Décret
Triplement du délai d’inhumation, ventes record de vaccins attendues par Pfizer… que redoutent-ils ?
Le délai médico-légal d’inhumation en France vient d’être allongé par le Gouvernement de 6 à 14 jours, avec une extension possible jusqu’à 21 jours. L’exception devient ainsi la norme. BioNTech prévoit de son côté des ventes de vaccins de niveau pandémique à l’automne prochain, quatre ans après la commercialisation de son vaccin efficace à 95 %. Que savent-ils que nous ignorons ?
Le délai réglementaire avant une inhumation ou une crémation, en France, est régi par les articles R. 2213-33 et R. 2213-35 du Code des collectivités territoriales. Il n’avait jamais été modifié en plus de 83 ans. Le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer l’a élargi il y a quelques jours, dans la plus parfaite discrétion, suggérant qu’il est actuellement confronté à un tsunami historique de décès.
Le délai d’inhumation passe de 6 à 14 jours
Le décret[1] a été publié au Journal officiel le 11 juillet 2024. Il autorise les inhumations et les crémations jusqu’à 14 jours après le décès ou après l’entrée du corps sur le territoire national, au lieu des 6 jours fixés historiquement[2]. Ce délai pourra être porté à 21 jours calendaires sur dérogation préfectorale « en raison de circonstances locales particulières ».
Le décret confirme donc l’existence d’une surmortalité d’ampleur inédite que les crématoriums ne parviennent plus à absorber alors qu’ils y parvenaient en 2020 et 2021, lors des premières vagues de COVID-19. Le Gouvernement avait en effet allongé ce délai à 14 jours durant la pandémie, mais il avait attendu l’arrivée du variant Omicron pour prendre une telle mesure, et il l’avait fait en raison de la hausse non pas des décès, mais des contaminations parmi le personnel funéraire, et ce « malgré » un déploiement intense de la vaccination (78 % à la date d’entrée en vigueur de l’arrêté).
La notice du décret évoque des causes à la fois conjoncturelles et structurelles, mais on sait que cette surmortalité n’est pas provoquée par une reprise de l’épidémie, puisqu’elle ne se concrétise par aucune saturation des services hospitaliers ou des cabinets médicaux :
Le décret vient modifier les délais d’inhumation et de crémation, afin de remédier à l’augmentation croissante des demandes de dérogation à ces délais, déposées auprès des préfectures, fondées tant sur des causes conjoncturelles, comme des épisodes de surmortalité constatés à certaines périodes, que des causes structurelles, telles que l’accroissement des demandes de crémation auxquelles les crématoriums ne peuvent pas toujours faire face. L’allongement de ces délais opère ainsi un équilibre entre les préoccupations de santé publique imposant de pourvoir aux funérailles des défunts dans un délai raisonnable et la nécessité de rendre aux demandes de dérogation leur caractère exceptionnel.
Décret no 2024-790 du 10 juillet 2024. https://www.legifrance.gouv.fr/download/pdf?id=nvbQs0jLrnRj4FgdtjaChuvOyvDbW4agN1KE7eJ3E4E=.
Une surmortalité deux fois plus élevée après la vaccination que pendant le COVID
Pourquoi meurt-on plus en 2024 qu’au plus fort de l’épidémie la plus meurtrière de l’histoire[3], et pourquoi cette question intéresse-t-elle aussi peu les autorités et les médias, alors que la vaccination a été imposée à l’ensemble de la population au motif que « chaque mort comptait » ?
Le Gouvernement refuse toujours de communiquer les statistiques de décès par statut vaccinal, mais si l’on considère que l’allongement du délai d’inhumation (+ 133 %) correspond à une augmentation de la surmortalité, comme le suggère la notice du décret, cette hausse est conforme à l’hypothèse émise en 2023 par des chercheurs canadiens[4] selon laquelle les injections seraient à l’origine d’environ 17 millions de décès dans le monde vs 7 millions provoqués par la pandémie selon l’OMS (+ 142 %) et qu’elles n’ont probablement sauvé aucune vie[5].
