Mortalité vaccinale
Hécatombe vaccinale, près de 200 000 décès aux États-Unis selon une étude de l’université de Columbia
La barre des 40 000 décès observés après la vaccination vient d’être franchie en Europe. Ils sont évalués à près de 25 000 aux États-Unis. Selon les CDC, seuls 0,002 % d’entre eux seraient imputables aux injections contre le COVID-19. Une étude d’envergure basée sur l’analyse des données de pharmacovigilance mondiales montre que ces décès sont en réalité probablement vingt fois plus nombreux.
La publication de l’étude preprint de Spiro Pantazatos (université de Columbia, USA) et Herve Seligmann (IHU de Marseille, France) en octobre 2021 [1] aurait dû faire l’effet d’une bombe. Elle n’est pas parvenue à transpercer le bouclier médiatique qui protège le discours officiel : il n’y a pas de décès imputable à la vaccination.
Du moins dans l’Hexagone, où les déclarations du ministre de la Santé contrastent avec ce que l’on observe un peu partout dans le monde, sans aucune explication apportée par les agences sanitaires ou les médias (si ce n’est que ça ne peut pas être le vaccin) : explosion des décès et des malaises cardio-respiratoires dans le sport, l’aviation civile ou l’Armée américaine, envolée du nombre de morts in utero, multiplication des demandes d’indemnisation de victimes d’effets secondaires…
Les injections sont-elles pour autant la cause de cette mortalité historique observée dans le cadre d’une campagne de vaccination ?
Les seules données brutes de pharmacovigilance ne permettent pas de répondre précisément à cette question qui est pourtant cruciale pour évaluer la balance bénéfice-risque de ces vaccins, dans un contexte où de nombreux États ont fait le choix de les rendre obligatoires. Mais la masse de données aujourd’hui disponibles à l’échelle mondiale constitue un matériau unique pour tirer, un an après le début de la campagne de vaccination, un premier bilan de la mortalité qu’elle a pu induire.
Les limites de la pharmacovigilance pour apprécier la mortalité vaccinale
Quelle est la létalité de ces injections et plaide-t-elle en faveur de la vaccination lorsqu’on la compare à celle du COVID ?
C’est la question posée par l’étude de Pantazatos et Seligmann, à partir d’un premier constat : le sous-dimensionnement des essais cliniques conduits en amont de la campagne de vaccination (deux cohortes de 15 à 20 000 participants pour chacun des groupes témoin et cible) et les lacunes de conception des études de surveillance conduites en vie réelle afin de détecter d’éventuels signaux de sécurité (surveillance active ou pharmacoépidémiologie) [2] n’ont jamais permis d’estimer de manière fiable le taux d’événements indésirables pouvant représenter une menace vitale ou occasionner un handicap lourd.
Pour autant, si l’estimation « précise » du nombre de décès qu’elles ont pu occasionner est impossible, l’évaluation de leur létalité par les autorités sanitaires est-elle fiable ?
Aux États-Unis, le taux de décès imputables aux vaccins a été estimé par les centres pour le contrôle et la prévention des maladies (Centers for Disease Control and Prevention, CDC) à 0,002 %, soit 1 décès sur 50 000 injections pratiquées.
Or ce calcul est fondé sur le nombre de cas présents dans la base de pharmacovigilance américaine (Vaccine Adverse Event Reporting System, VAERS), où les incidents déclarés sont principalement basés sur des autodéclarations et des déclarations spontanées des professionnels de santé, qui souffrent probablement d’un biais de sous-déclaration.
Le rapport Lazarus [3] auquel se réfère le VAERS, par exemple, évalue à 1 % le taux d’événements indésirables faisant l’objet d’une déclaration, ce qui signifie que le nombre d’événements indésirables signalés dans la base est à multiplier d’un facteur 100 pour obtenir le nombre d’incidents ou d’accidents de vaccination qui se sont réellement produits.
Comparaison des données américaines et européennes : des résultats alarmants
Pour tenter d’obtenir une estimation plus fine, Pantazatos et Seligmann ont donc comparé les données américaines issues des CDC et du Bureau du recensement aux États-Unis (Census Bureau) aux données européennes et israéliennes issues de la base euromomo.eu afin de tester la corrélation, par classes d’âge et depuis le début 2021, entre les taux de vaccination et les taux de mortalité observés dans les semaines et mois suivant les injections.
