Bioweapon

Mathilde Debord | 14 août 2023

Lèpre, tuberculose… les vaccins anti-COVID ont-ils ouvert la boîte de pandore ?

La lèpre a fait sa réapparition au Royaume-Uni en 2021. Une série d’études récentes suggère qu'elle pourrait être un effet secondaire de la vaccination contre le COVID-19. Le 11 mai 2023, le Dr Annelise Bocquet alertait sur une étude parue en 2021 qui permet de formuler plusieurs hypothèses sur les causes possibles de cette recrudescence des cas de lèpre dans le monde, mais également de comprendre pourquoi l’ivermectine et l’hydroxychloroquine n'auraient jamais dû être censurées.

Neutrophile (en jaune) avalant des spécimens de la bactérie Bacillus anthracis (en orange), à l'origine de l'anthrax.
© Creative commons

Une équipe de chercheurs britanniques a récemment signalé 16 cas de lèpre ou de complication de la lèpre [1] déclarés dans le monde depuis 2021 et pouvant être considérés comme un effet secondaire de la vaccination. Cette liste concerne uniquement les cas ayant fait l’objet d’une étude publiée. Ils ont été recensés en Italie, Taïwan, Inde, Singapour, Israël, Brésil Inde, Indonésie.

Les CDC alertent aujourd’hui sur la recrudescence de la lèpre en Floride, plus particulièrement en Floride centrale qui concentre 81 % des cas recensés dans l’État et près de 20 % de ceux déclarés sur l’ensemble du territoire américain. Aucun lien n’est toutefois établi avec la vaccination. Le Programme national de la lutte contre la lèpre (National Hansen’s Disease Program) en charge de la surveillance épidémiologique de la maladie privilégie « les réservoirs environnementaux » comme source potentielle de transmission après avoir exclu les facteurs de risque traditionnels (voyages, exposition aux zoonos, associations professionnelles ou contacts personnels).

Rôle potentiel de la protéine Spike virale

Le 11 mai 2023, le Dr Annelise Bocquet, docteur en biologie santé, enseignante en hématologie et immunologie signalait sur le réseau social Twitter une étude de 2021 [2] dont les résultats permettent d’éclairer la nouvelle donne épidémiologique. Aucun cas de lèpre n’avait alors été signalé, mais les éléments rapportés dans cette étude lui ont paru suffisamment inquiétants pour qu’elle les commente. Nous restituons ici son tweet in extenso (nous y avons inséré des précisions terminologiques pour le rendre accessible à tout un chacun) et le complétons par deux informations.

Dans ce papier datant de septembre 2021, l’auteur montre que :

• le domaine RBD (AA : 330-583) de la Spike du SARS-CoV-2 présente 9 séquences antigéniques.
Précision : la protéine Spike contient un domaine RBD (receptor binding-domain ou domaine de liaison au récepteur) qui se fixe au récepteur ACE2 présent à la surface des cellules cibles du SARS-CoV-2, permettant au virus d’entrer dans la cellule et de l’infecter. Un antigène est une macromolécule qui déclenche une réaction immunitaire lorsqu’elle est reconnue par des anticorps ou des cellules du système immunitaire.

• parmi ces 9 séquences, 7 présentent des similitudes avec les déterminants antigéniques de 12 bactéries hautement pathogènes (Mycobacterium tuberculosis, Mycobacterium lepræ, Bacillus anthracis, Borrelia burgdorferi, Clostridium perfringens, Clostridium tetani, Helicobacter Pylori, Listeria monocytogenes, Staphylococcus aureus, Streptococcus pyogenes, Vibrio cholera et Yersinia Pestis), 2 parasites du paludisme (Plasmodium falciparum et Plasmodium knowlesi) et le virus de la grippe A.
Précision : Un déterminant antigénique est la partie d’une macromolécule reconnue par le système immunitaire, pouvant déclencher une réponse immunitaire cellulaire.