Cette estimation a été confirmée fin juillet par une nouvelle étude[6] du même groupe de chercheurs, portant sur la surmortalité observée en 2020-2023 dans 125 pays (35 % de la population mondiale), qui établit une corrélation entre les pics de décès recensés et les campagnes de vaccination ou de rappel :
Trente pour cent des pays analysés n’avaient pas de décès excessifs jusqu’au déploiement des vaccins ou aux campagnes de rappel. Il existe par ailleurs des corrélations significatives entre le déploiement du vaccin contre la COVID-19 et les pics ou augmentations de la surmortalité toutes causes confondues. Quatre-vingt-dix-sept pour cent des pays ont enregistré un pic de surmortalité toutes causes confondues fin 2021 ou début 2022, associé temporellement au déploiement des rappels.
Baletti B. Largest study of its kind finds excess deaths during pandemic caused by public health response, not virus. The Defender. 2024 Jul 19. https://childrenshealthdefense.org/defender/excess-death-covid-public-health-measures/.
L’étude (la plus vaste étude de ce type à ce jour) étant centrée exclusivement sur les variations et les causes de la surmortalité durant la pandémie, elle ne tient pas compte des blessures causées par les injections (13 millions d’événements indésirables pour 5,7 millions de personnes concernées, selon la base de pharmacovigilance de l’OMS à la date du 24 juillet 2024). Or compte tenu de la gravité de ces événements (myocardites, maladies neurodégénératives ou auto-immunes, cancers…), on peut logiquement redouter que cette « tendance » persiste ou s’aggrave dans les mois ou les années à venir.
Jusqu’à 3,5 fois plus de décès attendus qu’au plus fort de la pandémie
Le Gouvernement anticipe-t-il une explosion de décès post-vaccinaux ou redoute-t-il une nouvelle flambée épidémique plus mortelle que les précédentes ?
Plusieurs scientifiques ont alerté contre un tel scénario[7] dès le début de la campagne de vaccination[8],[9],[10],[11],[12],[13],[14]. En mars 2021, le virologue Geert Vanden Bossche[15] exhortait l’OMS à suspendre les injections tant que la pandémie n’est pas contrôlée en raison du risque majeur d’échappement immunitaire. En mai 2021, le Pr Luc Montagnier alertait à son tour sur le risque de mutations induit par une vaccination de masse dans une interview donnée à la fondation RAIR :
Les livres d’histoire le montreront, car c’est la vaccination qui crée les variants. De nombreux épidémiologistes le savent et restent « silencieux » sur le problème connu sous le nom d’« amélioration dépendante des anticorps » (ADE). […] Les nouvelles variantes sont une production et résultent de la vaccination. Vous le voyez dans chaque pays, c’est la même chose : dans chaque pays, les décès suivent la vaccination.
Nal R. Nobel Prize Winner Reveals – Covid Vaccine is ‘Creating Variants’. RAIR Fondation. 2021 May 18. https://rairfoundation.com/bombshell-nobel-prize-winner-reveals-covid-vaccine-is-creating-variants/.
Emmanuel Macron lui-même avait bien compris les dangers que représenteraient un vaccin ciblant une seule souche de virus, comme le proposent ceux utilisés en France durant la pandémie. En février 2021, il s’inquiétait du risque d’émergence d’une nouvelle souche provoquée par le vaccin anti-COVID chinois dont il redoutait qu’il ne soit pas efficace :
Cela signifie qu’à moyen et long terme, il est presque sûr que si ce vaccin n’est pas approprié, il facilitera l’émergence de nouveaux variants ; il ne va absolument pas arranger la situation des pays. […] Gérer le virus par le vaccin exige, pour être sûr, que nous ayons la vaccination appropriée, que le vaccin est clairement le plus pertinent contre les différents variants.
Macron déplore le manque de transparence autour du vaccin chinois contre le Covid-19. L’Obs. 2021 Feb 4. www.nouvelobs.com/vaccination-anti-covid-19/20210204.OBS39795/macron-deplore-le-manque-de-transparence-autour-du-vaccin-chinois-contre-le-covid-19.html.
