Propagande climatique

Équipe Le Point Critique | 27 juillet 2023

Quand CNN annonçait l’« opération climat »

En  juillet 2022, un employé de CNN, filmé à son insu, divulguait le projet de la chaîne d’utiliser le réchauffement climatique en diffusant des images dramatiques pour accroître son audience, parce que, dixit, « La peur, ça vend ! » Dans une autre séquence, il explique comment CNN a gonflé artificiellement le nombre de décès pendant la pandémie de COVID-19 pour terroriser ses spectateurs et les maintenir « scotchés à leur écran de télévision ». Cette confession d’un cynisme absolu trouve un écho particulier dans l’actualité et permet peut-être de comprendre d'où provient le concept de « canicule asymptomatique » qui fleurit depuis quelques jours sur les réseaux sociaux.

Bandeau de diffusion de la chaîne CNN, Time Square, New York
© Stevotdisposable

La journée du 18 juillet 2023 est probablement passée inaperçue aux yeux de beaucoup de Français. Pour ceux qui sont connectés aux réseaux sociaux, elle fut au contraire une journée spéciale, étrange. Dès la veille, nous avons été abreuvés de messages alarmistes émanant d’illustres inconnus, nous exhortant à avoir peur. De nouveaux records historiques de température s’apprêtaient à être franchis, avec des conséquences dramatiques pour l’homme et mortelles pour l’environnement. On nous promettait quelque chose comme notre dernier jour sur terre.

L’éternel retour des modélisations mathématiques

L’apocalypse ne s’est pas produite. Des records ont pu être franchis en certains points du globe, mais personne n’aurait sans doute remarqué qu’il avait échappé au pire sans l’agitation médiatique de ces Cassandre autoproclamés. Aucun démenti n’est venu le lendemain, aucun événement aléatoire susceptible d’expliquer l’échec du modèle sur lequel reposaient ces prédictions ne nous a été communiqué.

Mathilde Panot a sauvé cette journée par des formules ineptes supposées produire un électrochoc, prononcées le 19 juillet à l’antenne de France Info : « Nous avons connu en juillet, sur le monde entier, les 7 jours les plus chauds sur les 100 000 dernières années. Nous avons notamment des situations de sécheresse dans les océans et les mers, ce qui est extrêmement dramatique. »

Le journaliste Nicolas Berrod (Le Parisien) a puisé quant à lui dans les ultimes replis de son imagination pour en extraire un concept inédit, qui est presque devenu une marque déposée (s’il m’entend, je l’invite à le faire) : la « canicule asymptomatique », celle qui est bien réelle mais qu’on ne voit pas, qu’on ne sent pas.

De nombreux chercheurs, notamment plusieurs prix Nobel (Dr JF Clauser, Ivar Giaever), dénoncent aujourd’hui un alarmisme ne reposant sur aucun fait, aucune donnée probante, mais sur une idéologie au service d’un agenda politique, exploitant un ressenti que nous avons tous pu confirmer ces dernières années. Nous ne souhaitons pas rentrer ici dans un débat complexe, caricaturé sous la forme d’une opposition entre une communauté scientifique responsable, porteuse d’une vérité établie, évidente ou incontestable, versus une poignée de pseudoscientifiques niant la réalité d’un changement climatique, dont l’homme serait la principale, voire l’unique cause.

Ce débat est en fait infiniment plus subtil. Mais surtout, les prêcheurs de désespoir qui prétendent aujourd’hui présomptueusement incarner la vérité climatique feignent d’ignorer qu’au-delà de la question de « la réalité du changement climatique » (la controverse sémantique sur laquelle elle se cristallise est finalement accessoire), c’est d’abord sur l’analyse de ses causes et la manière de s’adapter à ses conséquences que porte ce débat.

Un débat confisqué, qui ne doit avoir lieu sous aucun prétexte

En somme, il commence comme en 2020, lorsque des voix se sont élevées pour dénoncer un emballement médiatique autour du COVID, et il se prolonge comme en 2021, avec l’obsession de faire taire ces voix dissonantes et d’étouffer tout débat contradictoire.

