Surmortalité
Surmortalité de 40 %, les assureurs américains évoquent une situation historique
Un assureur de l’Indiana tirait la sonnette d’alarme, fin décembre, en expliquant observer une surmortalité historique de 40 % chez ses assurés constatée par l’ensemble des acteurs de ce marché. Un ancien cadre du gestionnaire d’actifs BlackRock dresse aujourd’hui le même constat et incrimine formellement les vaccins.
Le nombre d’effets indésirables, notamment de décès, enregistrés dans les bases de pharmacovigilance a dépassé depuis des mois le seuil d’alerte maximal admis pour un médicament. Ce qui interpelle aujourd’hui, ce sont les alertes issues du monde de l’assurance, qui confirment la surmortalité observée en Europe et aux États-Unis pour l’ensemble des tranches d’âge entre 18 et 64 ans.
Une surmortalité historique de 40 % constatée aux États-Unis en 2021 selon un assureur américain
Début janvier, plusieurs médias relataient l’annonce faite par le PDG de l’assureur américain OneAmerica (Indiana), J. Scott Davison, lors de la conférence de presse virtuelle du 30 décembre organisée par la Chambre de commerce de l’Indiana, où il déclarait observer une explosion du nombre de décès de + 40 % par rapport aux niveaux antérieur à la pandémie et une hausse du nombre de handicaps permanents parmi ses assurés, sans parvenir à l’expliquer.
Le directeur exécutif de la Fondation de recherche sur la sécurité des vaccins (Vaccine Safety Research Foundation), Steve Kirsch explique dans un article paru sur son site :
« Ils n’ont jamais rien vu de tel auparavant dans leur histoire. Normalement, les taux de mortalité ne changent pas du tout. Ils sont très stables. Il faudrait quelque chose de vraiment gros pour avoir un effet aussi gros. La taille de l’effet est de 12-sigma. C’est un événement qui se produirait par pur hasard tous les 2,8 à 32 ans. C’est très rare. C’est fondamentalement jamais. L’univers n’a que 14 milliards d’années, soit 1,4e13. En d’autres termes, l’événement qui s’est produit n’est pas un “coup de chance” statistique. Quelque chose a provoqué un très grand changement. »
Steve Kirsch
Il relaie également sur son site la vidéo publiée par le PDG de OneAmerica dans laquelle il relate cette information :
Cette explosion du nombre de décès observés parmi les employés d’entreprises ayant souscrit des régimes d’assurance-vie collectifs, et dont J. S. Davidson précise qu’ils sont survenus après le début de la campagne de vaccination (particulièrement agressive dans l’Indiana) est confirmée selon lui par l’ensemble des assureurs et certains acteurs de l’industrie qui disent ne pas être en mesure actuellement de l’expliquer.
Une chose est sûre, selon l’assureur, ces décès ne sont pas imputables au COVID dans la mesure où le nombre de morts provoquées par le COVID a reculé en 2021 et que la mortalité observée en 2021 est à la fois supérieure à celle induite par le COVID en 2020 et touche des individus plus jeunes puisqu’elle concerne l’ensemble des adultes de la tranche d’âge 18-64 ans. Or cette population est également celle qui a été épargnée par l’épidémie, 80 % des décès dus auCOVID-19 en 2020, aux États-Unis, sont intervenus chez les adultes de plus de 65 ans.
Kirsch relève plus généralement 15 éléments qui l’incitent à attribuer ces décès à la vaccination (contrairement à J. Scott Davison qui l’impose à ses employés, indique-t-il), notamment la variété des causes de décès retrouvées et précise un point important : ces décès concernent principalement des personnes en âge de travailler âgées de 18 à 64 ans, qui sont les employés d’entreprises bénéficiant de régimes d’assurance-vie collective, mais cela ne signifie donc pas pour autant que les 65 ans ne seraient pas touchés.
