Holocauste vaccinal

Équipe Le Point Critique | 11 août 2024

Singapour, l’effondrement démographique a commencé en 2021

Singapour connaît une explosion de la surmortalité depuis 2021, aggravée après l’introduction des boosters. L’archipel vient de publier son rapport annuel sur les naissances et les décès pour l’année 2023 : les décès continuent d’augmenter, mais, fait nouveau, les naissances s’écroulent aujourd’hui dans des proportions historiques.

Lanternes suspendues dans une rue de Singapour
© iStock/Tortoon

Le rapport, publié en juillet 2024, recense l’ensemble des naissances vivantes, des mortinaissances et des décès survenus à Singapour entre le 1er et le 31 décembre 2023. Les données sont issues du ministère de la Santé et le Département de la police singapouriens.

Le premier graphique (page 1 du rapport) montre que le solde naturel, c’est-à-dire la différence entre le nombre de naissances vivantes et de décès, est passé d’un taux à un chiffre (– 7,3 %) à l’issue de la première année de la pandémie, à un taux à deux chiffres de – 13 % après la première année de déploiement des injections anti-COVID. L’introduction des boosters en septembre 2021 a coïncidé à une aggravation de cette tendance, le déclin démographique atteignant – 34,9 % en 2022. Inversement, la fin des campagnes de rappel en octobre 2022 s’accompagne d’un « ralentissement » de ce déclin, qui s’établit à – 23,7 %. Au total, l’accroissement naturel a été divisé presque par deux– 47,3 % depuis l’introduction des vaccins.

C’est la première fois en dix ans que la baisse du solde naturel dépasse les 10 %, a fortiori trois années consécutives. À titre de comparaison, sur la période 2014-2018, l’accroissement démographique était de :

  • en 2015 (période 2014-2015) : – 2,3 % ;
  • en 2016 (période 2015-2016) : – 4,9 % ;
  • en 2017 (période 2016-2017) : – 1,5 % ;
  • en 2018 (période 2017-2018) : – 1,5 %.

Le graphique est qualifié d’« accablant » par le lanceur d’alerte australien[1] qui a mis en évidence cette publication, Singapour étant l’un des pays les plus vaccinés au monde contre le COVID. Dès septembre 2021, il affichait un taux de vaccination de 80 %, qui serait actuellement de 92 % (données Our World in Data au 31 janvier 2023).

Comment expliquer ce phénomène ?

La page 2 du rapport détaille les taux de natalité, de mortalité infantile/néonatale/périnatale et de mortinaissances (décès du bébé après 20 ou 28 semaines de grossesse) pour les années 2021-2023, années de déploiement du vaccin, et pour l’année 2014 qui sert de point de comparaison. Le rapport de 2020 permet de compléter ces données avec celles de 2018-2020, qui englobent les deux années précédant la pandémie.

Le tableau 1 présente ces différents taux pour les années 2018 à 2022, le tableau 2 indique leur augmentation relative d’une année sur l’autre pour l’ensemble de la période.

Indicateurs démographiques clés, Singapour 2014-2023 (taux bruts en % ou ‰)
Tableau 1 : Indicateurs démographiques clés, Singapour 2014-2023 (taux bruts).
Variation des Indicateurs démographiques clés, Singapour, 2014-2023
Tableau 2 : Variation des Indicateurs démographiques clés, Singapour, 2014-2023.

Mortalité en hausse, natalité en baisse, un cocktail explosif

Paradoxalement, sur l’ensemble de la période pandémique, c’est en 2020 que l’augmentation de la mortalité a été la moins forte (4 %). Elle a été trois fois plus élevée l’année où les vaccins ont été massivement déployés (Wikipédia rappelle que Singapour a connu un record de cas en septembre 2021 malgré une population vaccinée à 80 % avec les vaccins de Pfizer et de Moderna) malgré un nombre de décès liés au COVID limité :

  • 2020 : 29 décès liés au COVID sur un total de 22 054 (0,1 %) ;
  • 2021 : 793 décès liés au COVID sur 24 292 (3,3 %) ;
  • 2022 : 890 décès liés au COVID sur 26 891 (3,3 %) ;
  • 2023 : 221 décès liés au COVID sur 26 888 (3,3 %) ;

La mortalité a continué à augmenter en 2022 après l’introduction des boosters (+ 8,6 % entre 2021 et 2022 vs 4 % entre 2019 et 2020). Elle semble s’être stabilisée en 2023 (6,2 % en 2023 vs 6,3 % en 2022), mais son taux reste supérieur à celui de 2020 (5,2 %) de + 20 %.