Nous apprenions en effet le jour même où Mathilde Panot intervenait dans les médias pour dénoncer « des situations de sécheresse dans les océans et les mers », l’existence d’un projet de loi est en préparation visant à « améliorer le traitement des enjeux écologiques dans les médias ». Fait inquiétant, ce texte prévoit notamment de censurer, en période électorale, les prises de parole qui sous-estimeraient l’urgence climatique, en intégrant, dans les compétences de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom, ex-CSA), « la lutte contre la désinformation sur la contradiction ou la minimisation de l’existence de la crise écologique et de son origine anthropique ».

Un obscur média (Bon pote) s’interrogeait ainsi en 2021 : « Doit-on débattre avec un climatosceptique ? » Il poursuit en 2023 : « Comment les antivax complotistes sont devenus climatosceptiques ». Le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) évoque quant à lui, dans un article de février 2023, des « mercenaires de la désinformation », dépeints comme des activistes organisés « en réseaux [dont] l’objectif [serait] de semer le doute sur la réalité du changement climatique, et de ralentir toutes les actions visant à réduire l’empreinte de l’humanité sur le climat ».

Comment un tel pont entre ces deux crises, aussi artificiel et tortueux, reposant sur deux termes qui existaient à peine avant 2020 – antivax et complotiste – a-t-il pu s’imposer avec une telle évidence dans les médias ? Pourquoi est-il repris aussi spontanément par ceux qui cherchent à nous convaincre de l’imminence de la fin du monde, alors que le seul point commun entre ces deux épisodes est leur traitement médiatique ?

L’aveu de CNN : « La peur, ça vend ! »

À la différence du COVID, toutefois, ce débat commence alors que des mesures similaires sont déjà en gestation, votées pour certaines, et que le programme pour faire taire ces voix dissonantes se met déjà en place.

Aussi, il nous a semblé important de publier la retranscription d’un échange capté par le média Project Veritas, en juillet 2022, entre une lanceuse d’alerte et le directeur technique de la chaîne CNN, Charlie Chester, lors d’un faux rendez-vous obtenu via le site de rencontre Tinder. Charlie Chester ignore qu’il est filmé et revient sur la stratégie de CNN et ses méthodes pour accroître son audience.

— Charlie Chester : Je crois qu’il y a une fatigue COVID. Dès qu’une nouvelle histoire émerge, les gens s’y accrochent. Ils ont déjà annoncé à notre bureau que, dès que le public sera réceptif, nous allons commencer à nous concentrer surtout sur le climat… Le climat et le réchauffement climatique seront nos prochains… je ne sais pas comment dire… notre prochaine priorité, comme faire sortir Trump de la Maison-Blanche, OK, sans le dire, c’est ça. Notre prochain sujet sera la sensibilisation au changement climatique.

— Journaliste : De quoi ça aurait l’air ?

— Charlie Chester : Je ne sais pas, je n’en suis pas certain. J’ai le sentiment qu’on diffusera constamment des vidéos sur la fonte des glaciers, sur le climat qui se réchauffe, les effets que ça aura sur l’économie. Nous allons nous concentrer là-dessus.

— Journaliste : Qui prend cette décision ?

— Charlie Chester : Le dirigeant de la chaîne.

— Journaliste : C’est M. Zucker ?

— Charlie Chester : Oui, Zucker. J’imagine qu’ils ont eu une réunion et qu’ils ont tous discuté de tout ça, ce qu’ils pensent.

— Journaliste : Alors ce sera la prochaine… ?

— Charlie Chester : La prochaine histoire comme la pandémie, vous savez, où l’on entend parler que de cette histoire, mais celle-là, elle va durer… Vous voyez ce que je veux dire ? Ce n’est pas comme… ce n’était pas la fin de la pandémie, mais ça finira par perdre suffisamment d’importance pour ne plus être un problème. Les problèmes climatiques prendront des années. Ils seront probablement en mesure d’exploiter ça pendant un bon moment.