Une mortalité vaccinale probablement largement sous-estimée
L’analyse a porté sur le nombre de décès toutes causes confondues survenus aux États-Unis entre février et août 2021. En cumulant les décès mensuels estimés et en tenant compte des variations régionales des taux de vaccination, elle a permis de fournir une réévaluation du nombre de décès induits par les injections contre COVID-19 (entre janvier et août 2021) que les auteurs établissent entre 146 000 à 187 000 (146 988-168 908 ou 133 382-187 402 selon le seuil de significativité retenu).
En rapportant ce chiffre au nombre de doses de vaccin administrées entre janvier et août, les auteurs estiment ainsi que le taux réel de décès induits par ces injections pourrait en réalité s’élever à 0,04 %, soit 20 fois celui retrouvé par le CDC.
Stratification des décès par tranche d’âges : la mortalité vaccinale s’envole après 75 ans
Quelles sont les tranches d’âges les plus à risque de décéder des suites d’une injection ? C’est l’un des apports majeurs de cette étude : fournir une stratification des décès en fonction de l’âge :
- De 0 à 17 ans : 0,004 % ;
- De 18 à 29 ans : 0,005 % ;
- De 30 à 39 ans : 0,009 % ;
- De 40 à 49 ans : 0,017 % ;
- De 50 à 64 ans : 0,016 % ;
- De 65 à 74 ans : 0,036 % ;
- De 75 à 84 ans : 0,06 % ;
- 85 ans et + : 0,005 5 %.
Les chiffres obtenus par Pantazatos et Seligmann sur la base des données européennes mettent ainsi en évidence un quasi-doublement des taux de mortalité d’une classe d’âge entre 30 et 50 ans et une explosion de la mortalité à partir de 65 ans :
- on meurt 3 fois plus du vaccin entre 50 et 65 ans qu’entre 18 et 30 ans ;
- ce risque est multiplié par 7 après 65 ans et par 10 après 75 ans ;
- il retrouve le même niveau que la mortalité observée chez les enfants (< 17 ans) qu’après 85 ans.
Maladie aggravée par la vaccination : le rôle possible des anticorps facilitants
L’âge, et donc la vulnérabilité des personnes vaccinées peut-il expliquer la fréquence des décès après 75 ans ?
Si les auteurs expliquent par ailleurs sur quels critères ils se sont basés pour attribuer à la vaccination les décès survenus post injection, la corrélation entre ces décès et les taux de vaccination est cohérente avec la courbe d’efficacité des vaccins décrite dans la littérature. Mais surtout, l’étude confirme un élément essentiel : le retard dans l’acquisition d’une protection contre le virus s’accompagne d’une majoration du risque de décès dans les premières semaines suivant l’injection.
Les données européennes et israéliennes montrent en effet que la vaccination est corrélée positivement à la mortalité dans les 5 semaines suivant l’injection. Cette corrélation diminue statistiquement entre les semaines 6 à 20 post injection sur la tranche d’âges des plus de 14 ans (données européennes), probablement en raison d’une efficacité relative et temporaire des vaccins, mais le bénéfice présumé de la vaccination disparaît dès la 20e semaine (notamment pour la classe d’âge 15-64 ans), période à laquelle le taux moyen de mortalité induite par les vaccins dépasse à nouveau les taux de vaccination.
Ces données confirment notamment les résultats de la réanalyse d’une étude mondiale conduite en vie réelle sur l’efficacité des vaccins [4] qui suggère que le risque d’infection serait multiplié par 3 chez les personnes vaccinées environ 7 jours après la première dose du vaccin Pfizer [5].
Elles soulèvent également la question du rôle joué par les anticorps facilitants (antibody-dependent enhancement, ADE), notamment du risque de maladie aggravé (VAED) qui lui est associé et décrit comme « très important », dans les rapports d’évaluation de l’Agence européenne des médicaments (European Medical Agency, EMA) et les données cliniques post commercialisation de Pfizer lui-même.
Des résultats convergents avec d’autres études
Une seule étude est-elle suffisance pour remettre en cause la doxa médiatico-politique selon laquelle des vaccins commercialisés trois mois après leur sortie d’usine seraient sûrs et efficaces car reposant sur une technologie ancienne quoique n’ayant jamais fait la preuve jusqu’ici de son innocuité et de son efficacité ?
