiatriques, soit plus de 3 millions de cas en trois ans et demi. Ils sont répartis en 1 219 types d’effets. À titre de comparaison, le VAERS a recensé 2,6 millions d’événements indésirables, tous vaccins confondus, depuis sa création en 1990, dont 1,6 pour les seuls vaccins COVID. Nous avons recensé dans un précédent article les principales complications neurologiques aujourd’hui documentées dans la littérature. Étaient-elles anticipables ? À l’évidence, oui.
Les agences ont été alertées dès 2021 de la neurotoxicité des injections
Une vingtaine de complications ont été déclarées par Pfizer comme « événements indésirables d’intérêt particulier » (AESI) dans son rapport d’analyse des événements indésirables couvrant les trois premiers mois de la campagne de vaccination (tableau 7)[1] :
- Artérite à cellules géantes
- AVC ischémique
- Céphalées [10 131 cas]
- Convulsions, épilepsie [348 cas]
- Dysfonctionnement olfactif/gustatif [422 cas]
- Encéphalite auto-immune
- Encéphalopathie
- État de mal épileptique
- Hémorragie intracérébrale
- Herpès
- Myélite transverse
- Narcolepsie[2]
- Névralgie trijumeau
- Paralysie de Bell
- Neuropathie périphérique [49 cas]
- Sclérose en plaques, rechute ou inaugurale
- Syndrome de Guillain–Barré
- Thrombose du sinus veineux cérébral (cerebral venous sinus thrombosis) [300 cas]
- Zona [275 cas]
Une liste de plus de 1 200 AESI est proposée en fin de rapport, dans laquelle on retrouve toutes les complications neurologiques aujourd’hui discutées dans la littérature. Le rapport a été approuvé par la FDA le 30 avril 2021 alors que le vaccin bénéficiait d’une autorisation d’urgence. Celle-ci a été convertie en autorisation standard le 28 août 2021 par la FDA et le 10 octobre 2022 par l’EMA pour la version européenne.
Pour rappel, voici les principales complications neurologiques documentées pour les injections anti-COVID ainsi que le profil neurologique des différents vaccins. Elles n’incluent pas les maladies à prions, mais un lien est suspecté par de nombreux chercheurs.
Sclérose en plaques : le mécanisme a été décrit en 2022 par l’OMS
La sclérose en plaques fait partie des événements indésirables qui semblaient préoccuper Pfizer : la catégorie « AESI neurologiques » précise « dont démyélinisation » ; la SEP est déclinée en 13 types d’AESI. La base de l’OMS recense 4 560 cas pour les vaccins COVID-19, mais la vaccination est toujours recommandée pour les personnes avec des antécédents de SEP, considérées par la Haute Autorité de santé comme à très haut risque de forme grave. Pourtant :
- les premiers cas de SEP déclenchés par une injection Pfizer[3] ou AstraZenea[4] ont été détectés en juin 2021 ;
- la balance bénéfice-risque de la vaccination pour les patients atteints de SEP a été remise en cause en 2021 par un centre de pharmacovigilance italien après un cas de rechute aiguë 48 heures après une 1re dose Pfizer[5] ;
- une étude italienne[6] et une étude iranienne[7] ont confirmé en octobre 2021 le risque de rechute après une injection anti-COVID ;
- plusieurs cas de SEP déclarée à proximité immédiate d’une injection anti-COVID ont été relatés dans la littérature en 2021-2022[8],[9],[10],[11],[12] ;
Une série de nouveaux cas a été recensée en 2022-2023[13],[14], dont un mortel chez un jeune homme de 19 ans ayant des antécédents d’épilepsie[15]. À titre d’exemple, une étude publiée en janvier 2022, recense 5 cas d’apparition flugurante de lésions graves au niveau du cerveau ou du tronc cérébral chez de jeunes adultes[16] :
- Femme de 29 ans, premiers symptômes 1 jour après une dose 1 Pfizer.
