Autopsies post-vaccinales
L’autopsie des personnes vaccinées révèle une atteinte des organes vitaux d’origine auto-immune dans 90 % des cas étudiés
Le 8 janvier 2022, le Dr Sucharit Bhakdi, médecin microbiologiste spécialisé en infectiologie, immunologie et épigénétique publiait une vidéo dans laquelle il expose le résultat d’une série d’autopsies réalisées sur des adultes décédés après une vaccination contre le COVID-19. Les injections étaient la cause du décès dans 90 % des cas. Au sein d’une vidéo alarmante d’une durée de 15 minutes, le Dr Bhakdi décrit la pathogénicité des vaccins géniques. L’immunologue termine son témoignage par une mise en garde retentissante sur une possible recrudescence de pathologies auto-immunes. De nombreuses études et témoignages de médecins lui donnent aujourd’hui raison.
Les conclusions du Dr Bhakdi s’appuient sur les résultats d’une série d’autopsies réalisées par l’équipe du Pr Arne Burkhardt, actuellement considéré comme l’un des plus éminents pathologistes allemands. Les mécanismes pathogènes révélés par ces autopsies seraient communs à l’ensemble des vaccins géniques administrés dans le cadre de la pandémie, qu’ils utilisent comme vecteur viral de l’ARN messager (Pfizer et Moderna) ou de l’ADN (Astra Zeneca et Johnson & Johnson), et quel que soit le laboratoire.
Ces autopsies ont été pratiquées alors que les premiers examens post-mortem, réalisés à la demande des proches, n’avaient laissé transparaître aucune anomalie. Dans un contexte de mortalité postvaccinale importante (15 à 70 cas en l’espace de seulement quatre jours), sans qu’aucune connexion ne soit officiellement établie, le Pr Burkhardt s’est prêté à ses propres investigations. Son travail a couvert une période de six mois et a porté sur des adultes âgés de 28 à 95 ans, tous décédés peu après leur vaccination.
Dans 90 % des cas, il dit avoir obtenu la preuve « indiscutable » d’attaques auto-immunes par les lymphocytes tueurs ciblant les cellules de l’organisme. Ces attaques auraient été observées dans tous les organes vitaux (cœur, foie, cerveau, poumons, etc.) et ce quel que soit l’âge de la personne décédée, remettant en cause « le récit d’une protection collective des personnes les plus fragiles » pour lesquelles le bénéfice vaccinal est réputé certain.
Il relate la découverte de séquelles pathognomoniques, ou caractéristiques, jamais observées auparavant, mais similaires à des attaques auto-immunes conduisant à l’autodestruction des tissus dans tous les cas autopsiés. Ces lésions spécifiques prouvent ainsi que les personnes ont été tuées par les vaccins, seul dénominateur commun à ces décès, et plus spécifiquement par la production de protéines Spike dans les tissus : « Il n’y a aucune autre raison pour qu’ils soient morts » réplique-t-il.
Un processus de réaction auto-immune déclenché par les injections
La contamination massive des organes vitaux par des lymphocytes tueurs (lymphocytes T), massivement retrouvés par le Pr Burkhardt dans le cœur et les poumons (parfois d’autres organes) soulève donc la question : pourquoi assiste-t-on à une telle invasion après l’administration d’un vaccin génique ?
Selon les deux chercheurs, la seule réponse qu’il est possible d’apporter à une telle question est que ce sont les organes eux-mêmes qui produisent les « cibles » qui seront ensuite attaquées par les lymphocytes tueurs, à savoir les protéines spike virales générées par l’organisme après une injection génique, notamment de vaccin à ARN messager : « C’est le fonctionnement de l’immunologie depuis le début de l’espèce humaine et cela ne déroge pas à la règle. »
Il s’ensuit un processus d’agression du système immunitaire par le vaccin décrit de manière pédagogique par le chercheur, d’où l’intérêt de publier cette vidéo :
« Il est clair que la majorité des gens vaccinés 1, 2 ou 3 fois – la situation empire à chaque nouvelle injection parce que le système immunitaire est de plus en plus agressé.
À travers la 1re injection, les vaisseaux sanguins deviennent perméables en raison des écorchures et dommages causés, comme nous pouvons le voir depuis maintenant un an.
Puis l’ARN se répand dans vos organes et les muscles de votre cœur, vos poumons et votre foie commencent à produire la protéine. Ainsi, les lymphocytes T (présents chez tout le monde) envahissent ces organes pour les détruire, détruire votre cœur, vos poumons, votre foie, etc. »
Une attaque du système lymphatique par la protéine spike
Le Dr Bhakdi met ensuite l’accent sur les dommages causés par les vaccins géniques à l’ensemble du système lymphatique, système chargé de la régulation globale du corps humain :
« C’est ce que nous nous martelons depuis des mois maintenant en pointant que ces vaccins atteignent bien évidemment les ganglions qui à leur tour vont commencer à produire ces protéines spike et bien évidemment ces cellules ganglionnaires vont commencer à être détruire par les lymphocytes T.
