Climat politique

J.Y. Drustan | 27 juillet 2023

Homo climatus est-il le nouveau bouc émissaire d’une politique de la peur ?

Le 13 juillet dernier, l’Agence spatiale européenne (ESA) émettait un signal d’alerte dans le cadre du programme Copernicus, en charge de l’observation de la Terre et décrit comme visant à « comprendre et atténuer les effets du changement climatique et assurer la sécurité civile ». L’Europe se préparait à « étouffer au mois de juillet » sous une chaleur dantesque, et « 48 degrés Celsius étaient attendus en Sicile et en Sardaigne ».

Qui de l'homme ou du climat est-il le nouveau bouc émissaire de la politique de la peur ?

Il est toujours étonnant d’observer cette partie des médias, sans doute désireux de maintenir une certaine tension au sein de leur lectorat, se ruer sur les effets d’annonce afin d’alimenter et d’en exploiter le buzz le plus longtemps possible. Le tocsin sonné mi-juillet par l’ESA n’a pas dérogé pas à la règle et s’est révélé l’occasion d’un nouveau déchaînement sur les médias mainstream.

Fait curieux, ou pure coïncidence, et alors qu’on aurait pu penser qu’une agence européenne occupait une position d’autorité dans le processus de circulation de l’information, l’article de l’ESA semble lui-même s’appuyer sur une publication du quotidien anglais The Guardian qui indiquait, quatre jours, plus tôt : « Les prévisions de haute pression augmenteront les températures à 48 °C alors que le temps chaud balaie l’Espagne, la France, l’Allemagne et la Pologne ». Il mentionnait également un dépassement du record de température des 48,8 °C enregistrés à l’été 2021 à Florida en Sicile.

L’annonce de cette ébullition à grande échelle s’est donc répandue telle une traînée de poudre, et c’est à l’unisson et tels les anges buccinateurs, que les grands médias traditionnels nous annonçaient les jours suivants cette nouvelle fin du monde.

Dès le lendemain, Der Speigel relayait l’information en l’état, annonçant lui aussi « Jusqu’à 48 degrés attendus dans le sud de l’Europe », allant même jusqu’à citer directement un tweet de l’ESA :

« Une “grande vague de chaleur” est attendue, a écrit l’ESA sur Twitter. »

Des cartes météo catastrophiques étaient diffusées à peu près au même moment, sur tous les médias et leurs relais sur les réseaux sociaux, parfois accompagnées d’appels à des mesures d’urgence !

Les médias français n’étaient donc pas en reste, à l’instar de BFMTV, qui, peut-être prise de court par l’annonce de l’ESA, tentait de se rattraper aux branches le jour même en présentant un curieux code couleur « jaune canicule, notamment dans l’ouest et la basse vallée du Rhône avec des températures attendues se rapprochant des 37-38 degrés ».

Cette interprétation tout à fait originale du guide vigilance météo de Météo France était ensuite compensée par la présentation d’une carte européenne écarlate, censée illustrer la catastrophe climatique attendue.

Code couleur BFMTV "jaune canicule"
Carte d'Europe rouge flamme BFMTV

De son côté, le Huffington Post trouvait sans doute pertinent d’illustrer son article « Vague de chaleur en Europe : ce qui explique les températures « extrêmes » de ce week-end » d’une carte européenne carbonisée arborant fièrement des coordonnées de référence – 49,51° N – qui, dans ce contexte, ne pouvait bien évidemment prêter à aucune confusion…  Les lecteurs en jugeront.

Illustration de l'article du Huffington Post incluant une annotation ambigüe laissant à penser qu'il s'agirait de la température

Mediapart quant à lui, attendait le 16 juillet pour annoncer que « Les températures devraient largement dépasser les 40 °C, atteindre 43 °C à Rome, un record historique, ou encore 48 °C en Sicile », températures là encore totalement surestimées pour ne pas dire farfelues, bien loin des valeurs records enregistrées en 1998 sur la perle noire de la Méditerranée, comme le montre le site infoclimat.fr.

Carte des températures européennes du 17 juillet 2023 - infoclimat.fr

Les températures en France ne semblaient pas non plus vouloir se plier au narratif. Coïncidence ou pas, l’alerte de l’ESA était actualisée cinq jours plus après sa publication initiale, soit le 18 juillet, précisant que la température terrestre avait été utilisée en lieu et place de la mesure utilisée de tout temps : la température de l’air à 2 m.

