Santé publique

Mathilde Debord | 24 juillet 2023

Explosion des invalidités aux États-Unis et au Royaume-Uni depuis 2021 : The US Disability Project (2/2)

La société Phinance Technologies a publié en juillet 2023 une vaste étude de l’impact présumé des injections sur la santé de la population anglaise. Cette étude se base sur une enquête réalisée par le ministère du Travail et des Pensions (DWP) concernant le programme d’attribution des pensions d’invalidité (PIP). Deux autres jeux de données en provenance des États-Unis rapportent une tendance similaire. Le premier est fourni par une seconde étude de Phinance Technologies, intitulée US Disability Project, le second est issu de la Réserve fédérale américaine.

Explosion des handicaps en 2021 aux États-Unis
© John Tyson

Nous avons détaillé dans un précédent article les résultats de l’enquête réalisée par la société Phinance Technologies, cofondée par l’ancien gestionnaire de fonds BlackRock, Edward Dowd, également auteur du livre “Cause Unknown”: The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 & 2022 (“Cause inconnue”: L’épidémie de morts subites en 2021 et 2022). Il a détaillé récemment ces résultats lors d’une émission de plus d’une heure où il explique : « Quelque chose se passe avec notre main-d’œuvre que nous n’avons jamais vue auparavant. » L’un des cofondateurs de Phinance Technologies a également commenté cette étude issue du croisement de plusieurs bases de santé officielles : « Ils ne peuvent pas fuir ces données ! »

Nous détaillons ici deux nouveaux jeux de données concernant l’impact des injections sur la santé de la population américaine, notamment celle de la population active et des adolescents.

Le projet « Handicap, États-Unis » (US Disability Projet)

Le projet « Handicap, États-Unis » (US Disability Project) vise à évaluer l’impact des injections sur la population, découpée en plusieurs cohortes : population générale, population active civile (avec ou sans emploi) et personnes employées ou ayant un emploi sur la période analysée. L’étude se base pour cela sur le recoupement des données issues du Bureau américain des statistiques du travail (BLS), de l’étude V-Safe des CDC et des données des essais cliniques Pfizer et Moderna. Il s’agit d’une étude majeure par la taille de l’échantillon qu’elle analyse, la durée d’observation (2008-2022), sa méthodologie et les conclusions dégagées par les auteurs.

L’étude se découpe en 7 parties :

  • aperçu des données ;
  • augmentation des invalidités à partir de 2021 ;
  • relation avec la vaccination ;
  • relation avec les décès excessifs ;
  • relation avec les effets indésirables graves retrouvés dans les essais cliniques de vaccins ARNm ;
  • relation avec les effets indésirables graves retrouvés dans les essais cliniques du vaccin Pfizer ;
  • relation avec les hospitalisations suite à la vaccination, signalées dans l’étude V-Safe.

Nous en restituons ici les principaux résultats en évitant chaque personne qui le souhaite à la consulter.

Aperçu des données

Le pourcentage de la population présentant une invalidité ou un handicap a suivi une évolution sensiblement différente selon les tranches d’âge (16-64 ans versus plus de 65 ans) entre 2008 et 2022, mais la même tendance s’observe depuis le début de la pandémie dans la population âgée de moins de 64 ans ou de 65 ans et plus.

Cette tendance est caractérisée par une baisse du nombre d’invalidités concomitante avec les confinements, suivie d’une hausse du taux de personnes handicapées en 2021. Chez les 65 ans et plus, le moment charnière se situe en février 2021. Chez les 16-64 ans, il se produit seulement en mai 2021, passant de 7,3 % à 8,1 % en septembre 2022, ce qui correspond à une augmentation de 11 %.

Évolution de la population de 65 ans et plus avec un handicap, 2018-2022

Évolution de la population de 65 ans et plus avec un handicap, 2018-2022
Évolution de la population de 65 ans et plus avec un handicap, 2018-2022

Observe-t-on la même tendance au sein de la population active ? Cette augmentation peut-elle s’expliquer par un retard de diagnostic des handicaps acquis pendant les confinements ?