- Homme de 37 ans, premiers symptômes 3 jours après une dose 1 Pfizer.
- Homme de 41 ans, premiers symptômes 1 mois après une dose 2 Moderna.
- Femme de 46 ans, premiers symptômes 3 jours après une dose 2 Moderna.
- Femme de 53 ans, premiers symptômes 5 semaines après une dose 2 Pfizer.
En février 2023, une étude italienne[17] portant sur 51 cas de complications neurologiques survenues dans un centre de vaccination établit un lien probable avec la vaccination dans 48 cas (94 %). La SEP était la complication la plus fréquente, avec 39 cas sur 51 (76 %).
En mai 2024, une étude[18] conduite en Israël sur 84 patients adultes avec antécédents de SEP a comparé le risque de rechute ou d’aggravation de la maladie chez des patients vaccinés vs non vaccinés, et selon l’âge de déclaration de la maladie. Les patients ayant développé la SEP à un âge précoce avaient un risque accru de développer de nouvelles lésions par rapport à des patients non vaccinés de même profil (+ 262 %) et par rapport à ceux ayant développé la SEP à l’âge adulte (+ 471 %). Les auteurs écrivent en conclusions :
Nos résultats soutiennent la sécurité de la vaccination contre le COVID-19 BNT162b2 est sans danger pour la plupart des patients atteints de SEP, à l’exception des jeunes patients qui présentent une augmentation des lésions après la vaccination.
L’OMS établit un lien entre la vaccination anti-COVID et la SEP puis fait disparaître l’étude
En 2022, l’OMS publie le résumé d’une étude intitulée : « La vaccination contre la Covid-19 peut induire la sclérose en plaques via le CD4-T multiréactif tenant les cellules de la protéine de pointe SARS-CoV-2 et des peptides de myéline[19]. » Elle n’est malheureusement plus accessible depuis le site de l’OMS, mais elle a été commentée par le Dr John Campbell dans une vidéo. Plus surprenant, l’étude n’est plus disponible dans la base PubMed ni sur le site de la revue (Multiple Sclerosis Jurnal), qui a supprimé l’accès au numéro spécial hébergeant cette publication.
Pfizer et Moderna ont anticipé un vaccin en 2020
Heureusement le monde est bien fait, les efforts de l’OMS pour dissimuler un signal de sécurité n’auront probablement pas porté préjudicie aux patients, sinon nous l’aurions su…
Le 8 janvier 2021, une équipe de chercheurs allemands annonçait avoir mis au point un vaccin ARNm contre certaines maladies auto-immunes, dont la sclérose en plaques[20]. L’auteur principal, également détenteur du brevet, est le PDG de BioNTech, Ugur Sahin. Le vaccin sera probablement sûr et efficace à 95 % pour reduire les formes graves de la maladie.
En avril 2022, Moderna annonçait avoir débuté des essais cliniques pour un vaccin à ARNm contre la SEP ciblant le virus d’Epstein-Barr (EBV), dont le rôle dans le déclenchement ou le développement de la maladie a été confirmé par des chercheurs américains en janvier 2022[21] et en 2023[22].
Est-ce pour évaluer la taille de ce nouveau marché que cet événement indésirable était sous surveillance dès le départ ? Non. La SEP n’étant pas un effet secondaire des injections Pfizer, il n’y a aucun conflit d’intérêts.
La même question se pose pour un médicament produit par Pfizer et homologué par la FDA le 2 octobre 2019, le Vyndamax® (tafamidis). Il est présenté par le laboratoire comme le seul médicament disponible sur le marché pour l’amylose, une pathologie responsable de l’accumulation de dépôts (fibrilles amyloïdes) dans les tissus, principalement dans le système nerveux périphérique mais potentiellement dans tous les organes, notamment le cœur, les yeux et les reins. En 2022, une équipe a confirmé les propriétés amyloïdes de la protéine Spike soupçonnées d’être à l’origine de certains symptômes observés chez les patients atteints d’un COVID long[23] :
Les symptômes du COVID long incluent une maladie émotionnelle persistante et des problèmes de santé mentale ressemblant à des maladies neurodégénératives. Quelle pourrait être la base de cette pathogenèse ?