La fourchette de 133 000 à 187 000 morts établie par Pantazatos et Seligmann se rapproche significativement des résultats de l’étude de Rose et Crowford du 28 août 2021 [6], où les auteurs estiment à 180 000 le nombre de décès survenus aux États-Unis pouvant être attribués à la vaccination en se basant notamment sur des rapports d’autopsie et sur des études d’incidence de certains effets secondaires, sous-déclarées de manière certaine d’un facteur 41 dans le VAERS.
Ces résultats sont également cohérents avec ceux retrouvés par Steve Kirsch, ingénieur diplômé du MIT et directeur exécutif de la Fondation de recherche sur la sécurité des vaccins (Vaccine Safety Research Foundation) [7], qui évaluait, en septembre dernier, entre 150 000 et 200 000 le nombre de décès induits par le vaccin.
Alerte sur une probabilité de mortalité infantile induite par la vaccination des femmes enceintes
C’est probablement l’un des résultats les plus préoccupants de l’étude : l’analyse de la base euromomo.eu et du VAERS révèle une augmentation inattendue de la mortalité chez les enfants entre 0 et 14 ans (à cette époque non vaccinés) corrélée à l’augmentation du taux de vaccination des adultes sur les périodes glissantes précédentes, ce qui suggère une possible contamination environnementale évoquée lors des essais cliniques pour évoquer des précautions à prendre par le personnel encadrant les participants, mais reléguée au rang de risque strictement théorique par les autorités sanitaires.
La majorité des décès survenus dans cette classe d’âge (0-14 ans) ayant été observés chez les nourrissons (0-1 an), non éligibles à la vaccination, l’hypothèse d’effets secondaires induits par la vaccination de la mère et d’une transmission in utero semble hautement vraisemblable pour les auteurs, qui pointent plusieurs erreurs « préoccupantes » [8, 9] identifiées au sein de publications antérieures [10, 11] qui ont pu appuyer une vaccination des femmes enceintes.
Balance bénéfice-risque des vaccins COVID-19 : ce que nous enseigne cette étude
Quelles conclusions peut-on tirer de ces résultats concernant la balance bénéfice-risque des vaccins ? C’est l’un des objectifs assumés de l’étude dans la mesure où celle-ci fournit des données stratifiées en fonction de l’âge, dont on sait qu’il constitue un facteur de risque majeur de décès par infection dans le cas du COVID-19, 90 % de la variation du taux de mortalité s’expliquant par la composition par âge [12].
Pour évaluer celle balance, les auteurs se sont basés sur la métanalyse publiée en décembre 2020 par Levin et al. [13], qui permet de stratifier les taux de mortalité dus à l’infection de la manière suivante :
- À 10 ans : 0,002 % ;
- À 18 ans : 0,005 % ;
- À 25 ans : 0,01 % ;
- À 45 ans : 0,1 % ;
- À 55 ans : 0,4 % ;
- À 65 ans : 1,4 % ;
- À 75 ans : 5 % ;
- 85 ans et + 15 %.
Pas de bénéfice clair pour les enfants et les adultes jeunes en bonne santé, y compris après 45 ans
Rapportés aux taux de mortalité induite par la vaccination, ces chiffres confirment ce que l’on savait déjà mais en y apportant une validation statistique :
- l’absence de bénéfice des injections pour les personnes de moins de 25 ans sans comorbidités
- un risque deux fois plus élevé de décès chez les enfants en bonne santé.
Les auteurs rappellent également que s’il peut être tentant de déclarer en première intention une balance bénéfice-risque globale en faveur d’une vaccination de l’ensemble de la population de 45 ans et plus, le risque de mourir du COVID relève avant tout d’une estimation au cas par cas dans la mesure où le risque d’infection lui-même est fonction d’un ensemble de facteurs socio-environnementaux (style de vie, situation géographique, contacts sociaux, activité professionnelle) et qu’il est à pondérer par l’état de santé individuelle des personnes, notamment la présence ou de comorbidités.
La comparaison des taux de mortalité induits par la vaccination avec les taux de mortalité induits par l’infection suggère plus généralement que la balance vaccinale serait déficitaire pour les catégories de population suivantes :
- Les enfants ;
- Les jeunes adultes et adultes d’âge moyen ;
- Les personnes plus âgées non exposées à des risques liés à leur activité professionnelle ;
- Les personnes précédemment exposées au virus ;
- Les personnes ayant accès à des prophylaxies et options de traitements précoces.