Les similitudes entre les sites antigéniques du RBD de la Spike et des autres micro-organismes peuvent avoir 3 impacts :

1. Le système immunitaire va déclencher une réponse immunitaire identique à celle qu’il peut déclencher à l’encontre de ces pathogènes ;

2. Les symptômes observés chez une personne atteinte par le SARS-CoV-2 peuvent être identiques à ceux observés chez les personnes atteintes par l’un de ces 15 micro-organismes ;

3. L’infection par le SARS-CoV-2 va déclencher des mécanismes physiopathologiques complexes.

Autre problème : les déterminants antigéniques similaires aux antigènes de Mycobacterium jouent un rôle dans la persistance et la survie de l’agent pathogène dans les cellules de l’hôte. […] Et… heu… c’est cette molécule-là que nos cellules produisent après injections des nanoparticules lipidiques à ARNm modifié ? […]

Autre point très important : le site de clivage furine [3]. La furine joue un rôle dans la virulence de la dengue et d’autres infections agressives, notamment le VIH et diverses grippes aviaires. On sait aussi que la toxine de l’anthrax est libérée par la furine du Bacillus anthracis et le clivage de la furine permet à la toxine de l’anthrax d’inonder l’organisme avant que l’immunité innée n’intervienne efficacement

Or, heu… il y a déjà des points communs entre la protéine Spike du SARS-CoV-2 et le bacille du charbon ! Et c’est pas comme si l’anthrax n’était pas une arme biologique [4], hein….

Et j’irais même plus loin (dans le complotisme)… et si le SARS-CoV-2 n’était qu’une amorce pour d’autres germes ? D’autres bioweapons [5,6] ?

Tout ceci est à méditer sérieusement et nécessite des échanges scientifiques (internationaux)… c’est d’autant plus crucial que les problématiques sont diverses et complexes… End

Dr Annelise Bocquet, 11/05/2021.

Lien possible avec la vaccination

L’immunodéficience induite par les injections ARNm, qu’il s’agisse d’immunodéficience acquise après des injections répétées [7,8,9,10,11,12,13,14,15,16] ou de celle observée dans les sept jours suivant la 1re dose [17], a été avancée en première intention par certains chercheurs. Cette deuxième hypothèse est notamment suggérée par le taux élevé (71,4 %) de cas de lèpre recensés dans la littérature à la suite d’une primo-injection. Elle expliquerait également le fait qu’une recrudescence de la lèpre n’ait pas été observée avant le déploiement des injections.

L’étude de 2021 rapportée par le Dr Annelise Bocquet permet d’affiner cette hypothèse et d’y ajouter trois mécanismes supplémentaires susceptibles d’être enclenchés par les injections (a fortiori en cas de rappels multiples), dans la mesure où :

  • la séquence identifiée dans l’étude est présente dans « tous les vaccins en cours de développement clinique ou préclinique » ;
  • la vaccination ARNm reprogramme les cellules de l’organisme pour leur faire produire massivement de la protéine Spike (à titre informatif, la quantité d’ARNm délivrée dans une seule injection a été estimée par le Pr Claverie à celle contenue respectivement dans 6 750 L et dans 23 m3 de fluide nasal infecté pour les vaccins Pfizer et Moderna).

Le 12 août 2023, Annelise Bocquet a recontextualisé les résultats de cette étude dans un nouveau message, publié sur Twitter, où elle détaille le tableau clinique de la lèpre, le mécanisme de transmission et la manière dont évolue la maladie. Elle y explique comment la protéine Spike pourrait favoriser le basculement d’une réponse immunitaire de type « cellulaire » (Th1) vers une réponse cellulaire de type « humorale » (Th2), en vertu notamment de ses propriétés allergènes. Dans le cas de la lèpre, ce dérèglement du système immunitaire empêcherait alors les malades de contenir la prolifération du bacille malgré un niveau d’anticorps élevé.

Dit autrement, la réponse immunitaire induite par la protéine Spike aurait en quelque sorte agi comme un révélateur du bacille de la lèpre.

Anthrax, tuberculose… à quoi s’attendre demain ?

Cette étude soulève également un certain nombre de questions qui auraient pu rester dans l’ombre sans la découverte de ces cas de lèpre post-vaccinale. Parmi les pathogènes cités comme présentant une analogie avec la protéine Spike du SARS-CoV-2 figurent en effet cinq autres bactéries ou parasites responsables de différentes maladies hautement redoutées : l’anthrax, la tuberculose, la maladie de Lyme, le choléra et le paludisme. Le tétanos peut également être ajouté à cette liste, mais nous sommes heureusement pour la plupart vaccinés.

