Mon fils, Ludovic, 39 ans, reçoit sa 2e injection Moderna le 22 juillet. Le 24 juillet, mon petit-fils Melvin, âgé de 13 ans et demi, découvre son papa décédé à côté de lui dans le lit alors que j’étais en ligne avec lui !
À mon arrivée, dix minutes plus tard, on ne pouvait que constater son décès avec les pompiers. Ludovic était allongé sur le dos et il avait abondamment saigné du nez, vu la tache de sang derrière sa tête.
Melvin me fait part, que dès le lendemain, son papa avait de fortes douleurs dans le bras où il avait reçu l’injection ainsi que des difficultés respiratoires et d’équilibre. Je décide de contacter un avocat, lui faisant part de mes doutes sur cette injection, qui demande une autopsie et prélèvements pour examen.
Mon petit-fils et moi-même avons été entendus séparément par les policiers afin d’enregistrer notre déposition. Après trois longs mois d’attente, le rapport de police stipule que la cause de la mort n’est pas définie, et que “Ludovic avait peut-être oublié de respirer !”
À aucun moment, il n’est mentionné l’hémorragie nasale importante et, sans surprise, l’injection : “On ne pense pas qu’il puisse y avoir un rapport !”.
Après cinq longs mois, nous ne savons toujours pas de quoi est décédé notre cher Ludovic, mon fils unique, parti si jeune alors qu’il avait un bel avenir à La Baule, où il venait de nous rejoindre récemment.
En plus d’un fils d’une extrême gentillesse, j’ai perdu mon plus proche collaborateur qui m’avait fidèlement accompagné professionnellement durant ces quinze dernières années.
Son papa