La même tendance est observée pour la surmortalité, mais dans des proportions sans commune mesure puisque le nombre de décès en excès a été 4 fois plus élevé en 2021 et 7 fois plus élevé en 2022 et 2023 que durant la première de la pandémie, avec un taux de surmortalité atteignant 28 % en 2022 et 2023 (données Mortality Wach).

Il y a donc quelque chose qui flotte dans l’air de Singapour depuis le déploiement des injections et qui tue beaucoup plus que le COVID.

Cette hausse n’est malheureusement pas compensée par celle de la natalité, en chute depuis 2021 (– 12,9 % entre 2020 et 2023) après une augmentation en 2020 (+ 1,2 %).

Explosion des grossesses non viables

Les autres statistiques sont potentiellement encore plus préoccupantes. Tous les indicateurs de mortalité concernant les bébés et les nouveau-nés ont connu des augmentations d’ampleur depuis 2021 :

  • mortalité infantile (décès de nourrissons de moins de 1 an) : + 22,2 % en 2022-2023 ;
  • mortalité néonatale (décès de nouveau-nés de moins de 28 jours) : + 37,5 % en 2020-2021 ;
  • mortinaissances (décès après 20 ou 28 SA, mais avant ou au cours de l’accouchement) : 55,0 % en 2021-2022, 38,7 % en 2022-2023 ;
  • mortalité périnatale (décès de nouveau-nés de moins de 1 semaine et mortinaissances) : + 34,5 % en 2021-2022, + 33,3 % en 2022-2023.

L’une des indicateurs les plus inquiétants est celui des mortinaissances, qui ont augmenté de + 55 % entre 2021 et 2022. La hausse n’est que de + 38,7 % en 2023, mais le rapport précise que leur définition a été modifiée en 2022 pour exclure les fœtus décédés entre la 22e et la 28e semaine de grossesse.

Parallèlement, le taux de fécondité a subi une dégradation historique en 2022 (– 7,1 %) et 2023 (– 6,7 %), la plus forte baisse au cours des dix années précédentes ayant été enregistrée à – 3,3 % en 2017. Les principales tranches d’âge concernées sont :

  • la tranche 25-29 ans : – 8,6 % en 2022 et – 10,5 % en 2023, vs – 5,5 % en 2017 ;
  • la tranche 30-34 ans : – 6,7 % en 2022 et – 9,2 % en 2023, vs – 3,0 % en 2017 et + 2,3 % en 2021 ;
  • la tranche 35-39 ans : – 7,8 % en 2022 et – 3,0 % en 2023, vs – 2,2 % en 2017 et + 9,4 % en 2021.

Le gouvernement de Singapour se terre dans le déni

La situation de Singapour est malheureusement conforme à la tendance observée dans la plupart des pays ayant massivement vacciné leur population et aux connaissances dont on dispose aujourd’hui sur les vaccins ARNm, qui permettent à la fois d’expliquer l’explosion des indicateurs des mortalités et l’effondrement de la natalité. Elle est commentée depuis deux ans sur les réseaux sociaux, mais elle n’a suscité aucune remise en cause de la politique vaccinale dans le pays en dépit de nombreux appels de la communauté scientifique.

Pas d’autopsie, pas de lien avec le vaccin

Ces appels trouvent un écho concret aujourd’hui, avec la multiplication des décès suspects. La presse relate plusieurs cas de personnes âgées retrouvées mortes à leur domicile le même jour ou la même semaine, dans un même quartier : une femme de 72 ans et un homme de 69 ans le 6 août dernier, deux frères de 72 et 77 ans fin juin, une femme et deux hommes le 3 avril, un homme de 76 ans retrouvé décédé sur sa chaise le 14 mars, deux sexagénaires en septembre 2023.

Où en sont les enquêtes ?

Tous ces décès sont similaires à ceux relatés par Pfizer dans son rapport d’évaluation intermédiaire : l’analyse médico-légale des 38 décès survenus lors des six premiers mois de l’essai clinique[2] montre que 10 des 21 patients vaccinés (48 %) sont décédés d’un syndrome de mort de subite de l’adulte (Sudden Adult Death), c’est-à-dire « de manière inattendue et rapide en présence de témoins » (4 cas), ou ont été retrouvés morts chez eux (6 cas).