Nyström S, Hammarström P. Amyloidogenesis of SARS-CoV-2 Spike Protein. J Am Chem Soc. 2022 May 25;144(20):8945-50. https://doi.org/10.1021/jacs.2c03925.
Elle se pose potentiellement pour de nombreuses autres pathologies, au premier rang desquelles le cancer (avec le rachat de la biotech Seagen et des sociétés Array Biopharma ou Trillium), mais également l’insuffisance cardiaque ou le diabète (voir la pipeline du laboratoire).
Ces effets secondaires ont-ils été anticipés ? La date d’homologation du Vyndamax®, dont le coût d’une seule boîte est de 7 261,02 € (85 000 € par an par patient pour la posologie recommandée d’une gélule par jour…), est antérieure à la date d’apparition du COVID-19, mais on sait aujourd’hui que Pfizer préparait déjà le vaccin en mai 2019. On ignore en revanche depuis quand il connaissait les propriétés de la protéine Spike.
La contamination des injections mise en cause par des chercheurs
On sait aujourd’hui que le processus de fabrication des injections Pfizer a été modifié après la délivrance de l’autorisation de mise sur le marché. La formule commerciale, contrairement à celle qui a été homologuée, contient une endotoxine (E. Coli), également appelée « lipopolysaccharide » (LPS). Les LPS sont réputées favoriser l’inflammation et la pénétration des virus dans le système nerveux central (SNC), ce qui pourrait expliquer les réactions inflammatoires impliquées dans certaines complications neurologiques[24],[25],[26],[27] :
Nous suggérons que les LPS peuvent contribuer à la pénétration du virus du sang dans le SNC, un processus qui transforme une infection virale légère en une encéphalite mortelle sévère.
https://rupress.org/jem/article-abstract/176/3/707/24597/Viral-neuroinvasion-and-encephalitis-induced-by?redirectedFrom=fulltext
Rôle de l’endotoxine dans les maladies neurodégénératives ou psychiatriques
Parmi les complications neurologiques suspectées d’être en lien avec la présence d’endotoxine, un lanceur d’alerte australien, le Dr Geoff Pain, mentionne spécifiquement[28] la sclérose en plaques, mais également les troubles psychiatriques, la narcolepsie[29], la maladie d’Alzheimer ou la maladie de Parkinson – l’un des premiers signaux d’un possible impact des injections sur le cerveau, identifié en 2021[30],[31].
Elle est répertoriée explicitement sous plusieurs catégories dans la base VigiAcess, mais plusieurs autres troubles neurologiques correspondent à des symptômes d’une maladie de Parkinson. De même, les milliers cas de diabète recensés par Pfizer pourraient occulter ou prédisposer à la maladie de Parkinson :
Pfizer a des milliers de cas de diabète répertoriés dans ses rapports sur les événements indésirables, répartis sous 35 rubriques différentes. Or la résistance à l’insuline est une caractéristique pathologique dans le cerveau des patients atteints de la maladie de Parkinson.
Pain G. Parkinson’s Disease after Pfizer jabs most likely due to Endotoxin in every vial. 2023 Mar 20. https://geoffpain.substack.com/p/parkinsons-disease-after-pfizer-jabs#footnote-anchor-8-109479063.
Le Dr Pain a résumé il y a plus d’un an la toxicité de ces endotoxines qu’il qualifie d’« extrême[32],[33] ». Il relève également que malgré l’injonction reçue par Pfizer de divulguer l’ensemble des données concernant les essais cliniques, le laboratoire refuse toujours de divulguer les niveaux d’endotoxines présents dans les injections ainsi que les résultats des tests de conformité effectués sur les lots de vaccins pour détecter la présence éventuelle de contaminants.