Ce diagnostic est confirmé par les travaux de Mathew Crawford conduits sur les données anglaises (notamment son article « Les données britanniques ne montrent aucun avantage de mortalité toutes causes confondues pour les vaccins COVID-19 » [14]) ou, plus récemment par l’étude d’envergure conduite par le Dr PE Meyer (université de Liège) sur la base de la pharmacovigilance européenne qui pointe une explosion de la mortalité dans la tranche d’âge 14-44 ans qui l’amène à conclure en ce sens : « Nos conclusions diffèrent pour les différentes tranches d’âge étudiées mais, jusqu’à ce qu’une meilleure variable prédictive soit trouvée, nos résultats suggèrent clairement que la balance bénéfice-risque pour les 0-44 ans n’est pas en faveur de ces vaccins. » [15]
Vaccination ciblée : l’étude vient confirmer le consensus scientifique
In fine, il ressort de cette métanalyse que la balance bénéfice-risque par tranche d’âges semble principalement plaider pour une vaccination des personnes âgées de plus de 65 ans et plus et/ou fragilisées par des pathologies sous-jacentes, comme l’ont rappelé les plus de 60 000 médecins et scientifiques signataires de la Grande Déclaration de Barrington.
Les auteurs précisent, qu’au-delà de l’absence de bénéfice clair pour le reste de la population, l’efficacité des vaccins pour lutter contre la transmission du virus a toujours relevé de la conjuration et du fantasme, soit une hypothèse qui, si elle était bénéfique au marché des vaccins, est aujourd’hui réfutée par la littérature et les données d’observation.
Ils rappellent en effet la quasi-absence de données démontrant l’efficacité des vaccins pour lutter contre la transmission du virus. Une étude menée par les CDC en juillet 2021 rapportait que 75 % des infections COVID [16] étaient constatées chez les personnes pleinement présentant un schéma vaccinal complet et que les charges virales chez les vaccinés et non vaccinés étaient quasiment similaires.
Du miracle au mirage vaccinal : la fin d’une utopie ?
La vaccination n’empêchant pas la transmission au sein de la population générale en raison de son inefficacité intrinsèque, et les risques dépassant les bénéfices pour la grande majorité des groupes d’âge, les auteurs concluent logiquement en l’absence de bénéfices qu’apporterait une obligation vaccinale et mettent en garde les décideurs politiques contre la tentation de succomber à cette pulsion qui ne repose sur aucune donnée scientifique probante.
On rappellera au contraire que les essais en vie réelle conduits par Pfizer et Moderna ont montré un plus grand nombre de décès chez les personnes injectées [17-19] qu’au sein du groupe de participants ayant reçu un placebo. Quel dirigeant peut continuer à vouloir imposer des injections aussi létales et aussi dénuées d’efficacité, dans un contexte le virus s’est transformé en simple rhume selon la majorité des experts ? À chacun de juger.
Notes
Le docteur Spiro Pantazatos est chercheur en interface émergente de neuroimagerie, bio-informatique et biologie computationnelle. Il est aussi spécialiste en intégration et méta-analyses de données génétiques et moléculaires à l’université de Columbia (USA).
Hervé Seligmann est professeur à la Faculté de Médecine, Institut-Hospitalo-Universitaire de Marseille (France). Il est chercheur spécialiste du code génétique et du génome viral.
Références
[1] Pantazatos S, Seligmann H. COVID vaccination and age-stratified all-cause mortality risk [Preprint]. Oct. 2021. DOI: 10.13140/RG.2.2.28257.43366.
[2] Klein NP, Lewis N, Goddard K, Fireman B, Zerbo O, Hanson KE, et al. Surveillance for adverse events after COVID-19 mRNA vaccination. JAMA [Internet]. 2021 Sep 3. DOI: 10.1001/jama.2021.15072.
[3] Lazarus R, Klompas M. Electronic Support for Public Health–Vaccine Adverse Event Reporting System (ESP:VAERS) [Internet]. https://digital.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf.