Les décès suspects qui frappent Singapour entrent donc théoriquement dans le champ de la loi sur les coroners (Coroners Act), en vigueur depuis 2011, qui impose qu’une enquête médico-légale soit menée systématiquement en cas de décès survenu directement ou indirectement à la suite d’un traitement ou de soins médicaux. Cette obligation a malheureusement été supprimée le 2 mai 2023 par le ministère de la Justice, qui justifie cette décision de la manière suivante :

Deux catégories de décès (établies ci-dessous) ont été supprimées du troisième tableau. Il sera donc discrétionnaire, et non obligatoire qu’une enquête du coroner (IC) soit menée pour ces décès.
a. Décès qui se sont produits, directement ou indirectement, à la suite d’un traitement ou soins médicaux. Il peut ne pas être nécessaire de mener une enquête pour les cas de complications connues et facilement vérifiables, sans suggestion de mauvais traitements ou de manque de soins.

Ministry of Law. Commencement of the Coroners (Amendment) Act 2021 and Amendments to the Third Schedule of the Coroners Act 2010. 2023 May 2.

La date de cette modification législative est troublante puisqu’elle est intervenue alors que le pays enregistrait son plus fort volume de décès excessifs depuis le début de la pandémie. La communauté scientifique dénonce une volonté de dissimuler les décès causés par les injections, mais se heurte au même procès en complotisme que celui intenté partout dans le monde contre les lanceurs d’alerte. Les autopsies seraient pourtant le moyen le plus efficace de démentir ces fakenews.

Mortalité brute, Singapour, 2019-2024
Mortalité brute, Singapour, 2019-2024.

Le 8 août dernier, le Pr Gabriel Oon, président fondateur de la Société d’oncologie de Singapour et ancien consultant OMS pour le ministère singapourien de la Santé a lui-même établi son compte X un lien entre la toxicité des vaccins ARNm et la décision du gouvernement de ne pas enquêter sur les décès suspects. Il expliquait en novembre dernier avoir perdu 34 collègues de santé seniors depuis 2021 injectés avec le vaccin Pfizer, et avoir alerté trois ministres sur l’irresponsabilité d’une vaccination de masse basée sur cette technologie :

Les vaccins à ARNm Pfizer ne sont pas sûrs pour la vaccination de masse car le virus mortel vivant est toujours présent dans les ARNm.

Mon histoire – Par le Pr Gabriel Oon. 2023 Dec 04.

En réponse, il a été accusé de colporter de fausses nouvelles alors qu’il réclamait que le gouvernement autorise le vaccin chinois Sinovac. La question posée sur X est donc essentiellement une question rhétorique :

Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi la loi sur les coroners du 2 mai 2023 a-t-elle été modifiée au plus fort des décès dans le pays, lorsque Singapour était le numéro un mondial en matière de dépopulation, avec 95 % d’entre eux ayant reçu des vaccins Pfizer. Fini l’examen obligatoire des morts. Pas étonnant qu’il n’y ait pas de décès dus aux vaccins.
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi les décès par ARNm sont-ils passés sous silence ? Que se passe-t-il dans le pays ?

https://x.com/gabrieloon39/status/1821376477683994942

Une « nouvelle normalité » selon le ministre de la Santé de Singapour

L’article de novembre 2023 consacré au Pr Oon révèle que l’épouse du Premier ministre, Ho Ching, a investi près de 3 milliards de dollars singapouriens dans les laboratoires Pfizer/BioNTech via la holding dont elle est la présidente (Temasek Holdings). Des tractations sont en cours pour permettre la fabrication de vaccins Pfizer et Moderna à Singapour.

On comprend donc que la sécurité des injections n’est ni une question ni un sujet pour le gouvernement. L’omerta va en réalité beaucoup plus loin. Le 3 juin dernier, le ministère de la Santé (MOH) de Singapour a réagi à l’appel à suspendre la vaccination contre le COVID-19, lancé par le People’s Power Party, qui alerte sur la surmortalité apparue après l’introduction des vaccins :

Il est plus inquiétant de constater que la situation de morts excessives n’est pas propre à Singapour, car d’autres pays et d’autres pays et d’autres pays fortement vaccinés contre le COVID-19 sont également confrontés à des problèmes similaires

Selon le MOH, cette épidémie de décès postvaccinaux serait une légende urbaine. Singapour aurait au contraire enregistré « l’un des taux de mortalité excédentaires les plus bas au monde pendant la pandémie », grâce à la vaccination massive de la population : « La normalité d’aujourd’hui est en grande partie normale en raison de la protection offerte par les vaccins contre la COVID-19. » Singapour était pourtant classé au 4e rang mondial pour sa surmortalité en 2022 : il arrive aujourd’hui en 3e position en termes de surmortalité brute, mais le pays ne communique plus sur le niveau de sa surmortalité standardisée par âge qui le plaçait en tête des pays vaccinés au deuxième trimestre 2023. La tendance semble ne pas vouloir s’inverser en 2024.