Pfizer savait avant l’homologation de son vaccin qu’il était dévastateur pour le cerveau
Dans un nouvel article paru il y a quelques jours, le Dr Pain signale qu’un brevet a été déposé le 29 avril 2022 (US2024226310A1)[34] par le Dr Weissmann, colauréat du prix Nobel de médecine 2023 pour son adaptation de la technologie ARNm, démontrant qu’il avait parfaitement conscience à cette date, c’est-à-dire au plus fort de la campagne de vaccination, de la toxicité de ces endotoxines (LPS). La légende de l’une des figures explique que l’utilisation de nanoparticules lipidiques, comme celles utilisées dans les vaccins ARNm, augmente considérablement la toxicité des LPS chez les souris, et provoque ce qu’il appelle une « exacerbation de l’inflammation ».
Or, et c’est là que le bât blesse, les titulaires du brevet ont soumis le 10 novembre 2020, c’est-à-dire avant l’homologation des injections, un article[35] dans lequel ils expliquent précisément pourquoi les vaccins ARNm provoquent cette « exacerbation de l’information ». L’article n’a été publié en ligne que le 23 décembre 2021, en toute discrétion. Le Dr Weissman a accepté son prix Nobel en soutenant que les vaccins étaient parfaitement sûrs et efficaces. Il écrivait pourtant en 2020 :
La technologie actuelle des nanoparticules lipidiques d’ARN modifiées par des nucléosides (modmRNA-LNP) a ouvert la voie aux données d’efficacité clinique les plus élevées des vaccinations de nouvelle génération contre le SRAS-CoV-2 au cours de la pandémie COVID-19. Toutefois, cette technologie modmRNA-LNP n’a pas été caractérisée dans des conditions inflammatoires ou immunitaires préexistantes courantes, ce qui augmente le risque d’effets cliniques indésirables lors de l’administration de modmRNA-LNP dans de tels cas. […]
Plus important encore, la plateforme de vaccination modmRNA-LNP est la base des deux premiers vaccins contre la COVID-19. […]
Cependant, les propriétés des nanoparticules qui assurent le transport de l’ARN ont toujours le risque d’induire des effets secondaires, et ce sujet a reçu moins d’attention dans la littérature. Par conséquent, il est nécessaire de définir leur sécurité et leur efficacité thérapeutique dans des conditions physiologiques définies pour pouvoir caractériser plus précisément leur marge thérapeutique pour des indications cliniques spécifiques. […]
Pour combler cette lacune, nous avons étudié ici les effets du modmARN-LNP chez les souris saines vs les souris présentant des réponses inflammatoires induites par le liposaccharide (LPS). […]
Au total, notre découverte de l’IE médiée par la LPS et la PNH fournira probablement de nouvelles informations sur le comportement potentiel du modmARN-LNP bénin dans des conditions spécifiques et fera progresser la compréhension des effets indésirables potentiels.
Nous savons donc pourquoi les personnes immunodéprimées n’ont pas été incluses dans l’essai clinique principal et pourquoi Pfizer n’a pas transmis aux régulateurs les données du mini-essai qu’il est censé avoir réalisé sur la formule commerciale, qui contient une endotoxine. A-t-il seulement été réalisé où bien la formule a été diffusée dans la population mondiale sans aucune évaluation préalable ?
Conclusion
Il est désagréable de lire que la « vaccination » contre le COVID-19 a été conçue comme une occasion unique de collecter massivement des données de sécurité, mais il l’est encore plus de comprendre que les dégâts incommensurables qu’elle a créés étaient anticipés par leurs concepteurs alors qu’ils sont toujours, plus de trois ans après les premières injections, supposés ne pas exister. Peut-on encore parler d’expérimentation lorsque le résultat est connu ?
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