  • Au sein de la population active civile sur le marché du travail, réputée en meilleure santé que la population générale, on observe sensiblement la même tendance chez les 65 ans et plus : les incapacités chutent drastiquement en 2020 ainsi que le nombre de personnes quittant le marché du travail, la plus forte baisse du pourcentage d’employés de 65 ans et plus présentant un handicap étant enregistrée en septembre 2020. Les incapacités retrouvent leurs valeurs d’avant la pandémie au début de 2021, mais elles commencent à augmenter fortement à partir de mai 2021, avec un nombre élevé de personnes quittant le marché du travail.
  • A contrario, chez les actifs de la tranche d’âge 16-64 ans, aucune baisse notable des incapacités n’a été observée en 2020. En revanche, on observe également une augmentation très sensible des incapacités à partir de mai 2021, évaluée à 23,5 % pour l’ensemble de la population active entre 16 et 64 ans, avec une proportion de femmes deux fois plus élevée (36,4 % vs 15 % d’hommes).
  • Cette hausse est particulièrement impressionnante au sein de la population active « en emploi », puisqu’elle s’élève à 25,8 % durant cette période (38,7 % pour les femmes vs 19,3 % pour les hommes). Elle l’est encore plus lorsqu’on compare le taux d’incapacités observé en septembre 2022 avec celui correspondant à la moyenne 2018-2019, où l’écart par rapport à la tendance atteint 29 % dans la population entre 16 et 64 ans, ce qui constitue selon les auteurs « un signal fort ».
  • Cela s’explique probablement par une combinaison de facteurs (diagnostic retardé des handicaps acquis, COVID long, reprise d’activité post confinement mais également), mais la brutalité de cette augmentation plaide selon eux pour un impact de la vaccination, imposée dans de nombreuses entreprises ou secteurs d’activité aux États-Unis :

« Bien qu’une série de facteurs puissent être en jeu, le moment et la nature soudaine de l’augmentation des invalidités suggèrent que le déploiement des programmes de vaccination pourrait avoir eu un impact significatif. D’autres facteurs (ceux liés à un retour à une activité économique et sanitaire plus normale) seraient plus susceptibles de provoquer une modification progressive des taux d’invalidité, commençant plus tôt dans les phases de reprise post confinement de la mi-fin 2020.»

Écart de la population civile active (16-64 ans) avec un handicap par rapport à la moyenne 2008-2019

Écart de la population civile active (16-64 ans) avec un handicap par rapport à la moyenne 2008-2019
Écart de la population civile active (16-64 ans) avec un handicap par rapport à la moyenne 2008-2019

Hausse des handicaps à partir de 2021

Afin de tester cette hypothèse, les auteurs se sont intéressés à l’évolution des nouvelles incapacités entre février 2021, qui correspond au moment où le vaccin COVID-19 a été déployé dans la population, et novembre 2022.

  • Pour la tranche d’âge 16-64 ans, après février 2021, la hausse des taux d’invalidité après février 2021 apparaît près de 3 fois plus importante dans la population active que dans la population générale, avec une hausse de 24,6 % vs 8,83 %. Notamment, le taux de nouvelles invalidités apparaît proportionnellement beaucoup plus élevé au sein de la population active que dans la population générale (0,93 % vs 0,76 %), avec un taux supérieur de 22,3 % qui atteint 55,3 % parmi les personnes en emploi.
  • A contrario, au sein de la population inactive ou sans emploi, le taux de nouvelles invalidités n’a été que de 0,21 %, soit un taux 4,4 fois moins élevé (435,78 %) que parmi la population active (jusqu’à 5,3 fois parmi les personnes effectivement en activité de cette tranche d’âge).

Évolution des incapacités dans la population (16-64 ans) entre février 2021 et novembre 2022

Évolution des incapacités dans la population (16-64 ans) entre février 2021 et novembre 2022
Évolution des incapacités dans la population (16-64 ans) entre février 2021 et novembre 2022
  • Pour la tranche d’âge 65 ans et plus, la hausse des taux d’invalidité dans la population active après février 2021 est encore plus marquante, puisqu’elle s’élève à 34,2 % pour l’ensemble de la population active de cette tranche d’âge (33,03 % pour les travailleurs « en emploi »), vs 5,28 % pour la population générale du même âge, ce qui représente une hausse 7 fois plus importante. Même tendance pour les nouvelles invalidités, qui accusent un taux supérieur de 39,2 % à celui observé dans la population générale.
  • La différence entre personnes actives et sans emploi, par rapport à la population générale, est en revanche moins marquée. Pour les personnes « inactives », le taux de nouvelles invalidités était certes plus élevé que dans la tranche d’âge 16-64 ans (2,90 %) sur la même période, mais il l’était également au sein de la population générale (3,29 %) et de la population active (4,58 %). L’écart par rapport à la population active n’est donc que de + 57,9 %.

