Pétition
L’Accord d’espoir, une pétition mondiale pour l’arrêt des vaccinations anti-COVID
L’Accord d’espoir est une pétition internationale portée par un groupe de médecins et scientifiques indépendants, appelant à un moratoire sur l’utilisation des injections à ARN messager. Ils exigent également des enquêtes et des autopsies, ainsi qu’une reconnaissance des victimes de la campagne de vaccination anti-COVID et la restauration d’une éthique médicale. Chaque citoyen est appelé à signer cette pétition.
L’Accord d’espoir (Hope Accord) a été diffusé le 3 juillet. Ce plaidoyer s’appuie sur une liste de ressources concernant la toxicité des injections à ARN messager et de témoignages de victimes. Nous en publions ici la traduction en français.
« Nous, professionnels de santé, scientifiques et citoyens concernés, soussignés, demandons :
1. La suspension immédiate des vaccins à ARNm contre le COVID-19
De plus en plus de preuves suggèrent que le déploiement généralisé des nouveaux vaccins à ARNm contre le COVID-19 contribue à une augmentation alarmante des invalidités et des décès excessifs.
L’association observée entre le déploiement du vaccin et ces tendances inquiétantes est désormais étayée par d’autres découvertes significatives. Celles-ci incluent la découverte de mécanismes biologiques plausibles de préjudice démontrés dans des études de laboratoire et d’autopsie, ainsi que des taux élevés d’événements indésirables observés dans des essais cliniques randomisés et des programmes de surveillance nationaux. Dans l’ensemble, ces observations indiquent un lien de causalité.
Cette nouvelle technologie a obtenu une autorisation d’utilisation d’urgence pour remédier à une situation qui n’existe plus. À l’avenir, il incombera à ceux qui continuent de préconiser ces produits de démontrer de manière convaincante qu’ils n’entraînent pas de préjudice net. Jusqu’à ce que de telles preuves soient présentées, les régulateurs devraient suspendre leur utilisation par mesure de précaution médicale standard.
2. Une réévaluation complète de la sécurité et de l’efficacité de tous les vaccins contre le COVID-19
Les enquêtes indépendantes doivent disposer des ressources nécessaires pour permettre une réévaluation complète de tous les produits vaccinaux contre le COVID-19.
Il doit y avoir une exploration complète des mécanismes nocifs pour donner un aperçu de leur impact sur le corps humain, à court et à long terme. L’efficacité doit être réévaluée au moyen d’un examen complet de l’impact clinique réel sur la maladie et la mortalité, par opposition à des résultats synthétiques fondés sur des hypothèses modélisées.
Nous appelons la communauté scientifique à présenter les résultats d’études non publiées sur le vaccin COVID-19. Cela contribuera à atténuer les biais de publication, selon lesquels les résultats défavorables sont souvent rejetés ou retenus par crainte d’une atteinte à la réputation. Il est crucial que les organismes gouvernementaux et l’industrie pharmaceutique fassent également preuve d’une transparence totale, en accordant l’accès à des données anonymisées sur les patients, jusqu’alors non divulguées, issues d’essais cliniques et de programmes de surveillance.
Ces actions cumulatives aideront à déterminer les avantages réels de ces produits par rapport à l’étendue réelle des dommages causés.
3. La reconnaissance et le soutien immédiats aux personnes blessées par le vaccin
Le déni des dommages causés par la vaccination est une trahison envers ceux qui ont suivi les directives officielles, souvent sous la contrainte de mandats restreignant leur accès au travail, à l’éducation, aux voyages, à l’hôtellerie et aux sports.
Les victimes doivent être reconnues et tous les efforts doivent être déployés pour comprendre leur état. Le soutien devrait inclure des cliniques multidisciplinaires facilement accessibles offrant des investigations et des traitements, ainsi qu’une indemnisation appropriée à tous ceux qui ont subi un préjudice.
4. La restauration des principes éthiques abandonnés pendant l’ère COVID-19
Les principes fondamentaux et précieux de l’éthique médicale ont été ignorés sous prétexte d’urgence. Ceux-ci comprenaient : « d’abord ne pas nuire », le consentement éclairé, l’autonomie corporelle et la notion selon laquelle les adultes protègent les enfants – et non l’inverse. Le principe de précaution a été inversé. L’érosion de la liberté d’expression – un principe démocratique qui sous-tendait la capacité de remettre en question des interventions non testées tout en garantissant le respect d’autres principes – était également particulièrement préoccupante. La conséquence était d’exposer le public, en particulier les jeunes en bonne santé – y compris les enfants – à des risques inacceptables.
Les urgences ne sont jamais une raison pour abandonner nos principes ; c’est précisément dans ces moments-là que nous dépendons le plus profondément d’eux. Ce n’est qu’après avoir reconnu qu’ils ont été abandonnés à tort que nous pourrons nous engager à les respecter de manière cohérente et, ce faisant, mieux protéger les générations futures.
5. S’attaquer aux causes profondes de notre situation actuelle
La profession médicale doit montrer l’exemple en admettant que nous avons perdu notre chemin.
En attirant l’attention sur ces questions médicales et éthiques entourant la réponse au COVID-19, nous espérons valider et amplifier l’appel à établir les faits pertinents et à garantir que des leçons vitales soient tirées.
Une enquête honnête et approfondie est nécessaire, s’attaquant aux causes profondes qui nous ont conduits à cet endroit, notamment la pensée de groupe institutionnelle, les conflits d’intérêts et la suppression du débat scientifique.
Nous recherchons en fin de compte un engagement renouvelé envers les principes fondamentaux de la médecine éthique, revenant à une époque où nous nous efforçons de promouvoir la transparence, la responsabilité et la prise de décision responsable dans toutes les sphères de la médecine et de la santé publique. »
Autres initiatives
Depuis mai 2021, une cinquantaine d’appels à suspendre les injections ont été émis par des collectifs de médecins et de scientifiques issus de différents pays (Suisse, Suède, Canada, Afrique du Sud, Malaisie, Australie…), notamment les États-Unis, où l’initiative de l’Americans for Health Freedom est aujourd’hui soutenue par plus de 17 000 médecins et scientifiques, 7 organisations de santé (Global Covid Summit, Word Council for Health, Global Health Project…), mais également par près de 200 élus américains.
L’Accord d’espoir n’a que quelques jours d’existence, mais il a déjà reçu le soutien de près de 30 000 médecins, professionnels de santé, scientifiques et citoyens.