— Journaliste : Alors, il faut s’attendre à une explosion du changement climatique ?

— Charlie Chester : Soyez prêts, ça vient. […] Deux histoires seront exploitées. Le changement climatique sera le prochain sujet de type COVID pour CNN, nous allons en faire une priorité

— Journaliste : Pourquoi vous dites que ce sera le prochain COVID ?

— Charlie Chester : Je le ressens comme ça, c’est la façon dont ça a été proposé. À moins que ce soit une mesure incitative pour pousser les gens à écrire avant qu’on réévalue le tout.

— Journaliste : Croyez-vous que les gens auront peur du changement climatique ?

— Charlie Chester : Oui, la peur, ça vend !

Project Veritas, juillet 2022. Traduction : Quantum Leap Traduction.

Dans une autre séquence, le directeur technique de CNN explique que la chaîne a méthodiquement exploité le levier de la peur durant la pandémie en gonflant artificiellement le nombre de décès et en ressassant perpétuellement des informations dramatiques. Il détaille des techniques de « manipulation » extrêmement sophistiquées au service d’un « agenda », porté par des journalistes recrutés spécifiquement pour leur adhésion à cette manière de traiter l’information :

— Charlie Chester : Les nouvelles tristes ne font pas bon ménage avec les scores d’audience, tu sais. Mais si tu arrives à passionner quelqu’un, là ça fonctionne très. Les nouvelles déprimantes répétées en boucle ne marchent pas très bien sauf si ça affecte les gens directement. Le COVID ? Un succès d’audience, de la folie furieuse ! C’est pour ça qu’on affichait constamment le compteur des morts sur le côté. J’avais un énorme problème avec ça, avec la façon dont nous comptabilisons le nombre de personnes qui meurent chaque jour. Parce que… Il m’est même arrivé de le regarder et de me dire “Faisons-le grimper. Il n’y a pas assez de morts aujourd’hui, cela améliorerait notre audience s’il était plus plus élevé”. Et je me suis dit, “Mais bordel, je participe à quoi, là ? J’ai un problème avec ce qu’on est en train de faire.” Tu vois ?

— Journaliste : Maintenant, je suppose que c’est bon pour l’audience.

— Charlie Chester : Bien sûr, oui, mais à quel prix ? J’ai un travail. Bien sûr, je suis content de ça. Mais.. je ne sais pas.

— Journaliste : Combien de temps cela va durer ? Qui décide de ça ?

— Charlie Chester : Le patron de la chaîne. Je suis allé plusieurs fois dans la salle parce que mon directeur m’avait dit de faire baisser les chiffres. Je l’ai fait, et là, le téléphone rouge au fond de la salle se mettait à sonner. Oui, un téléphone rouge, littéralement. Ce téléphone rouge spécial sonne, quelqu’un un décroche, et c’est le directeur de la chaîne qui appelle. Tu entends des murmures [murmures]. De temps en temps, ils mettent le haut-parleur et tu l’entends qui leur dit : « Vous ne faites rien en ce moment qui me donne envie de rester. Faites remonter les chiffres, parce que c’est la chose la plus alléchante qu’on ait jamais eue.” On parle donc constamment de ce genre de choses.

— Journaliste : Pourquoi CNN ne montre pas les taux de guérison comme pour le compteur des morts, au moins ?

— Charlie Chester : Les taux de guérison ? Oh, on ne les avait pas, donc… Parce que ce n’est pas terrifiant. J’imagine que c’est pour sa qu’on ne l’a fait. Ouais. […]
“Quand ça saigne, ça grimpe.”
Je pense que personne ne dit jamais ces choses à haute voix haute mais c’est évident si je me fie à la montagne d’histoires qu’on raconte.
Comme le fait que nous avons une niche qu’on appelle « le bon produit », qui est une info qui vous fait du bien mais qu’on réserve pour la fin, un peu comme la crème glacée, pour apaiser les gens après tout ce qu’ils ont traversé. Quelque chose de doux pour y mettre un terme. Parce que tout le reste n’est que malheur et tristesse.