Que va-t-il alors arriver ?
Vos lymphocytes ainsi que les cellules responsables de votre contrôle immunitaire se mettent à mourir.
Que se passe-t-il lorsque ces cellules sentinelles au sein de vos ganglions se mettent à mourir alors qu’elles sont responsables de votre contrôle immunitaire ?
Les virus tels que le virus de l’herpès 4, les mononucléoses infectieuses, les zonas vont exploser, mon Dieu !, est-ce si difficile à comprendre ? »
Un risque d’explosion des pathologies infectieuses et des cancers
Last but not least, Sucharit Bhakdi explique que la réactivation de bactéries et de virus dormants pourrait, dans le contexte d’une vaccination de masse, être à l’origine d’une catastrophe sanitaire sans précédent à l’échelle de la planète, ciblant prioritairement les populations historiquement les plus exposées à ces pathologies. Il évoque plus particulièrement le risque de réactivation des pathogènes à l’origine de la tuberculose ou de la toxoplasmose :
« Les agents infectieux dormants, présents chez des millions d’individus sur la planète, au premier rang desquels on retrouve la tuberculose ne seront plus contrôlés.
Savez-vous que j’abrite aussi la bactérie de la tuberculose au sein de mon propre corps ? Et je les garde sous contrôle à travers mes lymphocytes, dans mes ganglions. Si ces lymphocytes sont tués par mes lymphocytes T parce que les ganglions auront exprimé cette protéine, ma protection contre la tuberculose va s’effondrer.
Il y a aussi une autre maladie appelée “toxoplasmose” répandue sur l’ensemble du globe et spécialement chez les Méditerranéens. Si cette toxoplasmose se répand, Dieu vous aide…
Mais Dieu vous aide surtout si la tuberculose se répand. La tuberculose est l’un des tueurs majeurs de l’espèce humaine.
Il y a des mois, nous, Docs for COVID Ethics, avions écrit un article dans lequel nous redoutions que des infections dormantes dues aux virus et bactéries telles que la tuberculose n’explosent.
Alors, quand exploseront-elles ? Personne ne le sait parce que la tuberculose a besoin de temps pour s’exprimer, ces bactéries sont très, très lentes.
Et puis, il y a deux jours, j’ai reçu en e-mail de mes collègues en Allemagne dans lequel ils disaient : “C’est très étrange. Nous avons vu une femme qui présente des symptômes à l’abdomen que nous n’arrivons pas à expliquer. Nous n’avons jamais rien vu de comparable. Nous ne savons pas ce qu’elle a.” Elle avait de la fièvre, des douleurs et elle souffrait.
Deux semaines plus tard environ, nous avons procédé à des investigations poussées et nous avons découvert qu’elle était atteinte d’une réactivation de tuberculose généralisée à l’ensemble de l’abdomen. Elle se bat pour sa vie à l’heure où nous parlons, parce que la tuberculose est extrêmement difficile à soigner.
Nous l’avons prédit, à cause de cette satanée vaccination, il y aura une recrudescence de tuberculose à l’échelle mondiale, spécialement dans ces pays où les bactéries de tuberculoses sont restées dormantes : Inde, Afrique, toute l’Asie.
Et je vous le dis, la tuberculose tue à long terme comme le font d’ailleurs les tumeurs.
Et vous devez certainement savoir que nous assistons à une explosion de tumeurs et de cancers chez les vaccinés que personne ne comprend.
Mais c’est le même principe, vos lymphocytes sont responsables du contrôle des cellules cancéreuses alors qu’elles apparaissent tous les jours, toutes les heures dans votre corps.
Et si vous ne les contrôlez pas, vous deviendrez la cible. »
Le Dr Bhakdi conclut par un message en forme de mise en garde à l’attention des autorités sanitaires et de ses collègues en leur indiquant la marche à suivre pour repérer les symptômes des dommages engendrés par ces vaccins :
« Alors commencez à regarder ces effets : virus, herpès, virus d’Epstein-Barr, cytomégalovirus, qui tue les enfants et les femmes enceintes, tuberculose, toxoplasmose, cancer et je vous le jure, vous allez trouver des choses qui vont vous horrifier si vous n’arrêtez pas cette folle vaccination. »
Le démenti de l’AFP, un cas d’école
Les journalistes de l’AFP se sont emparés d’une autre vidéo dans lesquelles Sucharit Bhakdi explique ce mécanisme auto-immun lorsqu’il se produit au niveau du cœur. La rhétorique est habituelle, elle repose toujours sur les mêmes piliers : l’absence de preuves formelles, et donc la volonté d’inquiéter.