Évolution des incapacités dans la population (+ 65 ans) entre février 2021 et novembre 2022

Évolution des incapacités dans la population (+65 ans) entre février 2021 et novembre 2022
Évolution des incapacités dans la population (+65 ans) entre février 2021 et novembre 2022

En conclusion, il ressort que :

  • L’augmentation des invalidités semble toucher davantage les personnes âgées (65 ans et plus) que les personnes plus jeunes (16-64 ans), peut-être en raison de taux de vaccination plus élevés ou d’une plus grande susceptibilité aux blessures.
  • Au sein de chaque groupe d’âge, l’augmentation des invalidités semble avoir un impact plus important sur les personnes appartenant à la population active que sur les personnes « hors de la population active », ce que les auteurs soupçonnent d’être dû aux mandats de vaccination pour l’emploi.

Lien entre la hausse des incapacités dans la population active avec la vaccination

Cette hypothèse est affinée dans la suite de l’étude par la mise en perspective de ces résultats avec le taux d’adhésion à la vaccination. Lorsqu’on superpose la courbe de la hausse du taux d’incapacité depuis le déploiement des injections (février 2021) avec les données de vaccination (nombre de doses cumulées), la corrélation est parfaite pour les deux tranches d’âge considérées.

Relation entre la hausse des handicaps dans la population civile active (16-64 ans) et le nombre de doses de vaccin administrées

Relation entre la hausse des handicaps dans la population civile active (16-64 ans) et le nombre de doses de vaccin administrées (États-Unis)
Relation entre la hausse des handicaps dans la population civile active (16-64 ans) et le nombre de doses de vaccin administrées (États-Unis)

Relation entre la hausse des handicaps dans la population civile active (+ 65 ans) et le nombre de doses de vaccin administrées

Relation entre la hausse des handicaps dans la population civile active (+65 ans) et le nombre de doses de vaccin administrées (États-Unis)
Relation entre la hausse des handicaps dans la population civile active (+65 ans) et le nombre de doses de vaccin administrées (États-Unis)

Lien entre la hausse des incapacités et la surmortalité

Le plus inquiétant reste sans doute le lien entre la hausse de ces incapacités, potentiellement induites par les injections, et les données de surmortalité générées par les CDC. Là encore, les courbes produites par les auteurs sont accablantes.

Elles montrent en particulier que :

  • il existe une forte corrélation entre l’augmentation des taux d’incapacité et l’augmentation de la surmortalité, tant chez les personnes âgées (65+) que chez les jeunes (16-64), à partir de février 2021 et jusqu’en novembre 2022 ;
  • pour la tranche d’âge 16-64 ans, chaque augmentation de la surmortalité semble s’accompagner d’un facteur d’environ 4 incapacités supplémentaires. Il est d’environ 3,5 pour le groupe d’âge de 65 ans dont les taux d’incapacité étaient plus élevés au départ.

Comparaison entre les incapacités dans la population civile active (16-64 ans) et les décès excédentaires (25-64 ans) depuis le 01/02/2021

Comparaison entre les incapacités dans la population civile active (16-64 ans) et les décès excédentaires (25-64 ans) depuis le 01/02/2021 (États-Unis)
Comparaison entre les incapacités dans la population civile active (16-64 ans) et les décès excédentaires (25-64 ans) depuis le 01/02/2021 (États-Unis)

Comparaison entre les incapacités dans la population civile active (+ 65 ans) et les décès excédentaires (+ 65 ans) depuis le 01/02/2021

Comparaison entre les incapacités dans la population civile active (+ 65 ans) et les décès excédentaires (+ 65 ans) depuis le 01/02/2021 (États-Unis)
Comparaison entre les incapacités dans la population civile active (+ 65 ans) et les décès excédentaires (+ 65 ans) depuis le 01/02/2021 (États-Unis)

L’étude propose trois autres analyses comparatives, visant à évaluer la cohérence de ces résultats avec :

Ces données constituent une masse statistique critique qui ne laisse guère de doute sur le rôle qu’ont pu jouer les injections dans cette aggravation de l’état de santé de la population américaine, notamment la population active, et interroge au contraire sur la pertinence des mandats de vaccination imposés dans un grand nombre d’entreprises américaines.