Je veux dire, c’est humain. Je me surprends moi-même à regarder davantage les informations quand il y a quelque chose qui se profile et qui fait peur. […]
Il n’y a pas de nouvelles impartiales. Ça n’existe out simplement pas, il y a trop d’agendas.
Il y a trop de gens qui ont besoin de leur emploi, qui doivent nourrir leur famille pour que ce soit impartial. C’est impossible. […]

Nous amenons [les intervenants] à parler d’un sujet de la manière dont nous voulons qu’ils en parlent. On les dirige toujours dans une direction avant même qu’ils n’ouvrent la bouche. Et les seules personnes que nous laissons s’exprimer à l’antenne, pour la plupart, sont des personnes qui ont fait leurs preuves en mordant à l’hameçon. Je pense que ça relève d’un art de la manipulation. Je pense que beaucoup, ou en tous cas certaines personnes l’ont compris de manière inhérente, mais… […]
Certaines inflexions, le fait de répéter les choses… il y a a plein de subtilités dans la façon dont on peut manipuler les gens. […] C’est suffisant pour changer le monde.

— Journaliste : C’est pas le plan justement ?

— Charlie Chester : Oui, il y avait un plan et je pense que cette fois ça fonctionné, comme pour Trump. […] Étions-nous les gentils ou les méchants. Tout dépend de quel côté tu te situes. 

https://www.youtube.com/watch?v=9faQkIA6YNU&t=1s

Sommes-nous entrés dans ce nouvel épisode de la tyrannie médiatique, comme le suggère le directeur technique de CNN ? Si tel est le cas, nous avons deux questions urgentes à résoudre : 1° comment et dans quel état sortirons-nous de ce nouvel épisode dont Charlie Chester nous promet qu’il durera bien plus longtemps que la pandémie ? 2° Que veut-on obtenir des citoyens qui ne s’obtienne que par la peur ?

L’expérience que nous avons vécue collectivement avec le COVID devrait nous mettre en garde contre ce que nous sommes susceptibles d’accepter demain au nom du climat et de la survie de la planète. La troisième qui se pose alors est la suivante : aurons-nous le choix ? La manipulation que décrit l’employé de CNN est-elle censée provoquer une simple prise de conscience afin d’enclencher des comportements plus vertueux, ou nous amener à accepter des mesures sur lesquelles nous n’aurons aucune prise ?

L’étonnante confession du Forum économique mondial

Le World Economic Forum (WEF) a déjà répondu à cette question, en expliquant sur son site (‘My Carbon’ : Une approche pour des villes inclusives et durables) que le COVID fut « le test de la responsabilité sociale », où l’humanité a accepté des « mesures impensables » en termes de santé publique. Il a également confirmé, et c’est sans doute le point le plus inquiétant, la réalité d’un agenda inavoué basé sur notre soumission, individuelle et collective, et dont le changement climatique sera l’alibi au nom duquel nous accepterons demain de nouvelles mesures aberrantes, liberticides et contraires à l’objectif qu’elles prétendent servir.

Cette fois-ci, nous sommes avertis par ceux-là mêmes qui disent être déjà sur le pied de guerre. Si tant est toutefois que nous soyons préparés à les entendre. Le CNRS, quant à lui, ne voit pas où est le problème, comme le montre l’infographie présentée dans son article de février 2023. On apprend qu’il a créé un observatoire visant à identifier les « climato-sceptiques » ou les « climato-dénialistes » qui s’expriment sur Twitter et signalent régulièrement les études qui contredisent la doxa climatique.