La FDA vient d’homologuer un vaccin contre l’anthrax dans des conditions douteuses

Concernant l’anthrax, aucun cas n’a à notre jour été signalé, mais on peut s’étonner de la décision de la FDA d’approuver pleinement, le 21 juillet dernier, un nouveau vaccin (Cyfendus) contre une maladie (Cyfendus) dont l’incidence est marginale (2 cas recensés en sept ans aux États-Unis, dont aucun en 2022 et 2023 selon les CDC) et contre laquelle les antibiotiques sont efficaces. On le comprend d’autant moins compte tenu des aléas majeurs concernant son efficacité et sa sécurité.

Y aurait-il une urgence que nous ignorions, ou ces conditions d’homologation sont-elles simplement devenues la nouvelle norme de la FDA ? Précisons à toutes fins utiles que l’anthrax est considéré par les CDC comme une arme biologique de première catégorie. Ceci explique-t-il cela ?

La contamination des vaccins Pfizer et Moderna par de l’ADN bactérien doit-elle inquiéter ?

La découverte il y a quelques mois de quantités non réglementaires de plasmides d’ADN bactérien résistant à un antibiotique (la kanamycine) utilisé contre la tuberculose, dans les vaccins Pfizer et Moderna, pourrait être une seconde source d’inquiétude si le scénario de la lèpre se confirmait avec la tuberculose.

Il s’agit d’une simple hypothèse, mais elle est compatible avec la recrudescence des cas signalée fin 2022 dans le monde, notamment en France, l’OMS ayant lancé une alerte en octobre 2022, confirmée par l’ONU en avril 2023.

Précisons également que 7 cas de paludisme ont été déclarés en Floride et au Texas, mais le parasite identifié (Plasmodium vivax) n’est pas mentionné dans l’étude.

De nouvelles épidémies sont-elles à prévoir ?

Peut-on néanmoins imaginer une série d’épidémies dans l’épidémie induites par une vaccination de masse, dont les laboratoires avaient assuré qu’elle était la seule solution pour empêcher sa propagation ? Ce serait une nouvelle catastrophique pour la confiance des citoyens dans les institutions compte tenu de la manipulation qu’a subie le virus du SARS-CoV-2, dont plus personne n’ose sérieusement remettre en question qu’il est issu de recherches de gain de fonction financées clandestinement par le Dr A. Fauci.

Si l’origine naturelle du virus ne peut plus décemment être soutenue, l’ultime clou a été planté il y a quelques jours dans le cercueil de la théorie d’une fuite accidentelle de laboratoire [18], par cet aveu déconcertant de Robert Kadlec, secrétaire adjoint du département américain de la Santé pendant la pandémie et ancien patron du Dr A. Fauci, le chef d’orchestre de la réponse pandémique mondiale :

Nous pensons que la recherche sur les vaccins a entraîné la pandémie – que la recherche sur les vaccins en était la cause immédiate.

https://twitter.com/TheChiefNerd/status/1685352966276968448?s=20

L’ivermectine et l’hydroxychloroquine « pourraient être une bonne option de traitement pour le COVID-19 »

L’étude ne suggère pas que la vaccination puisse entraîner comme effet secondaire les maladies citées précédemment, ni que la protéine Spike ait été manipulée à dessein pour faire du SARS-CoV-2 une sorte d’arme biologique à sous-munitions. Les auteurs estiment au contraire que « rien ne peut être explicitement énoncé concernant la présence de déterminants antigéniques tels que ceux trouvés dans cette étude », qui pourrait s’expliquer par une « astuce génétique » utilisée par le virus (en l’occurrence le SARS-CoV-1) « pour assurer sa persistance et sa survie » :

Le SRAS-CoV-2 pourrait avoir changé ou changé la composition moléculaire de sa protéine de pointe en utilisant un processus appelé variation antigénique. Les variations antigéniques sont des astuces génétiques à l’aide desquelles certains virus, tels que le virus de la grippe et le coronavirus, etc., échappent au système immunitaire protecteur en modifiant leurs épitopes immunodominants qui pourraient autrement être reconnus par le système immunitaire adaptatif de l’hôte conduisant à leur élimination.