Pendant ce temps, le réseau social Twitter était lui aussi inondé de messages d’affolement, au premier rang desquels celui de Sandrine Rousseau qui ne manquait pas d’annoncer, en ce 13 juillet 2023, une température absolument fictive ayant davantage à voir avec une température de cuisson qu’à un indicateur météorologique :

« Il fait 60 degrés en Espagne.
60 degrés. »

Interrogée ensuite sur BFMTV, la tête de fil d’Europe Écologue les Verts qui reconnaissait avoir délibérément supprimé un premier message avertissant de la référence à la température au sol, ne regrettait à l’évidence en rien d’avoir pris les français pour des idiots en s’octroyant quelques « libertés scientifiques ». Sandrine Rousseau revendiquait vouloir « alarmer le public sur les des températures extrêmes prévues en Espagne et provoquer ainsi un effet wake up sur la gravité et l’ampleur qu’à ce réchauffement climatique ».

Mme Rousseau n’est bien évidemment jamais revenue sur cet emploi inédit de la température au sol ne permettant certainement pas d’évaluer une quelconque évolution historique du climat.

Comment la température est-elle évaluée ?

Un article du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) de janvier 2022, qui fait le point sur la température réelle au sol, indique sans ambiguïté que « la plupart des cartes de températures disponibles à l’échelle globale donnent la température de l’air telle que mesurée par les stations météorologiques, c’est-à-dire sous abris et à une hauteur standard comprise entre 1,25 et 2 m au-dessus du sol, suivant les normes de L’Organisation météorologique mondiale (OMM. ».

Nous apprenons ainsi dans cet article que « la température de la zone superficielle du sol montre des écarts […] par rapport à la température de l’air […] pouvant atteindre jusqu’à 10 °C par endroit et suivant les saisons », et que les températures terrestres enfin relevées en 2022 ont finalement servi à créer des « modèles prédictifs » utilisés pour tenter de « spatialiser les conditions de température entre 0 et 5 cm au-dessus du sol, et 5 à 15 cm de profondeur ».

À moins donc de prévoir un soudain basculement de l’espèce humaine vers une dimension nanométrique, il paraît assez peu pertinent de vouloir mettre en avant ces mesures pour alerter sur un quelconque niveau de canicule que l’humanité aurait à affronter.

Réchauffement climatique et hyper-buzz médiatique

En quelques jours seulement, l’épisode de fin du monde climatique s’est largement fait oublier. Le dimanche 23 juillet est pluvieux et déprimant dans de nombreuses régions du nord de la France, ce qui correspond à un été normal et tout à fait attendu par les juilletistes sur les côtes de Méditerranée.

Mais ne valait-il pas mieux prévenir que guérir ? Peut-être pas tant que ça, et le rétropédalage de dernière minute du journal Der Spiegel, dans son article du 14 juillet 2023, reflète finalement assez bien le caractère un tantinet exagéré de cette alarme généralisée.

Julian Reichelt, dans son émission « Achtung Reichelt ! », exposait ainsi dès le 17 juillet la modification en loucedé du billet catastrophiste de l’hebdomadaire qui avait finalement remplacé son alerte de surmortalité par une courte information, rappelant le caractère inhabituel du recours à la température au sol dans une prévision météorologique estivale :

« 46 degrés à Rome, 47 à Séville, 48 en Sicile […] selon les prévisions de l’ESA, ce week-end sera très chaud. Les médecins se préparent déjà à de nombreux décès par la chaleur »

« 46 degrés à Rome, 47 à Séville, 48 en Sicile  […] Cependant, les valeurs mesurées ne se réfèrent pas à la température de l’air habituelle – qui pourrait être nettement inférieure. »

Émission YouTube de Julian Reichelt

Du côté de l’Hexagone, un bref aperçu du traitement de l’épisode par les médias français nous suffit pour comprendre toute la diligence de la presse à s’engouffrer dans un nouveau narratif de la peur, centré sur la « catastrophe » climatique.

C’est ainsi que, sans doute dans le souci de coller au plus près de la réalité, la chaîne de Patrick Drahi » proposait le 13 juillet après sa « vigilance jaune canicule », une carte tirant davantage sur un « rouge anglais » à tendance « bordeaux », et présentant des températures lissées autour des 35 degrés sur l’ensemble du territoire.