L’alerte lancée par le Réserve fédérale américaine

La Réserve fédérale américaine, dont la base de données économiques (FRED) est considérée comme l’une des plus pertinentes et comme un outil essentiel pour les décideurs financiers a également mis en avant l’augmentation inquiétante du nombre d’incapacités depuis le déploiement des injections. Elle se base sur la même source que l’étude de Phinance Technologies (US Disability Project), mais actualisée, puisque la courbe se prolonge en 2023, là où l’étude précédente s’arrête en novembre 2022. La FRED n’en fait toutefois aucun commentaire, le graphique est simplement posé là.

Évolution des incapacités dans la population (16-64 ans) entre 2009 et 2023 (États-Unis), source : FRED
Évolution des incapacités dans la population (16-64 ans) entre 2009 et 2023 (États-Unis), source : FRED

Edward Dowd, l’un des auteurs du projet « Handicap, États-Unis », l’a fait récemment :

« Vous pouvez voir que la courbe a commencé à dérailler statistiquement en février 2021 puis qu’elle a décollé et est passée dans le rouge. La bonne nouvelle était que le taux de changement a ralenti, mais malheureusement, au cours des deux derniers mois, nous avons ajouté 1,3  ou 1,2 million de personnes s’auto-identifiant comme « nouveaux handicapés ». Nous avons jouté 850 000, mais il semble que le taux de changement s’accélère à nouveau. Donc, nous avons une crise. Je ne veux pas…, vous savez…, j’ai une idée de la cause, mais nous devons nous rassembler en tant que nation dans une communauté médicale et analyser ça et y mettre un terme parce que ça ne s’arrête pas, ça ne ralentit pas, au contraire, ça réaccélère.»

Peut-on imaginer que la situation soit différente en France ? Il faut l’espérer, mais rien n’est moins sûr puisque la corrélation de ces résultats avec le volume de doses administrées et leur cohérence avec les données cliniques, qui continuent d’être livrées par les laboratoires sur requête judiciaire (le simple fait qu’il ait fallu aller en justice pour contourner la volonté des laboratoires de ne pas les publier devrait inquiéter chaque médecin et chaque journaliste ayant fait la promotion des injections ou les ayant administrées), laisse peu de place au suspense.

Cette question est devenue en réalité essentiellement rhétorique. Les Human Projects incluent en effet une série de rapports permettant de mieux caractériser la toxicité des injections, qui démontrent qu’elle était établie avant leur déploiement à l’échelle de la population mondiale :

  • le Vaccine Damage Project analyse l’impact des inoculations sur la santé de la population et les plus particulièrement la population active ;
  • l’Excess Mortality Project évalue les données de surmortalité européennes, irlandaises, allemandes, britannisques, américaines et leur corrélation avec les injections.

La société Phinance Technologies annonce d’autres études à venir, dont le VAERS Data Project et le Yellow Card Project (données de pharmacovigilance américaines et anglaises). L’une est particulièrement attendue compte tenu des données d’observation accumulées à ce jour : le projet Fertility Project.

À l’heure où ceux qui ont promu les injections sans la moindre réserve, sur la base de données de sécurité au mieux imaginaires, et verrouillé tout accès à une information qui aurait pu permettre de détecter officiellement un signal d’alerte redeviennent peu à peu des « justiciables comme les autres », on peut supposer qu’ils appréhendent ce qu’elles révéleront aux milliers de femmes qui se sont fait vacciner pour protéger la santé de leur bébé et dont on découvre aujourd’hui qu’ils naissent en réalité avec un système immunitaire affaibli.

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