Quoi qu’il en soit, la présence de ces « traces moléculaires » reste pour l’instant une question secondaire, elle se posera uniquement si l’origine artificielle du virus est établie demain, ce qui relève pour l’instant stricto sensu du complotisme. L’inquiétude des auteurs porte plutôt sur la pathogénicité accrue du SARS-CoV-2 conférée par la structure de la protéine Spike :

La présence de sites antigéniques dans le SRAS-CoV-2 présentant une similitude avec les déterminants antigéniques trouvés dans les espèces bactériennes, paludéennes et virales pathogènes est sérieusement alarmante, car leur présence rend le SRAS-CoV-2 plus pathogène que tout autre coronavirus connu auparavant.

Ils relèvent toutefois, et ceci est une excellente nouvelle, qu’une palette de molécules pourrait être de fait hautement efficace pour traiter le COVID-19, en limitant le risque de formes graves et en réduisant sa mortalité : l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, en vertu de leurs propriétés antipaludiques. Pour l’hydroxychloroquine, la question ne se pose plus aujourd’hui puisqu’elle n’est pas efficace contre les variants de la lignée Omicron. Mais cette étude, basée sur la souche originale du virus, apporte un argument décisif sur la pertinence qu’il y avait à inclure, au plus fort de l’épidémie, des antipaludéens dans l’arsenal thérapeutique de lutte contre le COVID-19 :

La présence de déterminants antigéniques des antigènes Mycobacterium et Plasmodium était commune aux sept sites antigéniques prédits dans le SRAS-CoV-2, ce qui suggère que les médicaments et vaccins antipaludéens et antituberculeux pourraient être une bonne option de traitement pour le COVID-19. En plus de cela, les médicaments/vaccins anti-lèpre, anti-Lyme, anti-peste, anti-anthrax, etc. devraient également être bénéfiques dans le traitement du COVID-19. De plus, les personnes précédemment immunisées/vaccinées ou ayant des antécédents de paludisme, de tuberculose ou d’une autre maladie causée par quinze micro-organismes devraient afficher un degré considérable de résistance contre l’infection par le SRAS-CoV-2.

L’étude a été publiée le 13 juillet 2021, soit le lendemain de l’allocution d’Emmanuel Macron annonçant la mise en place du pass sanitaire et de l’obligation vaccinale imposée à des millions de professionnels et plus généralement de citoyens, au motif qu’il n’y avait aucune alternative au vaccin. La FDA fait aujourd’hui son mea culpa concernant l’ivermectine, l’ANSM ne le fera sans doute jamais mais elle n’osera probablement pas porter plainte l’utilisation de l’hydroxychloroquine à Marseille puisque ce dossier est vide. Que de temps perdu ! Et combien de vies ?


Références

[1] de Barros B, Pierce R, Sprenger C, Ong ELH, Walker SL. COVID-19 vaccination and leprosy–A UK hospital-based retrospective cohort study. PLoS Negl Trop Dis. 2023 Aug 4;17(8):e0011493. DOI: https://doi.org/10.1371/journal.pntd.0011493.

[2] Dakal TC. Antigenic sites in SARS-CoV-2 spike RBD show molecular similarity with pathogenic antigenic determinants and harbors peptides for vaccine development. Immunobiology. 2021 Sep;226(5):152091. DOI: https://doi.org/10.1016/j.imbio.2021.152091.

[3] Fitzgerald K. Furin Protease: From SARS CoV-2 to anthrax, diabetes, and hypertension. Perm J. 2020 Sep 16;24:20.187. DOI: https://doi.org/10.7812/TPP/20.187.

[4] Gostin LO, Nuzzo JB. Twenty years after the anthrax terrorist attacks of 2001: Lessons learned and unlearned for the COVID-19 response. JAMA. 2021 Nov 23;326(20):2009-2010. DOI: https://doi.org/10.1001/jama.2021.19292.

[5] Gostin LO, Wetter S. Fix the backlash against public health. Science. 2023 Mar 31;379(6639):1277. DOI: https://doi.org/10.1126/science.adh9594.

[6] Shurtleff AC. Bioterrorism and emerging infectious disease – antimicrobials, therapeutics and immune-modulators. SARS coronavirus. IDrugs. 2004 Feb;7(2):91-5. https://pubmed-ncbi-nlm-nih-gov.translate.goog/15057645/.