Dans un autre article également rédigé par des fact-checkers, le faible nombre d’autopsies pratiquées ne permettrait pas de caractériser un risque et de conclure que 90 % des personnes vaccinées décéderaient fatalement des injections, ce qui n’est pas le propos de Sucharit Bhakdi.
A contrario, bien que les vaccins utilisent une technologie vaccinale expérimentée pour la première fois dans l’histoire sur l’homme, la prudence consisterait donc à fermer les yeux et à dissimuler des observations cruciales en attendant que la science ait tranché de manière absolue, au risque qu’elle soit aujourd’hui sous hypnose. C’est en substance ce qu’expliquait la directrice des CDC il y a quelques jours :
« Nous avons peut-être fait preuve de pas assez de prudence et de trop d’optimisme. »
Rochelle Walensky, directrice des CDC, 6 mars 2022
La toxicité des nanoparticules lipidiques au centre de toutes les inquiétudes
Chacun déterminera ce qui est à ses yeux la posture la plus vertueuse : la prudence du scientifique versus l’arrogance d’un média dont on peut se demander quel rôle il joue réellement dans le débat actuel. Mais on peut légitimement douter de la crédibilité du démenti apporté par l’AFP puisqu’il repose sur une prémisse dont il a été démontré depuis longtemps qu’elle était fausse :
« Le principe même de l’ARNm est d’être transitoire : le vaccin ne reste pas dans le corps plus de quelques heures, comme l’ont déjà expliqué plusieurs spécialistes à l’AFP. “Le seul qui produit la protéine, c’est le virus, c’est donc lui le seul contre qui notre système immunitaire va se retourner”, ajoute Frédéric Altare. »
AFP, 19 juillet 2021
Ce que l’AFP ne peut décemment ignorer, notamment au regard des dossiers d’évaluation des vaccins, c’est qu’ils utilisent un ARN messager synthétique encapsulé dans des nanoparticules lipidiques lui permettant d’atteindre l’ensemble des organes (cerveau, foie, reins, poumons, cœur, moelle osseuse, testicules, ovaires) via la circulation sanguine et le système lymphatique. Une étude publiée le 22 novembre 2021 dans la revue Nature [1] a notamment décrit le circuit de la protéine spike dans l’organisme et la manière dont elle affecte l’ensemble des organes.
Or cet ARN messager code la protéine spike avec une séquence génétique qui n’existe pas dans la nature, et dont par définition personne ne sait quel sera son impact sur la santé. Ce que l’on sait en revanche, de la bouche même du PDG de Moderna, c’est que les nanoparticules lipidiques sont éminemment toxiques et inflammatoires, avec des conséquences potentiellement délétères pour les organes, a fortiori lorsqu’on inflige au corps des injections répétées :
« Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »
Stéphane Bancel, 13 septembre 2016
Au-delà du problème majeur que pose l’injection massive d’un cocktail aussi toxique, dans des quantités jugées disproportionnées par de nombreux scientifiques [2,3], c’est une double inconnue qui inquiète la communauté médicale :
1/ Pendant combien de temps cet ARN messager délivrera-t-il des instructions aux cellules pour qu’elles produisent de la protéine spike dont la communauté scientifique a établi qu’elle avait la capacité de provoquer à elle seule tous les signes cliniques de forme sévère du COVID-19 ? [3-7]
2/ Pendant combien de temps ces protéines aberrantes, qui ont l’inconvénient majeur de ressembler à de nombreuses cellules du corps humain avec lesquelles il est possible de les confondre et donc de les cibler [8], persisteront-elles dans l’organisme ? Une étude récente [9] a montré qu’elle était retrouvée dans les cellules au moins quatre mois après la 2e injection, mais on ne sait pas en combien de temps elles sont éliminées ni même si elles le sont.
Ces inquiétudes sont-elles fondées ?
Au-delà des signaux adressés par la pharmacovigilance, dont plusieurs éléments ou études montrent aujourd’hui qu’ils ne sont probablement que la partie émergée d’un énorme iceberg, la littérature semble donner raison au Dr Bkahdi.