Ces observations rejoignent le constat formulé le même jour par le président de l’Indiana Hospital Association, Brian Tabor, selon lequel les hôpitaux de l’État sont actuellement « inondés de patients présentant de nombreuses pathologies différentes », et par le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l’Indiana, qui déclarait fin décembre : « Le nombre d’hospitalisations dans l’État est maintenant plus élevé qu’avant l’introduction du vaccin COVID-19 il y a un an, et en fait est plus élevé qu’il ne l’a été au cours des cinq dernières années. »
Autre fait inquiétant, l’assureur explique constater une hausse des demandes d’invalidité, initialement de courte durée, qui évoluent aujourd’hui vers des demandes de prise en charge pour des handicaps de longue durée.
Faut-il attribuer cette situation à une dégradation de la santé de la population pendant la pandémie ou à des conséquences d’une infection par leCOVID ? En attendant de pouvoir répondre à cette question, l’assureur a fait le choix de répercuter les coûts de cette surmortalité sur les cotisations des non-vaccinés.
Une surmortalité de 25 à 38 % confirmée par une autre source qui l’attribue aux vaccins
Les récentes déclarations d’Edward Dowd, un ancien gestionnaire de portefeuille de BlackRock, plus grand fonds d’investissement au monde et accessoirement actionnaire de Pfizer et de Moderna, viennent alimenter cette réflexion.
Le 7 février 2022, dans l’émission Real Americas Voice, il confirmait que cinq des plus grandes compagnies d’assurance-vie américaines font état d’une augmentation similaire des taux de mortalité de 25 à 38 % en 2021 par rapport à 2020. Ces hausses concerneraient là encore des populations plus jeunes et coïncideraient avec l’obligation vaccinale imposée par plusieurs employeurs qui semble selon lui avoir accéléré cette hausse :
Le 16 février 2022, il reprend ces données (14’) et rappelle que si les vaccins étaient efficaces, de telles hausses de mortalité ne se seraient pas produites, met il met cette fois clairement en cause les vaccins qu’il qualifie de « fraude » dans une interview donnée à un média indépendant :
« Les dirigeants du secteur de l’assurance-vie estiment à 300 000 le nombre de décès dus aux vaccins en 2022 [aux États-Unis], ils cherchent à réduire les pertes dues aux versements massifs. […] Aujourd’hui, nous avons le VAERS, les fuites de dénonciation du département de la justice et les compagnies d’assurance et de pompes funèbres. Nous avons trois sources de données différentes. Nous en sommes au point où il faut littéralement éteindre son esprit critique pour ne pas penser qu’il se passe quelque chose » (18’07’’)
Edward Dowd
Pour l’anecdote, le 9 février 2022, Edward Dowd avait commenté de manière ironique la fermeture du compte Twitter et la récente cession massive (400 millions de dollars) des actions du PDG de Moderna, Stéphane Bancel, quelques jours après l’annonce faite par Pfizer à ses actionnaires qu’un audit de sécurité pourrait effacer des milliards de sa valorisation boursière. Il réitère aujourd’hui ses accusations à l’encontre des deux laboratoires dont il estime que les essais cliniques sont une fraude caractérisée :
Cette surmortalité est aujourd’hui confirmée par les données statistiques européennes et américaines
Au-delà des accusations de fraude formulées par cet ancien cadre de BlackRock, fondées sur sa propre analyse des données des essais cliniques ainsi que des statistiques de décès des compagnies d’assurance et de pompes funèbres, c’est bien une telle surmortalité qui est aujourd’hui observable aux États-Unis et en Europe.
Selon le site euromomo.eu, une surmortalité globale est en effet constatée en Europe en 2021 dans l’ensemble des tranches d’âge hormis chez les 0-14 ans :
Même constat sans surprise aux États-Unis, où cette surmortalité est confirmée par le site usmortality.com sur l’ensemble des tranches d’âges entre 25 et 85 ans pour l’année 2021, avec un impact sur la population générale :
Sur la base de ces données, faut-il commencer à s’inquiéter et à exiger des comptes au ministre de la Santé ou continuer de suivre aveuglément ses injonctions au risque de nous réveiller demain complètement sonnés ?