Le COVID-19 ne s’est pas transformé en « monstre sauvage », comme le redoutait G. Vanden Bossche, du moins pas encore*, mais les pics de décès et les clusters observés après chaque campagne de rappel, et le fait que la mortalité se soit maintenue dans le temps malgré la moindre létalité du virus font « soupçonner la présence de phénomènes (ADE) », induits par des anticorps vaccinaux qui facilitent et exacerbent l’infection au lieu de la neutraliser. Une nouvelle étude sri lankaise, actuellement sous presse[16], confirme cette corréalation entre le nombre de décès et de doses injectées sur laquelle se fonde l’estimation canadienne de la surmortalité vaccinale :
La diminution de l’efficacité des vaccins, en particulier des rappels bivalents […] n’a pas réussi à contrôler le COVID-19, avec une augmentation des épidémies de virus en 2022, visible dans les pays industrialisés avec une forte pénétration du vaccin[17]. […] Plusieurs ensembles de données indiquent une association positive entre le nombre de doses de rappel de COVID-19 administrées à la population ou aux individus et l’augmentation des taux d’infection[18],[19],[20],[21],[22]. […] Une série d’études récentes ont documenté la diminution de l’efficacité du vaccin COVID-19. vaccins[23] [24],[25],[26],[27]. […] Des doses de rappel supplémentaires diminuent les capacités immunitaires et augmentent la vulnérabilité aux réinfections par le SRAS-CoV-2[28], et à d’autres infections. Étonnamment, chaque dose de rappel successive est en corrélation avec une escalade progressive de la susceptibilité à l’infection par le SRAS-CoV-2.
Wimalawansa SJ. Unlocking insights: Navigating COVID-19 challenges and emulating future pandemic resilience strategies with strengthening natural immunity. Heliyon. 2024. In Press. https://doi.org/10.1016/j.heliyon.2024.e34691.
Le risque de contracter le COVID multiplié par 2 chez les personnes vaccinées
JF Lesgards, docteur en biochimie, soulevait la question en mai 2022 : « Le phénomène des anticorps facilitants est-il responsable des cas et des décès observés dans les pays à taux de vaccination élevé ? » Il explique aujourd’hui dans une nouvelle étude[29] pourquoi il est hautement plausible que la vaccination de masse ait entretenu et aggravé l’épidémie, et qu’elle provoque demain une vague de décès ciblant spécifiquement les personnes vaccinées, comme semble s’y attendre le Gouverment :
L’amélioration dépendante des anticorps est une augmentation de l’infection médiée par les anticorps qui est une réaction paradoxale du système immunitaire lors de l’infection virale, lorsque les anticorps généralement non neutralisants facilitent et exacerbent l’infection. […] Les anticorps facilitants qui apparaissent deux à trois semaines après une dose de vaccin seraient donc présents au moment de la deuxième dose. Par rapport à ces mécanismes, le vaccin pourrait donc faciliter la contamination et induire des formes graves chez des patients vaccinés. […]
Lacout A, Lesgards JF, Lounnas V, Azalbert X, Perronne C, Zizi M. Dealing with COVID-19 vaccine related antibody-dependent enhancement: A mini review. Arch Microbiol Immunol. 2024 Jun 21 ;8(3):233-38. https://www.fortunejournals.com/articles/dealing-with-covid19-vaccine-related-antibodydependent-enhancement-a-mini-review.html.
Cette inquiétude a été soutenue dès l’homologation des vaccins Pfizer (p. 115) et Moderna (p. 127), dont les rapports d’évaluation mentionnent tous les deux un « risque important » de maladie aggravée par la vaccination (VAED). Elle n’a fait que se renforcer au fil du temps, au fur et à mesure de « l’érosion » de l’efficacité vaccinale[30]. Celle-ci a été réévaluée à – 30 % par Pfizer à l’issue de l’essai clinique[31],et jusqu’à – 100 % à six mois chez les personnes de plus de 60 ans[32]. Si cette estimation est juste, cela signifie donc que le vaccin doublerait le risque de contracter le COVID chez les personnes à risque dont la dernière injection remonte à plus de six mois.
En d’autres termes, la réponse occidentale fondée sur la vaccination de masse et les confinements a dramatiquement échoué[33], et elle a très probablement déjà causé plus de morts que le virus avant le déploiement des injections, alors qu’il existait des solutions parfaitement sûres et efficaces[34].