Le tweet ayant publié la vidéo dans laquelle s’exprime Charlie Chester y est mentionné, mais non commenté, on ne saura donc pas comment le CNRS justifie les propos qui y sont tenus pas l’employé de CNN. En revanche, le mathématicien David Chavalarias (normalien, agrégé de mathématiques, docteur de l’École polytechnique), qui dirige le projet Climatoscope au sein du centre de recherche français, valide l’existence d’un pont entre (la gestion médiatique) du COVID (et celle du) réchauffement climatique, mais pour y ajouter un troisième élément : la guerre en Ukraine.

« Le regain de climato-dénialisme que l’on observe depuis l’été 2022 semble avoir pour origine, pour une part importante, ce troisième courant [le climatoscepticisme géopolitique qui provient de pays aux régimes totalitaires]. Nous observons des comptes qui auparavant semaient la discorde sur les vaccins contre le Covid-19, et qui, après avoir relayé la propagande du Kremlin autour de la guerre en Ukraine, se sont mis à défendre des thèses climatosceptiques. 60 % de la communauté climato-dénialiste active en 2022 a participé à des campagnes numériques pro-Poutine. La force des climato-dénialistes est d’avoir un agenda politique tout en le cachant. »

Escalón S. Climatosceptiques : sur Twitter, enquête sur les mercenaires de l’intox. 21/02/2023.

Les milliers de scientifiques* qui se contentent aujourd’hui de « nuancer le consensus scientifique sur la réalité d’un réchauffement climatique d’origine humaine » et de réclamer l’ouverture d’un débat contradictoire, apprécieront de savoir qu’ils sont les jouets de Vladimir Poutine ou des activistes politiques, complotant froidement contre l’humanité et la survie de la planète.

Plus concrètement, faut-il y voir dans le futur projet de loi porté conjointement par la majorité et l’opposition située la plus à gauche de l’échiquier politique, la volonté de ne pas commettre « la même erreur » que pendant le COVID, où malgré la difficulté à se faire entendre, la voix de certains scientifiques, alertant sur un manque de recul face à des vaccins innovants, a réussi à se frayer un chemin jusqu’aux oreilles de certains citoyens ?


Note

Qui sont ces scientifiques ?

  • Steve E. Koonin fut le conseiller d’Obama, il a dirigé le Centre des sciences urbaines et du progrès de l’université de New York et compte à son actif plus de 200 articles revus par des pairs.
  • Judith A. Curry est l’ancienne directrice de l’École des sciences de la Terre et de l’atmosphère (SOAS), affiliée au Georgia Institute of Technology. L’établissement est classé parmi les 25 meilleures universités au niveau mondial, la quatrième aux États-Unis dont il est le premier vivier d’astronautes de la NASA.
  • Richard Lindzen est un physicien américain, ancien professeur de météorologie au Massachusetts Institute of Technology (MIT), ex-auteur principal du GIEC).
  • William Happer est professeur émérite de physique nucléaire à l’Université de Princeton, ancien membre du Conseil de sécurité nationale (NSC) des États-Unis (2018-2019) et ancien directeur du Bureau des sciences du Département américain de l’énergie (1991-1993). Il soutient que la hausse du CO2 est une solution et non un problème au réchauffement climatique.
  • Ian Plimer est géologue et professeur émérite à l’université de Melbourne. Il compte plus de 130 articles revus par des pairs à son actif.
  • François Gervais est professeur émérite à la Faculté des sciences et techniques de l’université de Tours où il a dirigé le Laboratoire d’électrodynamique des matériaux avancés. Il a été expert reviewer du rapport AR5 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
  • Ian Clark est un paléo-climatologue canadien, professeur au Département des sciences de la Terre à l’université d’Ottawa. Il a été conseiller scientifique du Natural Resources Stewardship Project (NRSP) et intervient comme expert auprès Competetive Enterprise Institute (CEI), qui le considère comme l’un des meilleurs spécialistes au monde de l’Arctique.
  • John Clauser est un physicien expérimental et théoricien américain. Il est le colauréat du prix Nobel de physique 2022 qui consacre sa contribution aux fondements de la mécanique quantique.

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