Ces valeurs irréalistes étaient ensuite démenties par le relevé plus pondéré du site climat.fr.

Carte BFMTV du 13 juillet 2023-  températures exagérées sur tout le territoire
Carte des températures du 13-07-2023 générée par infoclimat.fr

Enfin, le logiciel ARPÈGE de Météo France semble désormais systématiquement proposer une version quelque peu « bouillie » de l’ensemble du territoire national, y compris pour des températures affichées tout à fait habituelles, sans que personne ne semble s’offusquer de l’utilisation généralisée du vermillon pour des valeurs qui n’avaient jusqu’à présent provoqué aucun émoi à l’ensemble de la planète.

Code couleurs de la carte des températures du 10 août 1998
Code couleurs de la carte des températures du 18 juillet 2023

Alarmisme climatique, le nouveau cheval de Troie d’une politique basée sur la peur ?

Plus une seule journée ne se passe désormais sans que la priorité à la « lutte contre le changement climatique » ne nous soit rappelée et que chaque occasion ne soit saisie, pour nous faire comprendre à quel point notre activité est bien la principale responsable de notre mort imminente.

Cet épisode de chaleur n’a bien évidemment pas manqué à la règle, et l’aveu d’escroquerie intellectuelle d’une Sandrine Rousseau totalement décomplexée à l’idée de faire « le buzz » était bien là pour nous rappeler que nous devrons désormais accepter de payer le prix de cette évolution, quel qu’il soit, et quelle puisse être la raison d’une politique semblant idéologiquement assumée.

Le positionnement des médias se traduit ainsi par un matraquage en règle, bien décidé à pointer l’impact délétère de l’activité humaine, et du CO2 qu’elle génère sur le climat.

Sur France 2, le journal météo est désormais appelé « Météo climat » et une « minute climatique » suivant le bulletin de la chaîne du service public nous rappelle inlassablement que le dioxyde de carbone est le principal responsable du changement climatique.

Sans surprise, le site tf1info.fr propose régulièrement des articles ambigus laissant facilement penser que les forêts seraient elles-mêmes émettrices de CO2, ou relayant passivement le discours gouvernemental selon lequel la neutralité carbone de l’activité humaine serait l’alpha et l’oméga de la stabilisation du climat et de l’atmosphère terrestre.

La responsabilité de cet horrible carbone semble définitivement identifiée et au temps des doxas, plus aucune place n’est laissée à la controverse ou à l’exposition d’un quelconque débat scientifique pouvant remettre en cause ce que « tout le monde sait bien » désormais.

L’adhésion à l’idée d’un réchauffement climatique causé par l’activité humaine nous est donc systématiquement imposée sous peine d’une condamnation publique pour climatoscepticisme et nous sommes priés d’accepter sans comprendre cette nouvelle vérité.

Mais cette volonté forcenée de pointer l’activité humaine comme principale responsable de la tendance climatique nous incite au contraire, si ce n’est à nous méfier, du moins, à rester attentifs aux constatations de quelques-uns des plus éminents climatologues.

Comment, en effet, ne pas prêter attention aux résultats produits dès 2015 par Ian Clarck, professeur émérite à l’université de Waterloo (Canada), des analyses des carottes de glace qui mettaient en évidence un retard d’environ 800 ans du niveau de CO2 dans l’atmosphère sur les courbes des températures, et s’inscrivaient ainsi en faux contre la thèse d’un « réchauffement climatique dû à l’augmentation du dioxyde de carbone » ?

Comment rejeter d’un revers de la main les multiples auditions de Judith Curry, éminente climatologue américaine et ancienne directrice de la School of Earth and Atmospheric au Georgia Institute of Technology ayant pris position devant les plus hautes instances scientifique et politiques pour dénoncer tout autant, le manque de pertinence et le faible niveau de preuve sur lesquelles s’appuient les théories du changement climatique induit, que les faiblesses du système de financement de cette recherche qui mettent selon elle en danger jusqu’à la probité et l’autorité de la science du climat ?