[4] Dagan N, Barda N, Kepten E, Miron O, Perchik S, Katz MA, et al. BNT162b2 mRNACOVID-19 Vaccine in a nationwide mass vaccination setting. N Engl J Med. 2021 Apr 15;384(15):1412–23. DOI: 10.1056/NEJMoa2101765.
[5] Ogata AF, Cheng CA, Desjardins M, Senussi Y, Sherman AC, Powell M, et al. Circulating Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2) Vaccine antigen detected in the plasma of mRNA-1273 vaccine recipients. Clinical Infectious Diseases 21 [Internet]. 2021 May 20:(ciab465). DOI: 10.1093/cid/ciab465.
[6] Rose J, Crawford M. Estimating the number of COVID vaccine deaths in America [Internet]. https://downloads.regulations.gov/CDC-2021-0089-0024/attachment_1.pdf.
[7] FranceSoir. Steve Kirsch estime que les effets secondaires de la vaccination sont sous-déclarés d’un facteur 41. FranceSoir. 30/09/2021. https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/steve-kirsch-sous-declaration-vaers.
[8] Brock AR, Thornley S. Spontaneous abortions and policies on COVID-19 mRNA vaccine use during pregnancy. Science, Public Health Policy, and the Law. 2021 Nov;4:130–43. DOI: 10.1001/jama.2021.15494.
[9] McCullough P. Lack of Compelling safety data for mRNA COVID vaccines in pregnant women [Internet]. TrialSiteNews. 2021. https://trialsitenews.com/lack-of-compelling-safety-data-for-mrna-covid-vaccines-in-pregnant-women/
[10] Shimabukuro TT, Kim SY, Myers TR, Moro PL, Oduyebo T, Panagiotakopoulos L, et al. Preliminary findings of mRNA COVID-19 vaccine safety in pregnant persons. New England Journal of Medicine. 2021 Jun 17;384(24):2273–82. DOI: 10.1056/NEJMoa2104983.
[11] Kharbanda EO, Haapala J, DeSilva M, Vazquez-Benitez G, Vesco KK, Naleway AL, et al. Spontaneous abortion following COVID-19 vaccination during pregnancy. JAMA. 2021 Oct 26;326(16):1629–31. DOI: 10.1001/jama.2021.15494.
[12] Ioannidis JPA. Infection fatality rate of Covid-19 inferred from seroprevalence data. Bull World Health Organ. 2021 Jan 1;99(1):19-33F. DOI: 10.2471/BLT.20.265892.
[13] Levin AT, Hanage WP, Owusu-Boaitey N, Cochran KB, Walsh SP, Meyerowitz-Katz G. Assessing the age specificity of infection fatality rates for Covid-19: systematic review, meta-analysis, and public policy implications. Eur J Epidemiol. 2020 Dec;35(12):1123–38. DOI: 10.1007/s10654-020-00698-1.
[14] Crawford M. UK Data shows no all-cause mortality benefit for COVID-19 vaccines. 2021 Nov 22. https://roundingtheearth.substack.com/p/uk-data-shows-no-all-cause-mortality?utm_source=url.
[15] Meyer PE. The impact of Covid-19 vaccines on all-cause mortality in EU in 2021: a machine learning perspective [Preprint]. Jan. 2022. DOI: 10.13140/RG.2.2.16851.71205.
[16] Brown CM, Vostok J, Johnson H, Burns M, Gharpure R, Sami S, et al. Outbreak of SARSCoV-2 infections, including COVID-19 vaccine breakthrough infections, associated with large public gatherings – Barnstable County, Massachusetts, July 2021. MMWR MorbMortal Wkly Rep. 2021 Aug 6;70(31):1059-62. https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/pdfs/mm7031e2-H.pdf.
[17] Friedman A. Vaccine mandates: unscientific, divisive, and enormously costly. Brownstone Institute. 02/12/2021. https://brownstone.org/articles/vaccine-mandates-unscientific-divisive-and-enormously-costly/.
[18] Thomas SJ, et al. Safety and efficacy of the BNT162b2 mRNA COVID-19 vaccine through 6 months. N Engl J Med. 2021; 385:1761-1773. DOI: 10.1056/NEJMoa2110345.
[19] FranceSoir. Suivi de l’essai clinique de Pfizer à six mois : sûr et efficace ? 2021 Oct 26. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/suivi-essai-clinique-pfizer-six-mois.