Le gouvernement britannique a ainsi admis récemment que les vaccins endommageaient le système immunitaire de manière durable. Plusieurs mécanismes pathogènes sont aujourd’hui identifiés par la littérature, qui montrent une altération du système immunitaire induite notamment par la réitération des injections. Dans un précédent article, nous avons recensé une dizaine d’études décrivant comment ces mécanismes pourraient expliquer la recrudescence de cancers particulièrement agressifs observée par des médecins et des pathologistes.
Les observations de Sucharit Bhakdi sont par ailleurs convergentes avec celles de la chercheuse S. Seneff (MIT) [10], du pathologiste Ryan Cole [11,12] et du Dr P. McCullough, fondateur et président de la Cardiorenal American Society qui a notamment décrit la manière dont les cellules du cœur seraient ciblées par la protéine spike, dont la cardiotoxicité est clairement établie aujourd’hui [13-23].
S’agit-il uniquement de risques théoriques et de spéculation ? Les inquiétudes de Sucharit Bhakdi concernant les conséquences à moyen et long terme des injections géniques sont en tout cas cohérentes avec la multiplication des cas de pathologies auto-immunes décrites par la littérature où le rôle du vaccin est a minima suspecté :
- sclérose en plaques [24,25] ;
- réactivation du virus varicelle/zona [26] ;
- réactivation du virus de l’hépatite C [27] ;
- schizophrénie [28] ;
- anémie hémolytique auto-immune sévère [29] ;
- syndrome de Guillain-Barré [30] ;
- maladies neurologiques d’origine auto-immunes [31,32] ;
- maladies neurodégénératives [33,34] ;
- troubles sanguins d’origine immune (purpura thrombopénique immunologique, VITT, hémophilie acquise…), etc. [35-41].
Une nouvelle hypothèse a notamment été émise en novembre 2021 pour expliquer le déclenchement des phénomènes auto-immuns induits par le vaccin [42].
Plus généralement, la série d’articles que nous publions dans ce numéro suggère des risques vaccinaux potentiellement sous-estimés par les autorités sanitaires et les laboratoires (qui n’ont toutefois pas sous-estimé les conséquences financières qu’ils pourraient avoir puisqu’ils s’en sont désengagés dans les contrats).
Suffiront-ils à instiller l’embryon d’un doute dans la conscience de l’AFP ? Rien de moins sûr, et pourtant, tout scientifique ne peut que commencer à se poser cette question : sait-on vraiment ce que l’on fait et mesure-t-on les risques auxquels on expose des individus sains en les obligeant à recevoir ces injections contre leur consentement ?
Références
[1] Brady M, McQuaid C, Solorzano A, et al. Spike protein multiorgan tropism suppressed by antibodies targeting SARS-CoV-2. Commun Biol. 2021;4:1318. DOI: https://doi.org/10.1038/s42003-021-02856-x.
[2] Claverie JM. Les ARN messagers (ARNm) sont-ils surdosés ? LinkedIn. 04/12/2021. https://www.linkedin.com/posts/claverie-jean-michel-9260016_les-vaccins-mrna-sont-ils-surdos%C3%A9s-activity-6872959582122110976-RF6w/.
[3] Jean-Pierre G. ARN vaccinaux de Pfizer, producteurs de protéines spike. FranceSoir. 06/07/2021. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/arn-vaccinaux-de-pfizer-producteurs-de-proteines-spikes.
[4] Buret J. En faisant produire la protéine spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie. FranceSoir. 07/10/2021. https://www.francesoir.fr/societe-sante/spike-vacciner-revient-a-inoculer-la-maladie.
[5] FranceSoir. « La protéine spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme », déclare le Pr Bridle. FranceSoir. 01/06/2021. https://www.francesoir.fr/societe-sante/nous-avons-fait-une-erreur-la-proteine-spike-est-elle-meme-toxique-et-dangereuse-pour.
[6] Lesgards JF, Bourdineaud JP. Nous ne sommes pas « anti-vax », nous sommes « anti-spike » ! FranceSoir. 13/10/2021. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/nous-ne-sommes-pas-anti-vax-nous-sommes-anti-spike.
[7] FranceSoir. La protéine de pointe du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie. 08/05/2021. https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-proteine-de-pointe-du-nouveau-coronavirus-joue-un-role-cle.
[8] Collectif. « 57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les “vaccinations” COVID-19 ». FranceSoir. 09/ 5/2021 : « L’auto-immunité est un autre problème critique à prendre en compte compte tenu de l’échelle mondiale de la vaccination contre le SARS-CoV-2. Le SARS-CoV-2 possède de nombreuses protéines immunogènes, et tous sauf une ont des similitudes avec les protéines humaines. Celles-ci peuvent agir comme une source d’antigènes, conduisant à une auto-immunité. S’il est vrai que les mêmes effets pourraient être observés lors d’une infection naturelle par le SARS-CoV-2, la vaccination est destinée à la plupart de la population mondiale, alors que l’on estime que seulement 10 % de la population mondiale a été infectée par le SARS-CoV-2. Nous n’avons pas pu trouver de preuve qu’un quelconque vaccin actuellement autorisé a criblé et exclu les épitopes immunogènes homologues pour éviter une auto-immunité potentielle due à un amorçage pathogène. » https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations.