Faut-il y voir un lien avec la modification de la législation sur les autopsies ?

La plus vaste métanalyse réalisée à ce jour sur des rapports post-mortem concernant des personnes vaccinées a conclu que dans 74 % des cas, le vaccin était la cause probable du décès. L’étude a d’abord été rétractée par le Lancet en juillet dernier moins de 48 heures après sa mise en ligne, avant d’être publiée[3] en janvier dans une revue internationale de cardiologie après examen par les pairs.

Les autopsies sont donc un sujet particulièrement sensible pour l’ensemble des gouvernements qui ont poussé des millions de citoyens à se faire injecter un produit dont la composition réelle n’avait jamais été évaluée[4] et dont la technologie est aujourd’hui reconnue comme défaillante.

L’ombre du WEF plane sur Singapour

Les liens qu’entretiennent le Président de Singapour (Tharman Shanmugaratnam), son ancien Premier ministre (Lee Hsien Loong) et son successeur, Lawrence Wong (le ministre de la Santé au début de la pandémie) avec le World Economic Forum (WEF) suffisent-ils à expliquer la dérive morale de l’État, dont le pays est devenu en quelques années le nouvel eldorado des laboratoires pharmaceutiques ?

Le WEF a joué un rôle crucial dans la vaccination contre le COVID. Il est notamment à l’origine de la création de la création de la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI) qui appelait le 15 octobre 2019 à développer des vaccins en ARNm en prévision d’une pandémie, et de la plateforme d’action pour la COVID, créée en mars 2020 pour accélérer le développement des vaccins et des tests. Son enthousiasme pour la vaccination ne s’est pas démenti en quatre ans. Sa détermination à combatrre le discours scientifique remettant en cause leur efficacité et leur sécurité s’est au contraire décuplée, elle est totale aujourd’hui :

Malgré les preuves écrasantes à l’appui de la sécurité et de l’efficacité des vaccins, les informations erronées et les idées fausses persistent, ce qui conduit à une hésitation et à une réticence des vaccins. Pour remédier à ces idées fausses, il faut mener des campagnes globales de santé publique qui donnent la priorité à l’éducation, à la transparence et au renforcement de la confiance.

Bishem S. Immunization: How it started, how it’s going – what we’ve achieved through 50 years of vaccination programmes. WEF. 2024 May 1.

À la veille d’une nouvelle pandémie (la fameuse maladie X) ou d’une cyberattaque planétaire prophétisée par le fondateur du WEF, les citoyens sont donc plus que jamais en droit de s’interroger sur le fait que la quasi-totalité des dirigeants politiques qui ont piloté la gestion sanitaire est ou a été affiliée à ce monstre tentaculaire qui a toujours considéré le COVID comme « une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réinventer et réinitialiser le monde », et de se demander quel projet anime vraiment leurs dirigeants.

https://www.youtube.com/watch?v=4fxcGpsK0-g

Références

[1] Cadre de l’industrie pharmaceutique, signant ses publications sous le pseudonyme Aussie17. Il a pris un congé sabbatique lorsque la vaccination est devenue obligatoire pour continuer à exercer son travail, a commencé à effectuer des recherches et n’est jamais revenu. Cet article est tiré en partie de sa publication : https://www.aussie17.com/p/singapore-officially-releases-annual.

[2] Michels C, Perrier D, Kunadhasan J, Clark E, Gehrett J, Gehrett B. Forensic analysis of the 38 subject deaths in the 6-month interim report of the Pfizer/BioNTech BNT162b2 mRNA vaccine clinical trial. Int J Vaccines Theory Pract Res. 2023 Oct;3(1):973-1009. https://doi.org/10.56098/ijvtpr.v3i1.85.

[3] Hulscher N, Hodkinson R, Makis W, McCullough PA. Autopsy findings in cases of fatal COVID-19 vaccine-induced myocarditis. ESC Heart Fail. 2024 Jan 14. https://doi.org/10.1002/ehf2.14680.

[4] Guetzkow JA, Levi R. Rapid response to: Covid-19: Researchers face wait for patient level data from Pfizer and Moderna vaccine trials. BMJ. 2022 July 12;378:01731. Published 2023 May 13. https://doi.org/10.1136/bmj.o1731. Version française : https://www-bmj-com.translate.goog/content/378/bmj.o1731/rr-2?xtrsl=auto&xtrtl=fr&xtrhl=fr&xtrpto=wapp.

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