[7] Bowe B, Xie Y, Al-Aly Z. Acute and postacute sequelae associated with SARS-CoV-2 reinfection. Nat Med. 2022 Nov;28(11):2398-2405. DOI: https://doi.org/10.1038/s41591-022-02051-3.

[8] Karvala C. Affaiblissement de la réponse immunitaire : l’autorité sanitaire finlandaise s’oppose à l’abonnement à la vaccination. Report24. 2022 Nov 2. https://report24-news.translate.goog/schwaechung-der-immunantwort-finnische-gesundheitsbehoerde-stellt-sich-gegen-impfabo/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.

[9] Irrgang P, Gerling J, Kocher K, et al. Class switch toward noninflammatory, spike-specific IgG4 antibodies after repeated SARS-CoV-2 mRNA vaccination. Sci Immunol. 2023 Jan 27;8(79):eade2798. DOI: https://doi.org/10.1126/sciimmunol.ade2798.

[10] Gao FX, Wu RX, Shen MY, et al. Extended SARS-CoV-2 RBD booster vaccination induces humoral and cellular immune tolerance in mice. iScience. 2022 Dec 22;25(12):105479. DOI: https://doi.org/10.1016/j.isci.2022.105479.

[11] Sabatier JM. Immunité, vaccins, effets indésirables, traitements : l’analyse de Jean-Marc Sabatier. France-Soir. 2021 Dec 29. https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/immunite-vaccins-effets-indesirables-traitements-lanalyse-de-jean-marc-sabatier.

Voir aussi, plus récemment : Sabatier JM. Dommages causés par la répétition vaccinale et Covid long : entretien avec le Dr Jean-Marc Sabatier (partie 3). The Epoch Times. 2023 Aug 13. https://www.epochtimes.fr/dommages-causes-par-la-repetition-vaccinale-et-covid-long-entretien-avec-le-dr-jean-marc-sabatier-partie-3-2391941.html.

[12] Tsumiyama K, Miyazaki Y, Shiozawa S. Self-organized criticality theory of autoimmunity. PLoS One. 2009 Dec 31;4(12):e8382. DOI: https://doi.org/10.1371/journal.pone.0008382.

New York Times. Les boosters COVID peuvent provoquer une « fatigue du système immunitaire » et compromettre la capacité à combattre le virus. 2021 Dec 28. https://nationalfile-com.translate.goog/new-york-times-covid-boosters-may-cause-immune-system-fatigue-compromise-ability-fight-virus/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp&_x_tr_hist=true.

[13] Goldberg Y, Mandel M, Bar-On YM, et al. Protection and waning of natural and hybrid immunity to SARS-CoV-2. N Engl J Med. 2022 Jun 9;386(23):2201-2212. DOI: https://doi.org/10.1056/NEJMoa2118946.

[14] Nordström P, Ballin M, Nordström A. Risk of infection, hospitalisation, and death up to 9 months after a second dose of COVID-19 vaccine: a retrospective, total population cohort study in Sweden. Lancet. 2022 Feb 26;399(10327):814-823. DOI: https://doi.org/10.1016/s0140-6736(22)00089-7.

[15] Altarawneh HN, Chemaitelly H, Ayoub HH, er al. Effects of previous infection and vaccination on symptomatic Omicron infections. N Engl J Med. 2022 Jul 7;387(1):21-34. DOI: https://doi.org/10.1056/NEJMoa2203965.

[16] Shrestha NK, Burke PC, Nowacki AS, et al. Effectiveness of the Coronavirus disease 2019 bivalent vaccine. Open Forum Infect Dis. 2023 Apr 19;10(6):ofad209. DOI: https://doi.org/10.1093/ofid/ofad209.

[17] NakedEmperor. New Pfizer document shows Immunosuppression in first 7 days and Natural Immunity exists. 2022 Mars 29. https://nakedemperor-substack-com.translate.goog/p/new-pfizer-document-shows-immunosuppression?s=r&utm_campaign=post&utm_medium=web&_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp.

Données cliniques Pfizer: https://www.fda.gov/media/144416/download (p. 41).

[18] Knight D. COVID-19 pandemic origins: Bioweapons and the history of laboratory leaks. South Med J. 2021 Aug;114(8):465-67. DOI: https://translate.google.com/website?sl=auto&tl=fr&hl=fr&client=webapp&u=https://doi.org/10.14423%252FSMJ.0000000000001283.

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