Et comment encore ne pas prêter l’oreille aux interrogations de Ian Plimer, géologue et professeur émérite à l’Université de Melbourne, qui après vingt-cinq ans de demandes répétées, semble encore en attente de la moindre preuve irréfutable de l’origine anthropologique du réchauffement climatique, et rappelle quelques évidences mathématiques.
Pour le Pr. Pilmer en effet, si les 3% du dioxyde de carbone d’origine humaine contenu dans l’atmosphère suffisaient à induire un changement climatique, il faudrait pouvoir prouver que les 97% restants n’ont quant à eux aucun impact sur celui-ci, et, quelle que soit la part du CO2 d’origine humaine, qu’une fraction des 0,035% que représentent le CO2 présent dans l’atmosphère endosse in fine une responsabilité décisive pour le réchauffement planétaire.

Doxa et censure, terreaux de tous les totalitarismes

Bien sûr, personne ne niera les derniers épisodes de chaleurs, comme personne d’ailleurs, n’a jamais mis en cause les records de températures de 1998 en Sicile. Mais, nous devons voir dans ce nouvel épisode doxique, un révélateur qui nous impose de rester vigilants, prompts à dénoncer chaque manipulation, chaque déviance et chaque certitude présupposée : de la contorsion sémantique de Sandrine Rousseau à la manipulation des codes couleur des bulletins météo, des affirmations péremptoires de certains politiques qui promettent tous les jours une nouvelle fin du monde, la fin de l’abondance et la fin de la sécurité climatique, à la limitation toujours plus prégnante et présentée comme inévitable de nos libertés individuelles.

Nous découvrons aujourd’hui la formation d’une commission parlementaire chargée d’élaborer une proposition de loi de « répression du climatoscepticisme dans les médias », et c’est un véritable commando de gauche élargie qui se propose d’inscrire dans la loi ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas, d’imposer aux médias la signature d’une « charte climatique » et d’établir des règles temporaires pour les campagnes électorales, en bref, de censurer toute expression non conforme à un discours climatique officiel.

Interdits d’accès à tout discours contradictoire, privés de notre droit à la réflexion et de notre liberté d’expression, forcés à l’adhésion, nous finirions peut-être bientôt par assister à l’émergence d’idées finalement pas si nouvelles que cela, de hiérarchie, de castes et de servage digital sur fond de menace imminente et d’ultime recours.

Il est donc peut-être temps de nous interroger sur les réels enjeux du discours climatique et de la pertinence des solutions qui nous sont proposées, et il suffit parfois d’une simple mise en perspective des faits et des paroles publiques pour nous permettre de nous questionner sur ces moyens stupéfiants, déployés au long cours pour forcer notre adhésion à un projet qui pourrait bien ne pas être tout à fait le nôtre…

Le 27 juillet 2022, le journal Ouest France revenait sur le rapport annuel de la Cour des comptes qui pointait du doigt les 56 déplacements par avion présidentiel réalisés par Emmanuel Macron, et son usage « immodéré des avions à l’heure du réchauffement climatique », au prix de 20 000 euros de l’heure de vol et un montant de 4,4 millions d’euros.

Le 24 novembre 2022, Jean-Marc Jancovici validait sur France Inter qu’il était favorable à « un système communiste où, riches ou pauvres n’auraient droit qu’à 3 ou 4 vols au cours de leur vie dont 2 au cours de leur jeunesse ».

Le 13 juillet 2023 Karl Lauterbach, ministre fédéral de la Santé, alertait la population dans un élan de responsabilité, que :

« Si les choses continuent ainsi, ces destinations de vacances n’auront aucun avenir à long terme.
Le changement climatique détruit l’Europe du Sud.
Une époque s’achève
 ».

Sept jours plus tard, le même personnage ayant visiblement retrouvé toute son insouciance postapocalyptique, se photographiait devant la fontaine de Trevi, heureux comme Ulysse, de son beau voyage en avion et de son périple italien : 

« 36 degrés, un peu de vent. C’est très bien. Après le Caravage dans la cool Galleria Borghese, maintenant la fontaine de Trevi. »

Que de magnifiques exemples au royaume d’Europe, si équitable, si démocratique, et où, à l’évidence, le narratif apocalyptique ne revêt pas le même caractère d’urgence pour tout le monde…

La liberté d’exprimer et de publier des opinions […] est presque aussi importante que la liberté de penser elle-même, elle repose dans une large mesure sur les mêmes raisons, ces deux libertés sont pratiquement indissociables.

John Stuart Mill, De la liberté

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