BioNTech anticipe une explosion de ses ventes de vaccin COVID-19 l’hiver prochain
Contre toute attente (d’un point de vue scientifique en tout cas), l’Agence européenne des médicaments (EMA) a pourtant retiré le risque de VAED/VAERD de la liste des préoccupations de sécurité dans le dernier plan de gestion des risques du vaccin Pfizer, les données finales de l’essai clinique et de la campagne de vaccination n’ayant révélé, selon elle, aucun signal de sécurité…
Les récentes déclarations de BioNTech, propriétaire et fabricant légal du vaccin anti-COVID-19 commercialisé par Pfizer, indiquent au contraire que le laboratoire s’attend à des ventes record cet hiver, quatre ans après la commercialisation de son vaccin révolutionnaire, approuvé sans données cliniques, car il promettait de « prévenir de nouvelles vagues pandémiques et ainsi réduire considérablement la mortalité » :
Les recettes du premier trimestre reflètent la demande saisonnière de vaccins contre la COVID-19, et nous nous attendons à ce qu’environ 90 % de nos revenus de l’ensemble de l’année au cours des derniers mois de 2024, principalement au quatrième trimestre de 2024.
Kogon R. Pourquoi BioNTech attend-il les ventes de vaccins de niveau pandémique en automne ? Dailysceptic. 2024 Jul 16. https://dailysceptic.org/2024/07/16/why-is-biontech-expecting-pandemic-level-vaccine-sales-in-the-autumn/
S’agit-il d’un simple aveu d’échec ou de quelque chose de plus inquiétant ?
L’explosion attendue des ventes ne correspond pas à la tendance épidémique
Le journaliste Robert Kogon a analysé les prévisions de ventes du laboratoire pour le dernier trimestre 2024. Concrètement, ce sont entre 2,5 et 3,1 milliards d’euros (Md€) qui sont attendus par la biotech allemande pour l’ensemble de l’exercice 2024, soit 15 fois le montant des ventes réalisées au premier trimestre 2024, estimé à 187,6 millions d’euros (M€). Le laboratoire dit ainsi s’attendre à une hausse moyenne de ses recettes de 2,6 Md€ d’ici la fin de l’année, grâce principalement à la vente de ses vaccins anti-COVID :
La fourchette reflète certaines hypothèses, y compris, mais non exclusivement, les attentes concernant : le calendrier et l’octroi des approbations et recommandations réglementaires ; l’adoption de vaccins contre la COVID-19 et les niveaux de prix ; les dépréciations des stocks par Pfizer, partenaire de collaboration de BioNTech, qui influenceraient négativement les revenus de la société ; les variations saisonnières de la circulation SARS-CoV-2 et de l’utilisation de la vaccination, qui devraient entraîner des pics de demande en automne et en hiver.
BioNTech. BioNTech announces first quarter 2024 financial results and corporate update. 2024 May 6. https://investors.biontech.de/news-releases/news-release-details/biontech-announces-first-quarter-2024-financial-results-and.
Sur quel scénario se fondent les prévisions du directeur financier de BioNTech ?
La journaliste Theresa Rauffmann a décortiqué dans le Tagesspiegel la courbe des ventes de l’entreprise en 2022 et 2023. Elle s’étonne de l’optimisme du directeur financier de BioNTech, Jens Holstein, le laboratoire ayant réalisé respectivement 40 % et 25 % des ventes totales de l’année au quatrième trimestre 2023 et 2022, très loin des 90 % avancés pour 2024.
La demande de vaccins anti-COVID est en chute libre depuis 2023
En outre, les ventes projetées par BioNTech pour le quatrième trimestre 2024 (2,6 Md$) se rapprochent de celles enregistrées au plus fort de la pandémie (3,2 Md$ au 2e trimestre 2022 et 4,3 Md$ au 4e trimestre 2022). Elles correspondent concrètement à une hausse de + 1 300 % du chiffre d’affaires actuel, le laboratoire n’ayant atteint pour l’instant que 7 % de son objectif annuel, alors qu’il avait déjà réalisé un tiers de son chiffre d’affaires à la même période en 2022 et 2023.
Or la biotech allemande a accusé en 2023 une perte de plus de 75 % de son chiffre d’affaires (3,8 Md€ en 2023[35] vs 17,1 Md€ en 2022[36]) et de 90 % de son bénéfice net en 2023 par rapport à 2022 (930,3 M€ vs 9 434,4 M€). Cette tendance semble se confirmer en 2024 puisque son rapport financier pour le premier trimestre 2024[37] fait état d’une nouvelle baisse de 90 % de ses revenus commerciaux liés aux vaccins COVID-19 par rapport à la même période en 2023 (124,2 millions d’euros en 20 24 vs 1 263,5 en 2023).