[9] Bansal S, et al. Cutting edge: Circulating exosomes with COVID spike protein are induced by BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) vaccination prior to development of antibodies: A novel mechanism for immune activation by mRNA Vaccines. J Immunol. 2021;207(10):2405-2410. DOI: 10.4049/jimmunol.2100637.
[10] Seneff S. Worse than the disease? Reviewing some possible unintended consequences of the mRNA vaccines against Covid-19 [Pire que la maladie ? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19]. Int J Vacc Th Prac Res. 2021;2(1). https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/23. Traduction française : https://skidmark.blog/2021/07/12/pire-que-la-maladie-examen-de-certaines-consequences-involontaires-possibles-des-vaccins-a-arnm-contre-le-covid-19-par-stephanie-seneff-traduction-francaise/.
[11] Cole R. Post-investigational Vaccine. White Coat Summer. 01/09/2021. https://rumble.com/vlxw0z-covid-19-vaccins-et-autopsies-dr.-ryan-cole.html.
[13] Med Check Editorial Team. COVID-19 vaccine: Strong association with cardiovascular death, especially hemorrhagic stroke and venous thrombosis. Med Check. 2021;7(21-22):32. https://npojip.org/english/MedCheck/Med%20Check%20Tip-20-2021-08&12.pdf.
[14] Nuovo GJ, et al. Endothelial cell damage is the central part of COVID-19 and a mouse model induced by injection of the S1 subunit of the spike protein. Ann Diagn Pathol. 2021 Apr;51:151682. https://doi.org/10.1016/j.anndiagpath.2020.151682.
[15] Schneider J, et al. SARS-CoV-2 direct cardiac damage through spike-mediated cardiomyocyte fusion. Research Square. 2020 Oct 30. DOI: 10.21203/rs.3.rs-95587/v1.
[16] Avolio E, et al. The SARS-CoV-2 spike protein disrupts human cardiac pericytes function through CD147-receptor-mediated signalling: a potential non-infective mechanism of COVID-19 microvascular disease. 2020 Dec 21. DOI: https://doi.org/10.1101/2020.12.21.423721.
[17] Raghavan S, et al. SARS-CoV-2 spike Protein Induces Degradation of Junctional Proteins That Maintain Endothelial Barrier Integrity. Front Cardiovasc Med. 2021 June 11. https://doi.org/10.3389/fcvm.2021.687783.
[18] Prasad V. Myocarditis Under Age 40: An Update. Brownstone Institute. 28/12/2021. https://brownstone.org/articles/myocarditis-under-age-40-an-update/.
[19] Patone M, et al. Risks of myocarditis, pericarditis, and cardiac arrhythmias associated with COVID-19 vaccination or SARS-CoV-2 infection. Nature Medicine. 14/12/2021. DOI: 10.1038/s41591-021-01630-0.
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[34] Classen JB. Covid-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease. Microbiol Infect Dis. 2021;5 (1):1-3. https://scivisionpub.com/pdfs/covid19-rna-based-vaccines-and-the-risk-of-prion-disease-1503.pdf.
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Pour en savoir plus
La présentation de Sucharit Bhakdi : https://twitter.com/LSerebif/status/1496607852475133953?s=20&t=Ow0afCuyd29BAD7IFlGQzg.
Notes et recommandations pour la réalisation d’un examen post-mortem (autopsie) de personnes décédées dans le cadre de la vaccination contre la COVID : https://doctors4covidethics.org/notes-and-recommendations-for-conducting-post-mortem-examination-autopsy-of-persons-deceased-in-connection-with-covid-vaccination/
Ses précédentes publications (non exhaustif) :
Palmer M, Bhakdi S. Elementary, my dear Watson: why mRNA vaccines are a very bad idea. Doctors for COVID Ethics. 2021 Aug 17. https://doctors4covidethics.org/elementary-my-dear-watson-why-mrna-vaccines-are-a-very-bad-idea/.
Palmer M, Bhakdi S. Rebuttal to Geert vanden Bossche’s “Response to Dr. Bhakdi”. Doctors for COVID Ethics. 2021 Aug 17. https://doctors4covidethics.org/rebuttal-to-geert-vanden-bossches-response-to-dr-bhakdi/.