BioNTech mise aujourd’hui sur l’oncologie, mais aucun revenu n’en est attendu pour l’année 2024, le lancement de son premier médicament anti-cancer étant prévu pour 2026. D’où la question posée par Robert Kogon : « Pourquoi BioNTech attend-il les ventes de vaccins de niveau pandémique en automne ? BioNTech sait-il quelque chose que nous ignorons ? »
Conclusion
Faut-il redouter qu’un nouveau variant pandémique soit relâché dans la population comme il l’a été en 2020 selon les fuites de messages échangés par l’état-major britannique ou que le terrain sur lequel l’épidémie prospère silencieusement depuis le déploiement des injections s’enflamme brutalement à l’approche de l’hiver ? Une troisième hypothèse serait que l’augmentation des recettes attendue par BioNTech soit en lien non pas avec le COVID-19, mais avec une future pandémie de virus H5N1 contre lequel Pfizer et Moderna développent actuellement un vaccin ARNm, qui aurait déjà franchi le cas des études précliniques.
Mise à jour du 01/08/2024
Une mise à jour de la carte philogénique du SARS-CoV-2 représentant la ramification de ses mutations a été publiée quelques jours. Elle confirme que le risque d’émergence d’une souche beaucoup plus létale que les précédentes est plus que jamais d’actualité.
Est-ce le visage de « l’évasion immunitaire » ?
L’une des principales raisons pour lesquelles il n’y a jamais eu de vaccin contre le coronavirus auparavant est que ce virus est connu pour être très évolutif. C’est le métamorphe ultime.
Traditionnellement, il était tabou de vacciner au milieu d’une pandémie… en raison de la possibilité de vaccins non neutralisants et de la pression d’évasion immunitaire qui en résulte, et du déclenchement de mutations.
Le Dr Geert Van Den Bosch crie jusqu’à en devenir bleu à ce sujet… depuis trois ans.
Ce graphique démontre à 100 % ce contre quoi Geert a mis en garde. Cette carte montre le frai de la variante SARS-CoV-2. Le pilier rouge vertical des mutations mur à mur (à l’extrême droite) a commencé à se développer en janvier/février 2024. Depuis, le taux de mutation est devenu exponentiel. Et ça ne finira pas.
Références
[1] République française. Décret no 2024-790 du 10 juillet 2024 portant mesures de simplification administrative dans le domaine funéraire. JORF no 0164 du 11 juillet 2024. https://www.legifrance.gouv.fr/download/pdf?id=nvbQs0jLrnRj4FgdtjaChuvOyvDbW4agN1KE7eJ3E4E=.
[2] République française. Article R. 361-13 (abrogé) du Code des communes. Version en vigueur du 18 mars 1977 au 09 avril 2000. https://www.legifrance.gouv.fr/codes/articlelc/LEGIARTI000006348697/1977-03-18?redirectFromContext=true#LEGIARTI000006348697.
République française. Article 22-2. Décret no 41-5050 du 31 décembre 1941 codifiant les textes relatifs aux opérations d’inhumation, d’exhumation, d’incinération et de transport des corps. https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000037596830/.
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[33] Igyártó BZ, Qin Z. The mRNA-LNP vaccines – the good, the bad and the ugly? Front Immunol. 2024 Feb 8;15:1336906. https://doi.org/10.3389/fimmu.2024.1336906.
[34] Wimalawansa SJ. Unlocking insights: Navigating COVID-19 challenges and emulating future pandemic resilience strategies with strengthening natural immunity. Heliyon. 2024. In Press. https://doi.org/10.1016/j.heliyon.2024.e34691.
[35] BioNTech. 4th Quarter 2023 Financial Results & Corporate Update. 2024 Mar 20. https://investors.biontech.de/static-files/006ce04a-1015-4b0c-9b1c-90a9e9596dda (p. 23).
[36] BioNTech. Financial Results & Corporate Update: 4th Quarter and Full Year 2022. 2023 Mar 27. https://investors.biontech.de/system/files-encrypted/nasdaqkms/assets/2023/03/29/8-35-20/BNTX Q4 FY 2022Presentation.pdf (p. 24).
[37] Rapport financier 1er trimestre 2024 : https://investors.biontech.de/static-files/c8ca4858-2a59-45ab-bc43-6b1df6e3e784.